Déloger le Berger Colonial et Son Co pédigrée, ou le Binôme : une exigence capitale non négociable ! Par ahmadou Diop.
D’abord, faisons un peu de géopolitique internationale pour comprendre le climat délétère international, qui a atteint déjà son paroxysme exceptionnel.
Je veux dire l’homme des dérapages qui passe tout son temps à travers des tweets sévissent par saccades, distribue allégrement des bons et mauvais points aux uns et aux autres à la planète entière ; comme si la politique se résume, se réduit exclusivement à des Bisseps, ou pour jouir du pouvoir.
Même ses premiers collaborateurs les plus proches, les plus verbeux, les plus prolixes, ont lâché du lest, quittent le navire, tels Steve Banon-, l’homme qui a révisé l’accord de l’uranium iranien, se situe dans l’aile droite la plus extrémiste du parti républicain, l’ultra conservateur illuminé , qui fut très chevronné, et proche des milieux suprémacistes kulux klein blancs, comme conseiller spécial principal, au près de Trump a rendu les amarres, comme tant d’autres à la pelle.
Ce n’est pas le droit, ni la justice qu’il défend, tout dépend de la poche des uns et des autres.
Le rouleau compresseur fonctionne à la politique du double standard et à géométrie variable, dégomme et gomme certains pays qui figuraient sur la liste. Bizarre et ridicule. Le soudan a est exclu des pays terroristes et le Tchad y est inscrit de marbre.
Et le nègre de service, le terroriste ségrégationniste, ethnique, encombrant, prit les devants, se rendit aux États-Unis, livre le pétrole à kosmos Energiy pour un sou, échappe à la règle des pays non grata, a signé la présence militaire permanente américaine u Sénégal, figure parmi les bons élèves du piano- américano-français.
Et Donald Trump, qui a suggéré de « virer ces fils de p….. qui ne respecteraient pas l’hymne national, traditionnellement chanté avant une rencontre sportive.
Le chanteur, l’icône Stevie Wonder, est solidaire des sportifs, pose deux pieds à terre.
On se rappelle le discours poignant du Trump qui renvoyait dos à dos les néo-nazis, les membres du Ku-Klux Klan , les groupes suprémacistes blancs, identitaires américains et les militants antiracistes, sont des victimes, tous venus pacifiquement, massivement , pour dénoncer à haute voix la présence à Charlottesville des défenseurs de prétendue race supérieure blanche.
L’islam, ou l’éternel bouc émissaire permanent, est le principalement visé directement, bénéficie des mesures coercitives, comme toujours, en passant par la communauté noire américaine, l’Iran, la Corée du nord, et j’en passe, car tout le monde en a pour son grade.
En effet, le tonitruant ovni multimilliardaire, se distingue et singularise dans le paysage politique de l’Oncle SAM incarné par Donald Trump, l’américain, l’archétype suprémaciste blanc des invectives, des boutades, des sorties décapantes à couper le souffle, dont lui seul à l’unique secret, fait parler de sa personne et continue de défrayer la chronique, depuis qu’il est arrivé au pouvoir par l’esclandre de ses dollars subversifs, sévit sans répit, tant à l’intérieur de son pays, qu’à l’extérieur des frontières américaines. Plus aucun dirigeant du monde n’est à l’abri de rien ? Des scandales qui n’en finissent, s’enchevêtrent les uns aux autres, jamais, d’autres reprennent aussitôt leur droit, dans un pays qui est surtout censé être exemplaire en matière dé démocratie et de droit. C’est un mandat qui commence mal et sent le roussi, n’augure rien de bon.
Le Sénégal et toute l’Afrique sous tutelle coloniale enterrent, dénient volontairement le statut de martyr aux résistants kamit, n’aiment pas ses héros, mais à contrario, bénissent, idolâtrent ses nouveaux traitres bourreaux guignols, tous encartés à la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie. Autrement dit, l’africain ne devient héros que lorsqu’il meurt.
Toute capacité de rappeler l’histoire glorieuse, emblématique des Grands Résistants national est vue sous l’angle d’une monarchie rampante, pérenne.
Or, le comble du paradoxe cataclysmique, veuille que le prétexte fallacieux d’un prétendu universalisme bidon, au nom de l’immoralité de l’école de la codification fasciste, mette en exergue des institutions étrangères colonialistes, servent de référence, dans lesquelles les racailles, minables, faussaires s’érigent immanquablement en institutions de la décadence. En vérité, nous marchons à contre sens de nos valeurs historiques, qui constituaient, jadis, le ciment fédérateur. L’actuel berger colonial au Sénégal symbolise par devers et contre nous tous la régression, mène inlassablement une politique aux antipodes à nos valeurs traditionnelles.
La bande des soi-disant élites politiques, désertiques, cartellisées n’existe que de nom, ont toutes trahi et failli à leur mission régalienne, ne s’intéressent qu’à elles mêmes, ne parlent que d’elles, ne travaillent que pour leur propre promotion sociale, crypto personnel mesquin, oublient délibérément par leur égoïsme ceux qui sont morts pour la patrie.
Ne rien faire face au dictateur et son clone si plastique, pathétique, c’est se soumettre, consentir et abdiquer.
Si nous continuons à rester dans passivité active face au tyran, qui nous insulte, nous met au pas, s’accommodera de la surenchère, fera bénéficier davantage son frère de nouveaux grades décousus et de privilèges abusifs.
Dans cette hypothèse plus que plausible, si nous ne nous fera rien, le mal endémique, ethnique, en pis, triomphera, encore. Qui vole un œuf, vole un bœuf.
En terme clair, nous en avons eu déjà d’abord un parfum et un avant goût, lors des comédies municipales de 2014, notamment àSt Louis, pendant lesquelles le dispositif sécuritaire, impressionnant de la police de la Stasi alignée, avait assiégé totalement la ville, pour introniser son beau-frère, faquin, Mansour Faye, en qualité de maire et de ministre de l’hydraulique et de l’assainissement.
A la suite de ce scandale qui est toujours resté dans nos gorges comme du plomb, s’ensuivent successivement la parodie référendaire –Deum et les tristes abominables expériences, prouvées par les législatives Des Submersions Cataclysmiques, Des abstentionnistes et des maladies : un Sabotage savamment élaboré par Des Professionnels de l’Imposture.
Les résultats de piètre qualité sont connus avec le braquage électoral permanent aux effets multiplicatifs en continu.
Puisque pour ne rien arranger, le professionnel menteur, profanateur dans l’âme, en met systématiquement, comme toujours, des couches épaisses avec le Retour sur l’esclandre d’un Remaniement Ethnique en Continu des Reniements, dans lequel le renégat, l’homme des décrets repositionne une fois de plus par décret Présidentiel, son bras droit, qui n’est rien d’autre que son frère, le complice, bien connu, n’a jamais rien obtenu de lui-même.
Tout ce qu’il a entre les mains vient de son frère, qui est juge et partie. C’est idem pour Macky Sall himsel. Il ne doit sa posture qu’à des postes de nomination Tan Sa Bula Nex, grâce à l’étourderie manifeste de son mentor, qui n’avait rien vu venir.
Ne soyons pas donc surpris de voir cet homme, qui s’est catapulté avec fracas à la direction générale de la caisse de dépôt, acquiert déjà en sus des postes baroques, grâce à la bienveillance tacite de son complice, gravira, demain, de nouveaux degrés, tel le poste de vice-président de la république à la Ouattaracratie !
Si toutefois par malheur- nous ne le souhaitons- car rien n’est exclu, le despote choisit cette mégarde, personne ne pourra dira qu’il ne savait pas, alors que, maintenant, nous savons tous ce qui ce prépare à petit feu, le traitre-pion nègre de service, ne déviera jamais de sa trajectoire, pour parachever la démocratie des Bongo I, Bongo II- des Eyadema I et II, etc.
Quand cela arrivera, il sera trop tard pour bien agir. Car il ne sert à rien de courir. Il faut partir à point.
L’axe colonial savait dans le secret des dieux que le pétrole et le gaz couleraient à flot demain, pour eux, peignait faussement son poulain-mercenaire sous l’habillage des défroques victimaires des leurres n’avait d’autre objectif majeur que de faire main basse sur toutes les ressources vitales du Sénégal.
À cet effet, le nouveau expansionnisme international, capitaliste, versus Françafrique, Mafiafrique des larbins alliés de la trempe du traitre endurci, sous le couvert de la rupture éclopée, aveugle ses radars, ferme intentionnellement ses yeux et pour cause les dérives exponentielles, du régime qui est abonné Adukalpé – tortionnaire, délinquant, calamiteux, moribond, fantoche, indigène, colonial, cliniquement clanique, mis soigneusement en place, n’excellant piteusement que dans les coups bas et par le braquage électoral permanent, et qui agit lamentablement en toute impunité et à visage découvert, depuis hélas, le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012.
Ce qui intéresse de prime abord la démocratie mondialiste des leurres de l’arbitraire et de la tyrannie, ce n’est pas tant le droit inaliénable des peuples à disposer d’eux-mêmes, mais ne cherche qu’à sauvegarder sa propre survie menacée de faim.
Car seul compte pour elle, leur propre droit à sens unique, économique, politique, financier, militaire, idéologique, ou tout simplement la géopolitique internationale, dont le but est de contrôler partout le monde, là où il y a du grain à moudre.
Pour arriver à leurs fins, les impérialistes hégémoniques agissent tous en concert et en harmonie, sans état d’âme et par entente directe, développent et appliquent systématiquement des outils domination à l’encontre des pays où poussent des ressources immenses, extensibles, en particulier, en Afrique des guignol, l’éternelle vache à lait tenue par des élites nègresses des courbettes, matelassées, ou le Far west désigné des Cowboy, qui agissant sans foi ni loi.
Déloger le traitre- pion, telle une huitre sur son rocher, tient bien, demeure plus que jamais sur les plis du piano-Américano-Français, devient nécessairement un impératif.
Pour rappel, le Sénégal, notre pays, que nous aimons tant, telle la prunelle de nos yeux, ne peut pas sous aucun prix,échapper vraiment aux contingences mondiales, obligatoires, spécifiques à chaque peuple, pour assouvir son propre destin et opérer une véritable rupture totale.
Nous avons au sommet de l’état sénégalais des minables traitres de naissance, combinards, multimilliardaires, chenapans, chapardeurs, vampires, monstres des ventrus et joufflus, et dont l’indécence farfelue constitue absolument un euphémisme sidérant.
La Françafrique n’a jamais trouvé portes closes ni au Sénégal, ni dans les 14 pays désignés sordidement francophones.
L’envoyé Spécial Colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar, dénommé le Pétain Noir en chair et en os, plus connu sous le caniche de l’Occident est de loin le chouchou de ses maîtres blancs.
Naturellement, celui qui contrôle les finances, contrôle nécessairement les médias de la servilité, contrôle de facto tout le pays.
L’argent qui est faiseur de roi et d’opinions détermine en vérité les éternels cirques de pacotille. En politique tout se tient.
La culture de la trahison l’emporte sur celle du patriotisme dans nos pays tenus d’une main de fer par des fascistes, préfèrent grossièrement porter la corde au tour de leurs, sont tous assistés matériellement en toutes sortes de logistiques.
C’est la cigale et la fourmi. Comme en témoignent témoignent éloquemment les livraisons d’armes et la médaille Coloniale à l’Américaine, en sus de sa Gratification de la légion d’honneur française en mars 2008.
Les deux se ressemblent textuellement comme deux gouttes d’eau.
Dans ces conditions, nous n’avons d’autre choix que de le déloger dans ses repères en toute légitimité et en toute conscience.
C’est la seule alternative possible qui tienne lieu de rigueur, pour en finir avec le laquais notoire et sa république de la racaille des garnements organisées en syndicat ethnique, familial indigne et pandémique.
L’Afrique est le seule continent au monde où les tyrans tous des défroqués, se travestissent allégrement en capharnaüm sont plus forts que leurs concitoyens.
Dans notre contient, la stature de président de la république autorise tout. C’est un dieu sur terre. L’immoralité est un sacerdoce, une référence salutaire, ubuesque, cataclysmique. Il fait vent debout envers et contre tout.
En Europe et dans les grandes démocraties, gouverner, n’est pas synonyme d’un chèque en blanc.
Mais ici, chez nous, c’est la règle érigée de la gouvernance moribonde, car le pouvoir est une affaire de clans et de famille en Afrique.
Le Sénégal s’érige le champion des donneurs des leçons est plus que jamais tombé bas qu’il ne l’était hier, sous d’autres cieux.
L’arbitre et la tyrannie sont devenus des dogmes les mieux partagés dans les consciences abîmées, phagocytés, érodées, comme étant les normes bien établies.
Direction de la Caisse des dépôts : Macky nomme son frère, s’en faut de tout, foule du pied l’éthique et l’équité s’arcboute, persiste et signe continue ses nominations ethniques, familiales, franchit des pas supplémentaires, fait fi de la morale, parachute une fois de plus son propre frère de lait, le pâteux, fourbe, déjà maire, président des maires du Sénégal, président des élus locaux, banquier, administrateur de plusieurs sociétés, devient maintenant le directeur général des caisses des dépôts.
Sommes-nous dans que pays ? Sommes-nous des moins que rien, pour que nous tous soyons soumis, pour n’être que des sujets et les esclaves du chef des esclaves nègres de service ?
Aujourd’hui, plus qu’hier, la sacro sainte loi d’une dynastie familiale de la dernière heure consanguine, représentée par la cohorte indigne d’une bande de traitres, se transforment en Copédigrées, s’arrogent piteusement le label consensuel contre l’ensemble des sénégalais, qui apparaissent tous accroupis, se plient et se mettent garde-à-vous à la règle tyrannique ethnique, ségrégationniste, négationniste, intégralement corporatiste d’apartheid.
Aujourd’hui, plus qu’hier, le Sénégal, le géant virtuel aux pieds d’argile, démontre la capacité de nuisance des félons abrutis, tortionnaires, minoritaires, sont plus structurés que la majorité des patriotes vaincus, renoue plus que jamais avec le passé mortifère, complote s’agenouille, abdique par son consentement réactionnaire sur toute la ligne, face à la république des chiffonniers alignés, et des fripouilles, pouilleuses apparaissent plus coriaces et plus tenaces jamais que tout le reste du pays réuni qui se laisse dominer
Alors, place maintenant à l’incongruité de république des potentats, guignols, caporalisés par le gendarme colonial, nous recolonise, pille, sévit plus bel que jamais, rempile, diligente tout !
L’éternel, changeant braqueur des parodies électorales s’accroche telle une teigne à ce qu’il sait faire de plus répugnant, dont l’incongruité exceptionnelle, n’est plus, ne doit passer une seule minute au palais. Le renverser n’est plus un tabou. Réveillons-nous de notre torpeur et notre Masla, car nous avons affaire un usurpateur, maitre des scandales torrentiels, ubuesques. En même temps, il nous tambourine avec son dialogue de piètre qualité, il ne recule devant rien pour maintenir abracadabra son prête-nom.
Croire qu’il changera, relève d’une illusion monumentale tant qu’on le laisse faire, plus il rempilera et en mettra des couches épaisses.
Macky Sall, le vulgaire traitre n’a plus sa place au palais, mais à Rebeuss. Il conviendrait donc absolument de le déboulonner pour lui mettre les menottes.
Le pire malheur qui puisse arriver à un peuple, c’est lorsque celui voit le soleil, mais ne l’admet pas.
En lieu et place du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, nous voyons une dynastie de la dernière heure, pathétique, pithiatique, qui s’accapare de tous les postes les plus hauts de l’état.
Pourrions-nous rester les bras croisés, face à un abruti, pouilleux, incurieux, use et abuse dangereusement de sa posture du moment, quotidiennement chaque jour que dieu fait, imprime vaille que vaille sa tyrannique et par l’entregent de la force publique des fripouilles en bande organisée, qui s’exécute bassement sur l’autel de l’égocentrisme horripilant, en échange de galons indus ?
L’histoire appartient aux bons et non à un capharnaüm de moribonds, misérables, coalisés, encordés les uns sur les autres.
.L’ascension fulgurante d’Aliou Sall nous mène directement ipso facto à la monarchie totalitaire.
Si nous n’agissons pas dès maintenant, en y prenant pas garde, l’intégriste politique ethnique pourrait catapulter le paresseux, l’opportuniste, l’arriviste, gonflé, comme le vice-président, à l’instar d’Alassane Ouattara, qui a bien nommé par la parodie référendaire de piètre qualité, Daniel Kablan Duncan au poste de vice-président de la Côte d’Ivoire.
Tant que nous nous évertuons à rester dans somnolence, qui est source d’abdication et de couardise, petit a petit et à coup sûr, le pâteux, gâteux mongolien, l’inculte, franchira de plus en plus des paliers supplémentaires, pour créer la dualité voulue, parentale, concomitante ethnique.