Crise migratoire en Europe\ comment en finir avec le Tyran en place et ses pratiques mystiques ? Par Ahmadou Diop.
Immigration \ expatriation\ : L ‘Europe ferme ses frontières, se barricade et ses mesures coercitives. Que faire pour face aux applications interactives des bazars gouvernementaux Ethniques africains ? – Béral loxo seni –doungourou- serviles- sont comptables de l’ immigration en Europe.
Face à l’Europe, qui se barricade et ferme ses frontières, la seule alternative qui veuille, c’est de balayer tous les autocrates africains du pouvoir, qui s’octroient librement des scores fantasmagoriques, dignes d’eux, lors des parodies électorales, si nous voulons endiguer définitivement le mal triomphant ; dont l’asservi, en la personne de Macky Sall, le fourbe, qui est en tète des Grands guignols, sont source de l’immigration, plombent l’émergence du Sénégal et du continent africain. Et pour cause.
Avant la souveraineté internationale des pays africains et la plupart du sud, des post- indépendances formelles, bâillonnées de pacotille, les impérialistes prennent les devants, instaurent, sans l’aval des concernés, le nazisme monétaire du FCFA, puisque à partir de 1945, la conjoncture internationale ne permettait plus que les colonies soient sous du joug colonial.
Alors, l’expansionnisme change savamment alors son fusil d’épaule, élabore des plans stratégiques- surtout dans les pays de l’Afrique centrale, notamment francophone subsahariens, qui demeurent plus que jamais ses esclaves de droit divin.
Pour ce faire, et pour dominer durablement les peuples africains, il fallait donc croquer les élites fantoches, qui restent dociles, malléables et corvéable; et qu’elles y trouvent leurs propres comptes, de sorte qu’elles soient inféodées à l’impérialisme- qui est aujourd’hui baptisé pompeusement – la soi-disant la Communauté Internationale, se compose exclusivement de trois pays – à laquelle s’y ajoutent respectivement la Russie, ex l’URSS et la Chine, le dernier maillon de la chaine par sa capacité, s’impose, joue dans la cour des Grands par la force.
Il était donc nécessaire de mettre sur pied des constitutions factices, moribondes et les copier à l’échelle supra nationale africaine au sein de leurs valet-« bien bénis ».
Et pour arriver à leurs fins, il fallait démanteler à tout prix le régime parlementaire, dont Mamadou Dia était à sa tète, car Senghor, l’homme des français, n’était en définitive, qu’un symbole, puisque la réalité du pouvoir était entre les mains du président du conseil. Le fallacieux prétexte de coup d’état servait pour le remplacer par le régime présidentiel- monarchique, dans les faits établis.
La suite est connue. Ainsi, le monarque- présidentiel, tel qu’il est conçu chez nous sur commande, nomme tous les emplois civils et militaires, détient par devers et contre tous à la fois et le pouvoir exécutif, législatif, judiciaire, parlementaire et médiatique. Il n’y a pas donc de séparation des pouvoirs et un contre-pouvoir, mais une dictature qui tourne en plein régime.
Le paradoxe est que le chef de l’exécutif, prédateur, s’érige aussi la qualité de chef des armées nationales, est juge et partie, cumule en temps la fonction de parti politique, et de président de la république, ce qui fait que les officiers supérieurs ne jouent que leurs rôles de supplétifs, de pantins, fonctionnent comme des marionnettes, sont reléguées au second plan, pour éviter et tuer dans l’œuf tout coup d’état et toute capacité de résistance.
Sous l’habillage fallacieux de protéger la souveraineté nationale, les dictateurs africains signent alors des accords de défense bidon, confiscatoires à la démocratie et des libertés fondamentales des conscience, dont le but est de s’éterniser au pouvoir et protéger les intérêts colonialistes non avoués. Les courbettes, toutes soumises des 14 pays assujettis à la suprémacie du même gendarme colonial s’exécutent à contre sens – et au premier rang desquels le représentant du régime colonial, ou le référent de la Françafrique au Sénégal, livre automatiquement toute l’économie sénégalaise aux entreprises coloniales pour un sou le pétrole et gaz de l’état sénégalais, sans appels d’offres.
Même si pour l’instant, nous dit-on, le pétrole et le gaz n’ont pas encore commencé à être exploités, les milliers de sénégalais déferlent en Europe sans répit, depuis des années. Que va-t-il se passer donc dans les années à venir ? Un avant -gout amer qui n’augure rien de bon.
L’humanité entière, est un vase communicant interactif. Tout déséquilibre, minime, soit-il, se paie cash, et crée systématiquement, des répercussions immédiates, interplanétaires. C’est la règle de la nature humaine. Tel le fil d’un collier qui se brise, toutes les perles tombent. C’est ma conviction.
Alors l’immigration ou l’épineuse patate chaude divise les citoyens et tous les gouvernements européens, déprimés, perdent leur latin, s’accusent mutuellement, se renvoient la balle comme une partie de ping-pong, en se livrant à des guerres surréalistes aigre-doux de communications par presses interposées, sur la question utopique.
Les éléments populistes européanistes les plus bavards et les moins orthodoxes en matière de bonne conduite, font de la surenchère, tentent de fixer les citoyens, de sorte qu’ils soient ferrés, se donnent de la voix, s’y engouffrent dans cette brèche pour rejeter les migrants, qui mangent leur pain.
Emmanuel Macron accable certains pays européens, dont l’Italie, la Hongrie, la Pologne etc., reçoivent massivement la solidarité européenne, mais revendiquent un égoïsme nationaliste.
D’une part, l’immigration résulte de la conséquence directe du colonialisme outrancier, a sa part de responsabilité sur l’équation insoluble en question, car d’autre part, les politiques générales des gouvernements africains fantoches, capitulards, presque tous sous contrôle, s’inscrivent dans la dépendance dynamique, préfèrent porter la corde autour de leurs cous, nous donne la mesure de leur platitude manifeste, face au gendarme colonial, ubiquitaire, le tout-puissant, constitue la clé de voûte du climat délétère.
Les raisons des exils sont multiples diverses et variées. Pour les uns, dont la vie est menacée, se considèrent comme des opposants de premier plan, n’ont d’autres choix que de se sauver, pour des raisons politiques, et dont les sous – sols de leurs regorgent de richesses ressources naturelles.
Pour le cas du Sénégal, où le chômage endémique et l’analphabétisme, atteignent un taux qui avoisine 70% chez les jeunes, aggravent un peu plus la misère galopante en pis, car chez nous il ne suffit pas d’être diplômé, pour avoir un emploi du travail.
À l’instar l’Afrique des fascistes unifiés, le Sénégal, le pays de la Téranga, est aussi géré comme une entreprise personnelle familiale. C’est bien connu. En sus des inégalités sociales criardes et les écarts des salaires grossiers entre les dg de ramassis, qui sont en tète des nombreuses engeances maléfiques, inutiles, décriées, inappropriées par son caractère fondamentalement clientéliste et ceux des citoyens , sont disproportionnés , expliquent en grande partie l’exode crescendo des sénégalais vers l’Europe dite riche, mais plutôt développée.
il est encore temps de remettre les pendules à l’heure pour redéfinir deux termes antagoniques qui s’opposent : c’est-à-dire immigration et expatriation. Selon les spécialistes, l’expatrié blanc, désigne des professionnels hautement qualifiés s’établissant à l’étranger pour des raisons professionnelles , tandis que le terme d’immigré signifie l’indigène, inculte, immigre exclusivement pour des raisons économiques.
La sémantique change avec le label de la délocalisation des entreprises européenne en Afrique et dans le monde, peut être considérée aussi comme une forme d’immigration. Tous les dividendes financiers sont systématiquement rapatriés dans leurs pays d’origine sans contrôle. Or, l’expatriation porte en filigrane une connotation suprémaciste, selon la définition intégriste des auteurs Leuco derme. Et ce n’est tout, puisque la définition dégradante pour désigner les pays du sud, entre dans cette de domination à connotation condescendante : PMA-PVD-APE ? Que sais- je encore ?
Les états n’ont pas d’amis mais des intérêts, disait le cardinal de richelieu. Dans cette même logique en continu, les mêmes puissances de feu qui ont colonisé et réduit les africains en esclaves pendant cinq siècles et par le sang et le travail forcé de ces derniers – ont permis le développement vertigineux de leurs industries lourdes et leurs banques, toutes arrimées à l’anarchie du modélisme capitaliste , déréglé . dont la plupart d’entre eux, en particulier, l’ensemble des 14 honteusement baptisés francophones, sont plus que soumis, ont eu largement le temps de développer des outils de domination– au nombre de cinq [(5) autoproclamés la Communauté internationale faiseurs de roi et d’opinion- font fi des conséquences et ne soucient guère des dégâts collatéraux, signent les yeux fermés des contrats faramineux avec les pays en conflits, se frottent les mains, y tirent leur épingle du jeu, tant que cela perdure. À qui donc profitent les crimes ?
Au Sénégal, les médias de la sarabande clientéliste et le régime coupable, ordurier, pourri, esquivent, occultent à tout prix la thématique fondamentale de l’immigration.
Recep Tayyip Erdogan, est traité de dictateur, gouverne par des décrets, contrôle et monopolise tous les médias publics, a gagné la présidentielle au premier tour, défraie la chronique et cristallise l’actualité internationale chez certains médias hexagonaux, ultraconservateurs, autoproclamés faiseurs de roi et d’opinion, on choisi leur camp .
Du régime parlementaire jusqu’à la réforme du régime présidentiel, voulue par le maître des lieux, détient tous les pouvoirs.
À contrario, lorsqu’il s’agit de la Coalition des Emirats-Arabes en tète de laquelle l’état du wahhabisme saoudien ethnique, génocidaire au Yémen- ou la crise humanitaire des organisations internationales , dénoncent la complicité de l’occident, en particulier, les turpitudes du Caniche de l’occident, encombrant en place au Sénégal et ses collègues despotes africains, la tonalité change en compliments ridicules en faveurs de ses derniers.
Autrement dit, ce que l’on reproche à Erdogan, le faussaire sénégalais, né, en fait sa propre religion, passe sous silence, car l’autocrate, déclaré, confisque tous les médias du service public et privés, place tous ses cancres fidèles captifs « doungourous « de ramassis et sa famille immédiate, biologique dans des structures de l’état de haut niveau, avec les CV bidonnés et expériences farfelues, ne valent pas leur pesant d’or. Le dictateur chouchouté par « ses propriétaires » , détient le triste record des décrets présidentiels indignes, est bien pire que le maître de la Turquie.
Serions –nous vraiment des oublieux pour avaler de nouveau la pilule amère, indigeste et les élucubrations fumeuses pour renouveler les yeux fermés, le mandat bancal d’un nègre de service, menteur professionnel- l’éternel braqueur, qui interdit tout et brave tout le pays, promet plus qu’il n’en fait, place toute sa famille biologique dans le cœur de l’état, avec en prime les nominations à connotations ethniques un village entier ?
La restitution sans conditions des biens immobiliers et les milliards obscurs en liquide du larron, le spécialiste des braquages permanents du nullard – a bien a planqué une colossale fortune à l’abri des regards indiscrets et dans des comptes ouverts dans des paradis fiscaux, y compris sa propre famille immédiate, son clan et ceux des politicards chapardeurs, combinards , rabatteurs jusqu’à la moelle – dont Moustapha Niasse en première loge et Cie, tous goinfrés ploutocrates dévergondés de la tète aux pieds – permettraient à coup sûr de fixer durablement les sénégalais et les sénégalaises, qui bravent les intempéries à tout vent les terres et les mers au péril de leurs vies.
Donc pour dire la vérité, le règlement de compte contre des traitres multimilliardaires, criminels, irrécupérables, devient une urgence impérative et un consensus national auxquels nous devons nous atteler, sans attendre une seule minute de plus. Et cette question de la légitime ne peut être en aucun un tabou, ni constituer une quelconque immunité.
La sécurité des encellulés dépend de leurs geôliers et non des prisonniers eux-mêmes.
La mort du commerçant Masseck Ndiaye Diop connu sous le nom de Seck Ndiaye ou Modou Diop, était dans les liens de la détention policière, avait la fracture crânienne.
Décidément, les morts commencent à compter et les légèretés de la police, encartée se multiplient pour se défausser. après les assassinats de bassirou faye, fatou mlatar, fallou sène net d’autres, la liste macabre des crimes s’allonge en toute impunité, sous le règne du magistère rigoureusement mystique, incarné en la personne du fétichiste, Macky Sall de la tète aux pieds.
Nous n’inventons rien. Macky Sall en chair et en os, le fétichiste déclaré et ses pratiques mystiques, n’a rien à faire que de saluer ouvertement les Saltigués de Malango- avec lesquels il a apparemment des affinités directes – lui prédisent un deuxième mandat pour 2019. L’image est si frappante, au point qu’elle ne passe pas inaperçue. Est-ce donc un ballon de sonde pour préparer encore un autre hold-up électoral à date échue plus gigantesque que celui du référend’Deum en mars 2016, et sur l’autel de l’abondance des sacrifices humains ? Une curiosité incongrue !
Sous la république animiste, trop de morts suspectes sont empilées les unes aux autres, sans que rien ne les arrête pour l’instant. Toute chose est égale par ailleurs. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, et au fur et à mesure que l’on s’approche de la comédie présidentielle, les disparitions étranges et les morts suspectes ne se comptent plus dans le ciel obscurci sénégalais.
Qui peut donc le nier ? Une spécialité apocalyptique des dictateurs africains, qui nous rappelle bien les méthodes affreuses de Mobutu- le défunt autocrate sanguinaire, buveur de sang humain. Son ex-ministre de l’information déclarait, il ya quelques années, l’avoir vu boire un verre de sang humain.
Le mécréant, le superstitieux prétendument président de la république, chef de parti cliniquement clanique, interdit tout, sauf les pratiques douteuses mystiques, s’affiche avec des charlatans, emprisonne à tout vent tous ses adversaires politiques immédiats, par peu bleue, mais protège ses ramassis politicards, bien gloutonnés par les raccourcis scandaleux. Une première dans le monde. Un tel comportement peu glorieux n’est possible qu’en Afrique des clowns criminels.
« Les Sall- Faye » sont en parfaite symbiose avec les Saltigués, constituent une Association de charlatan et de malfaiteurs, terroristes, sont parrainés par le premier escroc de la mal gouvernance, qui se réfugie derrière les grilles d’un palais » alpulaaaro- xamb », s’est –il transformé peu à peu en lieu des fétichistes et des pratiques ignobles ?