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Macky Sall, le Tyran : « le Franc CFA est une bonne monnaie à garder »-Conscience Patriotique pour le Changement, la déclare solennellement irrecevable, nulle et non avenue ! Par Ahmadou Diop.

Macky  Sall, le Tyran :   « le Franc CFA est une bonne monnaie à garder »-Conscience Patriotique  pour  le Changement,  la  déclare solennellement irrecevable,  nulle et non avenue   ! Par Ahmadou Diop.

Il  convient  donc d’apporter rapidement  des répliques,   idoines, face  aux  balourdises incessantes  du  gangster exceptionnel, , qui est  perché   au  sommet de l’Etat sénégalais.

Le cafard,  qui circule  avec sa  boule puante n’a plus  sa place au palais mais à Rebeuss, menottes aux poignets.

Selon la conscience estropiée  du  Tyran, des  échappées torrides sermonne    À Paris : «  la monnaie  FCFA  est bonne pour la France »,  mais  ne l’est  pas pour  autant autres panafricains.

 La marionnette par définition, qui  abuse, use, décide,   parle en lieu et place de nous,  comme  tout  félon  lâche de son espèce.

Nul ne peut ignorer  que cela fait partie des charniers de mensonges.  C’est la face   émergée de l’iceberg  du  régime calamiteux  n’a jamais rien  à nous proposer  que de  se plier volontairement  à  la  trajectoire  totalitaire  de nos éternels oppresseurs, depuis la nuit des temps..

La déclaration si  bruyante de l’affabulateur heurte, horripile  la  Conscience Patriotique pour le Changement,-CPC – qui se dresse la tête haute –Taxw Jön-  s’inscrit  publiquement en porte à faux  et tout haut avec  le misérabilisme emphatique  de mauvais  aloi , de ce qu’elle considère  affreuse,  comme étant  une  boule puante, sans  autre forme.

Le   vendu  impénitent, inimitable et incorrigible, prouve  éloquemment  son rôle de potentat sur le terrain  à Paris. Demain, c’est maintenant  qu’on le construit !

La polémique politique  du Franc CFA  qui  fait rage, agite les africains  et les sénégalais;  défraie la chronique,  mais  laisse apparaître nettement   l’absence    remarquée des chapelles politiques.

De quoi ont-elles  donc peur pour  « faire sauter les verrous », ne peuvent  être, une  quelconque  loi de l’omerta ?  Craignent-elles dans le secret des dieux  les châtiments des maîtres du pays de Marianne ?

Quoique l’on puisse dire, Les citoyens et les élites religieuses ont  leurs parts de responsabilité sur le climat délétère, condamnable.

Plutôt  de  refuser  systématiquement  pour   nous laisser dominer par l’auxiliaire  de service, comme  si nous sommes inaptes,  comme si  nous sommes  des moins que  rien;  nous devons  absolument en finir  avec lui,  et  avoir le réflexe patriotique, pour extirper  le mal  qui n’a que trop duré,  nous compromet,  nous  empoisonne la vie  et nous empêche  de sortir la tête de l’eau.

Pour cela, il faut que nous ayons le courage de suivre à la lettre  le chemin  des Grandes  Nations  émergentes,  souveraines, qui  ont compris et  pris en toute conscience en  main leur propre destin  sur des bases voulues.  Ne rien dire,  c’est  se consentir,  car se taire sur cette monnaie qui  ne nous  appartient guère,  que  l’on nous a imposée,  depuis 1945, c’est se complaire.

C’est une affaire de salubrité publique primordiale, à laquelle  nous devons nous atteler  nécessairement, si nous voulons   déboulonner ce régime calamiteux et son valet.  Lequel se donne une respectabilité imaginaire, derrière un palais  marron.

A prisme là,  il nous incombe donc  d’arracher par tous les moyens et à tout pris  nos intérêts légitimes,    comme tout pays qui se réclame digne,   qui tient à aller de l’avant et dans le sens des progrès multiplicatifs.

Ceci  n’est ni une offense, ni  un Cassius belli contre  des pays,  puissants, où qu’ils puissent se trouver dans le monde. Tout  pays doit disposer de ses  ressources, naturelles,  a l’obligation d’avoir sa souveraineté monétaire,  nationale, politique et sa défense nationale.  A défaut,  il n’y a qu’une autorité  virtuelle,  qui n’est qu’une parodie   de l’indépendance  dans les faits bien  établis.

C’est bien le cas avéré  du Sénégal et des  13 pays, totalement soumis,  tous tenus  en laisse par le gendarme colonial qui n’est jamais parti,  maîtrise à lui seul  le ciel  africain  à l’échelle continentale, dicte sa loi sa logistique arbitraire  par le truchement de ses bases militaires et ses troupes impérialistes.

Quand on a l’anxiété dans la conscience, totalement  érodée, on n’a pas le droit de briguer   la stature   d’élite politique, encore moins  de postuler à la magistrature suprême. ku Bëg Akara Da Nga Wara Niémé Kani, n’est-ce pas ?

 En terme clair,  le haut du podium  ne se  donne point sur un plateau d’or, mais se mérite, car il y a des risques majeurs à encourir,  pour toute personne qui prétend  l’incarner.  Mais  la majorité de la classe politique de la référence capitularde,  anesthésiée par le  miracle magique, abdique pitoyablement par consentement réactionnaire sur toute  la ligne, face à un faussaire notoire, préfère  jouer l’expectative, pour ne rien faire,  tout en  profitant  de   l’opulence indue  et  croire  pouvoir nous diriger, demain, puis  vivre sous les lambris dorés du palais.

En vérité, lorsqu’il s’agit d’une affaire de cette nature qu’est le nazisme du franc Cfa, qui plombe  le développement  de notre pays, ceux  qui s’autoproclament  le statut de notable politique,  ont l’obligation morale  de  mettre les pieds dans le cambouis au péril de leurs vies,  doivent être au premier rang,  surtout  à un moment crucial,  qui  interpelle  les mémoires communautaires et  engage l’avenir  des générations futures.

Bizarrement,  la plupart   se dérobent tous,  on ne sait quel miracle, ne sont ni vus, ni connus, en attendant  que l’ouragan passe.  C’est ça la caractéristique,  singulière  dans  la cour des voleurs en bande organisée des postes de nomination de « Tan  Sa Bula Nex ».

Une curiosité en dit long qu’ils ne sont jamais à la hauteur, mais ne recherchent que leurs propres intérêts mesquins mal placés, au mépris de la conscience collective.

Solennellement, la  Conscience Patriotique  pour le Changement, condamne  fermement jusqu’à la dernière énergie une telle échappée, maladroite,  conforme au pedigree et   la  déclare nulle et non avenue !

Cette sortie déculottée, abracadabrantesque,  n’engage ni les patriotes africains, encore moins  les sentinelles  Sénégalaises que nous sommes.  Voilà à quoi sert d’élire  un incurieux personnage  des pantalonnades au poste de président de la république.

Nous qui sommes membres de la CPC, avons été parmi les premiers à dénoncer  le nazisme du franc CFA  à travers les ondes de notre Radio Sunuker, notamment sur l’Info Autrement : la  première Radio Africaine FM, émettant  en  Californie,  à Los Angeles, au moment où les carpettes,  politicardes, couardes, notoirement  réactionnaires par définition, faisaient  bassement profil bas   sur l’éternelle  fâcheuse question. Nous n’avons rien inventé, nous disons la vérité.  Que cela plaise ou non !

Plus de 55 ans après  les indépendances  de la dépendance,  d’apparence  et  les prétendus accords  de défense  avec ses clauses secrètes, en disent long  sur  la présence massive  des   troupes d’occupations et ses bases militaires en Afrique conquise,   constituent  à n’en pas douter, une  véritable   démonstration du néocolonialisme,  bien visible et  à visage découvert, ne  visent  qu’à maintenir  exclusivement des dictateurs versatiles, traitres dans l’âme.

Où était donc la farandole, l’incarnation des trahisons à haut débit,  quand nous dénoncions  urbi et orbi le scandale du nazisme monétaire du Franc CFA ?

Alors, le faussaire,   sachant qu’il ne pouvait pas y échapper perpétuellement  à chaque fois qu’il se trouve à Paris, attend d’abord l’expertise avérée des analystes politiques des africains, très prolixes sur la question préoccupante, qui se trouvent  à l’échelle planétaire,  le Guignol attardé,   s’exprime maintenant  expressément, volontairement maladroite, sans qu’il puisse donner   les raisons matérielles, objectives  sur ce qu’il avance piteusement et mécaniquement.   Il se contente tout simplement  et  d’une complaisance obscure. L’inculte  «  talibanisé », qui   crypte  sa litanie   à demi-mot sait d’avance ce qui risque de lui arriver, s’il  s’évertue  à décrier   le franc Cfa.

 La mort du président Togolais,  Sylvanus  Olympio, assassiné, le 13 janvier 1963, deux jours avant. Il voulait sortir son pays du franc F CFA pour l’arrimer à  celle  de la  monnaie britannique.  Ce qui explique  la  descente aux enfers et  la chute du régime de Laurent GBAGBO,  l’honorable  Tigre réel de la Côte d’ivoire, qui a sorti un brûlot  époustouflant, intitulé : révélations sur un  scandale français.

Janvier 2016-Nicolas Sarkozy: «Pas question de laisser les colonies françaises d’Afrique avoir leurs propres monnaies !».

Pour  rappel,  Macky Sall déclarait : « Sans les bases françaises, … de la base française était une erreur qui relevait d’un sentiment nationaliste quelque peu mal placé ».

« Le Franc CFA est une bonne monnaie à garder », attaque le récidiviste-capharnaüm,     revient au galop, continue  son spectacle surréaliste,    fulmine sèchement  encore  à  paris et par presse interposée  parisienne, et  par mimétisme à son principal mentor,  Senghor,  qui disait  à l’époque, la  colonisation est un mal nécessaire. La similitude  sémantique bassement  inouïe,  effarante,  bien   cryptée,  se passe de commentaires.

Nous n’y allons pas par quatre chemins pour  dire  que   c’est  une boule puante.

A  la demande pressante, presto illico    de ses maîtres  blancs, tapis dans l’ombre,  le  pylône activiste,  le  plus ridicule, adulé  de la mafia, envoyé aux charbons,  tient  à éteindre coûte que coûte que  le  feu  et  croire pouvoir  clore  le débat houleux du franc CFA , initié par   les  vrais courageux  économistes financiers   panafricains  de haute facture. A cet effet,  le pantin,  mis sur orbite,  fait les bouchées doubles, pour servir   de paratonnerre  et à dessein  d’engranger  et   à la fois les dividendes  de la politique  impérialiste  française en Afrique   et bénéficier , ainsi  de l’usufruit indu

Il  faut noter  que la  Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO] et  la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac  sont   toutes des  filiales  de la banque de France qui les    nommé, place  ses conseillers d’administration.

Or, Macky Sall, qui   s’empresse  « de légaliser le nazisme du Franc CFA »,   n’avait  ni  pipé un seul mot  sur le sujet,  ni étayé ses propos indignes,   ni démontré  les mécanismes, preuves à l’appui,   ce qu’il appelle complaisamment la bonne  monnaie. Il se  contente   de réciter ce qu’on lui demande de faire.  Il faut savoir  que  le franc CFA a été décrété   et signé unilatéralement   le 25 décembre 1945 par 3  personnes : De Gaulle, président du gouvernement provisoire, René Pleven, ministre des finances et Jacques  Soustelle, ministre des colonies.

 Aussi  extraordinaire que cela puisse paraître, selon l’économiste camerounais, François  NDegwé, qui la qualifie à juste titre,  de nazisme  monétaire, la France exige de  ces pays  de cette zone monétaire-   qu’ils déposent 50% de leurs réserves de change sur les comptes du trésor public français.

De plus, la France s’octroie librement  un droit de véto dans  la gestion des banques centrales régionales.

A quoi s’ajoutent les frais annexes des banques centrales, que certains économistes  africains, estiment     raisonnablement à 85%.

Ce qui est grave et cocasse, c’est que la déclaration de Macky Sall n’a ni  crée  outre mesure, aucune levée de bouclier, ni un tollé généralisé  chez  la plupart des  politiques,  alors  qu’elle aurait  pu réunir  les conditions  des tirs groupés. Il n’en est rien.

A l’exception des spécialistes africains, en particulier,  ivoiriens et camerounais,  les politicards sénégalais  brillent dans un silence coupable, sont en faillite totale, qu’on veuille ou non.  Où sont donc les politologues et les experts économiques ?

Le malappris, très prolixe, bat le triste  record absolu  de tous les temps. Le Sénégal trépasse et régresse   comme une peau de chagrin,  se transforme peu à peu et sous le poids des reculades historiques, massives.

Le Sénégal  qui a du pétrole et du gaz à gogo peut créer sa propre monnaie sur des bases voulues. Mais faut que nous ayons des leaders visionnaires, courageux, charismatiques, qui soient   conséquents  et à la hauteur ?

Le boucanier,  qui tient à plaire à la France,  croit pouvoir garder la démocratie et  renforcer, ainsi,  son impunité abstruse,  dit tout.

Le pitre, espiègle, joue les courbettes   et son  numéro,  utilise toutes les basses œuvres et les pirouettes dégueulasses,   inimaginables,  pour arriver à ses fins de piètre qualité, ne déroge point à la bouffonnerie, tant que  le Talisman-Tarbiyou – qui  rapporte  plus, que tout autre,  est imparable.  Il n’en a cure du reste.  Puisque ça marche. Telle est la philosophie du despote irrécupérable. Et il n’est pas le seul en Afrique, car il y en a beaucoup  à  la pelle  qui pullule.  Tous les dictateurs qui sont  arrimés  à la loge  Françafrique, réagissent de la même manière.

La déclaration du récidiviste idéologue, français de la dernière heure,  plus connu sous le spécimen des diatribes,   subversives,  français est –elle donc une pédagogique ?  Nous répondons par l’affirmative.  L’insolite  iconoclaste, empesté,  rempile à Paris,   n’en démord jamais, reste en toute logique avec sa ligne de piètre qualité, persiste et signe, s’octroie librement  le soldat de la France.

 Apparemment,  la  menace  réelle   de Sarko n’est pas tombée sur les oreilles d’un sourd, a reçu le message  5/5.    L’évidence d’une pirouette  est synonyme  d’échappée belle, et sur fond de lâcheté tambourinée.

Le mouton tondu ne peut aller à l’encontre de ceux qui le tiennent par la corde, veuillent bien  qu’ils disent tout haut et la place publique.

Nous sommes  plus  que scandalisés, outrés,  sidérés, choqués  et indignés  en entendant les escalades de la boule puante, symbolisée par   les tribulations déshonorantes,  lancinantes  et les  élucubrations  fumeuses, incessantes  en grande  pompe du  plus  tonitruant Pion invétéré- se transforme   en Label  de Caniveau-  Pro Consul, singulier, activiste,  d’un abruti  exceptionnel,  farandole, infatigable, galonné, collectionneur  étrange  des médailles coloniales, plurielles, exponentielles, pour avoir rendu honteusement  moult services  à ceux  qui nous oppriment constamment,  nous réduisent en esclaves  et nous méprise par leur taux d’adrénaline incurable.

 Les propos déplacés, vexatoires, antipatriotiques, antinationalistes   du  parisien noir,  qualifie de bonne monnaie le nazisme du Franc CFA- Colonie Française d’Afrique,  nous  donnent la chair de poule.

Où sont donc les supposés intellectuels, politologues,  experts financiers économistes  sénégalais  sur la question monétaire ? A quoi servent-ils ?

 Les mêmes  couards mercenaires, ataviques coupables se tuent  piteusement par leur silence coupable. Une telle déclaration  incongrue qui n’est rien d’autre qu’une faute  politique, lourde, parmi tant d’autres,    prouve éloquemment que nous avons un  monstre- voyou  au sommet de l’état sénégalais, que nous ayons connu jusqu’ici.

 La pilule ne passera pas.  L’éternel  disciple de Senghor-Abdou Diouf, qui s’adjuge le fil conducteur  de la  politique négationniste, codificateur  capitulard de naissance, fasciste  contreproductif,   n’y  va plus sur le dos de la cuillère, catapulté au plus haut de l’état  et  à cause de l’étourderie généralisée des sénégalais.  Il faut le voir pour le croire. Que  voulez-vous ? La   graine avariée ne peut produire le contraire.

On aura beau maquiller broc à bric le produit de parues pour bien le vendre sur le marché, mais quelles que soient les notices et les retouches nécessairement transcendantales au nom d’une image Trans-internationale pour la présenter sous de faux postulats, il n’en demeure moins  vrai qu’elle porte en elle-même l’estampille nocive, éternelle devant l’éternel, puisque la substance magico- moléculaire laisse apparaitre nettement des défauts de fiabilité.

Que le nègre valet, l’attardé mental, se le tienne pour dit.   Pour paraphraser les auteurs  journalistes, « un président ne doit pas dire ça », Macky Sall ,  qui a franchi encore les lignes rouges, inacceptables,  doit rendre immédiatement  le tabler au nom du peuple pour hautes trahisons multiplicatives  sans fin et sans conditions.  Qu’il soit démis de ses fonctions  et qu’il soit jugé et traduit dans les tribunaux, menottes aux poignets et conduit à Rebeuss !

Sommes-nous des incapables ou des moins que rien, face à un grossier   ?

Pourquoi l’Afrique  est –elle donc  une spécificité  exclusive pour faire face  à  ses tyrans ? C’est une  question volontariste  de  fibre patriotique, d’abnégation, de courage et de tripe ?  Rien absolument ne peut  se  dresser contre un peuple, uni,  déterminé, décidé à en découdre  à un terroriste, ségrégationniste,  vindicatif, arriviste, né,  fourbe-Mbew-  suffisant, arrogant, crotté, grincheux,  versatile et  aveuglé par le pouvoir  satanique, temporel qui  le rend   fou et qui perd  ses repères et ses pédales.

Si  nous voulons, nous pouvons.  Changeons donc le  Sénégal, notre pays  qui y gagnera absolument. Comme toujours, c’est la règle depuis les parodies d’indépendances de la dépendance dynamique.  Les félons  triomphent    envers  et par devers  contre toute l’Afrique.

Nous devons changer le rapport de force et inverser la courbe tyrannique, en brisant les ailes démesurées de ce flibustier  qui ne s’encombre d’une parcelle de moralité, si ce n’est son  égocentrisme ethnique  effréné.

Pourquoi sommes-nous  léthargiques et  des incapables notoires,   au point  que  nous soyons  tous accroupis,   dominés par  les salades et  escalades massives d’ un médiocre nègre de service,   qui reste aux attaches  de  nos éternels oppresseurs, apparait assurément plus fort et plus coriace   que jamais contre  tout un peuple de 15 millions d’âmes, somnolentes,  se réjouissent  de leurs courbettes, face à un renégat  déclaré et non éclairé ?

 Il y a là  quelque chose  d’étrange, d’abject, d’incongru, qui dépasse largement  la rationalité et l’entendement.  Les privilèges indus  d’une minorité  plus puissante, ploutocrate, corrompue jusqu’à la lie, s’enrichit bassement  sur l’autel  de la bassesse , pendant que  la majorité écrasante  des  citoyens  vivent dans l’abondance de la misère sociable, absolue, servent de lit  aux prétendues élites  fachos,  qui abusent, lâchement  de la force publique.  Il faudrait l »éveil des consciences avant qu’il ne soit trop tard pour croire pouvoir  agir, pour rectifier le tir.

La où tous autres peuples unis et debout,  lorsqu’il s’agit de défendre bec et ongles leurs propres intérêts légitimes auxquels ils ne badinent pas, réussissent immanquablement de façon intelligente, à  mettre  hors d’état de nuire la loi  hégémonique, totalitaire  d’un seul homme, fut-il un président de la république,  quant à  nous  autres peuples d’Afrique, exclus de l’hagiographie mondiale,  et pour cause,  nous  échouons  lamentablement sur toute la ligne.

Décidément l’ignominie et les charrettes d’inepties démentielles à la pelle constituent l’unique  indignité d’un échevelé, tant par ses sorties infinies, nous donnent incontestablement le menu d’une cuisine de mauvais gout, de la part d’un pedigree monstrueux.

Que ne ferait  pas ce pitre  effroyable, atypique,  décomplexé, pour plaire à la France et croire pouvoir rester au pouvoir ?

Le retrait des troupes françaises est un nationalisme mal placé.  Le traitre, affairiste, Pétain noir s’exécute une fois de plus.  Tout le monde sait que tout pays qui n’a pas sa  souveraineté monétaire,  ni sa défense nationale, n’est pas libre.

 

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