L’Immoralité Politique Familiale À la MackySallienne\ Ousmane Tanor Dieng. [Par Ahmadou Diop]
Depuis le 25 mars au soir, jusqu’à nos jours, sévit DaGAsanté- ou le déballage entre les alliés de circonstance qui se regardent, se déchirent en chiens de faïence à la place publique, le despote de premier plan , donneur de leçons oublie son immoralité politique au cœur de la république.
Chassez le naturel, il revient au galop. Ousmane Tanor Dieng, le renégat introverti, s’érige effroyablement en l’homme des casseroles imprescriptibles, s’est transmué lamentablement en éternel recalé, pour avoir à sa guise une gente féminine, dotée de formes voluptueuses, pipeuses même, ne s’est jamais gêné, outre mesure, paraît-il, à les appâter par des moyens peu orthodoxes- lisez entre les lignes- n’a jamais émergé politiquement, ni de près, ni de loin, ni rien gagné de lui-même en terme de valeur ajoutée, partagée par la majorité des sénégalais réunis, tourne et crache à sa propre écurie, préfère indignement s’engraisser tout seul par son égoïsme inné, s’est soumis piteusement à la place publique et au grand jour, pour s’aligner sur la bassesse du régime ethnique de capharnaüm ; dont l’ignominie par sa trajectoire obliquée, constitue un un secret de polichinelles.
Cela nous paraît indigne, incohérent, de la part d’un homme présumé publique, surtout lorsqu’il s’agit des affaires de la cité. ceci nous ne surprend guère dans une république estampillée d’une bande de fripouilles et de chiffonniers , tous devenus des défroqués, détestables, qui s’abreuvent de péchés insurmontables, curieusement brandissent la qualité de croyants musulman, s’enveloppent de Sabador-Daka Ndé- frou-frou, avec chapelets en bandoulière, croient pouvoir tromper le bon dieu – mon œil !
À l’instar du parti socialiste, l’archétype, macky sall , le symbole de l’escroquerie, qui est arrivé au pouvoir par effraction, pour arriver à ses fins, l’inimitable coupable désigné, l’ennemi public N°1, dépoussière, ourdit le même plan diabolique et emprunte les vieux schémas décriés, décousus d’antan, tendant à garder le pouvoir par la ruse, pour régner autant que le parti socialiste comme le fut qui monopolisa la démocratie et gouverna quarante ans d’une main de fer le pouvoir absolu sans partage.
À la différence des assassinats massifs par suicides, qui ont marqué le régime scandaleux de Senghor et de son successeur, Abdou Diouf, le disciple, utilise immanquablement d’autres subterfuges plus soft, imparables, pour
La Sénégalitude et non à l’immoralité politique Familiale : Macky Sall – Aliou Sall et Cie !
Patatras, en vérité, de la négritude Senghorienne, dite la plus grande escroquerie politique en passant par Abdou Diouf, le mercenaire docile de la francophonie, jusqu’à l’affaire khalifa SALL, orchestrée par Ousmane Tanor Dieng, le prédateur, qui reprend du service sous l’aval du nègre- valet de service clos. Le huis clos continue pour tuer toute capacité de résistance et toute contradiction à la senghorienne.
Senghor, qui régna 20 ans, sans partage, s’était servi de la nègritude, pour asseoir et instaurer le régime présidentiel totalitaire, sans qu’il eût besoin de passer un quelconque référendum populaire, contre Mamadou dia, le président du conseil qu’il accusa de coup d’état. le 1 janvier 1981, son poulain, dauphin, Abdou Diouf, lui succéda par décret présidentiel et gouverna 19 ans durant , dont les crimes, les disparitions, ou les morts par suicides et par saccades, se multiplièrent à l’époque à et à l’infini, sans compter , les licenciements excessifs et les plans structurels de la banque mondiale et du fmi ont créé les conditions de sa chute en 2000.
Senghor, déclarait orbi et urbi, la colonisation est un mal nécessaire, allant jusqu’à dire qu’il avait une faiblesse pour la France. Le successeur d’Abdoulaye Wade lui emboite le pas, déclare hystériquement que la monnaie F CFA est bonne à garder. À Chacun son tempo, son Talisman pour plaire à l’ancien maître colonial qui est aujourd’hui plus que présent sur le terrain du crime, car le renforcement des entreprises françaises le prouve éloquemment.
Depuis mars 2012, le premier faussaire de la république ethnique s’inscrit donc parfaitement en droite ligne et dans la logique de ses maîtres à penser.
Malheureusement, dans notre pays, les traitres coalisés apparaissent plus puissants que jamais l’ensemble des 14 millions réunis sénégalais, se laissent dominer par la fatwa des mercenaires en bande organisée. Nous n’avons guère de justice impartiale-dioup– et Set– mais plutôt une justice farandole, qui marche tel un cheval bridé.
Le nègre de service et sa justice s’en prennent à bras raccourcis sur ses adversaires politiques, qu’ils tatouent, ferrent, pour les livrer, les traîner dans la boue et à la vindicte populaire, de sorte qu’ils soient des cobayes.
Pendant ce temps, son propre frère, le monstre, arriviste, loufoque, circule librement, continue de faire preuve de cynisme et de crime économique, financier, exponentiel, notamment sa prétendue part de marché illégale sur le pétrole de l’état sénégalais, occupe tous les plateaux et tord les bras des journalistes, se fait de façon récurrente, incongrue, sa publicité de pacotille, qui n’a pas sa raison.
On a combattu Mamadou Dia, Valdiodio Ndiaye et cie, et tuer Omar Blondin Diop que l’on assassiné par pendaison. Dés lors, on comprend pourquoi Cheikh Anta Diop, malgré sa faculté mentale exceptionnelle, n’a jamais été le président du Sénégal.
Pour rappel et pour rafraichir les esprits, 24 heures avant le deuxième tour des élections présidentielles du 25 mars 2012, sur le micro de Rfi, le menteur professionnel, ne comptait pas mettre sa famille dans les affaires de l’état, mais promettait également de consolider la constitution et renforcer la démocratie et les libertés fondamentales.
Pis encore, l’homme en mettait des couches épaisses, comme d’habitude, le 24 février 2014, lors d’une interview accordée à Rfi, en marge de cette réunion du Groupe consultatif à paris, fulminait, je le cite : « oui, j’ai déjà indiqué que j’avais l’intention de modifier la durée du mandat, de ramener le septennat à un quinquennat. Pour cela, j’ai décidé effectivement moi-même de m’appliquer cette réduction ».
Contrairement à ses promesses, le personnage des paroles dédites organise en mars 2016, une parodie référendaire dans laquelle il garde son mandat de 7 ans. Autrement dit, le foutoir de piètre qualité ne concerne pas son mandat.
1971 : le 24 février précisément, Boumédienne nationalise les entreprises pétrolières opérant en Algérie, malgré les menaces hystériques de l’ancien maître colonial, qui a fini par verser de l’eau dans son vin.
Hsamani Diori, l’auteur des fameux termes de l’échange, a été déposé le 15 avril 1974 par le lieutenant –colonel Seyni Kountché, épaulé par qui ? Sa femme a été assassinée le même jour. Car l’uranium est une manne exploitable pour une durée de 70 ans, nous-dit-on, mais en réalité, grâce aux technologies, il peut se prolonger encore pour une durée de 3 siècles.
Or, Macky Sall, fidèle à ses maîtres, prend le contre pied de l’Algérie et du président Hamani Diori, qui a été libéré en 1987 par Ali Saîbou, s’est refugié au Maroc jusqu’à sa mort le 23 avril 1989.
Macky Sall, Aliou Sall et toute sa famille immédiate, y compris tout son clan moribond, quoiqu’ils fassent, nous avons l’obligation de les poursuivre, les traquer tous jusque dans leurs repères, pour qu’ils rendent des comptes, en rendant les milliers de milliards de F CFA qu’ils ont volés, logés dans les comptes bancaires, ouverts à l’étranger et ici même sur le terrain du crime. Voilà la tâche prioritaire à laquelle nous devons nous atteler sans faiblesse d’aucune. Tout le reste n’est que mystification et couardise.
Que vaillent donc les cavalcades du tonitruant soi-disant édile, parachuté à Guédiawaye, ou l’inculte optimiste, arriviste, atypique, qui n’a rien à envier à son frangin avec qui il partage les puits d’indécences ? Celui-ci dispose bizarrement et inconsidérément de plusieurs charrettes de casquettes époustouflantes, décousues.
Les Compétences de caniveau et expériences bidon riment avec des connivences de piètre qualité chez le promoteur exceptionnel, maître du népotisme et de la gabegie tout azimut.
Si on avait une justice véritable libre, indépendante, impartiale et pérenne, Khalifa Sall, qui a été inculpé pour «association de malfaiteurs, détournement de deniers publics, escroquerie portant sur des deniers publics et faux et usage de faux», Macky sall, Aliou Sall, Marième Faye et toute sa famille, seraient non seulement les voisins immédiats du maire de Dakar, mais ces derniers croupiraient derrière les barreaux pour le reste de leurs vies.
Nous ne pouvons plus nous accommoder sur le régime le plus calamiteux, fasciste, qui est composé exclusivement d’une ribambelle de voyous, mercenaires, acariâtres, nerveux, presseur eux, tous unis, se croient immortels, surhumains et agissent en toute impunité envers et contre tous. C’est non, point barre.
C’est quoi donc la Sénégalitude, intrinsèque, selon notre conception de la démocratie et des libertés fondamentales ? C’est un ensemble de mesures conservatoires fondées à l’échelle de nos valeurs traditionnelles et à l’aune de notre civilisation, historique, pour que nous soyons libres et indépendants, si nous voulons construire notre propre destin sur des bases voulues.
Kon Jotna Seuk- il est temps et impératif que nous soyons tous debout contre la république tortionnaire et sa bande cartellisée. Comment pourrions accepter l’idée que des inconnus d’hier puisent écraser tout un peuple entier, comme s’ils ont droit de vie et de mort sur l’ensemble des citoyens qui semblent tous abdiquer sur toute la ligne, sans broncher un seul mot ?
Les héros nationaux historiques ne comprendraient pas les agissements scandaleux du nègre de service, asservi, poltron congénitalement, dont l’immoralité en pis nous donne des vertiges, n’aurait aucune place, si n’est son rang de seconde zone par sa lignée tant patriarcale que matriarcale, au sein de la société bien hiérarchisée au Fouta.
Pour mesurer la température réelle d’un pays qui avance ou recule, il faut voir ceux qui le dirigent.
Ici chez nous, au Sénégal, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la trahison apparaît plus que jamais consensuellement partagée, à l’échelle nationale, puisque ce qui nous désunit est nettement supérieur par rapport à ce qui nous unit.
Qu’on le veuille ou non, notre retard chronique, endémique résulte incontestablement de l’aliénation culturelle étrangère.
Qu’on le veuille ou non, notre retard chronique, endémique résulte incontestablement de l’aliénation culturelle étrangère. Pour juguler le mal qui n’a que trop duré, nous devons absolument opérer une révolution culturelle par un sursaut national, de manière que les populations lassées et laissées pour compte sur le quai, soient imprégnées de la réalité, de façon qu’elles puissent s’impliquer davantage sur les affaires de la cité, pour défendre bec et ongles l’intérêt national, incessible, pour prendre à bras le corps la problématique, de sorte que le dessus prime sur tout et contre celui des voleurs-menteurs professionnels des politicards en bande organisée.
Dans cette hypothèse, pour que les citoyens y trouvent leurs propres comptes, puissent bénéficier de la redistribution des ressources et de façon équitable. Dans un état de droit, les citoyens naissent libres et égaux devant la loi, en droit, comme en devoirs civiques.
Dans l’histoire du Sénégal, n’importe qui ne pouvait être chois, car l’élu devait prouver sa capacité réelle de résistance par son courage, son dévouement, subissait impérativement des exercices douloureux indispensables, pour être la hauteur, et à l’endroit et faire face à toute intrusion étrangère. En vérité, toutes les monarchies qui existent à travers le monde, sont taillées sur mesure et sous le parrainage actif des blancs.
La grande Bretagne garde son système monarchique. En France qui se targue d’avoir opéré une nette rupture par sa révolution des droits de l’homme en 1789, le régime présidentiel en place depuis, porte les stigmates monarchiques dans les faits et dans l’action, malgré des changements notoires, salutaires. .
Or, les leucodermes, ont démantelé savamment nos institutions et mis à la tête de nos états, satellites, pliés, des élites dociles, dont la platitude manifeste n’échappe plus à personne. C’est bien le cas avéré de la trempe du nègre de service, s’est transformé promptement en Farba loufoque de la françafrique, envahissant, couard par ses rancunes.
Dans ces conditions, il va sans de soi que le climat délétère qui sévisse et continue, sans répit, dans notre pays, totalement assujetti, reste le ciel obscurci le laboratoire des indigènes, et dont le moins que l’on puisse dire, s’évertuent en lamentables traqueurs contre leurs adversaires politiques avec lesquels ils ont cheminé ensemble, hier.
Le sang ne ment jamais, Et les bonnes âmes qui parlent d’elles-mêmes sont sources de patriotisme. Que cela plaise ou non ! C’est donc normal que l’on sorte de l’histoire pour ne plus y jamais entrer, tant que nous évertuons tout le temps à n’élire que des minables escrocs, qui sont faussement peints sous des oripeaux présumés victimaires.
Lesquels se sont enrichis miraculeusement et bassement spar des raccourcis politiques, alors qu’en 2000, ils vivaient dans la misère sociale dans les quartiers populaires de l a capitale sénégalaise. Mackysall et Marième Faye ne nous démentiront jamais sur ce plan-là C’est bien cet échevelé, qui régente son autoritarisme, selon ses propres pulsions névrotiques. Tout peuple ne récolte que s’il a semé. Être ou ne pas être ? Voilà la question !
Place au DaGAsanté- Tuku Subeun SaÑ BA Sérere des alliés-ennemis / ET qu’en est-il donc de l’immoralité politique de la duplicité mal placée.
Macky Sall et Aliou sall-tous les deux par leur lâcheté se valent. Le tyran- valet nègre de service, agit en toute impunité et en totale concomitance avec son frère inimitable pâteux. Les deux BriGands, de Gand chemin, demeurent plus que jamais comme étant les receleurs de tous les temps de toute l’histoire politique financière du Sénégal à nos jours.
Le fasciste vichyste noir en chair et en os n’entend jamais nullement dévier de sa trajectoire totalitaire, continue d’emprisonner à tour de bras tous ceux qui lui font de l’ombre.
khalifa sall, désormais sous bonne garde, à Rebeuss, sera à son tour libéré, ou gracié de force, demain, mais sous contrôle judiciaire, après le coup d’état permanent après les parodies législatives de juillet 2017, selon le mode opératoire de la justice de la Stasi, perdra à coup sûr son Califat à Dakar.
Qui tient la capitale, tiendrait à petit feu le palais. Puisque idrissa Seck , pourrait de nouveau maitriser la Cité du rail , à quoi s’ajoutent les gris- gris d’Abdoulaye baladé, l’intouchable , sans compter les tirs groupés du pds et des autres mouvements combinés, il n’y a pas photo. Mais cela paraît désormais révolu, puisque le faussaire, SallTiGui, himself, organisateur du référen’Deum- en a décidé indignement ainsi par l’entregent de sa justice, corrompue des courbettes, toute soumise, reste au garde-à –vous, selon le ndiguel venu d’en haut.
Fidèle à lui-même, Samba Sall et son assistant, le procureur Serigne Bassirou Guèye, agissent de concert par télépathie et dans le secret des dieux.
Tous les deux sont considérés à juste titre comme étant les garde-chiourmes les plus fidèles serviteurs du plus vil valet nègre de service. Celui qui se niche derrière les grilles du palais reste plus que jamais sur les plis de la Françafrique, qui est articulée au colonialisme soft, version la francophonie. s
On ne peut pas ni traiter, ni dialoguer avec un monstre voyou indécrottable, lâche flibustier, réfractaire à la démocratie.
Il faut que nous arrivions à le virer par la légitime défense, le faire taire définitivement par la force. Le Masla et la somnolence qui s’installent peu à peu dans le notre substrat sont source d’abdication et de fatalisme. Plus nous resterons dans l’expectative et l’inertie, soi-disant pour préserver la paix sociale, plus le diable exagère. Nous voyons le soleil mais nous ne l’admettons, puisque nous sommes sourds, muets et aveugles.
Nous passons notre temps à donner des leçons de moralité au monde entier, alors que nous apparaissons pires que ceux nous dénonçons tous les jours.
Où est donc notre bravoure, dont nous nous targuons ? Comment pourrions-nous accepter que nous soyons tous dominés, dressés en coupe réglée par un inconnu d’hier qui se croit aujourd’hui plus fort que l’ensemble d’un pays entier ?
Sommes-nous des moins que rien ou des indignes dociles, au point que qu’un mercenaire de la dernière espèce nous embobine, nous enquiquine, nous insulte et nous mette tous dans une bouteille ?
Nous devons faire corps et nous unir comme un seul homme et montrer publiquement nos biceps, face à un loufoque qui ne compte que sur la force publique.
À défaut, nous serons ridicules pour n’être les esclaves d’un esclave de naissance médiocre de référence le plus effroyable et le plus pitoyable.
Finis donc les discours courtois embellis et place maintenant au sursaut national par un bloc monolithique par les actes visibles sur le terrain !
L’histoire d’un peuple debout, et fier de l’être, n’a de sens que lorsqu’elle se passe à un moment de son histoire et au bon moment.
Nous sommes au pied du mur, harcelés, menacés tous les jours dans notre existence par un lamentable complaisant.
Dans ces conditions, nous n’avons d’autre alternative que d’en découdre avec lui par un rapport de force massif doit changer camp, si nous voulons tenir notre propre destin en main. Les langues doivent se délier pour dénoncer, vilipender, conjurer le mal de la tyrannie, l’extirper, qui n’a que trop duré.
C’est l’unique option possible qui vaille. Il n’y a pas d’autre issue ou alternative. Le renégat récuse et balaie d’un revers de main outrancièrement tout ce qu’il dit du matin au soir et sans scrupules.
L’homme plombe notre avenir mordicus. Voilà à quoi cela sert d’élire les yeux fermés un caractériel mentalement rancunier, revanchard jusqu’à la lie, est pathologiquement atteint de la servilité répugnante, et dont l’immoralité dégoulinante abjecte, démentielle par sa cruauté exceptionnelle correspond indiscutablement au pédigrée du personnage curieux, mortifère, atypique, suffisant, arrogant, hautain et versatile, taciturne, lui colle à la peau, telle une teigne !
C’est donc une illusion monumentale que de croire à des suffrages universels. Il est temps d’agir dans l’action matérielle pour en finir avec le faquin.
Nous devons donc organiser la riposte généralisée pour faire face à un garnement dont la monstruosité n’a d’égal qu’à lui-même.
La soldatesque waffen SS a inculpé Khalifa Sall pour «association de malfaiteurs, détournement de deniers publics, escroquerie portant sur des deniers publics et faux et usage de faux», oublie le vagabond incompétent parachuté maire de Guédiawaye, devrait en toute logique bénéficier des mêmes chefs d’accusation que le maire de Dakar, de sorte qu’il soit à égalité avec le calife encellulé à Rebeus. Il n’en est rien. En fait, la compétence présumée de pacotille est synonyme de connivences exponentielles, selon la vision étriquée du nul.