POLITIQUE

FATICK : Me Bassirou SAKHO veut lutter contre les disparités économiques

Le candidat de la coalition « Gaalu Sénégal » a organisé à 24 heures de la fin de la campagne électorale une journée de récitation du saint coran à son domicile de Peulgha. Pour l’avocat «  c’est  entant que musulman une façon de rendre grâce au tout puissant qui nous a permis de commencer la campagne en paix et espérons la terminer ainsi. La politique est l’art de gérer la cité et cela implique la paix conformément aux enseignements du saint coran. Nous avons un programme concernant les écoles coraniques une fois que nous accédons à la magistrature communale par la grâce de Dieu » annonce Me Bassirou Sakho. 

Me Bassirou Sakho répondait ainsi aux doléances des enseignants coraniques qui souhaitent avoir des terrains ,   des dortoirs pour les apprenants, des  robinets et de meilleures conditions de vie.

La veille,  la tête de liste majoritaire de la coalition « Gaalu Senegal » avait effectué une série de visites de  proximité dans les quartiers de Darel et de Peulgha. Aux populations, la robe noire dira « Mon engagement politique consiste à lutter contre les disparités économiques, l’usage des drogues, le banditisme qui s’installent dans la ville et de libérer les fils de Fatick dans les prisons.  Mais auparavant nous allons faire de sorte qu’ils n’y vont pas même si la prison fait partie de la vie » a plaidé l’avocat.

Selon lui ce sont «  l’oisiveté et la pauvreté qui poussent la jeunesse à toucher aux produits illicites. Si la jeunesse obtient du travail, la criminalité va baisser drastiquement même si elle n’est pas si fréquente à Fatick ».

Abordant le secteur de son programme intitulé « les 23 mesures pour la victoire du 23 » Me Bassirou Sakho propose entre autres «  le pavage des grandes rues de la commune par une jeunesse formée au préalable , de renforcer le système de  canalisations ».

Sur ce,  celui qui se considère comme « le défenseur des Fatickois » se pose des questions. « pourquoi avec une bagatelle de 7 milliards de Fcfa  , tout l’espace communal ne bénéficie pas encore du projet . Et pire, tous les responsables politiques et les personnes nanties sont branchés au système. C’est de la discrimination et c’est pas sérieux » fulmine l’avocat.

 

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