De la Rupture Aléatoire À L’inquisition ! Par Ahmadou Diop.
Rappel : l’Inquisition (du mot latin inquisitio signifiant enquête, recherche) était une juridiction spécialisée (autrement dit un tribunal), créée par l’Église catholique romain.
L’Inquisition a été créée au début du XIIIe siècle en France pour traquer les juifs et les musulmans faussement convertis au catholicisme.
Toute chose est égale par ailleurs, puisque l’histoire se répète encore sous nos yeux au Sénégal, notre pays de la Téranga , est redevenu le laboratoire et le ciel ouvert des dérives fascistes du politiquement incapable.
Disons le clairement sans langue de bois, ni ornement ! Toute abdication est systématiquement exclue, au contraire nous devons sévir, en faisant corps et cause commune par l’action matérielle permanente, si nous voulons que la légitime défense triomphe contre le mal, incarné par l’ennemi public n° 1, et l’amener de force à la raison et pour qu’il revienne sur terre et à de meilleurs sentiments.
À défaut, il n’y a que deux options antagoniques : périr ou riposter par le rapport de force qui doit nécessairement changer de camp. Il n’y aura pas d’autre choix possible.
La logique suprémacistes blanche veuille que pour dominer tout un peuple, l’avilir, l’assujettir; le faire douter de lui-même, en désagrégeant toutes les composantes de son agrégat et corrompre, dompter ses élites, les tenir par la cordon et le change et aux moyens de la logistique imparable, bien connue.
Le référent, activiste-passéiste de la Françafrique, versus « le Pétain noir », le valet de service, pour croire pouvoir couvrir ses forfaitures et échapper ainsi à la justice de demain, ne fait pas de la dentelle, dépoussière les vieux schémas décriés, se l’approprie cyniquement à des fins de politique politicienne, déterre hystériquement la hache de guerre tout azimut, ne lésine pas avec les moyens de l’état, mais en abuse dangereusement par ses incursions et ses parades lâches, sans scrupules, ni vergogne, pour traquer tous les citoyens sénégalais qui se dressent contre sa tyrannie dans les terres des réseaux sociaux.
Mais avant tout, nous ouvrons une parenthèse ! Macky Sall pont de l’Émergence dont la Cse est le maître d’œuvre. Le pont de l’Émergence de piètre qualité change maintenant de nom. Insolite !
Le défunt n’a pas besoin de ça. Qu’il le laisse en paix et dieu l’accueille dans son paradis ! Amine ! C’est de la récupération abjectement politique, satanique, sans éthique, ni équité, ni déontologie, porte incontestablement en filigrane des connotations ethniques, comme arrière-plan de bas étage de la part d’un imposteur digne de lui.
Dans une société civilisée, comment accepter qu’une entreprise qui a été payée dans les deniers de l’état, Macky Sall puisse s’arroger le culot de rebaptiser ledit pont à son constructeur, Aliou Sow. Paix à son âme ! Du mimétisme à la Trump. ? Puisqu’il s’agit bien de cela.
Fermons la parenthèse !
Que nenni ! Nonobstant son apparence peu probante, la république de la dynastie des Faye-Sall est calamiteusement d’obédience ethnique, ségrégationniste d’apartheid, intégralement négationniste par la singularité de ses parades subversives, funestes, n’a rien à envier ni à la police de la Stasi, ni au règne de la dynastie des Duvalier-des tontons macoutes, agit à visage découvert au su et au vu de tout le monde, mais a l’outrecuidance d’inverser les rôles, en s’arrogeant faussement sous les défroques victimaires des leurres, et qui prétend jouer piteusement l’estocade contre le terrorisme, est par définition, dans cette trajectoire, même si elle tente vainement de s’en dédouaner par des pirouettes et à bras raccourci.
En vérité, l’arrière cour du colonialisme aux pieds d’argile qui reste plus que jamais sur les plis de la FrançAfrique, ne joue que sur les plates bandes de nos oppresseurs, tente vaille que vaille de souiller sciemment et d’enterrer la remarquable mémoire ineffaçable des panafricains, coriaces, dont le Kamit, reste plus que jamais la référence par excellence de toute l’Afrique réunie, le monument, l’indomptable, visionnaire, scientifique, égyptologue, hors-pair de classe exceptionnelle, la figure emblématique, charismatique de proue, de premier plan, que fut l’incontestable colosse Cheikh Anta Diop, l’auteur, entre autres, de Grandes œuvres Magistrales, en profusion, comme l’attestent admirablement les ouvrages « Nations Nègres et Culture », « Civilisation ou barbarie », tous sont désormais entrés dans la postérité, restent de marbre d’actualité ; et dans lesquels, il y développe magnifiquement les fondements historiques de la Civilisation africaine, berceau de l’humanité, mère de toutes les civilisations, avec les preuves à l’appui.
Le roc le symbole le plus téméraire, le plus célèbre, le plus doué de sa génération, l’icône immortelle la plus tenace de toute l’histoire de l’humanité, nous amène à une évidence, c’est-à-dire d’un être non seulement exceptionnel, aux qualités prodigieuses, infinies, particulièrement rares, mais aussi un être humain puissant au niveau de sa faculté mentale que l’on ne saurait mesurer à sa juste valeur -paix à son âme !
L’entonnoir –passoir-représentée par l’affluence de la servilité des légèretés et des inepties se compilent par des échappées torrides à haut débit, tendant à plaire de ce que le politique en place, veuille bien lire et entendre de sorte que les contrevérités soient de rigueur.
Une certaine presse, pressureuse au visage peu respectable, fait corps et cause commune avec le pouvoir liberticide, s’est encore illustrée une fois par sa platitude manifeste et sa conscience abîmée, et dont l’antipatriotisme n’échappe plus à personne, s’érige constamment en prestataire de service, non assumé, a bu le calice jusqu’à la lie, à dessein de labelliser la tyrannie, et pourvu qu’elle perdure- parce qu’elle y trouve son compte et son miel du jeu du despotisme, prend cause et fait du totalitarisme ambiant à demi mot. Il s’agit d’une apologie alambiquée de la dictature en échange des services rendus.
À quelle fin et à combien s’élève donc la note qui ne peut venir que dans les pillages des deniers de l’état ?
Après la traque sélective des Biens Mal Acquis, au double standard, selon les têtes des clients, l’usurpateur, maître des fraudes massives- comme en témoigne l’éternel braquage électoral permanent en continu, l’étrange rouleau compresseur tente de sévir contre l’ensemble des sénégalais, qui s’expriment librement dans la tribune des réseaux sociaux, le symbole par excellence de l’expression des contradictions politiques, sans quartier.
Pourrait-on accepter l’idée saugrenue, selon laquelle dire la vérité, signifie la prison ?
Le nouveau Caudillo peut-il donc traquer à l’échelle planétaire des milliers de sentinelles sénégalaises pour les embastiller dans son nouveau Guantanamo et pour la gloire « du Mussolini sénégalais, dit « le parisien noir ? » Et Auquel cas la tâche serait impossible à réaliser.
Décidément, les médias de carpe tenus en laisse épargnent la république fantoche des insulteurs des tortionnaires –alimentaires, fonctionnaires politicards rabatteurs des subterfuges, des coups bas, des invectives et ses agitateurs écervelés, n’ont que des insultes à la bouche comme système de contradiction.
Y a-t-il donc deux catégories d’insulteurs qui s’opposent dans notre pays ?
Il n’y a pas « les bons insulteurs d’un côté, les mauvais, les méchants, ou les teigneux » de l’autre.
Alors voudrait-on faire croire que Macky sall, qui est le premier insulteur de la république et sa bande de capharnaüm, dont Moustapha niasse et Cie, soient les bons, tandis que les autres prétendument insulteurs restent les mauvais pour leur grade ? C’est absolument effarant et ubuesque !
Voilà donc le spectacle permanent et le socle d’une gouvernance totalement bancale aux histoires carambouilleuses dans laquelle l’esclandre et les parades de la Rupture Aléatoire À l’État inquisitoire des Faussaires servent de paratonnerre à la démocratie et des libertés fondamentales de conscience.
L’inquisition est-elle donc synonyme d’institution dans l’entendement du tyran ennuyeux, puis qu’il s’agit bien de cela ?
Les tribunaux inquisitoriaux, instrumentalisés, ou les bras armés, sont nécessairement à la solde et sous la botte du despote endurci, ne servent qu’à des fins bassement politiques, pour dire la vérité, rien que la vérité.
Alors, l’inquisition est- elle de nature à pourchasser, traquer sans répit, ni état d’âme, les sentinelles sénégalaises aux bonnes âmes nées, non repenties, où qu’elles puissent se trouver à l’échelle planétaire internationale, pour les convertir, les mouler dans la religion politique totalitaire ? Je le crois en toute intime conviction et pour cause.
L’inquisition et le tout répressif tout azimut, s’institutionnalisent peu à peu dans les substrats phagocytés, pour croire parachever le totalitarisme en continu. Nous ne l’accepterons jamais ! Voilà la sauce et le label d’une rupture des biceps de piètre qualité des gonflés qui agissent sur commande !
Pour cela, la référence propagandiste, indigène, indigeste, s’arroge tout, mélange tout, traite, pactise avec le diable par sa parcimonie, cynique, dont elle a l’unique secret, fait de l’amalgame entre baromètre et thermomètre, renvoie dos à dos toutes les sentinelles qui s’expriment dans la toile, notamment dans les réseaux, qu’elle assimile indignement, en les ravalant, sans discernement comme étant des malfrats, ou des abrutis teigneux, baveux et au nom d’un mépris que l’on ne saurait qualifier .
Les conditions nébuleuses de l’aide à la presse en ligne obéissent systématiquement à une vassalisation de ses chiens de garde.
Le nègre de service ne travaille que par intérim, marche au pas et aux cadences de la politique suprémaciste blanche bon teint.
Et la servilité des Béni–oui–oui de caniveau, harnachée, encartée, encapsulée, au fascisme pesant, à la Goebbels bien gloutonnée, brille par ses légèretés habituelles, décapantes, torrentielles, ne manque jamais de piment, ni d’humour sarcastique de mauvais goût, qu’on lui connaît, se réjouit, se glorifie piteusement des cueillettes anti-panafricaines, à tout vent de jour comme de nuit servent de gagne-pain.
Car la même affluence en jointure avec le maître du braquage électoral permanent, se met à contribution, en continu, fait parler d’elle, ne tarit pas d’éloges complaisants à l’égard du couple présidentiel des folies dépensières, en l’occurrence, les deux personnages idolâtrés de la tyrannie et au nom du culte de la médiocrité le plus loufoque.
Les Sénégalais dans les réseaux sociaux tombent un à un, titre pompeusement, comme d’habitude, l’affluence de la sarabande culotté, encapsulée, met les pieds dans le cambouis. Voilà donc l’exercice auquel se complait la servitude nauséabonde !
Décidément, le politiquement incapable et sa caisse de résonance, d’enregistrement sont devenus la risée du monde.
Que voulez- vous ? Un tel gouvernement calamiteux ne peut qu’avoir une pareille ribambelle de farandoles des ritournelles en toute logique.
Le ridicule ne tue plus dans notre pays étrange et à la renverse. Belle pagaille !
Un peuple quel qu’il soit, ou qu’il puisse se trouver, doit avoir des remparts, des paratonnerres, des sentinelles qui se dressent, se lèvent debout de façon spontanée et fières de l’être contre la tyrannie, pour agir et défendre bec et ongles ses propres intérêts légitimes, qu’ils arrachent par devers et par devoir moral, lorsqu’ils sont mis en jeu par une personne, fut-il un président de la république de circonstance, lequel s’accommode à ses faux bonds, les sacralise contre vents et marées, ne s’appuie que sur les moyens de l’état, dont il abuse dangereusement, et qui va dans le sens contraire de ceux qui l’ont mis à l’endroit.
La maturité politique d’un peuple est toujours proportionnelle au degré de sa conscience pour se prendre lui-même en charge, lorsqu’il s’agit des affaires vitales de la Cité, surtout le pétrole et gaz qui couleront à flot, demain.
Autrement dit, l’amour de son pays, le patriotisme, l’abnégation, le dévouement, se cultivent naturellement en toute conscience et en toute indépendance sur des bases voulues. C’est une question de fibre, de tripes, conscience, de volontarisme et d’altruisme.
En lieu et place d’une bonne gouvernance, l’inquisition reste de mise et la seule clé de voûte.
Alors que le candidat, parangon autoproclamé pour le vrai changement, constituait sa rhétorique fétiche abracadabra savamment élaborée par des conseillers de haut niveau au service de celui qui promettait le paradis terrestre au Sénégal et n’importe quoi, focalisait les esprits innocents, si bien que le verbatim thématique, imparable à grand tambour battant, lors de sa campagne électorale, ne pouvait qu’aboutir qu’aux maigres résultats, bien connus
De la Rupture Aléatoire À l’État inquisitoire des Faussaires du cartel de la République des éternels procès politiques bassement judiciaires de piètre qualité, sont compatibles aux méthodes fascistes du pouvoir encombrant.
Le poursuivant, clinquant, clivant, est visiblement le premier humidifié-Takhrikp -que ces adversaires, immédiats, si riches par le miracle des postes de nomination, qu’il accuse, emprisonne à tout vent, pour un oui ou pour non.
L’irréfléchi, chef de parti, s’est renié sur tout, ne doit sa promotion sociale, bariolée, qu’à l’aune des postes de nomination Tan Sa Boula Nex- et sur fond de l’étourderie manifeste de son ex mentor, qui est lui-même grugé, enfariné, ne voyait rien venir, pille encore, dilapide les deniers de l’état, agit sans contrôle, ni sagesse, mais contrôle tous ses administrés plastiques, empressés , tous sont au garde-à -vous, place hystériquement sans éthique, ni équité, ses adeptes les plus chevronnés, les plus arrogants, n’ont que des casseroles assourdissantes
L’étrange personnage les épargne de la sa justice; alors que dieu sait que la plupart d’entre eux n’ont aucune vertu,, ni compétences, ni expérimentes avérées, se taillent par leur servilité décapante, les postes les plus juteux et des largesses à couper le souffle dans les hautes structures de l’état personnalisé jusqu’à la lie, notamment les corps de contrôle, soi-disant institutionnels, sans compter le bazar ridicule des nombreuses agences- budgétivores, inopportunes, décriées, inutiles dites clientélistes, timbrées, comme étant des engeances maléfiques.
Une bonne partie des gros salaires qu’ils reçoivent mensuellement ne servent en réalité qu’à massifier le parti politique apr- qui est par définition, cliniquement clanique, nous renseigne éloquemment sur le symbole de l’arrogance, prouvé par son caractère à la fois blasphématoire et hégémonique.
Décidément, le vacarme ubuesque, satanique, si bruyant de la chasse aux sorcières continue tout azimut et en toute impunité dans le ciel obscurci sénégalais, depuis le regrettable triste soir du 25 mars 2012.
Pour peu que les citoyens disent tout haut en toute légitimité ce qu’ils pensent dans leur for intérieur, sur la géopolitique du continent, on les met de facto en mandat de dépôt et à la moindre incartade, sous le fallacieux prétexte bidon aux entournures qui obéissent à des légèretés surprenantes, démentielles, notamment sur le nazisme monétaire.
Décidément, la bête immonde taciturne, joue les victimaires des leurres, trouble allégrement l’ordre public du haut de son piédestal, invective tout le monde, sauf ceux qui lui prêtent une allégeance pour se nourrir.
À chaque scandale aussi grossier non élucidé, qui n’en fait pas de défrayer la chronique, d’autres plus chevaleresques, plus coriaces, se corsent, se compilent, reprennent leur droit. S’il y a un responsable unique, coupable, c’est bien lui-même.
L’ancien maître colonial n’intervient plus directement, mais laisse le sale boulot à ses préfets pour sévir sur les terrains des crimes.
Décidément, chez les nègres de service en bande organisée tous tenus par la corde par le gendarme colonial, toute velléité panafricaine est synonyme de Cassius belli. Alors que bizarrement les trahisons compilées les unes après les autres sont forcément source de bénédiction en Afrique des 14 pays tous assujettis. Une particularité burlesque, insolite, immorale même.
Je me passerai des sorties de gros Calibre des Grands économistes financiers Africains, dont les écrits par audio, restent toujours plus que comme un marqueur impérissable.
Depuis les indépendances formelles de la dépendance systématique, dynamique, tous les panafricains trépassent et passent sous les mailles du filet, mais bizarrement, comme par magie, le nazisme monétaire du FCFA est que plus jamais solide et debout dans les 14 pays africains non affranchis du colonialisme.