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Qui est donc ce pion bien invétéré, en chair et en os, fraudeur, traitre nègre de service, sponsorisé par des lobbies maçonniques ? Par Ahmadou Diop

7582245-11705046Ce guignol au plus haut sommet de l’état satellisé, est donc par essence, un piètre bouffon, reste bien la face cachée du traitre loup Macky et les dessous de ses sous : ou la taupe encagoulée sur les plis et dans les valises de la françafrique.

La platitude politique des prétendues élites serviles et malléables, est un obstacle majeur pour le développement de l’Afrique, pillée en bande organisée, constitue le socle de notre retard multidimensionnel endémique.

En Afrique, le pouvoir tel qu’il est conçu, est une affaire de familles et de clans. La salissure confirme la règle étrange. Tous les consuls généraux, les ambassadeurs, l’armée, la police, la gendarmerie, le service public, les postes stratégiques, sont entre les mains du même clan. De la foutaise tout simplement !

Les nominations décriées provoquent à petits feux, une crise d’épilepsie généralisée chez les sénégalais scandalisés par un tel culot, invraisemblable, qui se déroule, sans coup férir, sous nos yeux, sans discontinuer. Chaque jour qui passe avec son lot de scandales inédits aussi foudroyants les uns après les autres, passent sous silence comme une lettre à la poste, nous renseignent éloquemment un peu plus sur la monarchie de l’Etat-APR Macky Sall.

Pendant qu’on jette en pâture des cargaisons de sénégalais, dont la peau est charcutée, de sorte qu’ils ne valent plus rien, puisqu’étant logés dans l’enseigne des malfrats, c’est le paradoxe d’un régime partial, suffisant, s’évertue librement à placer ouvertement « la dynastie divine des Faye-Sall, Gassama et Cie » dans des postes de hautes stratégies, comme si les nominations correspondent à l’aune de la république « apérisée »

Curieusement, dans ce pays étrange à la renverse, perd irrémédiablement, ses valeurs, sa glorieuse civilisation d’antan, à petit feu, depuis des lustres, puisque la cavalcade tonitruante de la stratégie offensante des flibustiers colonialistes des nègres de naissance de service, interposés, préférentiellement médiocres, doit nécessairement remporter la mise sur celle des vrais patriotes imbus de la fibre d‘honneur, sont toujours laissés en rade.

Depuis le soir du 25 mars 2012, le chantre présumé des leurres promet plus qu’il n’en fait, en réalité n’en a cure pour répondre à l’attente de ceux qui l’ont placé au plus haut sommet « de l’Etat-APR Macky Sall -al pulaar » par étourderie généralisée, laisse sciemment aux placards ses promesses électoralistes, poussiéreuses, qui n’engagent que ceux qui y croient dur comme fer.

Face à la demande sociale, qui relève d’une urgence absolue, prioritaire, les schémas peu orthodoxes deviennent obligatoirement des réflexes de gouvernance éclopée et aux velléités hégémoniques, totalitaires ethniques, teintées d’un corporatisme mal placé, dont la compétence se résume exclusivement au placement d’amis, courtisans, parents proches, d’alliance, en particulier, des patronymes bien distingués se taillent la meilleure part du lion, et qui ont une proximité consanguine avec le couple présidentiel, puisque la république est un gâteau à partager exclusivement entre le même clan, supposé né sous la bonne étoile. C’est la religion d’état de la rupture sobre, transparente, vertueuse, efficiente, version mackysallienne de la médiocrité dégoulinante. Les biens mal acquis plus connus sous l’acronyme BMA, aux orientations obscures, servent de décharges nécessaires, lesquelles relayées en boucle par une certaine presse abondante, au pas du politiquement incapable est un exutoire de la percussion médiatico-politique, inflationniste, à défaut de respecter ses engagements.

Une rupture totalitaire de la transparence népotique, des marchés de gré à n’en plus finir n’est-ce pas ?

« Maintenant, bienvenue au temple du népotisme cliniquement clanique ! », comme je l’ai précédemment écrit publié simultanément sur ruepublique.com et mon blog.

Comme tous les félons étranges de naissance, de son espèce, ce traitre bougre nègre de service, d’apparence, est arrivé aujourd’hui, par effraction, au plus haut sommet de l’état sous le parrainage actif de ses véritables maîtres sorciers blancs, tapis dans l’ombre, tissait, hier, petit à feu doux, sa toile d’araignée, tout en affichant par filouterie, une fidélité d’apparence à son bienfaiteur, à dessein d’opérer un hold up électoraliste savamment orchestré par la ruse avec le concours direct des sponsors bien gloutonnés, aux objectifs totalement cyniques, qui profitent de la carence suintante d’un médiocre opportuniste, pour faire main basse sur toute l’économie d’un pays asphyxié, agenouillé totalement, pillé et violé librement dans sa chair, à la souveraineté, apparente, mais en réalité, sous tutelle, depuis les indépendances nominales, fictives, à nos jours.

Le spectacle surréaliste qui se passe, sous nos yeux n’en est pas un dans ce pays qui tourne le dos à ses hommes d’honneur.

Un rappel historique, pour comprendre l’éternel climat délétère de nos déconvenues irrécusables. Des faits à répétitions corroborent notre mortelle tragédie insoutenable.

Parlons donc de ce fait inédit, indéniable, qui est marqué dans les annales historiques de ce pays, pour ceux qui savent l’histoire glorieuse du plus grand résistant du Sénégal que fut Lat Dior Ngoné Latyr Diop dont la bravoure exceptionnelle et son art de guerre, exemplaires, ne souffrent d’aucune discussion possible, malgré la supériorité numérique et matérielle des envahisseurs étrangers, français de l’époque, témoignèrent la qualité d’un véritable combattant aguerri, hors-pair, à l’exception des couards nègres de naissance de service, à l’insuffisance bien fournie, préfèrent bassement s’aligner sur les ordres de leurs propriétaires, puisqu’en 1880,soit 17ans après la première éclatante victoire de Lat Dior Ngoné Latyr Diop à Ngolgol, le 19 décembre 1863 contre son cousin Madiodio, l’allié de la France, sans compter les deux autres à Louga et Mékhé !

Les capitaines Lorans et Chauvet, le lieutenant Victor Aymé, l’adjudant Guichet et une centaine de soldats trouvèrent la mort. Madiodio, blessé rentra à Nguiguiss.

Lat Dior se révéla brave guerrier, fin stratège, fut incontestablement le maître par excellence du terrain,

Cette cuisante défaite infligée par Lat Dior Ngoné Latyr Diop, resta sous la gorge des français. Ces derniers prirent leur revanche sur le Damel du Cayor, suite à la défection organisée de Demba War SALL, qui préféra se ranger du côté des troupes françaises à partir de 1878, L’imparable magie de la stratégie du diviser porta ses fruits.

Ainsi, le Cayor fut divisé en 6 provinces par le capitaine Valois, nomma Demba War Sall qu’il plaça à la tête, en qualité de président de la confédération.

Demba war Sall trahit Lat Dior Ngoné Latyr Diop 7 ans auparavant [1878], devint l’allié de taille des français avec qui il combattit à Dékheulé, un village situé à quelques encablures de Thilmakha , le 27 octobre 1886, contre le dernier Damel du Cayor, qui mourut ce jour-là, les armes à la main, dans une bataille particulièrement acharnée et d’une violence rare à 11 heures.

L’opprobre, qui préside aux destinées de ce pays depuis le soir du 25 mars 2012, est bien la face cachée du traitre loup Macky et les dessous de ses sous ou la taupe encagoulée, atlantiste, jusqu’à la lie, infiltrait l’écurie bleue pour le compte de ses propriétaires, mais à l’insu de son maître, qui ne se doutait de rien. Rien n’y fait, le colonialisme futé, crée toujours la discorde chez les africains pour mieux les diviser et régner en maître absolu, aussi longtemps que cela s’avérera nécessaire..

Sans discontinuer, dans ce pays étrange, comme d’ailleurs dans toute l’Afrique francophone, les manœuvres des colonialistes l’emportent toujours sur le même terrain du crime. Et pour cause.

– Le 26 Février 2008: Le président de l’Assemblée nationale, Macky Sall, a été élevé au grade de Grand Officier de la Légion d’Honneur de la France, a reçu la distinction, à la résidence de l’ambassadeur de France à Dakar, des mains de Son Excellence, l’ambassadeur de France au Sénégal, Jean-Christophe Rufin.

« La théorie du chaos politique ! » ou « le plus grand complot de l’histoire politique du Sénégal ! », jamais égalé jusqu’ici- il s’agit ni plus, ni moins d’une ingérence directe et une intrusion manifeste du colonialisme débridé, s’autorise, sans retenue à la seule fin d’engranger des dividendes politiques, se mêle constamment dans les affaires intérieures d’un pays souverain, indépendant et libre, pour faire gagner par l’artifice, un suppôt, un pitoyable pantin, arriviste dans l’âme et jusqu’aux os.

Au propos de. Karim wade, Jean-Christophe Rufin, qui a gratifié complaisamment Macky sall,en rajoute une couche épaisse, déclare, en substance, qu’il n’était guère étonné de son embastillement, dans une affaire sénégalo-sénégalaise et qui passe comme une lettre à la poste. Voilà, manifestement un casus belli supplémentaire, qui nous renseigne éloquemment sur un vaste complot aux arrière-pensées politico-économiques, cachées, qui ne souffre d’aucune discussion possible. Pour ne rien arranger, une certaine abondance de la bassesse servile, le relais du politique brille une fois de plus dans une indécence décapante, écrit sèchement ; « le retour d’Abdoulaye Wade ne fait pas l’unanimité », une information relayée en boucle sur toute la planète, au point que l’ancien président de la république du Sénégal, n’a plus le droit de revenir dans son pays de naissance, pour voir son propre fils.

Où est donc la moralité d’une prétendue rupture sobre, transparente, vertueuse, efficiente ? Un euphémisme de dire qu’on est en plein cœur d’un régime totalitaire, qui ne s’encombre d’aucune parcelle d’honorabilité palpable.

Où-a-t-on en Afrique francophone, la moindre lueur de démocratie dans les pays tenus d’une main de fer, arrachés à coups de canons ou de milliards, si ce n’est la justice des vainqueurs ?

Rien, absolument, rien, n’a véritablement changé au soir de la plus vaste escroquerie gigantesque, , au contraire, c’est pire qu’avant, malgré le discours emphatique, médiatico-politique, inflationniste, qui ne vaut nullement un sou.

Le grand timonier, maître de la sarabande prétendue rupture sobre, vertueuse, efficiente, n’est qu’un vaste tissu de mensonges grossiers, en bande organisée mafieuse, tendant à agenouiller la république, considérée comme l’éternelle vache à lait pour les beaux yeux de l’extérieur et à enrichir davantage, un escroc de classe exceptionnelle, des rancunes mal placées, avec le placement d’une famille entière, paresseuse, pressureuse et des courtisans, entre autres, amis, tailleurs, griots de complaisance de la dernière heure, dans des postes taillés sur mesure, pour justifier un passé noble, imaginaire, à la mesure des dictateurs africains de basse facture, en Afrique des nègres de service et des courbettes, les populations reléguées au second plan, comme des esclaves, ne doivent jouer que les figurants. Les prétendues élites se servent goulûment les poches, sans coup férir, mais ne servent nullement ceux qui les ont mis à l’envers du décor. Ces minables pantins de service, corvéables à merci, se réduisent honteusement dans leur rôle de supplétifs pour plaire à leurs maîtres. Ce sont des indigènes de service. Voilà la réalité !

Depuis les indépendances formelles, jusqu’à nos jours, le vocabulaire, peu gratifiant, tel un serpent, mute : PVD [pays en voie de développement], PMA [pays les moins avancés], APE [accords de programmes économiques] avec des ajustements structurels exponentiels, imposés par la banque mondiale et le FMI, rien que des prolongations de la dépendance perpétuelle pour le recul programmé d’une Afrique systématiquement dévalisée jusqu’à la lie.

Solennellement ceux qui se dégonflent par leur manque de courage manifeste à vouloir, se complaire par la peur, on ne sait à quelle fin, se défaussent admirablement et vendre pitoyablement le peu d’honorabilité qui leur restait; je veux dire, en particulier, ses crétins minables pseudo intellectuels, travestis en symboles de la tartufferie, les plus loufoques, prêtent ridiculement le flanc, se cramponnent bassement, abdiquent par consentement réactionnaire, face à ce qu’il est convenu d’appeler le vacarme du maccarthysme des rancunes et des rapines politiques, mal placées, nauséabondes, abondantes, salissantes, qui créent indiscutablement nos éternelles déconvenues crescendo.

Or, la vraie sentinelle de l’ivraie, doit être un rempart lorsque la république est menacée par des voyous, nul n’a le droit de se dérober, au risque d’être complice ou coupable. Le digne intellectuel, doit assumer sa responsabilité et son indépendance. Il a le devoir moral de s’insurger en conséquence et réagir contre le non droit et l’omerta devant le péril national de la pieuvre et ses tentacules. En tant qu’artiste, il est par essence la pierre angulaire de la politique. Car sans la liberté, on ne peut rien construire de solide.

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, dans ce pays étrange à la renverse, pendant que la république est entre les mains d’un cartel minable, mafieux, inimitable, qui ne s’encombre, outre mesure, d’aucune moralité palpable, continue de s’inscrire, lamentablement sur une trajectoire totalitaire, conforme à sa petitesse d’esprit, une certaine sarabande de nullards indécrottables à la pelle à l’insuffisance criarde, par des pirouettes indignes, distillées ici ou là, que leur confère leur posture de pacotille, préfère se dédouaner de la fâcheuse question, s’adonne vulgairement en spectacle permanant, joue par derrière les pompiers de service, en s’accordant à mettre encore au pinacle un défunt régime, déjà abondamment écrabouillé de tous les noms d’oiseau, à la seule fin de se déculotter, inverse les rôles et verse dans l’art de la manipulation et la désinformation les plus éhontées, ferait mieux de se taire, plutôt d’être le réceptacle de la machine toxique, la plus ordurière de toute l’histoire du Sénégal.

Ce pion invétéré, fraudeur, traitre nègre de service, sponsorisé par des lobbies maçonniques, aujourd’hui au plus haut sommet de l’état du Sénégal, fait partie du club attentatoire, version générationnelle de l’esquille mafieuse au cœur d’une Afrique vassalisée jusqu’à la lie.

Le plus vaste complot du Sénégal, orchestré savamment par cette nébuleuse aux visages multiples est rebaptisé « françafrique » par le défunt économiste, François –Xavier Verschave, fut sortie de terre sous le nom de « France-Afrique » en1955 par Houphouët Boigny, le premier président de la Côte d’Ivoire, en même temps, le premier valet de premier plan avec la complicité de Senghor, le premier codificateur du fascisme, auteur du fameux poème décrié par son caractère offensant contre le monde noir, « l’émotion est nègre et la raison hellène ». Deux pions de la servitude, unis pour le meilleur et le pire. La conjoncture internationale de l’époque n’autorisait plus à la France déjà affaiblie par la deuxième guerre mondiale à exercer son hégémonie sur ses colonies. Mais pour la stratégie de la puissance coloniale, à dessein d’avoir la main sur ses ex-colonies, il fallait créer nécessairement les conditions des indépendances nominales, bidon, en les bâillonnant par la ruse et les masquer par un écran de fumée. La France fragilisée politiquement, économiquement et militairement au lendemain de la deuxième guerre la plus meurtrière, mit de l’eau dans son vin, en opérant un repli stratégique en Afrique francophone, son terrain de prédilection, pour compenser la perte du gâteau et la débâcle sur l’Algérie.

Pour cela, sous le fallacieux prétexte de la fragilité des pays africains nouvellement indépendants pour la forme, il fallut habilement créer des Etats guignols, satellisés, en installant des bases et des troupes d’occupation par le miracle des accords de défense bidon avec des clauses secrètes, qui ne visent en réalité, qu’à protéger, en filigrane , ses propres intérêts et les chaises des « doungourous », indéfectibles, ce qui correspond à une politique de la main basse.

Le combat continue !

Ahmadou Diop

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