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Le Résistant Sidy Lamine Niasse : l’homme d’honneur à la pointe de tous les combats nobles ! Par Ahmadou Diop CPC

macky diouf-wade senghor-sidy lamine niasse-le resistantDe Senghor, Diouf, en passant Abdoulaye wade jusqu’à Macky Sall, Sidy Lamine Niasse, l’icône, le résistant, le philosophe, le journaliste, le croyant musulman, le maître de la géopolitique, fait partie de ceux qui ont marqué l’histoire du Sénégal.
Mais avant et pour mieux comprendre notre démarche éducatrice, commençons d’abord par parler de l’homme des éternelles paroles dédites et des pantalonnades exceptionnelles : le rappel pédagogique oblige, pour rafaîchir les mémoires, décryptons donc sans modération aucune les parades et des rapines du renégat, lequel fulminait le contraire de ce qu’il disait, 24 heures avant le cirque électoral , regettable du 25 mars 2012 au soir, le candidat Macky Sall s’était confié au micro de RFI, son principal médium préféré, idolâtré, outre atlantique et du côté de la Seine .
Le Secretaire Général de l’APR , autoproclamé le cheval de Troie de la rupture, parlait de ses divergences fondamentales majeures avec Abdoulaye Wade; notamment la convocation de son fils, Karim Wade par l’ Assemblée Nationale, pour l’auditer sur sa gestion présumée nébuleuse.
Quelques heures avant le second tour, le prétendu parangon du changement, parlant du régime d’Abdoulaye Wade auquel il était d’ailleurs un acteur principal pendant 8 ans, le qualifiait de dispendieux, de gaspillages, et d’investissements superflus.
Dans cette interview, Macky sall plaidait orbi et urbi, pour une gouvernance transparente et saine. Nous le sollicitons :
« Je suis pour une gouvernance plutôt sobre et efficace qui impacte le développement économique de notre pays et qui impacte également le développement social du Sénégal. »
« Si je suis élu, je vais consolider la démocratie »
« En outre, nous sommes différents dans la promotion de la démocratie. Moi, je ne vais pas compromettre la constitution et c’est pourquoi j’ai décidé, si je suis élu, de ne faire qu’un mandat de cinq ans au lieu de sept. J’aurai été élu pour sept ans. Nous voulons aller dans une nouvelle République où les institutions seront restaurées et respectées. La question du nombre de mandats et la durée va être fixée définitivement »
S’agissant de sa femme, Marième Faye, Macky Sall l’arrosait flatteusement, avec des flagorneries en ces  termes : « je n’ai pas trouvé du pétrole mais je t’ai trouvée ! »
Plus loin, le flibustier en mettait systèmatiquement des couches épaisses, comme il en a l’habitude :
D’ailleurs vous ne l’avez même pas vue pendant la campagne, parfois elle vient mais elle est dans le public, elle refuse d’ailleurs de se montrer, elle reste invisible ».
Le changeant sermone séchement que ce risque n’existe pas chez moi [Macky Sall] balaie d’un revers de main, lorsque le journaliste lui parle de dévolution monarchique. Une incongruité corrodante quand on examène les faits historiques têtus qui parlent d’eux-mêmes.
Les contradictions du candidat contrastent nettement avec les mensonges grotesques qu’il nous a bien garnis une fois qu’il a les manettes.
Qu’en est-il donc aujourd’hui ? Sa femme qui ne dispose d’aucun poste reconnu par la constitution, occupe le bureau de karim Wade à l’immeuble Tamaro, devient un guichet automatique, s’accapare de la RTS, qu’elle considére comme son entreprise unipersonnelle, familiale.
Étrangement aucun journaliste n’a osé lui rappeler ses promesses électorales qu’il a mises dans les calendes.
Comme vous le savez toujours, derriere un menteur professionnel se cache necessairement un voleur indecrottable.
Que vaut donc le brouhaha indescriptible, maquillé le dialogue politique de piétre qualité ? Les preuves matérielles sont là que personne ne peut nier sous aucun prétexte.
C’est donc un secret de polichinelle de dire que Macky Sall représente lui-même le produit nocif du Sénégal, puisqu’il est à la fois l’antithèse du patriotisme et du productivisme, quoique l’on puisse dire.
Tant que le nègre de services est sur les manettes, le Sénégal n’emergera jamais d’une once.
Alors. le syndrome du terrorisme sur commande autorise l’état policier ragaillardi, qui est soutenu tacitement par ceux qui nous oppriment toujours de restreint arrete kidnappe à tous vents de jours comme de nuit tout opposant reél ou supppsé délibrement les libertés fondamentales indispensables sous la barbe et au nez des impérialistes capitalistes qui pillent toutes les ressources du sénégal:pire encore. en vérité, les officines internationales tres pomptes à oudir des mecanismes savants de pillages organisés; alors quelles sont présumées comme étant des bouées de sauvetage asphyxient l’économie et paupérisent davatange les populations tombées des nues , qu’elles ne les aident, en réalité.
Depuis les indépendances de la dépendance, la platitude manifeste des élites serviles africaines de pacotille constituent un obstacle majeur pour la démocratie et le développement des 14 pays africains tous asservis, assujettis, tous tenus d’une main de fer la puissance coloniale, toujours omniprésente, continue de garanir le nazisme de la monnaie CFA, depuis 1945 par le gouvernement provisoire, qui fut dirigé par De Gaulle et ses proches collaboratteurs suprémacistes blancs.
Le Sénégal, nonobstant son apparence peu glorieuse, surtout sous Macky Sall, estampillé l’ archétypique valet des reculades et des renoncements, menteur professionnel, politique plus connu sous le nom baptisé « l’Envoyé Spécial Colonial et toute l’Afrique des nègres de services benis oui, sont tous plus jamais sur attaches de la françafrique, malgré les décharges des tenants des dénégations, selon lesquelles l’hydre mafieuse, versus mafiafrique, trouve portes closes.
Alors, maintenant, nous parlons d’un personnage charismatique, qu’on le veuille ou non il est téméraire. Il s’agit donc de Sidy Lamine Niasse, l’homme à la pointe de tous les combats justes et légitimes, le pdg du groupe walfajri, le poliyvalent attiré de la résistance contre la tyrannie par devers et par les actes immuables qu’il pose tous les jours et depuis des lustres !
Le serviteur plaide pour la cause et la justice sociale pour son franc- parler n’a jamais mangé dans tous les râteliers, n’a jamais demandé la pitance aux politicards véreux, tous engraissés et qui vivent de péchés, passent leur temps à se nourrir constamment sur l’epaule de la republique, agenoouillée, qu’ils pillent, en la considérant comme leur bien personnel, matériel. Sidy Lamine Niasse est un homme à part dans l’échiquier médiatico-politique, lequel est singulier, contrairement où foisonnent des arméees bouffonnnes qui tirent leur miel du jeu pour en faire leur gagne pain.
La manifestation du 19 mars 2011 par Sidy Lamine Niasse : un droit inscrit de marbre dans la constitution de 2001. Rappel : tous les médias et hommes politiques s’etataient levés comme un seul homme pour dénoncer une opération de liquidation du Groupe de presse (Walfadjri) qui dérange ».
En décembre 2013, Sidy Lamine Niass, arrêté par macky Sall pour outrages supposés aux institutions, alors que sous d’autres cieux, le faussaire défendait la démocratie et la constitution qu’il foule du pied aujourd’hui.
Le pdg soutienait mordicus détenir par devers  »des preuves d’enrichissement illicite » du président de la République, Macky Sall. La suite est connue. Sidy Lamine Niasse a été libéré grâce à l’intervention du Khalife le 27 décembre 2013, sur l’aval du chef de l’exécutif.
Sidy lamine Niasse; fulmine « J’ai combattu Senghor, il m’a mis en prison. J’’ai combattu Abdou Diouf, il m’a mis en prison. J’ai combattu Abdoulaye Wade, il m’a amené le fisc. Je suis en train de combattre Macky Sall, c’est pourquoi il veut me ruiner ».
De Senghor à Diouf en passant par Abdoulaye Wade et jusqu’à Macky Sall; tous n’ignorent point l’intransigeant Sidy Lamine Niasse, l’homme qui est toujours à la pointe du combat, reste fidele à lui-même et égal à lui-même par son éternelle vérité qui sonne comme des couperets, tels des coups de marteau.
Le solide inlassable, attiré des causes nobles a désormais marqué l’histoire du Sénégal, en laissant son empreinte digitale, tant sur le plan de la droiture que politique, pour une société égalitaire et démocratique. C’est donc un colosse et un homme d’honneur bien méritant qui a marqué son existence, quoique l’on puisse dire, qu’on l’accepte oui ou non.
S’il y a un homme dans le paysage médiatico-politique à féliciter sans tâche, c’est bien Sidy Lamine Niasse, l’homme de chapelet qui n’a jamais sa langue dans sa poche.
Il est libre est contant rigoureux et n’a jamais varié d’un pouce dans ses discours lapidaires contre tous les regimes qui se sont succédé jusqu’ici.
Il est donc par essence un homme de conviction de rigueur et de valeurs. Personne ne peut découvrir la moindre faiblesse de l’argent facile chez lui, pour acheter sa conscience solide. Le coriace a le sens de l’honneur. Il faut le lui reconnaitre par ses qualites remarquables et son courage qu’il ne cesse de marteler contre vents et marées. Il est entier « lekh bouko djéké doko modié » .C’est une patate chaude.
Sidy lamine Niasse est un gros calibre islamologue, un fin connaisseur sur l’islam et sur la chose publique; averti, lucide sur les questions de la stratége geopolitique internationale, sait de quoi il parle et pour cause, ne mache pas ses mots et le dit clairement tout haut avec un verbatim époustouflant.
Voilà donc un homme de liberté, percutant, audacieux, incorrigible qui a le verbe percutant par ses demonstrations magistrales et preuves à l’appui !
Le philosophe demeure plus que jamais un patriote rarissime à l’action et posséde la rhétorique imparable; indispensable. Bref, la figure emblématique est un redresseur des consciences, un croyant musulman, resistant coriace et tenace. L’admirable histoirien de haute qualité est doublé d’un professionnel de la déontologie exemplaire, journalistique, par opposition à Macky Sall, le fourbe, qui est par définition, un arriviste, automatiquement contre des imams, présumés djihadistes d’avance.

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