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2012- Sénégal : Résurgence des entreprises de despotisme ? Par Ahmadou Diop

Macky Sall et ses diables de journalistes et MediasCertes, le Reich avait ses chambres à gaz, Macky Sall « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique du symbole maléfique et apocalyptique » n’en dispose guère, mais à contrario, agence, nécessairement, des chambres politiques dans ses goulags de Rebeuss à Dakar, pour mettre en charpie tout citoyen libre et toute opposition réelle ou supposée, indispensable dans un état de droit. 

En lieu et place d’une presse libre, l’émergence ou la résurgence des entreprises baptisées l’abondance de despotisme, fait florès. 

En vérité, la retransmission en direct de la RTS de la distribution de l’argent du contribuable sénégalais à des fins bassement politiques, s’inscrit parfaitement dans la trajectoire totalitaire des méthodes hitlériennes à la sénégalaise, tendant faire croire faussement à la bonté de la république des proxénètes et des falsificateurs coalisés., en long en dit sur l’ignominie humidifiée des garnements en bande organisée. 

La RTS, l’APS, le Soleil, tous devenus des organes altérés et au service du totalitarisme. La presse privée, achetable à la pelle pour un sou n’échappe non plus à la règle, tels des moutons tondus, corrompus, brillent par sa servilité et son incivilité blasphématoire, patente, laquelle profusion n’a fait aucune preuve d’innovations matérielles sur le terrain, si ce n’est à cause de cette aide confuse. 

La dépendance politique et financière de la presse constitue une menace réelle à la démocratie. Les locaux de la RTS sont peints en beige-marron, tout comme la couleur dominante du bureau de Goebbels, en rouge.

La gouvernance bancale, népotique, gabégique : un symbole des mensonges infinis, est totalement comparable à celui de Goebbels, ministre de la propagande du Reich.

En vérité, la RTS, est le clonage masqué de Goebbels, qui fut le ministre de la propagande du Reich, Hitler. Nous sommes tous en danger : plus les mensonges sont gros, plus ils passent comme une lettre à la poste.

Plus les partis politiques abdiquent une par une et par consentement réactionnaire, les citoyens restent passifs , minimisent l’ampleur des dégâts collatéraux de la dictature rampante à petits feux, de Macky Sall, plus le despotisme cartellisé, mafieux des faquins gravit des paliers et ceci, malheureusement à l’indifférence quasi générale. 

Rien n’est pire qu’une presse traitresse, dressée en coupe réglée et qui demeure en porte-voix, bien dévouée et vouée aux gémonies d’un fasciste revanchard, rancunier inné. Celui qui contrôle la presse, contrôle tout le peuple. 

C’est la règle. la RTS, ce média public, monopolisé par le pouvoir de Macky Sall, sert de propagande pour contrôler l’ensemble de la population sénégalaise, prise pour des moins que de rien. 

« Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. » – Malcolm X.

Un rhétoricien exceptionnel, orateur noir, hors-pair, un leader révolutionnaire, bien armé intellectuellement, une des icones afro-américaines les plus emblématiques, charismatiques de son temps, qui a marqué son existence les consciences afro-américaines. 

Une vérité éternelle toujours d’actualité au Sénégal, tombé entre les mains des traitres, valets, nègres de service et leur relais médiatiques : ou le paradoxe d’un paroxysme d’un banditisme étatique, présumé de droit. 

Les médiocres de référence pathologiquement atteints, ce qui les anime, les motive, les poursuit immanquablement dans leur nature, durant leur existence sur terre, jusque dans leur tombe, ce sont des mensonges énormes des couches épaisses, qu’ils tentent de blanchir bassement, comme étant leurs propres vérités, éternelles devant l’éternel. Macky est bien en tète de liste de ces procédés peu orthodoxes. 

Le récuser, c’est faire preuve de couardise et d’insuffisance caractérisée. L’homme de classe exceptionnelle, détient le record absolu par ses propres paroles visiblement audibles, dédites, inégalées à propensions et à l’infini. 

Le dialogue social en berne est réduit à sa plus simple expression. Le régime moribond compense sa médiocrité criarde, affligeante, par sa qualité tyrannique rime avec l’esclandre de ses sorties de piètre qualité. 

En vérité, la deuxième alternance n’a nullement produit les effets escomptés de la rupture tangible, au contraire, l’état dictatorial n’admet point le droit individuel, ni collectif, à l’exception de sa propre loi qu’il impose aux citoyens présumés sujets. 

Curieusement, dans un état supposé de droit, tous les médias d’état et privés, tous unis, deviennent en fait des outils de propagande, de domination et des propriétés exclusives du pouvoir d’Etat totalitaire. 

Dans ces conditions, les discours médiatico-politiques emphatiques, ne valent nullement leur pesant d’or, puisque ces instruments totalement dociles et si bridés ne peuvent jouer leur rôle dans le traitement objectif des informations et dans la confrontation des idées. 

Le président de la république est-il un monarque, au point qu’il contrôle tous les organes de presse et les médias, sans qu’il soit contrôlé lui-même par un organe étatique libre et indépendant ?

La seule vocation essentielle de ce pouvoir tyrannique, jusqu’à la lie, pour faire taire tout contre-pouvoir, c’est la réduction au silence des opinions libres, indispensables dans un état supposé de droit. Toute opposition réelle ou supposée, est synonyme de déstabilisation systématique. Tous les moyens, fussent-ils illicites, sont utilisés, pour tuer dans l’œuf toute contradiction politique. 

Plutôt de créer les conditions obligation d’un PSE, on assiste sans discontinuer à l’émergence de la corruption massive, organisée, démocratisée, entre autres insanités insupportables, les mensonges habiles, de plus en plus épaisses, le négationnisme, en sus du népotisme, la transhumance forcée, tous azimut, priment sur tout. Tout passe au peigne fin. 

Et les auxiliaires de service alignés, transformés en cuillères par le pouvoir d’état totalitaire, abuse de la force publique, en particulier, la presse propagandiste, embarquée, assurent bassement, le service après vente. 

Ceux qui veulent garder leur indépendance et leur conscience, sont automatiquement traduits, traînés dans la boue devant les tribunaux de la dépendance, sont copieusement criblés de tous les péchés d’Israël.

La presse arrimée au totalitarisme, fait totalement abstraction des scandales combinés de Macky Sall et son propre, Aliou Sall, autoproclamé à la fois maire de Guédiawaye, président des maires du Sénégal, est maintenant, devenu, étrangement un prétendu banquier « takhrip » -très humidifié, en particulier sur les affaires scabreuses du siècle, Arcelor -Mittal-Pétrotim SA. L’état du Sénégal, qui avait réclamé 2500 milliards de francs, n’a reçu que 75 milliards Francs CFA. 

« Charlie ou l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique du symbole maléfique et apocalyptique », ne s’intéresse ni à la démocratie, ni à la transparence, ni aux vertus, ni au développement du Sénégal, mais ne pense qu’à sa réélection en 2017, une hypothèse totalement exclue, de prime abord. 

Il est temps de mettre fin aux escalades envenimées des plumes de Macky Sall. La résistance contre l’autoritarisme suffocante est un devoir moral. C’est une question vitale, prioritaire de premier plan, et même de salubrité publique.

Par Ahmadou Diop CPC

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