A LA UNEACTUALITÉSCONTRIBUTIONLE BLOG D'AHMADOU DIOPPOLITIQUE

Communiqué de presse- CPC : la résistance nationale s’impose contre le menteur Macky Sall, l’apostat !

cpcLa Conscience patriotique pour le changement au Sénégal, XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW, soucieux du respect des lois fondamentales, s’inscrit en porte à faux contre les reculs récurrents à la démocratie et les mensonges d’état, se dresse debout et sans équivoque ce qu’elle appelle la tyrannie et l’arbitraire d’un régime de capharnaüm, moribond par son abondance des pantalonnades, dont il détient l’unique record absolu de toute l’histoire du Sénégal. C’est un euphémisme de marteler que ce pouvoir de foutoir-fourre-tout est totalement réfractaire à la liberté d’expression et les libertés fondamentales. Depuis le 25 mars 2012, toute marche pacifique est de facto interdite. Nous ne pouvons l’accepter.
Les censures à tout vent s’inscrivent toutes parfaitement dans une démarche totalitaire. Le mimétisme des méthodes de la Stasi fait florès. Et ce n’est pas approuvable dans un état supposé de droit. C’est une religion d’Etat chez Macky Sall, le fraudeur nègre de service.

Mankeur Ndiaye fixe la date des prochaines élections: « les Législatives en 2017, la Présidentielle en 2019 … »
Quel culot ! Une telle déclaration unilatérale est digne des pires procédés fascistes africains, en dit long sur leurs petitesses d’esprit. En vérité, ce régime népotique mène une politique aux antipodes d’une gouvernance bonne. Le miracle d’un plan Sénégal émergent, n’aura pas lieu.
Pour nous, cette déclaration devant la délégation européenne n’engage que leurs propres auteurs et non les sénégalais, très largement édifiés sur la nature des médiocres de référence.
Nous la déclarons solennellement nulle, irrecevable, indigne et non avenue. Sans la liberté, on ne peut rien construire de solide. Quoique le renégat puisse faire, les élections présidentielles de 2017 se tiendront à date échue, inch allah, et non en fonction du calendrier politique taillé sur mesure pour ce nullard, traitre dans l’âme.
Qu’il se le tienne pour dit ! Croire que la prétendue solennité dite Communauté internationale ou communautarisme blanche ou plus exactement la délégation européenne, ne peut tenir lieu d’arbitraire ou de faiseur d’opinions au Sénégal, encore moins sur l’échelle planétaire internationale; cela relève assurément d’une illusion monumentale. La diversion et la pilule ne passeront pas.
Après la déclaration de Mankeur Ndiaye, qui est lui-même le bouffon écervelé, asservi, les yeux, la bouche de son mentor nullard, lequel se niche derrière les grilles d’un palais, porte l’estampille d’une dualité étrange, maquillée l’empreinte digitale : « al pulaarophile et sérérophile ». On ne sait par quelle magie noire d’un « xarfa foufa ».
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître et de façon concomitante, Macky Sall, le versatile interrogé, par le journal français, le Figaro, sur la question de la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, répond laconiquement et étrangement, qu’il attend la réponse du Conseil Constitutionnel. Un aveu de taille qui correspond indiscutablement à une présomption de culpabilité avérée, est substantiellement conforme à son culot démesuré et par ses dénégations hystériques, suintantes, infinies. Un comble du comble. Et 2013 ? Sur RFI, son média gri-gri, préféré, l’homme des paroles dédites et des pantalonnades, sermonna, nous le citons textuellement : « ce n’est pas moi qui fais la loi », comme s’il est oublieux.
Macky Sall continue sa trajectoire totalitaire de campagne électorale permanente, déguisée, déloyale au nom d’une appropriation obscure pour faire oublier ses propres promesses électorales qu’il tente d’absoudre par l’esclandre de ses sorties audibles à l’emporte pièce.
Entre Macky sall, la taupe encapuchonnée du piano bitim rew, qui s’insurgeait de façon abracadabrantesque contre les méthodes supposées peu orthodoxes de son devancier, Abdoulaye wade, et « l’affairiste Pétain Noir », en chair et en os, on se demande lequel des deux faut-il nécessairement croire. Mon œil ! Celui qui s’est autoproclamé parangon de la droiture imaginaire, défendit, urbi orbi, des valeurs démocratiques, mais l’interdit, aujourd’hui et systématiquement par l’entregent de ses piètres « doungourous » préfets, préférés, passés maîtres des auxiliaires de service, toujours prompts à exécuter machinalement et au garde-à-vous.
La Conscience patriotique pour le changement au Sénégal, XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW, appelle tous les patriotes sénégalais à créer toutes conditions obligatoires d’un bloc unitaire pour se dresser tous debout comme un seul homme, afin de dénoncer publiquement sur le plan national et international les agissements et les agressions permanentes, intolérables de Macky Sall, l’escroc invétéré, l’homme des galéjades et des escalades inadmissibles, dont sont victimes tous les jours, tout le sénégalais peuple, depuis qu’il est par accident à la tète de l’Etat Sénégalais par l’étourderie massive, généralisée, collective à l’échelle nationale des citoyens grugés et trompés à couper le souffle.
Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, plutôt de respecter sa parole, ses engagements et ses promesses électorales pour lesquelles il a été élu, afin d’opérer réellement une rupture totale au nom de la transparence, productive économique, politique plus nette et à l’épreuve des faits tangibles, le promoteur du népotisme et des gabegies exponentielles à n’en plus finir, est passé maître du prototype des manières aléatoires, fait constamment preuve de faux bond, s’évertue vertement et habilement dans une fuite en avant, continue allégrement ses reniements et renoncements, se dépatouille et se défausse totalement comme si il a droit de vie et de mort sur le peuple sénégalais qu’il croit prendre pour ses sujets probables. Pire encore, le premier félon de la république des faussaires et des fraudeurs, promet plus qu’il n’en fait, en réalité, organise le spectacle permanent par des charrettes sélectives de la traque des biens mal acquis ou le rapatriement des biens spoliés et placés à l’étranger, pour compenser son incurie corrodante et sa médiocrité pitoyable.
Que Macky tienne donc ses promesses à la lettre, à défaut, qu’il rende le tabler, tout de suite et sans conditions !
Que Macky Sall, le coupable, l’incapable notoire, ou « l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique, le symbole maléfique, apocalyptique », représentant du cheval marron- franc-maçonnique, revienne à de meilleurs sentiments pour corriger le tir. Qu’il prenne son courage à deux mains et doit s’exprimer clairement sur le référendum populaire, prévu en mai 2016. Le peuple sénégalais libre et indépendant, exerce pleinement sa souveraineté par ses messagers. Et sur ce plan-là, l’article 27 de la constitution stipule sans équivoque, que la réduction du mandat présidentiel ne peut se faire que voie référendaire.
A défaut et si par extraordinaire, le Reich sénégalais, en miniature, continue de tergiverser ou de trainer les pieds sur la question qui fâche, le peuple sénégalais aura donc toute la latitude et la légitime défense d’en tirer toutes les conséquences et le destituer, le juger pour haute trahison manifeste contre les intérêts du peuple sénégalais légitimes, nationaux et inaliénables. Entre la liberté et l’esclavage, il n’ya point de choix.
Alors, tous debout contre la soldatesque despotique et l’absolutiste des pègres coalisés, en bande organisée ! Nul n’a le droit de se compromettre au risque de trahir sa conscience par le silence coupable.
Avec ou sans autorisation, pour une marche programmée à date échue, après la fin du mois béni, le ramadan. « Boudara sed, na lep tang jêp »- tout doit être chaud jusqu’à la victoire du peuple ! Ne jamais reporter ce qui est possible maintenant ! Battre le fer tant qu’il est chaud, c’est la règle. !

Tous debout contre l’impunité ! Le droit inaliénable de marcher n’est pas négociable, sous aucun prix.
Les manifestations inscrites dans la constitution ne peuvent servir de délits d’opinons ou de troubles à l’ordre publique. S’il y a quelqu’un qui trouble l’ordre public, c’est bien Macky Sall.
Marcher et battre le macadam le jour J avec un Grand « J ». Que tous ceux qui le désirent, le fassent massivement ! A ce moment là, personne, ni rien, ne pourra arrêter les bras d’acier de la révolution populaire d’un peuple déterminé, prêt à en découdre avec des traitres de référence. Car le rapport de force changera de camp, à coup sûr, ce jour-là, inch allah. Ce sera la voix du peuple, qui aura le dernier mot pour imprimer sa marque indélébile contre un cartel mafieux qui ne s’encombre, outre mesure, d’aucune moralité palpable.

Ahmadou Diop, leader CPC

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page