31 décembre 2017: Toxicité mensongère & les Overdoses Usuelles de la Sphère Facho. par Ahmadou Diop.
Tout d’abord, la Radio Sunuker.Com : la première radio FM panafricaine à Los Angeles, en Californie, vous souhaite une bonne santé, une longue vie et vous présente ses meilleurs vœux de bonne année 2018 ! Que l’année qui commencera dans une semaine, soit meilleure que celle qui s’achèvera dans une semaine ! Que dieu, le miséricordieux, le Clément, le Tout-puissant, l’unique, Créateur de l’Univers, le Maître des cieux et de la terre, nous guide, nous éclaire de sa lumière éternelle, pour qu’il y ait la paix mondiale, l’harmonie, la fraternité, l’entente cordiale et la cohésion entre les peuples et les nations ! Amine !
Cela étant, nous souhaitons que dieu nous préserve et nous débarrasse des forces sataniques et leurs souteneurs ! Amine et pour cause !
Décidément, le Sénégal, est devenu hystériquement le ciel ouvert des déchets toxiques et le dépotoir des détenus terroristes à tout vent. Car outre les Deux Détenus De Guantanamo, qui sont accueillis scandaleusement à Dakar et dans des conditions affreusement indignes, passent encore comme une lettre à la poste, que rien absolument ne peut expliquer, nonobstant, quatre Génocidaires Rwandais, s’y ajoutent, atterrissent au pays étrange de la Téranga et à la renverse.
Soyons tous debout face à la pollution politico- judicaire de la sphère Mackyée.
Manifestement, il y a là quelque chose d’insolite, d’inacceptable. Décidément, la rupture est devenu amas de foutoir, nous donne la chair de poule et la mesure d’un gouvernement de bazar, délinquant, dont déliquescence totale, est devenu un secret de polichinelle, va de dysfonctionnements en continu. La réalité dépasse même la science fiction. À quelle fin et pour qui ?
Ballon de sonde des sorties décapantes de mimi Touré, ou la mascotte invertébrée, timbrée des balourdises exponentielles des courbettes, prépare le terrain pour embellir et labelliser une gouvernance des fripouilles pouilleuses en bande organisée, le 31 décembre 2017.
Mimi Touré, elle aussi surnommée l’envoyée Spéciale de la mécanique cataclysmique des menteries inflationnistes, prépare l’éternel discours de la sainte sylvestre auprès de son excellence des menteries, Macky Sall- himself – l’Envoyé Spécial Colonial en Afrique , attitré et accrédité à Dakar.
Rappel pour rafraîchir les mémoires : 2013 Médiation Fenal-, initiée par Abdou Latif Coulibaly : le chiffre de 30 mrds de FCFA de la traque des biens mal acquis passe à 200 mrds de FCFA. Plus menteur que le label de la République ethnique des chiffonniers boucaniers ethniques, tu n’existes pas.
C’est une ne première dans l’histoire du Sénégal. Une ministronne de la justice et garde des sceaux au service du félon, récupère, transige à elle seule et dans le secret des dieux, une telle somme, même minimum, soit elle, relève incontestablement d’un banditisme. On peut penser qu’elle s’est bien servie sur le butin amassé qu’elle partage à huis clos avec son envoyeur-mentor avec lequel elle a le même dénominateur commun de l’indignité. Un écran de fumée qui témoigne incontestablement que la monarchie présidentielle porte un caractère politique bidon, comme en arrière-plan, selon lequel que nous n’avons que des institutions asservies, venues dalleurs.
La gouvernance moribonde ignore totalement la notion régalienne d’état, au point que tantôt, la ministronne de la justice du fraudeur-pantin se substitue au présumé Doyen – des Juges Doungourou, Samba Sall et à son soi-disant procureur –alimentaire, Serigne Basssirou Guèye. Tous les deux se dégonflent et n’agissent que sur commande d’en haut.
Normalement, si nous étions dans une véritable justice, le procureur devrait s’autosaisir sur la question et entendre l’ancienne ministron du despote, usurpe la fonction et s’arroge l’outrecuidance de récupérer de l’argent cash. Nous sommes bien dans une république de capharnaüm peu vertueuse dans laquelle règne l’anarchie et l’opacité totale.
Cela en dit long sur une la république nébuleuse, scandaleuse des proxénètes ethniques des voyous et des caïds en bande organisée. Où est donc le socle de la transparence dont on tympanise les oreilles à longueur de journées dans un tapage médiatico-politique, emphatique ?
Ne soyez pas donc surpris, et prenez vos gardes, quand vous entendrez au soir du 31 décembre 2017, et à vos dépens le discours ténébreux de piètre qualité de l’imposteur, déclaré, le label saugrenu des contre-vérités fumantes de fin d’année !
Prenons donc avec philosophie la tambouille de mauvais goût, c’est-à-dire le cocktail des overdoses du chien de garde de l’occident, singera ses prétendues réalisations en bandoulière, comme d’habitude, tant par sa pollution politique que mentale et ses simagrées courantes, dont il excelle constamment, exclusivement, pour croire nous enfariner.
Comme tout dictateur de sa trempe, ses auxiliaires de services de ramassis, très prompts, après avoir fait de preuve des rafles et des cueillettes de jour comme de nuit, pires que celles de veld’hiv, procédera lâchement à des grâces des prisonniers, pour montrer sa magnanimité divine et son empathie imaginaire.
Nous sommes absolument blindés, immunisés contre les élucubrations irrévérencieuses, surannées et fumeuses de part du Nègre, valet de service, qui ne jure que par ses maîtres blancs à qui il donne du travail.
Le 31 décembre 2017, l’inventeur- expert professionnel, profanateur, comme à l’accoutumée, fera du » réchauffé « , s’y cramponnera, telle une teigne, ne dérogera jamais à sa règle usuelle, pimentera sa sauce, ne manquera pas de culot, se distinguera de nouveau, exposera, excellera comme toujours, par des chiffres bidonnés, inventera sans remords, ni vertu, ni scrupules, ni retenue, créera de toute pièce à l’appui, tout azimut, notamment sur la thématique terroriste, invisible du ciel sénégalais, qui est totalement Sénégal, les relèvera davantage, pour leur donner un caractère véridique, alors que tout est mensonge du début jusqu’à la fin.
Pour ce faire, comme il le sait faire, dira-t-il, l’état sénégalais en collaboration avec les services français de renseignements en jointure avec le FBI, a déjoué plus d’une fois des tentatives de terrorisme, et dépensé des mrds de FCFA en matériels logistiques, pour endiguer et stopper les réseaux dormants du terrorisme en liens avec les djihadistes.
Mais l’homme y ajoutera, que nous ne sommes pas à l’abri de rien, pour monter les enchères et la mayonnaise, lorsque tout est mensonge du début jusqu’ici. L’émergence du Sénégal, dira-t-il, est une réalité, puisque nous avons enregistré cette année un taux de croissance qui avoisinera, 6,5 %, atteindra le chiffre raisonnable de 7%, début 2018.
Nous avons maitrisé les dépenses compte tenu de la conjoncture internationale, mais l’économie sénégalaise a réalisé des performances jamais inégalées, importantes, se porte bien, vu l’expertise de nos partenaires du fmi et de la banque mondiale, ce qui fait nous avons atteint une autosuffisance alimentaire, sermonnera, le despote encombrant.
S’appuyant sur les chiffres bidon de son Envoyée spéciale, qui n’est rien d’autre Mimi Touré, l’autre scandaleuse fonctionnaire politique parmi tant d’autres, qui a emprunté elle aussi les raccourcis politiques et les méandres des postes de nomination Tan sa bula nex- Alors, le chef clanique va déclarer en abondance que la justice a déjà récupéré la somme astronomique de 200 mrds de FCFA sur la traque des biens mal acquis. Bref, le bilan catastrophique de sa gouvernance ethnique, passera, selon lui en rose, comme tout despote de son rang.
Car il tentera vaille que vaille à nous faire avaler l’entourloupe, selon que laquelle le Sénégal est un pays de droit le Sénégal l’Homme.
Par ailleurs, tant que les cérémonies religieuses s’éloigneront des raisons historiques pour lesquelles elles ont été créées, elles risquent de s’étioler davantage au fur et à mesure que le temps passe, pour n’être qu’une simple machine clientéliste, ou des rabatteurs notoires d’enregistrement convertis en caisse de résonance et de tribune politique et pour cause et la gloire de la monarchie présidentielle, le symbole du guichet automatique, et dont la platitude manifeste se mesure à l’aune de ses valises de liasse de banque de FCFA pleines à craquer, émanent du racket organisé du contribuable sénégalais, dévalisé, siphonné jusqu’à la lie et de fond en comble, sont par essence source de corruptions massives à haut débit, atterrissent directement dans les mêmes poches des organisateurs, qui se frottent les mains et se nourrissent allégrement, exclusivement que leur autorise leur posture supposée.
Dans ces conditions, le pouvoir temporel et son bras armé, clientéliste, auront toujours de belles années devant eux, pourvu que cela perdure.
Le Sénégal s’honore -t-il vraiment lui-même, lorsque la majorité candide , tondue, encapsulée qui se dégonfle, se laisse dominer par une minoritaire toute puissante, est en totale jointure par télépathie et dans le secret des dieux avec une certaine nomenklatura politico- religieuse, goinfrée, bourgeoise et capitaliste, se travestit comme étant une entremetteuse politique, apparaît avoir un droit de vie et de mort sur ses sujets.
une certaine classe religieuse apparaît avoir les mains, les points et les pieds liés , sont obligés de renvoyer l’ascenseur à son bienfaiteur, se complait par ses combines, s’écarte du droit chemin, a failli sur la mission tracée par leurs géniteurs respectifs. Cette bourgeoisie religieuse est en totale porte à faux avec les fondateurs confrériques, pour des raisons bassement mondaines, s’encarte étrangement avec le pouvoir politique.
Celle-ci n’a rien d’autres priorités absolues qu’ à garder par la ruse ses privilèges indus, grâce à ses discours plus politiques que religieux, lesquels sont alambiqués, s’inscrivent savamment dans une ambigüité sciemment entretenue, passent leur temps à tresser à longueur de journées les éloges fabuleux d’ un sacré monstre, imposteur- professionnel, menteur profanateur dans l’âme, à dessein de croire pouvoir réélire à eux seuls le monarque et ceci par la prétendue rhétorique divine, virtuelle, emmitouflée et au nom des galipettes peu vertueuses, mues sur la base de leurs propres intérêts matériels, crypto- personnels.