L’Etrange Opération de maintien : 53000 Diambars, un jouet du Terroriste, Mercenaire des Al-Saoud des pétrodollars et des puissances ? Par Ahmadou Diop.
Récemment, le réseau international titrait » la Cour pénale, un jouet aux mains des puissants » ? La grande muette locale s’inscrit-elle dans cette logique ?
L’Etrange Opération de maintien : 53000 diambars, un jouet du Terroriste, Mercenaire des Al-Saoud des pétrodollars et des puissances ?
Que vient faire notre armée nationale dans une guerre yéminito-saoudiennne, qui obéit aux entournures hégémoniques d’une dynastie, créée de toute pièce par les mêmes puissances?
En échange des pétrodollars saoudiens, qui vont pleuvoir et constituer chez le nègre de service un magot, un butin colossal une arme de guerre-adukalpé- maquillé forxarci waat- keufeuti- diay doley lâchement, pour alimenter une campagne électorale déloyalement décousue.
Et la Grande Muette baptisée – les hauts gradés officiers supérieurs se régaleront financièrement davantage. À contrario, les soldats contenteront des miettes qu’on veuille bien leur donner. Et la caravane passe ! Telle est la conception de la démocratie en bande organisée de certains nos officiers, sont parrainés par caniche mercenaire, emmitouflé, le pion – qui joue sur piano américano saoudo français
Le voyou, terroriste, l’iconoclaste Casseur du Siècle au Sénégal avec ses casseroles nombreuses et ses braquages électoraux permanents, inverse les rôles, réquisitionne sa justice docile aux ordres , se met au pas , mais le traitre lui, focalisera sa thématique campagne électorale sur le terrorisme invisible au Sénégal, alors que notre pays en est totalement dégagé sur toute la ligne.
En même temps que les procès politiques continuent sans trêve, sous des soubassements présumés judiciaires comme en arrière-plan, à mesure que les élections présidentielles obligent, qui s’annoncent en perspective à l’horizon, 2019, de façon commettante et dans le secret des dieux, des terroristes imaginaires, s’y ajoutent, pour pimenter la sauce.
Le planificateur des rapines politiques, annonce et le tempo et la couleur, condamne le sieur Ibrahima Ly, à 15 ans de prison ferme, pour des faits soi-disant liés au terrorisme, selon l’article laconique, bidonné des médias de la servilité qui se contentent de ce que l’on leur dicte.
Évidemment l’épée de Damoclès veuille qu’on ne commente nullement les décisions de la justice aux ordres. Ce qui autorise les dérives du pouvoir tortionnaire et ses valets tous accroupis.
Mais le pantin, qui n’y va plus avec le dos de la cuillère, qui est fidèle à lui-même s’autorise par devers , sévit hystériquement à commenter dangereusement par ses litanies abjectes le comportement négatif des sénégalais et des hommes de chapelet, qu’il écrabouille à tout vent, ouvertement, les insulte, en les traitant de tous les noms d’oiseau. Ce qui est fort de fort quand même cocasse
En terme clair, pour le traitre en chair et en os, son pouvoir totalitaire apocalyptique et celui de « ses doungourous « sont plus sacrés que celui du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, apparaît nettement inférieur à eux
Mais quels sont donc les faits établis contre Ibrahima Ly ? Mais bizarrement, nous restons sur notre faim, car l’affluence surabondante, nauséabonde ne nous renseigne pas éloquemment, ne nous éclaire pas sur la réalité des faits cryptés. Silence radio. On ne nous raconte pas les faits accablants avec des preuves matérielles concordantes, pouvant corroborer les accusations du condamné. Apparemment, comme d’habitude, seuls comptent les suppositions et les conjectures suffisent à par des non-dits. Bouche et motus cousue. L’imam Ndao, qui est accusé de terrorisme, risque de subir la même fatwa et le même sort.
L’armée nationale : un drôle de devoir de réserve est-il synonyme de patriotisme ?
Avant de secourir les autres qui sont détresse, faudrait-il que l’armée dite républicaine » nettoie d’abord chez elle « , face à la tyrannie du pouvoir ethnique encensée » Nédo ko bandoum », qui n’a que trop duré ?
L’armée nationale compte plus 30 de hauts gradés supérieurs sont les plus gratifiés au monde, dans notre pays qui détient le bonnet d’âne sur le plan de la démocratie, de la liberté d’expression et en termes de progrès économiques, financiers et des libertés fondamentales de consciences ? Une curiosité affligeante !
En tant que citoyens libres en à part entière, nous pensons que la vocation de l’armée nationale, républicaine dans un état régalien, c’est de garantir la sécurité du pays, des personnes, des biens, son espace aérien et terrestre, mais lorsqu’un personnage, fût-il un président de la république, présumé, ne respecte jamais les raisons pour lesquelles il a été élu, bafoue de facto, la liberté d’expression , qui est le premier droit inaliénable du peuple souverain, libre et indépendant, agit devant le nez et à la barbe de l’armée dite républicaine, laquelle reste apparemment passive, sous le prétexte d’une prétendue neutralité, le devoir de réserve perd automatiquement son sens. Dans cette condition, il appartient à chacun d’en faire sa propre lecture.
La stratégie machiavélique politique n’est –elle pas de nature à engraisser financièrement les éléments les plus fidèles, les plus dociles, les plus contrôlables, qui consistent à leur confier des missions à l’extérieur avec les deniers de l’état, en sus des pétrodollars , engendrés par le mercenariat international, si bien, ils s’intéressent moins à ce qui se passe à l’intérieur du pays ?
Depuis 1962, date à la quelle l’ancien président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor, a opéré savamment un coup d’état et instauré le régime présidentiel, illégal, juridiquement contre le président du Conseil, en l’occurrence, Mamadou Dia, la Grande Muette sévit de plus que jamais, surtout à l’événement tristement célébrissime du médiocre , dont le magistère bancal, détient le record des dérives cataclysmiques jamais égalées, que nous ayons connues jusqu’ici.
Pendant que le dictateur fourbe par sa lâcheté, brave tout le pays, interdit tout et automatiquement toute manifestation légale autorisée par la constitution , et ceci sous le fallacieux prétexte de trouble à l’ordre public, s’en prend à toute l’opposition, s’en fout de tout, brise toutes les libertés fondamentales de conscience, « castre à tout vent toute capacité de résistance », fait sa propre loi tyrannique, imprime sa marque totalitaire, qu’il institutionnalise à travers la soldatesque de sa justice politique , qui se cramponne dans on rôle d’ auxiliaires de service, brossés, traque , chasse toute contradiction politique, au nom de Maaatey, comme système de gouvernance » Nédo ko Bandoum «
Que nenni. Depuis le 25 mars 2012, Derrière un scoop, se cachent toujours d’autres à l’infini. Le discoureur lapidaire, mercenaire, pétri en chair, et en os, revient constamment en surface. Un refrain chez le nègre de service ne rate jamais l’occasion pour en remettre d’autres couches épaisses, tant qu’il sera nécessaire.
Décidément, chaque 31 décembre et chaque 3 avril avec son lot de fadaises s’empilent les unes après les autres. Décidément, ko wax Feñ ko dieuf, Feñ, qui agit, parle, s’expose et se découvre à la place publique.
Cela voudrait-il dire que nos soldats soient pris pour des jouets, pour être confinés exclusivement que dans leur rôle de missions tout azimut , pour n’importe sale boulot à l’échelle planétaire internationale, qu’on leur demande de faire ?
53000 diambars envoyés dans le monde. Un tel mensonge nous paraît si grossier. L’ineptie s’apparente à une bassesse est si frappante, lourde, si grave, flagrante qu’elle n’a échappé à personne ; qu’elle ne passe pas inaperçue, qu’elle saute forcément à l’œil nu dans les n esprits fertiles et alertes.
Evidemment dans un pays où la majorité des citoyens ne comprennent pas, ne savent pas lire la langue officielle de domination étrangère, tout est permis. Evidemment, au royaume des aveugles les borgnes sont rois. C’est la reproduction instantanée, identique à celle de Goebbels.
Plus c’est gros, plus ça passe comme une lettre à la poste. C’est la règle ubiquitaire du despote encombrant.
Toute contestation dans la République de la tyrannie et des mensonges politiques, devient source d’offenses, propos désobligeants, conduira immédiatement son auteur en prison.
Voter ou ne pas voter, le planificateur à déjà écrit d’avance le scénario, face à la grande muette qui se confine dans des Opérations de maintien dans le monde.
Le plus Grand Voleur du Siècle au Sénégal.
La Com` de la Fondation bidon » Servir le Sénégal » ou pour Asservir le Sénégal, un vaste foutoir gigantesque de l’escroquerie familiale à l’ethno centralisme débridé – devient la référence de l’Idiocratie d’un Culte de la Médiocrité affligeante et des charniers de mensonges cousus de fil blanc des voleurs en bande organisée, face au nez et à la barbe de la justice au garde-à-vous. Circulez, il n’y a rien à voir !
Comme tout tyran de son espèce, celui qui est au sommet de l’état sénégalais, s’arroge le seul justicier. L’injustice est son ADN, demeure sa marque de fabrique.
La médiocrité des élites fantoches sert de référence de promotion sociale en Afrique des guignols à l’échelle supranationale. Plus le mercenaire ment, plus il est heureux, plus il se porte bien, plus il est dans ses gonds, plus il en rajoute des inepties incommensurables à la pelle.
Celui qui est au sommet de l’état sénégalais n’aime pas la vérité, mais propre vérité, car la vraie lui est totalement réfractaire. Il ne déviera jamais de sa trajectoire totalitaire, il fait ce qu’il veut, tant qu’il n’y aura pas une force supérieure en face de lui pour l’arrêter.
La misère sociale endémique ne compte pas, il n’en a cure et rien à cirer, ce qui compte pour lui, c’est son pouvoir, car et il fera tout son possible pour le garder, en utilisant la force.
Pour lui promettre, mentir, se décharger et se défausser comme félon, digne de son rang. Dans l’hypothèse incongrue où nous réitérerons encore son mandant présidentiel en mars 2019, il proposera encore un référendum pour briguer un troisième, ou quatrième , comme il l’avait déjà fait lors de la parodie référendaire Deum en mars 2016, qui est passé comme une lettre à la poste.
Face au péril du Berger Colonial des Al-Saoud Ak SAM KATU JARIÑU TUBAB YI- nous devons tous agir ensemble. C’est ,la seule solution qui vaille pour endiguer le mal endémique, pour terminer le bon boulot, et qu’il faille même utiliser la force populaire, à l’instar des hommes intègres.
À défaut notre régression et nos éternelles déconvenues iront toujours en pis. A quoi sert de réélire un impénitent qui ne veut rien entendre ? Nous perdons beaucoup plus que nous gagnerons,. Concentrons tous nos efforts sur l’essentiel pour en finir avec l’escroc, par des tirs groupés sur celui qui est désigné l’ennemi public, le va-t-en guerre de l’immoralité.
L’imposteur, manipulateur, mythomane, déclaré-non éclairé, se déchaîne, élague, cisaille fait vent debout contre tous ses opposants, veut sauver à tout prix ses propres forfaitures, dont il est l’unique coupable devant l’histoire. Il sait ce qui l’attendra, demain, en cas de défaite électorale, lors des prochains cirques électoraux de 2019.
Face à l’étrange boucanier, imposteur, fasciste, qui s’est dangereusement métamorphosé en presdigitateur, pickpocket multimilliardaire des ténèbres des postes de Nominations –Tan Sa Bula Nex et par des raccourcis politiques, déclare honteusement , le 20 avril 2012, posséder un patrimoine gigantesque, estimé à 8 Mrds F CFA, qu’il a dû rabaisser, via le Conseil Anti- constitutionnel, lequel se complaît dans son rôle de garde chiourme, laisse passer la pilule amère. De combien de Mrds dispose t-il donc dans ses nombreux comptes bancaires, qu’il a ouverts et planqués dans les paradis fiscaux et à l’abri des regards indiscrets ?
Un tel patrimoine est-il synonyme d’éthique et d’équité ? Certainement pas. Après presque 7 ans de la junte népotique Made » Nédo ko bandoum », à combien s’élève donc la fortune de la république familiale ?
L’inimitable caractériel nègre de service, qui le prouve dans ses actions matérielles sur le terrain du crime, est pire que celui d’un crocodile déviant.
Croire qu’il va se repentir et mettre de l’eau dans son bissap pour corriger son tir, relève d’une illusion monumentale. » limu néké tam ko nex nako dji nako kon do ko bayi « – en terme clair, l’attitude expectative, majoritairement généralisée des sénégalais qui sont divisés sur ses dérives exponentielles, constituent pour lui son porte- bonheur, un talisman imparable.
Le capricieux ne change pas son fusil d’épaule ne changera jamais et ne risque pas de l’être. Telle une drogue, le machiavel, incorrigible, l’obsédé, du haut de son ignorance patente, est un accroc aux mensonges, ne peut s’en dépatouiller.
C’est une fixation mortifère pathologique, une vitamine stimulante chez lui. La fin justifie les moyens, peu importent qu’ils soient, abjects, seul le compte le résultat pour arriver à ses fins de bas étages.
Sa conscience abîmée en lambeau, vaccinée, est mentalement psychologiquement bien préparée pour faire les sales boulots.
Malheureusement son ex mentor, étourdi, qui fut candide, se croyait à l’abri de tout – est devenu son principal ennemi aujourd’hui, ne se doutait de rien, ne voyait rien venir.
L’abruti, le teigneux, agit sans remords, ni scrupules. Toute idée de moralité ou d’empathie minime soit elle, lui est étrangère. Sa justice de parodie, déviante, instrumentalisée de carpette obéit promptement, mécaniquement au doigt et à son œil du Bougre Caniche de l’Occident, ne rend pas son verdict au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, mais sur commande abusive, abjecte de son envoyeur d’en haut, lequel se donne une respectabilité de pacotille derrière les grilles d’un palais apparenté colonial.
C’est quoi un crime ? C’est ôter la vie à autrui. Depuis le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012, le faussaire né, voleur, déclenche par l’entregent de ses ustensiles cuisine toute procédure punitive à l’encontre de tout adversaire politique réel ou supposé, tendant à lui donner en bandoulière un caractère prétendument judiciaire, est aussi grave qu’un crime.
Voilà la tâche à laquelle s’accommode piteusement la justice de la Stasi en place, qui selon elle, toute voix discordante des opinions libres devient de facto un délit d’opinion, passible d’un mandat de dépôt et de façon presto illico. Alors, la justice hors-la loi labellise, bénit sa loi au nom de l’arbitraire et de la tyrannie sur fond des règlements de compte, devient un danger public.
Il faudrait que cette justice de la débauche sache qu’elle rendra tôt ou tard des comptes au peuple , quand demain fera jour, à moins qu’elle croie que l’impunité de celui qui la porte sur son dos.
est éternelle, surhumaine et invincible. Ce qui résulte d’un mépris affiché à l’encontre du peuple, qu’elle ne cesse d’outrager.
Quoique l’on puisse dire, « pour que le mal triomphe, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien, disait le politique, philosophe, irlandais, Edmund Burke. »
Comment un flibustier peut-il être plus fort que ceux qui l’ont élu à défaut et par dépit ? Nous marchons bien sur la tète et c’est malheureux ! Ou sommes alors des incapables qui le prouvent ? La question se pose.
Ce qui nous divise est supérieur à ce qui nous unit. Nous sommes tous coupables par notre léthargie congénitale, face à la brutalité d’un larbin inculte.
Le maître d’œuvre des coups d’état permanents, des crimes financiers , qui viole systématiquement toutes les libertés fondamentales de conscience, foule du pied , tut la démocratie, n’a jamais de parole, du haut de sa carence et de son arrogance pathologiques en putréfaction, constitue la première cible principale à laquelle l’urgence absolue nous commande de le destituer bruyamment, engageant contre lui des poursuites judiciaires et le placer immédiatement en mandat de dépôt et l’emmener à rebeuss menottes aux poignets par sa lâcheté dégoulinante
Ce qui est sûr et certain, c’est que le Casseur du Siècle au Sénégal, est assis sur magot qui fait froid au dos, donne la chair de poule et des vertiges.
Pourtant, c’est cet homme, qui s’est lamentablement converti chapardeur dans l’âme, a le culot de se dédouaner de tout , s’arroge l’outrecuidance de donner des leçons de moralité à ses concurrents, qu’il réduit au silence et dans sa plus simple expression, par le truchement de sa bande d’ouailles, qui sont toutes devenues aussi goinfrées miraculeusement.