L’instauration du régime présidentiel, qui autorise par devers toutes les dérives, sont source d’impunité.
Sous Macky Sall, le Tyran, l’un des pires dictateurs terroristes africains les plus honnis, l’élection présidentielle au Sénégal à l’horizon 2019, pourrait-elle vraiment échapper à la logique de la sempiternelle Formalité Administrative, dynamique, Abusive, dans laquelle l’issue des comédies électoralistes se conçoit exclusivement dans la cour des Autocrates – Pantins Nègres de Service de l’impunité ?
Pour la première fois, à notre connaissance, sous l’ère du clown, deux terroristes libyens, encombrants, qui étaient détenus au Guantanamo, atterrissent bizarrement dans le ciel obscurci sénégalais.
Accueil\ expulsion de la patate chaude des terroristes libyens hors de nos frontières ; le ridicule ne tue plus dans la république des terroristes, incultes, au point que les sentinelles, outrées par la fatwa d’un banditisme d’état, déposent courageusement une plainte en bonne et due forme contre l’État- APR- Terroriste, Ethnique, familial, révisionniste, négationniste- Made Apartheid- représentée par la mascotte de république des professionnels menteurs, terroristes, au premier rang des desquels, le caniche de l’occident, en chair et en os, le chouchouté, gratifié, sont en intelligence totale avec des incrimines libyens, innocentés. Une curiosité décapante qui en dit long sur une bande malfrats organisés, nous horripilé et nous met raisonnablement dans nos gonds.
C’est une exclusivité dans le monde. Si nous étions dans un état régalien, un tel capharnaüm ne tiendrait pas une seule minute.
Comme si cela ne suffisait pas encore, la république de la racaille des Tontons macoutes, envoie allégrement aux charbons « ses auxiliaires chiens de garde bien bénis » – qu’il brosse au palace public, en met nécessairement des couches épaisses et des coups tordus.
Lesquels par son outrecuidance outrancière, expédie tardivement en pleine nuit, une convocation insolite à Cheikh Bamba Dièye, qui a tout simplement déchiré en toute légitime défense, l’assignation controversée.
Apparemment la justice de la débauche, est dans ses gonds, après la sortie de l’opposant, pour avoir eu le courage de les traiter de malfaiteurs. Ce leader n’a dit que nous avons déjà dit, depuis belle lurette.
Dans notre pays étrange et à la renverse, les justes et les juges, incorruptibles magistrats, consciencieux, qui se convertissent en patriotes, se comptent dans une main, tout le reste ne vaut pas son pesant d’or, malgré leur apparence.
Nous avons donc majoritairement une justice des corrompus mercenaires, alimentaires. N’en déplaise à la saga pestilentielle, personne ne peut le nier.
Evidement, si la justice ne tourne pas le sens des valeurs et à nos attentes, en vérité, la majorité des magistrats et des juges sont des avariés, demeurent plus que jamais aux attaches de la décadence amnésiques. Il n’y a pas de corruption sans corrupteur- je veux parler de celui qui est dénommé « Godio » – kudadoo, lequel d’ailleurs, est au sommet de l’état mafieux, est le plus corrompu, que » ces Dak»- tous poinçonnés les fripouilles pouilleuses, alignées – regardez mon doigt !
Quand l’illuminé, Trump traitait Haïti et des nations africaines de « pays de merde », où étaient donc les élites autocrates africaines, se transforment en valets nègres de service tondus, dont en première loge, le Bougre fétichiste, le fourbe en tète des médiocres de référence dans le hit parade des asservis ?
C’est facile de s’en prendre lâchement à des faibles, voire une bassesse pure et simple.
Quels sont donc les dessous de cette affaire rocambolesque, digne d’un film de science fiction ? À quelle fin et à quel prix ?
Comment le pouvoir politique incurieux, inquisitoire, peut-il à la fois lutter contre le terrorisme et accueillir des prisonniers, terroristes au Sénégal, sous le nez et à la barbe d’une justice, qui apparaît sourde, muette et aveugle, dans un état présumé de droit ?
Selon l’esprit étroit du cartel mafieux, les présumés coupables sont toujours nécessairement du côté de l’opposition, et jamais du côté du pouvoir usurier, ce qui est déjà réducteur d’un comble du comble. C’est le verbatim de la saga pestilentielle, attardée. Elle [une femme de la tanière] n’est nullement le seul perroquet, puisque des conseillers bidon de ramassis, attirés auprès du chef clanique, ont tous ouvert la boite de pandore sur le plateau de TV, continuent de distiller des mensonges blâmables, dignes d’eux.
Décidément la soldatesque waffen SS, asservie, qui est corrompue de la tète aux pieds, ou l’alliée du régime apr, fantoche, fasciste par les preuves matérielle, tout opposant politique, emprisonné, est coupable d’avance. C’est ce sont des gens qui n’ont aucune approche patriotique. Voilà la rhétorique démentielle des menteries à laquelle se livre honteusement la bande alimentaire, arrangée, répète mécaniquement les mêmes les âneries et les mêmes éléments de langage. C’est une façon de légaliser les pratiques légèretés de la justice, instrumentalisée aux ordres et des courbettes.
Ne soyons pas dupes, et disons clairement les choses. Un putschiste, criminel, qui arrive au pouvoir, ne peut être jamais un démocrate, c’est le cas du voyou, le führer dictateur zimbabwéen. Donc reparlons donc du fameux Stricto Coup d’état permanent à la Emmerson Mnangagwa et Cie !
Bizarrement, à quelques heures de la proclamation des chiffres bidonnés en plein nuit, des urnes populaires, parlantes ne compte point, mais se conçoivent exclusivement par les parades miliaires, les arrestations massives, abusives de l’opposition et surtout les crimes contre l’humanité.
Le même Tsunami local, contagieux, souffle-t-il déjà dans nos murs au Sénégal ? Oui, bien sûr. Nous sentons les signes avant-coureurs et les premières secousses telluriques dans nos murs, qui tremblent fortement, ne sauraient tromper notre vigilance, pour que nous soyons tous debout , sur nos gardes, face à la démesure et l’esclandre « d’un Godio »- Taxrip jusqu’à la moelle, est pire que tout, nonobstant sa respectabilité douteuse, qui refugie derrière les grilles d’un palais alpulaar Nédo ko Bandoum, estampillé le label d’un verbatim foutoir de la déconfiture avariée . Et pour cause.
À l’effigie du nouveau Caudillo zimbabwéen en place, le nouveau Mobutu, empesté, ressuscité par les vacarmes des armes et les dégâts collatéraux des crimes, sont déjà élevés. Les mêmes causes reproduisent nécessairement les mêmes effets nocifs, donne des gages à l’Europe et à la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, qui paraît peu réactive, qui envoie ses observateurs douteux, à la seule fin d’arrondir les angles, et cintrer les coins, ne pipe mot sur les crimes effroyables d’un nègre de service et son bras , le chef des armées , le général Constantino Chiwenga, qui fut un simple brigadier avant son ascension fulgurante, furent tous les deux déclarés, depuis la nuit persona non grata en Europe et aux Etats-Unis.
Pour se racheter et échapper ainsi, à la vindicte à la machine propagandiste internationale, autoproclamée faiseur de roi et d’opinion, les chiens de garde de l’impérialisme au Zimbabwe, font profil bas, entendent bien s’exécuter, n’ont d’autres choix que de redistribuer les terres aux seuls fermiers blancs, présumés suprémacistes, lors des scrutins taillés sur mesure et sur fond d’agitation militaire, visiblement clair. Incontestablement, les populations zimbabwéennes, déchanteront plus que jamais, aussi vite qu’elles ne l’étaient sous Robert Mugabe. Emmerson Mnangagwa n’a que par la brutalité, par la répression et les tueries, et ce, sous les couleurs du parti du père de l’indépendance- la zanu-pf de Robert Mugabe, et non pas de sa propre formation politique.
La montagne accouchera d’une fois une souris. Le nouveau tyran zimbabwéen, publie en catimini les scrutins truqués en pleine heure de la nuit, interdit par devers toute conférence de presse de l’apposition, est encerclée, surveillée, harcelée, traquée, élaguée, houspillée, sans état d’âme, comme du lait sur le feu, jusque dans leurs repères.
On se demande qui a donc cautionné les compilations des crimes infinis. Alors que l’économie zimbabwéenne, en ruine, désastreuse, est pratique exsangue. Rien n’a rien changé et tout continue. Le fasciste fait un appel du pied du pied aux investissements étrangers, pour plaire aux maîtres du monde capitaliste. Mon œil ! Or, l’ex fugitif, prend le contre pied du président sud africain, Cyril Ramaphosa, qui a fait voter une loi, qui exproprie les minorités étrangères, sans indemnisation aucune, pour les redistribuer légitiment en faveur de la majorité des noirs, qui en ont de droit.
Le génocidaire, revient au galop, fait les yeux doux aux blancs, qui étaient chassés hors du territoire, pourront revenir.
Les fermiers blancs se frotteront les mains, à contrario, les paysans zimbawéens mordront assurément la poussière. C’est bien l’arbre qui cache la forêt ! Silence radio de la démocratie mondialiste et de l’arbitraire. Laquelle était très prolixe sur le règne du père de l’indépendance. Le chef de la police génocidaire, se taille lui-même un score de 50, 8 %, tandis que son rival, Nelson Chamisa, le chef du MDC, n’obtient que 44%.
Le Zimbabwe renoue plus que jamais avec ses vieux démons mortifères tyranniques.
C’est la règle ubiquitaire du Césarisme. Rien n’a donc véritablement changé et tout continue de plus belle que jamais.
Le contraire serait donc étonnant. Une certaine presse, propagandiste, titre, et qui parle incongrument des premières élections démocratiques après la chute de robert Mugabe. De qui se moque-t-elle vraiment ?
Retournons au Sénégal et recausons donc du prétendu parangon de la rupture, ou le faussaire né, crache plus d’une fois sur ses promesses électorales sur lesquelles il a été par dépit et à défaut et dans des conditions exceptionnelles, inédites mêmes.
Le maitre des faux bonds cataclysmiques, concentre absolument tous les pouvoirs de l’exécutif, judiciaires, législatifs et médiatiques, et les tous leviers économiques, financiers politiques.
L’union sacrée du couple AFP\\PS en bande organisée, ou l’armée des déchets toxiques, des corrompus, fidèle captifs « des doungourous », coalisés, sous l’autel de l’entité biscornue de la sarabande se mue à la bannière benoo bok wor sunu rewmi . Laquelle se nourrit de la caisse blanche d’un référent de la françafrique, en l’occurrence, Macky Sall, le chef ethnique.
L’autocrate, himself, incorrigible, taciturne, dans l’âme, comme toujours, refait surface, se distingue de nouveau, prend les devants, prépare encore les esprits sur le hold-up électoral en perspective de 2019, se peint encore sur les oripeaux victimaires des leurres, s’attribue à lui-même une virginité imaginaire, utilise par devers ses méthodes fascistes décriées, et ce, à travers sa presse servile, corrompue, et dévouée, comme tout félon de son rang.
Le mythomane, s’autorise tout, prend décidément, toutes les libertés, pour nous enquiquiner, et nous tenir le même discours crypté, baroque, insultant-lisez les entre les lignes- mais n’accepte pas jamais la contradiction, à la place publique, alors que hier, sous d’autre cieux, en mauvaise posture, il était très bavard, jusqu’au boutisme, a eu le culot de vouloir déstabiliser sciemment et publiquement le régime de wade, dans l’hypothèse où celui-ci remportera la présidentielle de 2012.
S’il a eu l’outrecuidance de tenir de dérapages, c’est parce qu’il a été soutenu par de gros bras, à qui il a donné de nombreux gages, notamment la livraison du pétrole et gaz du Sénégal, pour un sou, surtout, la révision de accords de défense des troupes et bases militaires et le maintien du nazisme monétaire, le franc FCFA, dont il déclare honteusement , qu’elle est bonne à garder.
Internet et les réseaux sociaux, sont par définition, la clé de voûte et le socle fondamental de la démocratie et des contradictions politiques, et non certainement pas le porte- étendard de la trempe du suppôt sénégalais, soumis, qui passe tout son temps à jouer sous le piano américano-français.
Le récidiviste, négationniste, pantouflard, s’arroge le seul justicier ethniciste, déclaré, l’escroc numéro Un, non-éclairé, le coupable, comploteur, le diviseur, désigné, imprimé le menteur exceptionnel , professionnel, profanateur, mécréant dans l’âme, digne de son rang, qui abuse dangereusement et lâchement de la force publique, en use aussi sur internet ; s’érige inlassablement et pitoyablement en fourbe sur l’échelle planétaire international, envers et contre nous tous, par ses discours lapidaires creux, à l’emporte pièce, sur fond de rhétorique de caniveau , n’a d’égal qu’à lui-même , détient l’unique secret devant l’éternel .
Macky Sall : « on n’a pas le Net pour insulter les gens ». Le chef de la république clanique des qui perd-il les pédales, est- il donc amnésique ? Où se croit-il plus futé que l’ensemble des sénégalais qu’il écrabouille en permanence ? – cet homme peut-il être un donneur de leçons de moralité ?
L’imposteur utilise le net pour mentir et nous insulter en permanence de façon cryptée.
Macky Sall : « les sénégalais n’aiment ni la transparence, ni la rigueur, ni la vérité »
« Les hommes de chapelet sont des hommes ordinaires »
« Les politiques et les polémiques ne développent pas le pays »
Celui nous avait promis de réduire son mandat présidentiel de 7 ans à 5 ANS, nous a habitués à des faux bonds pet ses insultes. Il nous tous insultés une fois de fois, pour avoir organisé son cirque référendaire- Deum- et par les parades des parodies législatives de 2017. Tout cela passe comme une lettre à la poste.
Celui qui modifie le code électoral pour faire valoir ses propres mesquins n’est –il pas donc le premier insulteur des voyous.
2012 : le renégat, bien connu à la place publique, fulminait, si Abdoulaye WADE gagne les élections présidentielles, il créerait un gouvernement parallèle.
En Afrique des guignols des régimes fantoches et des prédateurs autocrates, qui sont unifiés en brigands de grand chemin, le pouvoir se transmet de père en fils, ou à la proximité consanguine. Dans ces contions, l’élection, présidentielle au Sénégal, pourrait-elle vraiment échapper à la logique de la sempiternelle Formalité Administrative, Abusive. Wait and see ! Qui vivra, verra !
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