La semaine de la jeunesse, un cadre de dialogue et de réflexion, selon Macky Sall.
Voilà donc un menteur-professionnel, mécréant, profanateur dans l’âme jusqu’à l’abime, qui est toujours pris la main, ipso facto dans le sac, ne s’encombre outre mesure d’aucune parcelle de moralité, n’a la moindre étoffe d’un Kilifeu-ment plus qu’il ne respire ! C’est inscrit dans son ADN en lambeau.
Les mystifications cataclysmiques sont désormais devenues une religion d’état et une pathologie inguérissable chez l’attardé mental, qui est dénommé le Caniche, chouchouté de l’Occident, digne de son rang, s’en accommode piteusement.
Selon la conscience mutilée du nègre de service, les promesses de campagne électorale n’engagent que ceux qui y croient.
Dialoguer, est synonyme d’abus sans vergogne, pour tromper expressément et imposer sa propre loi tyrannique.
C’est bien ça la marque de fabrique du renégat, qui est arrivé par effraction au pouvoir et à cause de l’esclandre de ses mrds de F CFA qu’il a bien volés dans les deniers de publics.
Le personnage curieux n’en démord jamais, n’en a cure, n’a que des faveurs, a bénéficié des privilèges relatifs à sa position d’ancien premier ministre.
Un tel pédigrée indigne, méconnaît totalement les arcanes d’un état régalien, civilisé.
Comme on s’y attendait, la justice politique de la sarabande alignée, instrumentalisée par le fasciste, tortionnaire, au service du despote, juge et partie, condamne 5 ans de prison ferme khalifa Sall.
La bande des marionnettes toujours promptes qui font durer le suspense, pour faire croire à une justice sereine libre, indépendante et souveraine, s’est distinguée davantage et de plus en une fois, a prêté le flanc par sa singularité, ne rend pas jamais un verdict équitable, fondé sur l’éthique et l’équité, au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, mais selon le diktat pathologique du petit » Hitler Nédo ko Bandoum » en place .
En vérité, la séparation des pouvoirs au sens élevé du terme, est devenue une notion abstraite, n’existe pas, lorsque la constitution moribonde autorise par devers la monarchie présidentielle, s’adjuge la piètre qualité de président du haut conseil supérieur de la magistrature, nomme par décret présidentiel et le conseil anticonstitutionnel et ses juges et ses magistrats et les tous les corps de contrôle prétendument institutionnels.
Donc, il n’y a pas d’outrage à magistrat ». La notion d’outrage à des magistrats et ou d’offenses au chef d’état est déshonorée.
Qui offense tout le pouvoir du peuple, si ce n’est le chef de clan et ses valets « doungourous » tous en jointure ? Le député Bathélémy Dias appelle les gens à se mobiliser pour dire non. De toute façon, il est tout à fait légitime que tout le peuple puisse se lever, face à un traitre, qui s’est renié sur toutes ses promesses électorales pour lesquelles il a été élu par dépit et à défaut dans des conditions totalement exceptionnelles inédites.
Rappel : Macky Sall en 2012, défiait le régime de Wade, jusqu’à menacer ouvertement de créer un gouvernement parallèle, en cas de victoire D’Abdoulaye Wade. Qui trouble aujourd’hui l’ordre public, menace la paix, la stabilité, la cohésion sociale et l’unité nationale ? Évidemment, c’est le cancre, médiocre de la référence qui est au plus haut sommet de l’état sénégalais.
Si ce dernier [Abdoulaye Wade] l’avait voulu, il l’aurait arrêté immédiatement pour atteinte à la sureté de l’état et déstabilisation des institutions de la république.
Peut-on parler d’une véritable justice, régalienne impartiale, équidistante, indépendante, libre et souveraine entre le pouvoir politique et ses concurrents, lorsque celle –ci se met au garde-à-vous, fait le sale boulot, est nommée par le président de la république, quoi est en même temps de parti politique, trie au volet ceux que l’on doit juger ou non, selon qu’ils soient au bon ou mauvais endroit ? » koulay abal ay bët molay wax fi ngay xool « .
Quand la justice décriée, dévie de sa trajectoire, abdique par son caractère blasphématoire, et son consentement réactionnaire, s’aligne mécaniquement sur la pensée fasciste d’en haut, il faut la dénoncer tout haut, sans retenue, car elle ne peut être au dessus des lois
Il y a lieu de parler de la lâcheté d’une justice hérétique, embrigadée, laquelle est arrimée à la débauche, se laisse brider par le pouvoir tortionnaire ethnique.
Le despote a-t-il donc gracié khalifa Sall ? Tout est possible. Il n’y a pas de fumée sans feu.
Les rabatteurs, acrobates politicards- mercenaires demandent à Macky Sall de gracier khalifa sall. Cela veut dire que le délinquant dictateur, financier, cynique et lâche de classe exceptionnelle par son banditisme, qui s’arroge le seul juge du Sénégal, connaissait-il déjà le verdict qu’il dictait dans le secret des dieux à son juge, Malick Lamotte ?
Avons-nous affaire à » un BUUR », autoproclamé des Grâces monarchiques ? Tout comme l’affaire Karim, Macky Sall, qui a condamné khalifa Sall, le graciera-t- il, pour le disqualifier de se présenter aux élections présidentielles de 2019 ? Une bien curieuse méthode fasciste de toute l’histoire du Sénégal à nos jours.
Il n’y a aucune surprise sur le verdict tant attendu contre khalifa Sall, le maire de Dakar. C’est la chronique annoncée d’un couperet qui tombe comme un secret de polichinelle. Le planificateur par sa justice interposée de la pensée mécanique, avait déjà fixé d’avance le scénario. Le réfractaire en chair et en os à la démocratie par sa lâcheté gagne à tous les coups, depuis le 25 mars 2012. Telle est la conception limitée sur sa justice dévergondée.
Le pouvoir est si sacré qu’il faille réfléchir à deux fois et rigoureusement avant de le confier à un revanchard rancunier de naissance.
Maintenant la question est de savoir comment nous en sortir du guêpier infernal, en dehors du suffrage universaliste, qui reste la boîte de pandore chez les nègres de service ?
Nous ne pourrions compter sur les comédies électorales. Il n’y a que le rapport de force qui puisse changer l’affront pour corriger le tir, et remettre, demain, notre état de droit sur les rails. Et la CMU ? Un copier coller- de piètre qualité que le nègre de service met en exergue, n’est qu’une vaste escroquerie gigantesque d’un Tissuthèque de mensonges politiques, nous renseignent sur un trompe-l’œil, ou l’habillage surréaliste d’un foutoir, cousu de fil blanc, ne tient pas.
Nos hôpitaux sont devenus des mouroirs, manquent de tout. Pendant qu’il [ Macky Sall ] dilapide à tout vent toutes les finances publiques, voyage partout à l’échelle planétaire internationale, en endettant l’état sénégalais qu’il n’est obligatoire.
Et le Diable, Minable, met en bandoulière l’inutile Centre international Abdou Diouf à Diamniadio, a coûté plus de 50 MRDS de F CFA, pour le plaisir et les beaux yeux du champion de la francophonie, auquel s’ajoutent le coûteux palais présidentiel [100 MRDS de FCFA] et le chantier du Ter inopportun [ avoisine la bagatelle de 1365 MRDS de FCFA, et ceci sur une commande du même gendarme colonial, qui impose sa loi et par devers ses entreprises pour le construire.
On se passe des prétendus bien entendu, des accords de défense avec ses clauses secrètes, qui sont destinés à asseoir durablement l’hégémonie et la mainmise de la France aussi longtemps que cela sera nécessaire, pour protéger simultanément et de façon concomitante ses intérêts et ceux de son valet, chouchouté, immédiat et toute sa famille.
N’en parlons pas du nazisme monétaire, depuis 1945 à nos jours, et ses conséquences cataclysmiques sur le Sénégal !
Plus de 50% des réserves de change sont déposés au trésor français, à travers des comptes d’opération, dans l’ensemble des 14 pays africains, dits honteusement francophones, en tète desquels des fascistes, où le pouvoir se conçoit exclusivement dans la famille et au clanisme.
Et Total, Eiffage dans tout cela ?
Le deuxième, a signé un contrat de 30 ans pour l’autoroute à péage. La souciété française, a l’exclusivité des stations d’essence. La même compagnie pétrolière, renforce son retour entre avec fracas, pour l’exploration et l’exploitation de concessions pétrolières « en offshore profond » au large du pays. À cet effet, elle obtient la signature deux accords :
Le premier accord porte sur le permis de « Rufisque Offshore Profond », au sud de Dakar, « dont Total sera opérateur » et détiendra 90% aux côtés de la Société nationale des pétroles du Sénégal (Petrosen).
Pour le deuxième accord, Total a signé concernant un autre lieu « un accord de coopération » avec Petrosen[ Abdou Rahmane Seck dit Homère, beau-père de Macky Sall, dirige cette entreprise , qui est de droit sénégalais, soi-disant pour réaliser « une étude de la zone en mer très profonde » pour « en déterminer le potentiel » et « devenir opérateur d’un bloc d’exploration ».
NB : le placement d’Abdou Rahmane Seck à Petrosen, est nommé PCA. Ce qui en dit long sur des trahisons multiples, parmi tant d’autres, infinis et à la pelle, dont Macky Sall, est le coupable devant l’histoire.
Et ce n’est pas tout, puisque Orange, qui est une filiale de France Télécom, a le monopole, assure elle seule, la passerelle des Télécommunications du Sénégal. Tout passe au peigne fin.
Et même l’éducation qui n’échappe pas non plus à la règle, sera assurée par les français, sont appelés à former les formateurs sénégalais, sont tous classés de seconde zone.
Et la reconstruction de la langue de barbarie, à St Louis, sera confiée aux mêmes compagnies françaises, qui se frottent les mains, obtiennent automatiquement toutes les parts de marché et sans aucun appel d’offre.
La réélection de la taupe, qui plaide pour la cause coloniale constituera un risque majeur et danger public supplémentaire multiplicatif, le mettra à l’aise, lui permettra de parachever son régime fantoche, décrié. Mais faut-il que nous puissions prendre la mesure de la gravité exceptionnelle ?
Toute chose est égale par ailleurs. L’étrange politique du nullard ressemble fort à celle de son pédigrée, ivoirien, lequel disait que les ivoiriens ne l’aiment pas parce qu’il est musulman. Alors, son acolyte sénégalais, qui lui ressemble comme une goutte d’eau, s’y loge comme une teigne dans cette brèche, se dédouane et se décharge de tout, fulmine « Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri d’un attentat ».
Un tel discours décousu d’un flibustier, imbu de sa personne qu’il se fait de lui-même, est destiné à cristalliser les esprits candides, ne vise qu’à marcher sur les plates bandes des politicards outre atlantique, et pour faire les yeux doux à la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, autoproclamée faiseur de roi et d’opinion.
Le Machiavel en place, passe tout son temps à inverser les rôles, ne prend en compte que sa forfaiture qu’il tente de travestir en label de la bonne gouvernance vertueuse, transparente, que sais- encore ? Le personnage curieux continue sa fuite en avant, s’érige constamment en victimaire des leurres, tandis qu’à yeux, les politiques et les sénégalais, qui dénoncent ses rapines politiques restent et apparaissent tous comme étant les éternels coupables.
Et Le Traitre Satanique Flagorne ses Dysfonctionnements et ses Manquements en vérité éternelle devant l’éternel.
le cynisme profanateur de l’apostat en place, repose essentiellement sur les médias interposés, qu’il monopolise, privatise, comme ses instruments politiques dociles, lesquels plaident pour sa propre cause égoïste.
Le traitre se constitue en éternelle victime, jouit du pouvoir, en sauvant par ricochet et les intérêts colonialistes, place toute sa famille immédiate au cœur de l’état et son ethnie, qu’il harnache par derrière, les considère, et » bénit sa propre loi « .
Alors, si par extraordinaire et dans l’hypothèse impensable, où nous réélirons encore l’imposteur, le fantoche, en 2019, son règne sera plus féroce que ceux des Bongo I, Bongo II et des Eyadema réunis.
Que l’on ne nous dise pas, demain « –YALLA MOKO FALATI MOKO DOGO LATI MOKO FI TEGATI ! «
Sur ce plan là, l’armée nationale a sa large part de responsabilité. Car il n’y aura pas d’autre choix. On ne discute pas avec un traitre-minable, hargneux, qui croit avoir un droit de vie ou de mort sur nous. Il faut lui opposer systématiquement la force d’en face, et qu’il rende le tablier et des comptes. ! Car la coupe est déjà pleine, et tout n’est pas permis dans notre pays, et qu’il se tienne pour dit !
Un voyou est un voyou, un minable est un minable, un voleur est un voleur, un lâche est un lâche, qu’il faut le traiter comme tel.
Le rancunier-revanchard, un voleur Spécial pickpocket de tous les temps, qui s’est lui-même enrichi gloutonnement, abusivement, miraculeusement, scandaleusement et lamentablement par les raccourcis politiques et dans des postes de nomination – Tan Sa Bula Nex de la fourberie- traque, chasse par sa justice instrumentalisée, interposée, ses potentiels concurrents, qu’il accuse d’emprunter les mêmes chemins douteux.
Alors, les discours courtois, modérés, édulcorés, sont désormais obsolètes et bannis. Il faut appeler les choses par leurs noms. Place Maintenant à l’art de la vérité, qui tient lieu de contradictions subliminales et à caractère épistolaire !
Par devoir moral et au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, nous nous inscrivons en porte à faux avec la pensée mécanique, nihiliste, rédhibitoire, selon la quelle un voyou, déclaré, et non éclairé, fût-il un soi-disant de la république de circonstance et ses valets proxénètes, timbrés des hors-la-loi, tous sont casés dans les plus hautes structures de l’état et au nom de l’immoralité suintante.
Et sait dieu qu’ils n’ont ni les compétences, ni les expériences, requises, avérées, ni la moindre intégrité, continuent de bénéficier allégrement des largesses indues de l’incongruité sidérante, s’érigent pitoyablement en gardes- chiourmes, ignobles, du haut de leur ignorance et de leur rang, puissent nous mettre et par leur vacarme démesuré, dans une bouteille en permanence ?
Le peuple Sénégalais, est libre, souverain et indépendant, fera vent débout et fier de l’être, comme un seul homme, vaincra ce larbin, qui sévit de jour comme de nuit en intelligence totale avec nos oppresseurs, n’aura de compte à rendre à qui que ce soit, et quelles que soient la puissance de feu et les logistiques de ses souteneurs, tapis dans l’ombre.
Quand nous sommes menacés par le label d’un franc-maçon, qui s’est transmué lamentablement en malfrat flibustier, faquin lâche, le devoir de réserve qui n’a pas de sens, est source de trahison et de complicité avec le pouvoir ethnique, tortionnaire, n’agit que de la sorte, qu’il considère comme sa seule vocation. Point barre ! C’est la seule solution possible, qui vaille, si nous voulons aller de l’avant, à l’instar des grands pays, qui ont leurs histoires matériellement prouvées.