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Garde-à-vous des chiens de garde face au «ndigël » des insolences impérialistes outre atlantique !

ahmadou diopMais que voulez-vous ?

Avec des larbins, des suppôts, des faquins, pantins et des marionnettes, traitres dans l’âme, au plus sommet de l’état sénégalais, point n’est besoin donc d’ergoter sur la bassesse repoussante des vainqueurs des parodies électoralistes. Il faut s’attendre évidemment au pire et au retour de l’ascenseur. Tout se tient en politique.

Ceux qui n’ont jamais de ressources minières, pétrolières, sont les plus les plus riches. Il faut donc créer des instruments de domination puissants.

C’est le cas. Une question de matière grise. Les populations africaines ne doivent nullement s’entendre, les diviser à tout prix pour que les colonialistes règnent en maîtres absolus. Piller les ressources abondantes.

Épargner, sauver les faussaires et les blanchir. Les pyromanes faisant feu de tout de tout bois, viennent toujours en pompier de service. C’est la règle édictée des marionnettes indigènes nègres de service, dressées en coupe réglée. Les mêmes causes reproduisent nécessairement les mêmes effets. Il ne peut en être autrement. 

Soyons sérieux !

La démocratie atlantiste transposée en Afrique des nègres de service n’est qu’une tyrannie apparentée à la droiture. Le gendarme néocolonial de l’Afrique fait sa propre loi pour assurer sa survie. Un écran de fumée. L’incrustation des bases et les troupes militaires étrangères en Afrique depuis 55 ans est une entreprise coloniale déguisée, tendant à protéger durablement des dictateurs en fonction de ses propres intérêts.

La Françafrique n’est qu’un un logiciel néocolonial de confiscation des indépendances africaines, des pillages des ressources, d’escroquerie financière, de dictatures serviles, de manipulations, d’instrumentalisation et de propagande. Une insulte contre l’Afrique. Un kyste de la démocratie en Afrique.

Le colonialisme tempéré n’a jamais accepté ni de loin, ni de près pour les indépendances réelles africaines. Les bases militaires et les troupes militaires sèment la pluie et le beau temps et confisquent durablement les indépendances supposées. C’est une force d’occupation totalitaire.

En vérité, pour le gendarme colonial, l’Afrique des nègres vassaux de service n’est qu’une vache à lait qu’il regarde comme de simples ustensiles, indigènes, considérés comme des chiffons. On utilise des mécanismes douteux à introniser des dictateurs de marionnettes pour piller toutes les ressources de l’Afrique francophone soumise. Les prétendues indépendances ne sont que nominales. Voilà la preuve concrète !

Où a-t-on vu des bases et troupes étrangères militaires d’occupation, si ce n’est en Afrique noire dite francophone sous tutelle en permanence ?

C’est honteux et inadmissible !

Aux premières heures des indépendances nominales, donnant l’illusion d’une souveraineté, la France prit les devants. Et pour cause. Habile, colonialiste, consciente qu’elle ne pourra se développer qu’en bâillonnant les indépendances, pour cela, elle plaça des pions sûrs de plan premier plan, non des moindres, bien connus. Commença, alors, ce qu’il est convenu d’appeler l’hydre mafieuse, France.-Afrique ou la françafrique.

Ainsi, non seulement, elle a réussi une prouesse en installant, par ricochet, ses bases militaires, ses troupes d’occupation, à dessein de piller allégrement les ressources énergétiques dont dispose le continent pour alimenter ses industries.

Dans ces conditions, suite à la débâcle algérienne, elle a rattrapé le morceau qu’elle continue de garder par la force. Parfaitement consciente du rôle des médias, elle a mis l’accent sur le développement des moyens médiatiques bien dressés au service des traitres nègres. On l’a bien vu, aujourd’hui avec l’actualité abondante. C’est cela le drame de l’Afrique des larbins corvéables, malléables à merci.

Donc le procès politique en cours présumé judiciaire sert de «ndigël» ou recommandation officieusement alambiquée à caractère politique, sans le dire directement, pour faire réélire, une marionnette élevée au grade de cheikh de la France, en l’occurrence, Macky.

L’Afrique est-elle devenue le terreau de l’indécence des traitres- héros, à la renverse l’inverse, alors que les dignes fils, restent eux des éternels coupables ?

Face aux Pitbull enragés, faisant office des chiens de garde de l’impérialisme injurieux, nous avons l’obligation de leur mettre des muselières pour les faire taire par un patriotisme actif, populaire, civique et ceci par des gourdins électoraux, massifs à la hauteur des enjeux colossaux.

La françafrique a encore des siècles devant elle, à moins que la nouvelle générale prenne à bras le corps la sempiternelle problématique, freine le développement de notre chère Afrique. « L’Etat- APR » totalitaire : la mackysallisation des esprits et des faussaires ou la gestapo des labels « des Faye-Sall, Timbo » et Cie.

L’homme de la rupture des paroles dédites, des renoncements et des reniements à couper le souffle, à n’en plus finir, très adulé, est donc devenu le valet de premier plan de la pantomime de la mafiafrique, version nouvelle génération montante des élites vassalisées nègres de service.

Pendant que la sélective traque des biens mal acquis supposés sévit, les scandales manifestes avec ses zone d’ombre sur les contrats pétrotim-Arcelor Mittal impliquant directement le premier magistrat de cette république bananière et son propre frère biologique, continuent de défrayer hystériquement la chronique, le fraudeur nègre de service, tente vaille que vaille à faire taire toute voix discordante des opinions libres.

Le foutoir de la bassesse des traitres corporatistes ethniques, sans éthique, ni équité, prête le flanc se ridiculise à la face du monde. Le Sénégal n’a jamais été aussi bas en élisant un médiocre de toute l’histoire, qui prouve matériellement sa culpabilité avérée sur le terrain du crime. Ce pays n’a jamais connu un tel traitre de naissance atypique du paysage politique. C’est navrant et ahurissant de la part d’un porte malheur.

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