LE BLOG D'AHMADOU DIOP

Affaire D’état/ Adji Sarr : Ou la Démon-Crature Facho Diay dooley Maatey À l’épreuve des faits. Par Ahmadou Diop CPC.

Rien n’y fait. Décidément, le label  capharnaüm, capitulard, revanchard, mal placé, n’y va plus de main morte. Notre pays, le Sénégal se trouve  à jamais dans une zone de turbulence. Son avenir et son développement sont plus que plombés par les platitudes maléfiques  du caniche de l’occident, qui bande ses muscles plastiques par le truchement des moyens de l’état, dont il abuse. ce sont des méthodes usuelles d’un laîche.

 Les mêmes  faits têtus parlent d’eux-mêmes. Nous n’inventons rien. Chassez le naturel, il revient toujours au galop.  Tout régime facho Sphère ethnocentrique, encarté à la charte de l’impérialisme,  est pro colonial par définition, dénie le statut  de résistant à tout africain debout et fier de l’être.   Ce que nous redoutions tant, depuis des jours, se reproduisit encore sous nos yeux.  Le même mode opératoire sévit.

 Le pouvoir calamiteux,  réactionnaire,  chaotique, autoritaire et autocratique, qui promeut  la culture   de la trahison  et Diay dooley   maatey refait surface, utilise les mêmes ressorts,  réquisitionne une fois de plus sa  mécanique ordurière,  qui est  acquise pour  les causes et les faits du négationniste,   devient   le bras armé, la  courroie de transmission  et la  cireuse des bottes du tyran encombrant- doo niit ku bax- avant  sa mort, sa propre mère savait de quoi elle parlait, et pour cause,  connaissait  parfaitement que quiconque   son fils, est  congénitalement  atteint  de  schizophrénie  et de haine viscérale, incorrigible.

Malgré le tapage médiatico-politique à grand renfort de publicité  mensongère, la république de la bamboula, de la pagaille, des rapines et des canailles proxénètes unifiées, tel un cordon ombilical, fait partie des plus corrompues de la planète entière.

Nous avons le devoir moral de le dire tout haut  et à la place publique, sans langue de bois, ni fioritures. Car les postes de nomination TANSABULANEX sont source de banditisme, d’impunité et  d’enrichissements illicites.

 C’est  la même chose pour une certaine nomenklatura politico-religieuse, clientéliste non assumée. C’est du pareil au même  dans un pays à deux vitesses, où les uns n’ont que des passe-droits et des privilèges indus, s’enrichissent allégrement, gloutonnement et en toute impunité, selon leurs postures supposées;  tandis que de l’autre  côté, est classé de second rang, tire le diable par la queue, est lassé et laissé pour compte sur le quai.

Après Karim Wade- qui a été  déporté  au Qatar en catimini en pleine nuit et   éliminé à la course présidentialiste des leurres, Khalifa Sall a subi le même sort. Tous les deux ont été cisaillés, élagués et réduits à leur simple expression, sont considérés comme des malfrats, en ont pour leur grade, pour avoir lorgné le fauteuil tant convoité.

Et le même couperet tombe aussi pour Sonko,  est convoqué par le juge politique, passe à la potence.  Quoique l’on puisse  dire, sera charcuté et  traîné dans la boue, avant d’être kidnappé  et emmené de force à rebeus, le Guantanamo « du petit Mussolini » local, jusqu’à preuve du contraire.     

Alors  qui sera demain, la prochaine cible  et jusqu’à quand  donc ?

 L’assemblage de godillots   a levé froidement  l’immunité du parlementaire, Ousmane Sonko, risque d’être lourdement  condamné à 6 ans d’emprisonnement ferme, pour viol imaginaire  et sur des bases mensongères, d’où la double peine de mort politique  injuste.  

Alors que  l’immunité du tribaliste, traitre,  qui est source d’impunité, ne peut être levée. Deux poids et deux mesures d’une constitution moribonde, a certes  un  caractère prétendument  idyllique,  versatile  et blasphématoire, autorise l’impunité d’un monarque.

 Après, on lui fabrique des chefs d’accusation bidon, qui passeront comme une lettre à la poste.  Tout  comme la crei, la  même servitude et l’assemblée travaillent en concert pour tuer dans l’œuf toute capacité de résistance. 

Pis, la propriétaire du salon,  qui sera convoquée, n’échappera pas non plus au totalitarisme, pour avoir refusé de collaborer,  sera elle aussi condamnée et sur l’autel de la haine viscérale.  Dans la république des proxénètes et des prédateurs, corrompus en bande organisée,  toute voix dissonante  est systématiquement source de délit.  Cela devient une norme établie. C’est du pareil au même  pour ceux qui  savent, doivent  se taire., si non les ennuis commencent.    

Depuis des mois  au Sénégal,  sans discontinuer,  la colère du peuple sénégalais s’amplifie de plus en plus,  gronde et   monte d’un cran ; défraie hystériquement  la chronique,  fait vent debout contre la  dictature de la Démon-Crature  facho sphère, comme système doctrinaire.

Que nenni, le troubadour, le  Technocrate Charlatan, Criminel, Voleur-Violeur,  Chef  de  bande  de la République  des Proxénètes  et des  Prédateurs Corrompus ,  crie  au violeur   imaginaire . Et  malgré tout  le poids de toute une littérature massivement abondante, qui se dresse contre la levée d’immunité du parlementaire, Ousmane Sonko, auteur du célébrissime brûlot : «  Pétrole et gaz au Sénégal.  Chronique d’une spoliation »,  la Démon-Crature  facho sphère,  va-t-en guerre,  persiste  et signe, mordicus, sa  peine de  mort politique, et ce,  par des mécanismes confiscatoires à la démocratie et aux libertés de conscience.   En vérité, à quoi bon d’élire des députés, qui sont censés être des    représentants du peuple par le peuple et pour le peuple ?

Car, dans une certain mesure,  ce dernier est   piétiné, ignoré  et insulté par devers par la volonté d’un seul personnage central, fait régner ses propres lois tyranniques.  Il s’agit bien d’une insulte  et d’un  manque de respect  à l’égard du  pouvoir du peuple,  qui est présumé souverain et indépendant. C’est un leurre.  

Le gouvernement  du peuple  par le peuple et pour le peuple n’est qu’un slogan creux et vide, perd sa substance.  D’autant plus que le président- monarque, chef de parti politique,  sème lui-même  la terreur et la pagaille tout azimut,  est  en même temps, juge et partie- cela  résulte incontestablement  d’un  conflit d’intérêt manifeste.  

 Par le truchement  de sa caisse d’enregistrement  et  de résonance, servile,  le dieu sur terre,  peut lever  à tout moment  l’immunité de tout   parlementaire, via son ramassis de canailles. Aucun député n’est à l’abri de rien. C’est un déni de justice. Cela en  dit long sur un régime fantoche, totalitaire.

Il n’y a rien  de pire  qu’un  pays  entier, qui achète le matériel de répression, qui le tue à petits feux,  se soumet  à la  volonté  d’un individu , qui  se croit  un  dieu sur terre.  Un tel pays,  qui accepte sa condition  d’esclave,  ne mérite que ce qu’il a semé.  

Rien  n’est pire qu’un  dictateur lâche, qui se croit immortel, surhumain et invincible. Le pire malheur qui puisse arriver à un peuple déterminé, composé d’un agrégat d’hommes et de femmes, mus par le même destin et les mêmes valeurs d’honneur, c’est lorsqu’un seul homme,  sous l’autel des postes de nomination  -Tansabula nex- est   sorti des ténèbres, on ne sait où et comment ,  prétend agir sous le  faux manteau  d’un soldat de la république, plutôt que  de servir son propre pays, se sert lui-même, engraisse bassement   pas sa propre famille, qui était  pauvre, très pauvre, hier.

À l’inverse, en Europe,  la plupart des élites, qui sont  aux commandes, préfèrent  plutôt  enrichir et servir davantage  leurs propres  patries respectives, jusqu’à  leur  mort.

 C’est ça la différence entre l’Afrique pauvre et si riche, et l’Europe. En réalité, en lieu et place des véritables patriotes, on passe notre temps à n’élire que des médiocres, des escrocs à l’infini, sans que rien ne puisse  les arrêter.

Jeunes Mackystes ou plutôt Sallistes, ces apéristes chevronnés manquent cruellement d’imagination fertile, préfèrent le terme «  mackystes » en lieu et place de « sallistes »,  pour faire beau.  La terminologie  « sallistes » recouvre-t-elle alors une connotation de saleté ou de salissure,  au point qu’elle est nécessairement  dépréciative, jusqu’à nier l’évidence d’une appellation normale ?

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