La Face Cachée de la Démission de Mugabe \Démocratie Des Coups de Canon et la cohorte des tyrans, fantoches, Mercenaires Autocrates en Afrique. Par Ahmadou Diop.
Tout d’abord, soyons clairs ! Et disons les choses telles qu’elles sont, car la faillite de l’Afrique des Tyrans Comploteurs abrutis, mercenaires, Autocrates marche sur la tête, qu’on le veuille ou non.
Avant tout, parlons donc du totem sommet colonial, ou la comédie des tyrans dans laquelle chacun d’eux, à tour de rôle, l’organise en grande pompe avec l’argent des contribuables africains, pour se faire se remarquer piteusement et pour plaire, ainsi, à leurs maîtres blancs, à dessein de couvrir leurs forfaitures imprescriptibles.
Pour rappel, après les élections présidentielles de 2010 en Côte d’ivoire, la république du Golf, dirigée par Alassane Ouattara, qui est aux attaches des médias propagandistes et du colonialisme, avaient savamment mis en scène une femme morte, abattue, soi-disant abattue par les forces de Laurent GBAGBO.
Mais surprise de taille, un Caméraman amateur découvrit la combine, montre la jeune qui s’était levée et parlait. Un comble d’un mensonge grossier, comme tout le reste.
À 20 heures, cette vidéo qui faisait la une disparaissait dans les radars des mêmes médias.
Cela étant, revenons donc au Sénégal de 2012, qui jusqu‘ici, demeure toujours, le laboratoire des méthodes fascistes à la Macky Sall.
Malgré son apparence trompe-l’œil, le dialogueur de piètre, est par essence donc le mercenaire international attitré, s’érige le chef de service des capitulards africains, sous le parrainage tacite de ses propriétaires, n’agit que pour la cause et les faits du colonialisme à tout vent. Que faire alors avec le dialogue d’un imposteur, pendant qu’il continue son coup d’état permanent par des braquages électoraux et ce sur la léthargie de nous tous, qui sommes coupables jusqu’à la lie ?
Le despote élague, cisaille, réduit une par une à sa plus simple expression toute l’opposition, en éliminant par devers et contre tous, toute critique légale contre des libertés fondamentales de conscience. Dans ces conditions, nous n’avons qu’un choix pour le destituer, par le rapport de force qui doit changer de camp.
La seule alternative possible, qui vaille, c’est de déboulonner le foutoir –imposteur- fraudeur, fauteur de trouble à l’ordre public ! À quoi sert l’esclandre dialogue d’un imposteur, né ? C’est une chimère
Tout dictateur, qui prône le dialogue, est par définition un professionnel faussaire- voleur- menteur, profanateur né, en puissance. C’est le cas du tyran encombrant, en place en chair et en os et dans toute Afrique des nègres de service despotes chevaleresques, tortionnaires. Plus personne ne peut l’ignorer, à moins qu’il soit de mauvaise foi, naïf, ou inconscient.
Je ne cesse de le répéter et continue dans ce sens. On ne peut prétendre dialoguer et en emprisonnant en même temps à tout vent et par n’importe quel prétexte farfelu, bidon et à la pelle, tous ses adversaires politiques, immédiats. C’est un contre sens et un excès de zèle, sur fond de lâcheté. Selon mon intime conviction, tout pouvoir abusif, pour être charismatique, contrôle, musèle, la presse, est totalitaire, par définition.
D’autre part, la prétendue aide à la presse est confiscatoire à la démocratie, en ce qu’elle fausse totalement le traitement objectif des informations et la qualité des idées, En vérité, la dépendance financière politique de la presse constitue réellement une véritable menace à la démocratie, puisqu’elle profite à celui qui l’attribue, en attend quelque chose en retour. Celui qui contrôle la presse, contrôle tout le pays. C’est ma conviction.
Nous les africains, sommes-nous alors des peuples à part et des êtres incapables, face à la logique des traitres, qui nous enquiquinent, agissent plus forts que nous. Lesquels étrangement apparaissent plus coriaces et plus futés que nous ? Le vrai dialogue politique, c’est de nous réunir, pour faire corps et cause commune par un bloc monolithique, pour en finir avec le traitre et le déloger définitivement par l’action matérielle, et sans coup férir, pour l’emmener à rebeuss, son Guantanamo. Sa place n’est plus au palais. Il faut le dire tout haut et à voix audible, l’écrire de marbre. Nous n’avons au sommet de l’état un patriote, mais un larbin, qui le prouve constamment et quotidiennement sur le terrain du crime.
Mais comment faire lorsque l’armée nationale, la police et la gendarme sont sous la botte des tortionnaires ?
Les populations africaines ont en commun le même adn qui les unit toutes à l’échelle continentale africaine, applaudissent machinalement et mécaniquement leurs propres bourreaux, sans le savoir; creusent elles mêmes leurs propres tombes, pour y être enterrées le plus remarquablement et dans le silence absolu du monde, pis encore, pour ne rien arranger, dansent comme des schizophrènes à la place publique, donnent elles-mêmes librement les armes à ceux qui les tuent, les exterminent à jamais.
Voilà le spectacle mortifère, surréaliste auquel nous assistons sans répit ! Qui rira bien, pleurera, demain,n’est-ce pas ?
Plus on les tue, les aligne comme des gibiers, pour les parquer, telles des bêtes de somme, plus elles s’accrochent comme des teignes à leurs sanguinaires, génocidaires, buveurs de sang.
Autrement dit, en Afrique, la trahison est source de bénédiction, à contrario le patriotisme et le panafricanisme sont source désunion consensuelle, généralisée. Puisque ce qui les désunit est supérieur à ce qui les unit, en ce sens que le cartel monstrueux unifié des félons unifiés, ont beaucoup plus de tonalité face à la majorité désagrégée, de fond en comble.
Voilà le constat amer qui explique la dégringolade de l’Afrique et son exclusion dans la mémoire mondiale !
En occident, leurs citoyens défendent leurs propres intérêts bec et ongles, finissent par triompher toujours, lorsque leurs acquis sont menacés et quels que soient le vacarme des médias et les positions diverses des uns et des autres, tandis que malheureusement chez nous, partout en Afrique, le simulacre de changement, ou l’éternel foutoir cataclysmique prend le dessus sur commande des agitateurs, vainqueurs, ont toujours le dernier mot , face aux peuples, farandoles , enfarinés, abdiquent et crachent sur leurs intérêts, que l’on manipule aisément par le truchement des médias serviles, mercenaires.
Le tyran versatile, détient le score et la palme par ses insultes contre les marabouts et les sénégalais, dont il dit qu’ils n’aiment ni la vérité, ni la rigueur, ni la transparence.
L’archétype va encore beaucoup plus loin, traite de façon indécente les marabouts de citoyens ordinaires, mieux, selon lui son esprit étriqué, – parce que sa vision ne dépasse pas le bout de nez- les hommes de chapelets ne peuvent développer ce pays. Curieusement, l’homme qui n’a jamais respecté d’un iota, sa parole, s’adjuge la qualité d’un président normal aux yeux de la communauté internationale, présumée d’opinions et de rois à la place de nous, le sénégalais bon teint.
Le premier insulteur de la république ethnique, du haut de son ignorance, souille imam Ndao et l’accuse de terroriste, pour salir sa mémoire. Depuis le prêcheur de la bonne parole croupit dans les geôles du tyran, sans que l’accusateur puisse étayer les preuves matérielles contre l’homme de chapelet.
L’Afrique des mercenaires -foutoirs de référence, recule plus qu’elle n’avance en terme de démocratie et de progrès économiques. Ce l’on croyait révolu, éculé, revient toujours en surface. Un pas en avant, un pas en arrière. Voilà donc le socle éternel rituel recommencement, ou la malédiction pathologique qui s’abat inexorablement , pleut sans répit et irréversiblement sur le continent, est considéré à , comme la tanière et le repère de toutes les dérives exponentielles, exceptionnelles des activistes, arrivistes guignols. Lesquels se convertissent tous en lamentables imposteurs, déclarés à la face du monde. Plus ils trahissent, plus ils sont bénis.
En Afrique, rien n’y fait, puisque la course au pouvoir par la Démocratie Des Coups de Canon des Fantoches Autocrates, plombe son développement et son avenir plus sombre que la nuit, pour le malheur des populations qui perdent plus qu’elles ne gagnent dans le règne des délateurs, coalisés en bande organisée.
Les uns arrivent au pouvoir par les coups de canon, soi-disant pour rétablir la démocratie, la justice sociale, la croissance économique, ou l’émergence coloniale et dans le secret des dieux.
Et les autres accèdent par le truchement du suffrage universaliste, mais s’y maintiennent, en empruntant des mécanismes douteux, fascistes, réduisent en charpie leurs adversaires qui leur font de l’ombre. C’est le cas du tyran sénégalais, l’homme des parades décousues par saccades, et dont les promesses électorales ne valent pas un sou, parce qu’elles sont synonymes de mensonges funestes.
Qui veut aller loin, ménage sa monture. Et le faussaire, menteur, voleur, taciturne, en puissance se découvrira tôt ou tard, quand ce sera trop tard. C’est devenu un secret de polichinelle à l’échelle continentale africaine.
Telle est l’insoluble équation à la quelle s’affronte inlassablement le continent de la décadence va de plus en plus en pis. En Afrique des ténèbres, deux types de catégories s’opposent : les géniteurs et ses dévoreurs, guetteurs, finissent nécessairement par s’affronter à la place publique dans un duel sans merci, en faveur du bélier, nourri, sévit immanquablement contre son bienfaiteur.
Au Congo Brazzaville, Denis sasoou, Nguessou reste plus que jamais au pouvoir depuis plus de trente ans. Au Cameroun, le grabataire, Paul Biya, est toujours en exerce, sans qu’il s’inquiété outre mesure. Même chose pour Ali Bongo II au Gabon, au Togo, et la dynastie de père en fils d’Eyadema tient mordicus, malgré les contestations cataclysmiques de toute l’opposition réunie.
Quant à Pierre Nkurunziza, qui a brigué un 3e mandat illégal, reste à la tête du Burundi, nonobstant les crimes contre l’humanité, dont il est accusé
Kabila, lui aussi est en place, ne compte pas organiser des élections, pour rigueur financière, comme bandoulière.
Car les premiers en ont toujours pour leur grade- sont traités d’absolutistes impitoyables; tandis que de l’autre côté, leurs proches collaborateurs hypocrites, apparaissent longtemps silencieux, ne montrent en réalité qu’une fidélité d’apparence, auront le dernier mot contre « leurs créateurs » par les coups de coups de canon, à un moment ou à un autre, s’accrochent comme une teigne au pouvoir, grâce aux accords de défense, qui comportent des clauses secrètes.
Les mercenaires militaires et leurs acolytes , soi-disant des élites africaines, se travestissent en nègres de service, qui ont cheminé pendant de longues années avec leurs géniteurs, sont bien pires que leurs devanciers, passent leur sale temps à défaire indignement la voie salutaire de ces derniers, sous le prétexte fallacieux, mensonger cousu de fil blanc, ne vise qu’à mettre les économies respectives de leurs propres pays sous tutelle coloniale, qu’ils pillent, livrent et transvasent à l’expansionnisme ; pendant que les populations, hélas, trinquent, trépassent, meurent de faim et vivent dans la misère chronique en pis, attendent des lendemains plus dures que jamais.
La Face Cachée de la Démission de Mugabe et ses zones d’ombre.
L’illusion éternelle pour croire à un faux espoir au Zimbabwe est bien à l’image de ce qui se passe ailleurs en Afrique des félons – car les zimbabwéens – dont 90% sont au chômage , qui sursautent tels des malades déchanteront vite demain, quand ce sera trop- parce qu’aveuglés par un faussaire et sa clique- dont l’auteur du coup d’état- constantino- ne qu’une cherche une bouée de sauvetage en Europe et aux Etats-Unis, où sa bande de défroqués , sont déclarés persona non grata, pour avoir exproprié les terres aux blancs les redistribuer aux natifs – voilà le deal et les gages dans le secret des dieux qui justifie l’injustifiable au Zimbabwe, sous le prétexte fallacieux de l’âge de Mugabé, ou les turpitudes de Grace – le blanc filou crée des rivalités – les exploite dans le silence absolu – clive tout le monde- soi-disant pour promouvoir la démocratie et la justice sociale. C’est un simple habillage cousu de fil blanc- sous le manteau de la ruse- mais la réalité est autre- mon œil !
Après, la côte d’ivoire, et les autres pays francophones, tous sont maintenant sur le peloton de l’hégémonie occidentale. Le Zimbabwe, jusque-là libre, souverain et indépendant, n’échappe plus à la règle, rejoint l’escarcelle internationale, impérialiste. Ses terres fertiles et ses ressources, tels diamant, l’or, le platine, pour ne ceux que ceux là, obligent.
La motion de censure est toujours à sens unique systématiquement, intervient toujours et suite à un coup d’état stricto sensu contre celui qui détient le pouvoir et en faveur de son subordonné. L’histoire le prouve avec Senghor contre Mamadou dia, qui fut le président du Conseil. Le général, Constantino de l’armée zimbabwéenne n’est pas neutre, est un mercenaire encagoulé. L’âge de Robert Mugabé et les turpitudes de sa femme constituent tout simplement des légèretés et des pirouettes cousues de fil blanc.
Au Zimbabwe, les nouvelles autorités putschistes n’ont pas révélé tout. Malheureusement, les populations enfarinées, embobinées, ignorent les manigances et les combines sur la démission de robert Mugabe. Apparemment, me semble-t-il, les choses ne sont pas ce que l’on croit comme une vérité éternelle et à tambour battant. Le départ du père de l’indépendance était conditionné par des avantages, puisqu’il aurait négocié sa démission, son immunité, et en échange de sa sécurité et celle de toute sa famille avec en prime, en particulier, sa femme, Grace Mugabé, et cerise sur le gâteau, un magot astronomique pour les deux, durant leur existence.
Pour parler de politique, il faut connaître les faits de l’histoire, pour procéder à des recoupements rationnels par des analyses en toute logique, et cerner les tenants et les aboutissants. Il n’y a rien d’autre.
Managagwa, l’autre putschiste, laquais, prône la nouvelle démocratie, la croissance économique et promet de réduire considérablement le chômage qui se situe à plus de 80 % chez les jeunes. Mon œil ! En sus, il compte indemniser les anciens colons, expropriés de leurs fermes. Ce qui corrobore mes propos que j’ai tenus dans l’émission » xew xewi rewmi » du mardi, 21 novembre 2017 : à savoir que le général Constantino Chiwenga, auteur du coup d’état est en entente cordiale avec son complice, Emmersonn Manangag, Tous les deux les font partie de la liste des officiels zimbabwéens, déclarés persona non grata dans l’union européenne et aux Etats-Unis. Un appel du pied et un clin d’œil à l’émergence coloniale, qui reviendra récupérer, dévorer toute l’économie zimbabwéenne.
Personnellement, objectivement, en mon intime conviction, je n’ai cru à la mise en scène de la motion de censure contre Mugabé, que les nouvelles autorités avaient brandie sur toute la planète entière.
La réalité est toute autre, contrairement à ce que l’on croit, ici ou là.
Le rapport de force est en faveur du héros, le résistant, qui s’est braqué jusqu’au bout. L’objectif s’était d’éviter sa résistance et celle de ses partisans et un bain de sang.
Zimbabwe : la démission de Robert Mugabe va lui rapporter (très) gros, selon les informations émanant de la part d’un membre haut placé du Zanu-PF, parti créé par Robert Mugabe et qui a participé aux négociations. La même source révèle que Mugabe et sa femme Grace, devraient toucher au moins 10 millions de dollars de la part du l’Etat zimbabwéen. Cette source bien informée, affirme que Robert Mugabe va recevoir dans les jours ou les semaines à venir 5 millions de dollars en cash. Mugabe a aussi réussi à négocier que l’Etat continue de payer son salaire de président, martèle cette même source. Ainsi, le père de l’indépendance, recevra également 150.000 dollars tous les mois jusqu’à sa mort, admet la même source, qui signe et persiste. Quand ce jour arrivera, sa femme Grace continuera à toucher la moitié de ce salaire, soit la coquette somme de 75.000 dollars.