Impunité de la bande familiale des Trois : Macky Sall, Aliou Sall et Marième Faye ou le clonage exponentiel « des Cahuzac » Sénégalo- Américano-français ? par Ahmadou Diop
Impunité de la bande familiale des Trois : Macky Sall, Aliou Sall et Marième Faye ou le clonage exponentiel « des Cahuzac » Sénégalo- Américano-français ? par Ahmadou Diop
On ne peut pas se prévaloir d’un gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple et interdire tout le temps et constamment toute manifestation légitime du peuple, en abusant lâchement de la force publique. C’est un cynisme un contre sens et une violation flagrante de la constitution que l’on piétine pour des raisons de politique politicienne.
Pour cela, il faudrait que l’on réfléchisse davantage pour tirer toutes les conséquences sur les comportements antipatriotiques des politicards, notamment sur le cas d’école de Macky Sall, de manière que demain, de telles surprises ne se puissent plus se reproduire à jamais.
Qu’on ne s’y trompe guère, Macky Sall, le hors-la loi, le tonitruant, le rigide, empêtré dans ses contradictions les plus criardes, voyage à tout vent et dépense sans compter l’argent du contribuable sénégalais, qu’il gaspille sur l’échelle planétaire internationale, tendant à se donner une virginité de pacotille et croire pouvoir nous tromper durablement.
Le caméléon, qui s’autoproclame sous le faux postulat de la rupture des mots est à la fois président de la république du Sénégal, cumule la casquette de Secrétaire Général de son propre parti politique, l’apr, cliniquement clanique, mutualise la synergie et assure la maintenance de l’impunité des manières douteuses.
Tant qu’Abdoulaye wade sera en chair et en os sur le terrain, la manifestation aura lieu avec ou sans autorisation, qui est prévue le 14 octobre, le despote Macky Sall connaissant mieux l’homme que quiconque et pour cause, reculera et l’autorisera, jusqu’à preuve du contraire.
Abdoulaye wade avait la latitude de réduire au silence ce nullard pour le faire taire définitivement ou le charcuter politiquement.
Parader dans la rue le 14 octobre 2016, pour exiger la clarté du fichier électoral et rétablir la démocratie bafouée et les libertés fondamentales, c’est à dire la liberté d’expression qui est le premier droit inaliénable de tout peuple souverain, sont non négociables sous aucun prétexte.
Tous les mercenaires tels qu’Ibrahima Sène, qui étaient très bavards hier, changent constamment leur fusil d’épaule en fonction de la météo et selon les rétributions financières, volées dans la poche du contribuable sénégalais, qu’on leur accorde bassement sur l’autel de la corruption, montent au créneau et y font leur miel du jeu de la tyrannie.
En politique tout se tient. Les acteurs politiques adversaires doivent avoir de la poigne et être belliqueux pour que notre Sénégal, soit debout, émergence dans le sens des progrès, plutôt que d’être soumis et au nom de quoi, d’ailleurs ? La rhétorique de caniveau de la part de la caste des vautours n’est qu’une légèreté doublée d’un cynisme mordant, résulte d’un manque chronique d’imagination.
Le droit de marcher et d’exprimer librement son opinion est gravé de marbre dans la constitution. Comme dans toutes les démocraties, les textes de notre Républiques accordent une grande importance aux libertés et à la personne humaine. L’Etat est même tenu de garantir et d’encadrer ces acquis.
Que le préfet de Dakar sache donc qu’il ne lui appartient pas d’apprécier ou non des marches calligraphiées de marbre dans la constitution. Avec ou sans autorisation, le peuple doit marcher pour dénoncer les dysfonctionnements à répétions du chef de l’exécutif, qui passe tout son temps à troubler l’ordre public et interdit tout pour un oui ou pour un non.
Manifester est un droit inaliénable non négociable. Les expressions pacifiques, légales, républicaines ne peuvent être modulables en fonction des humeurs névrotiques du pouvoir impérieux, calamiteux. La marche du peuple aura lieu à date échue le 14 octobre 2016, quoiqu’il arrive, inch allah.
Le fraudeur nègre de service, attitré de l’impérialisme veut créer par tous les moyens un consensus autour de benno bok yakaar, représenté par ce capharnaüm d’escrocs mortifères qui a mangé et continue de brouter constamment dans tous les abreuvoirs. Un rituel piquant.
Aussi longtemps que les dettes exponentielles, les congratulations complaisantes et l’assistanat continueront, pour faire beau et divertir les sénégalais, à la seule fin d’amuser la galerie, tendant à plaire à l’extérieur, cela ne changera d’un iota les conditions des populations astiquées, tant que ce gouvernement ne brisera pas les chaînes et développer librement un partenariat divers et varié sur des bases voulues, pour les seuls intérêts légitimes du peuple, ceci n’est possible que dans le cadre d’une coopération internationale interplanétaire avec à l’appui des accords multilatéraux avec les pays émergents, qu’il aura choisis, en donnant la priorité notamment aux technologies de pointe, l’avenir et le destin d’un pays indépendant, souverain et libre en toute conscience, pour assurer la sécurité de ses frontières, aériennes et terrestres.
Ce qui est dangereux chez Macky Sall et sa cohorte de gouvernance apocalyptique, ethnique, ségrégationniste et négationniste dans son fondement, c’est que la communication de l’intox par la rhétorique de la désinformation et la manipulation des mensonges grossiers constitue une véritable « arme de destruction massive », pernicieuse, destinée à masquer la réalité d’un régime de brigandage, dont la violence est légitimée par les médias de la servilité, s’évertue promptement à diffuser habillement ce que le faussaire en chair et en os et sa bade de capharnaüm talibanisée veuillent entendre, de façon que les sénégalais , soient oublieux, ne réfléchissent pas, y adhèrent mécaniquement , comme de l’argent comptant.
Chez les traitres professionnels politicards, sataniques, les mystifications à propension sont devenues un label béni par rapport à la vérité, réelle, tangible, qui est apparemment source de division consensuelle.
Pour le tonitruant, l’étriqué, le taciturne, autocrate Macky Sall et les suppôts nègres de service, dociles, déclarés- non éclairés, non seulement le pouvoir est une affaire de famille et clans, mais sert de rancunes et de règlements de comptes.
Macky sall , Marième Faye et Aliou Sall, pour ne citer qu’eux, ont manifestement commis les crimes économiques les plus abjects, imprescriptibles de toute l’histoire des tintamarres politico- financiers qu’on ait connus au Sénégal , sont sans commune mesure avec le scandale de Jérôme Cahuzac et madame.
En France et ailleurs par exemple, le président de la république n’a aucune emprise réelle sur la justice.
Affaire Jérôme Cahuzac et madame : le parquet a demandé trois ans de prison ferme assortis de cinq années d’inéligibilité pour l’ex-ministre du budget, symbole de l’évasion fiscale, tandis que la procureure enfonce le clou, a requis une sanction de deux ans de prison ferme à l’encontre de son ex-femme, Patricia Ménard.
La démocratie familiale à la mackysallienne a fait plus de fraudes fiscales et de vols organisés que l’affaire Cahuzac et madame. Tout le magot qu’ils ont obtenu constitue un brigandage financier du début jusqu’ici. C’est plus grave. Celui qui est à la tête de l’état sénégalais, fait partie des pires dictateurs que le continent africain ait connus.il faut le dire tout haut.
Si la justice était libre et indépendante du pouvoir exécutif, totalitaire Macky Sall, le promoteur actif de la corruption et du népotisme, y compris Aliou Sall, qui font partie des pires Cahuzac clones locaux sénégalais, seraient inculpés avec des chefs d’accusation : prises illégales de marchés, fraudes fiscales, banditisme financier , dissimulations de fonds, trahisons, renforcement et blanchiment d’argent sale, enrichissements illicites, gangstérisme familial, abus de pouvoir, extorsions de fonds, chantages, désinformations, manipulations, détournements des deniers de l’état en entreprise familiale terroriste, avec déchéance de leurs nationalités, pour escroqueries exponentielles.
Tous les deux [Macky Sall-Aliou Sall] seraient emprisonnés d’une peine de 30 ans de prison ferme assortis de 15 ans d’inéligibilité et interdiction de sortie du territoire nationale et confiscation de leurs passeports. Marième Faye bénéficierait elle aussi de la même condamnation incompressible, pour recèle, favoritisme, népotisme avec des circonstances aggravées.
HCCT- haut conseil des collectivités territoriales : ou l’hystérie des Comploteurs Combinards Traitres, dont Ousmane Tanor Dieng est à sa tête. Où est la démocratie, lorsque le suffrage indirect se tient à huis clos dans la cour des conseillers qui élisent les membres ?
L’éternel scandale d’un tissuthèque de mensonges grotesques. Le chef de l’exécutif se substitue au peuple et parle à sa place. La souveraineté appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants. Voilà la sauce qu’on sert, mais la réalité est toute autre ! La parodie référendaire, orchestrée savamment par le monarque en chair et en os, qui est passé comme une lettre prouve matériellement le contraire. Et pour cause.
La vraie liberté émanant du peuple dans toute sa composante diverse, est supérieure à celle des élites serviles, qui sont juges et parties, confectionnent habilement des institutions, assujetties et édictées par la sacro-sainte loi des impérialistes, taillée sur mesure pour leur compte.
Ici, chez nous, nous n’avons que des brigands, des criminels économiques, des tueurs de la démocratie et des délinquants financiers en col blanc, attitrés, non repentis. Il n’y a ni plus ni moins. Aucune moralité, ni aucune parcelle ne les habitent, ne les habiteront jusqu’à leur mort. Ils le savent dans leur for intérieur, mais ils s’en foutent de tout, mais n’en ont cure. C’est inscrit dans leur quintessence. La lâcheté est l’apanage des garnements, incorrigibles. Ce qui les unit est supérieur à ce qui les désunit. C’est la règle ubiquitaire des adeptes des incultes unifiés.
Ils n’ont d’autres missions et priorités absolues que de tromper les populations pour que celles-ci demeurent dans l’oubli et l’ignorance, durant toutes leurs vies.