HONTE À L’INJUSTICE D’UNE JUSTICE AU GARDE- À- VOUS ET AUX ORDRES DE LA MÉDIOCRATURE ! PAR AHMADOU DIOP CPC.

LA MÉDIOCRATURE ! PAR AHMADOU DIOP CPC. Décidément, depuis l’arrivée du pion silencieux au plus haut sommet de l’état sénégalais à cause de l’esclandre de ses mrds de FCFA, qu’il a frauduleusement obtenus dans des postes de nomination TAN SABULA NEX. Désormais, chez « les SALL-FAYE-Timbo – Gassama et Cie », tout est permis pour eux seuls, sans vertu ni morale et au nom du label de la Médiocrature nauséabonde. En Afrique, le pouvoir est une affaire de famille et de clans, pour paraphraser le défunt François-Xavier Verschave, auteur de « NOIR Silence Qui arrêtera la Fançafrique ». Une authenticité qui ne serait controversée peu ou prou. C’est bien le cas d’espèce du Casseur du Siècle au Sénégal et le pourvoyeur des consciences abimées.
Mansour faye : «si l’ofnac me convoque je ne répondrai pas ». Il s’agit bien d’une vexation contre l’institution de jouet pour laquelle l’effronté-pantouflard n’a aucun respect.
Le saut de la biche correspond à celui de son faon, dit un adage wolof.
Les injures cataclysmiques, chevaleresques du faquin béni n’augurent rien de bon. S’il a eu autant de culot et un taux adrénaline démesuré, de ne pas répondre à l’ofnac, toutefois qu’il sera convoqué, c’est parce qu’il n’encourt au risque, minime, soit-il, est couvert par l‘autocrate en place. N’en parlons pas d’une douteuse convocation du procureur ou d’un juge. Place à la Démocrature et de la Médiocrature des fétichistes décomplexés, des passe-droits et des privilèges. Je n’invente rien. Les faits parlent d’eux-mêmes. Le palais est devenu le repaire nocturne, insolite des charlatans. Qui n’a pas vu le désarticulé poser avec les Saltigués ?
Le seul procureur réel de la république des corrompus et des prédateurs, fait office de juge, c’est son Kor Marième Faye himself. Il n’y a ni plus ni moins. Au Sénégal et partout en Afrique des tyrans fantoches, il n’y a jamais eu la moindre probante et probable séparation des pouvoirs. Le pays de la Téranga n’est pas une exception, car le tribaliste en chair et en os le prouve à maintes reprises. L’état et lui font un. C’est la reproduction instantanée des nègres de service pantin-satellites et acrobates, sont tous dévoués et ferrés à la charte de l’impérialisme.
Tant qu’ils sont obéissants, leurs maîtres ne piperont pas un seul mot, et quelles que soient leurs dérives et les crimes tous genres qu’ils ont commis. Ils bénéficient dans le secret des dieux et par entente directe et par télépathie de la sacro-sainte loi de l’impunité. Regardons un peu dans le ciel obscurci africain des dictateurs inamovibles ! Et vous serez bien édifiés. Les intérêts économiques, financiers, stratègico-politiques idéologiques passent avant ceux des droits humains.
La servilité présumée solennelle travaille-t-elle sur commande ? Et pour le compte de qui ? Et à quelle fin ? Bizarrement, elle se focalise exclusivement sur le Mali, s’ingère dangereusement dans ses affaires, au point de vouloir l’asphyxier d’une bouchée, tout en faisant profil bas sur les putschistes militaires, qui se déclarent ouvertement eux-mêmes inamovibles, depuis des décennies.
En vérité, nous devons nous inquiéter à juste titre et pour cause. Car en entendant les sorties injurieuses, démentielles d’une canaille de son espèce, qui est digne d’elle, on s’en souvent, lors des parodies municipales de 2014. Hier, le nul inconnu, qui n’a jamais rien obtenu de lui-même, ni émergé d’un pouce, s’est propulsé avec fracas sur la scène politique, en se déclarant avant l’heure et à la fois et la qualité de ramassis de maire de St louis et Ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, et ce, sous la bénédiction active de son gendre, qui demeure comme jamais juge et partie, assiégea ce jour-là, l’ancienne capitale du nord avec un dispositif policier, sécuritaire, impressionnant, hors norme, pour introniser en grande pompe le chenapan.
Pour rappel, l’énergumène qui n’est pas à son coup d’essai, avait déjà défrayé la chronique et attiré les projecteurs au tour de sa personne, au lendemain de sa nomination décriée, comme délégué général à la protection sociale et à la solidarité nationale : « Ce n’est pas parce que Macky Sall est mon beau-frère que je ne mérite pas d’être responsabilisé ». Mon œil ! Voilà les légèretés fumantes et les incantations stériles d’une défense cousue de fil blanc, ne tenant que sur une ligne crête !
L’ostracisme sismique cyniquement visible à ciel ouvert, oblige. Et la courroie de Transmission indécente, qui n’y va sur le dos de la cuillère, agit par devers et en toute impunité, sans remords, ni éthique, ni équité, cuirasse à nouveau son nullard, en le nommant Ministre du développement communautaire, de l’étique Social et Territoriale. Une qualité qui n’existe que de nom. Un tire-l’œil, tendant à caser par la petite porte toute une famille de vermine si nombreuse, dont l’insuffisance et l’immoralité mordante nous laissent tous pantois. Le moins que l’on puisse dire, est que le saut de la biche correspond à celui de faon, dit un adage wolof.
Curieusement, celui qui est sorti de terre on ne sait où et comment, s’est engraissé lamentablement, malgré ses casseroles rituellement infinies, ne dispose que d’un cursus scolaire standard abjectement bidonné, gravit allégrement et au fur à mesure que le temps passe, des échelons indus et une promotion sociale exceptionnelle en crescendo de la démesure bénéficie plus de largesses que n’importe quel sénégalais ou sénégalaise à diplômes équivalents, voire supérieurs, avérés et tangibles. C’est ça la pagaille de la République des canailles en bande organisée des passe-droits et des privilèges d’un système d’apartheid à huis clos, enjolivé et de piètre qualité.
La rupture, la sobriété, l’efficience et la transparence, la patrie avant le parti ; un simple slogan, emphatique, ou le verbiage creux d’un mystificateur éhonté. La rupture n’aura jamais lieu, s’est transformé peu à peu en particratie Familiale « nédo ko bandoum ».
Le chantre du népotisme et du négationnisme, n’en a cure, fait fi de toute décence, accentue et légalise de plus en plus la transhumance, l’achat des consciences à haut débit, sont source de trahison, d’anarchie et de cannibalisme. S’ajoutent en prime le clientélisme d’une certaine nomenklatura politico-religieuse, corrompue est présumée respectable des leurres.
La création du ministre du développement communautaire, de l’étique Social et Territoriale, n’est que du vent. C’est une imposture politique d’un brigand de grand chemin et ses thuriféraires sont devenus miraculeusement si riches, cumulent tous des mandats à propension.
Où est donc la loi emphatique du cumul des mandats ? Où est donc la rigueur dans tout cela ? Et le moulinet insaisissable, fidèle et égal à lui-même fait à tout vent le contraire de ce qu’il dit publiquement. Qui peut donc croire à sa parole donnée ?
Faisons donc vent debout contre l’injustice d’une justice soumise et aux ordres de la république inquisitoire des passe-droits et des privilèges ! Ceux qui refusent de se mouiller ou de se mouler à la secte maçonnique, risqueront gros, en auront naturellement pour leur grade, et seront automatiquement triés au volet et traqués sans merci,. Aliou Sall, Mansour Faye, Mame Mbaye Niang et Cie, que sais-encore, circulent librement en toute circonstance et en toute impunité.
L’ancien directeur du COUD Cheikh Oumar Hann au poste de Ministre de l’enseignement supérieur, l’autre coupable, parmi tant d’autres à la pelle, a bénéficié incongrument d’une promotion sociale rapide et scandaleuse. À contrario, ceux qui ont brouté dans tous les râteliers, échappent étrangement au rouleau compresseur. Il n’est pas étonnant que l’autre écervelé, Mansour Faye, ait la langue pendue et prenne des ailes démesurées, et suive le prétendu ministron de l’enseignement supérieur. La frontière est ténue entre Mansour Faye et son acolyte Cheikh Oumar Hann. C’est du pareil au même.
Car il s’agit bien de cela. Soyons vigilants et sur nos gardes ! Ce que nous avons déjà subi, vu et vécu jusqu’ici n’est que de la fumée. Le pire est devant nous.
Cela veut dire que nous n’ayons jamais eu des institutions fortes, indépendantes, libres et souveraines, contrairement à ce qui est dit ici ou là. On martèle sans retenue d’aucune sorte que Senghor nous a construit un état fort de droit et des institutions régaliennes. Il s’agit tout simplement d’un mensonge grossier, qui résulte d’un enfumage classique. Comment peut-on bâtir un tel état de droit cousu de fil blanc, en marchant sur des cadavres ? Comment peut-on parler d’un régime présidentiel, illégal et illégitime, qui n’a jamais reçu l’approbation généralisée des sénégalais et des sénégalaises par voie référendaire et à l’unanimité ? Il y a lieu de parler d’une hypocrisie qui dit bien son nom. Peut-on parler vraiment d’une justice normale, neutre et impartiale, qui rend les verdicts au nom du peuple par le peuple et pour le peuple ?
Nous assistions au spectacle surréaliste d’une justice injuste, instrumentalisée, tenue en laisse, corrompue, dévoyée et soumise aux ordres. Malgré leur respectabilité apparente, toutes les soi-disant institutions se mettent au garde-à vous, et se réduisent en carpettes bien brossées, ont toutes prêté allégeance au tyran encombrant, pour lequel elles deviennent de plus des jouets farandoles, pour n’être que sous sa botte, et dont la parole n’a jamais valu un sou
Les propos ignobles d’un détraqué opportuniste sont relatifs à sa carence pathologique et par sa platitude criarde. Les postes de nomination tansa bula nex se mesurent exclusivement à l’aune du bazar et au nom de la consanguinité.
Ça , c’est la conception étriquée d’un stérile par ses séquences usuelles et ses ratonnades morbides. Le minable, ou la girouette promeut la culture de la trahison, la corruption à tout vent, le népotisme, l’anarchie et la pagaille, n’est jamais à l’endroit et à la place qu’il faut. Un tel flibustier n’est pas ce qu’il prétend être. C’est un bluffeur incorrigible. Le ridicule ne tue plus.
Le flexible du haut de son rang, le très bavard , qui nous enquiquine du matin au soir, ne doit sa place au soleil, que grâce à sa sœur, Marième Faye, cogérant avec son autre frère, Daouda Faye, la structure bidon- Fondation Servir le Sénégal pour se Servir elle-même et sa famille: une grosse arnaque d’une médiocrature maléfique en lambeaux .
Son impunité et sa lâcheté sont proportionnelles au degré de son rang.Je veux dire le soi-disant édile de St Louis, qui n’a rien obtenu de lui-même, est gratifié plus que d’autre.Voilà à quoi sert d’élire un médiocre, qui s’érige de plus en voleur menteur !
Aussi longtemps que nous resterons ferrés dans notre somnolence dynamique, qui est source de fatalisme et de résignation, le mal de la gouvernance familiale ira en pis. Croire que le bougre de naissance changera relève d’une naïveté déconcertante.
Cela en dit long sur les incertitudes de notre pays, notamment ses intentions malveillantes à l’horizon 2024. Un dictateur ne recule devant rien. C’est un non sens. Face à un ramassis de canailles, de rats et de renégats d’abrutis, requinqués, ragaillardis et euphoriques du pouvoir, nous devons tous agir comme un seul, pour que triomphe à jamais le rapport de force du peuple, qui aura nécessairement le mot. Le pouvoir en Afrique est source de promotion sociale, de brigandages et d’enrichissements illicites.
Miraculeusement, avec une prouesse démesurée, la médiocrature a transformé ses résidus en châteaux. Aujourd’hui, c’est le réveil de la résilience caractérielle d’une racaille, qui jouit ostensiblement du pouvoir par son cynisme renversant. il n’y a que le rapport de force qui pût nous sortir du climat défère infernal auquel nous sommes confrontés et confinés, depuis presque 8 ans, à cause de notre de manque de vigilance, et sur fond de notre étourderie généralisée à l’échelle nationale. C’est si nous sommes réduits comme des citoyens de second rang, c’est parce que nous méritons bien ceux qui nous dirigent. Nous payons donc le prix fort. Comment accepter l’idée que des malfrats puisse imposer leurs lois contre tout un pays entier, soumis, apparaît soumis et ce, par un silence coupable. À chaque situation exceptionnelle, des solutions exceptionnelles, proportionnelles à l’impunité.