La caste de dépités-sujets et la justice injuste et aux ordres d’un caractériel apparenté trisomique : Institutions sens dessus-dessous ont-elles vraiment un sens et un caractère régalien, institutionnel au Sénégal ? PAR AHMADOU DIOP CPC.
Contrairement aux idées reçues, et n’en déplaise à sa bande cluster bien structurée organisée, nous n’avons guère un président normal, mais un autocrate caractériel visiblement atteint et qui a une déficience intellectuelle. J’y reviendrai tout à l’heure.
Banditisme et impunité d’état mafieux : despotisme, népotisme, clanisme, corruption, scandales, trafics d’influences, interférence, obstruction, instrumentalisation, manipulation de la justice politique, se réduit en auxiliaire de service et le bras armé du régime tortionnaire, prédateur. Les enrichissements illicites, les prévarications, les détournements massifs de fonds publics se multiplient exclusivement dans le camp clientéliste, cliniquement clanique, détient par devers le record absolu et la palme de l’indignité. Et ce n’est pas tout.
Car les milices politiques couvertes dans le secret des dieux, sont visiblement armées de machettes et d’armes à feu, encadrées par les forces de l’ordre, qui sont censées être dépositaires de l’autorité publique, agissent, attaquent régulièrement sur commande, les convois d’opposants en toute impunité et à ciel ouvert, s’érigent en police parallèle. C’est un état dans un état, à l’instar de la république des Duvalier et Cie.
En sus des dérives cataclysmiques confiscatoires à la démocratie et aux libertés fondamentales, les usurpations de fonction font florès sont légalisées (par exemple les milices politiques).
Les préfets sont réquisitionnés, dévoyés et dévoués aux gémonies du tyran pathologiquement atteint de la schizophrénie, ou par extension à la trisomie apparentée et patente, s’exécutent promptement, mécaniquement, interdisent automatiquement toutes manifestations légales autorisées par la constitution, et ce, sous le fallacieux prétexte de trouble à l’ordre public ou de la lutte contre le terrorisme invisible dans le ciel bleu sénégalais, est dégagé de toute terreur peu ou prou. Bizarrement, lors de la dernière parodie présidentialiste de 2019, l’exécutif autoproclamé vainqueur des leurres, corrompu, juge et partie, dicte par devers sa propre loi arbitraire et au nom de la tyrannie, pour faire taire toute voix discordante des opinions libres.
Sans discontinuer, depuis 9 ans, les charrettes d’arrestations burlesques et les cueillettes à tout vent, continuent dans un sens unique, y compris la répression brutale, institutionnalisée pour un oui ou pour un nom, tout azimut, conformément à la sacro-sainte loi, digne de la Gestapo pleuvent, et ce sans merci, pour le triomphalisme de la jouissance, et auxquels se corsent de plus en plus, sans compter les abus de pouvoir massifs et de biens sociaux, trafic de faux passeports diplomatiques et de faux billets de banque, que sais-je encore ?
Depuis le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012 jusqu’à aujourd’hui, le prétendu cheval de Troie de la démocratie, a montré son véritable visage hideux ; s’est radicalement métamorphosé en narcissique affreusement monstrueux, inégalé, inégalable, mortifère doublé d’un culotté versatile, incorrigible, et sur fond de trisomie visiblement évidente, dont le moins que l’on puisse dire, reste curieusement un sujet tabou n’a pas lieu d’être.
Sa duplicité corrodante et son d’adrénaline démesuré, qui lui collent à la peau, s’aggravent de plus en plus, et vont en pis, chaque jour que dieu fait, laissent apparaître à coup sûr un dégingandé totalement, désorienté, eu égard au pouvoir, qui le rend fou, est touché irrémédiablement de cécité, souffre immanquablement et terriblement d’un complexe d’infériorité, irrévocable, abyssal.
Que l’on me comprenne bien, que l’on ne me fasse pas dire, ce que je n’ai pas dit !
Au Sénégal, tout est presque un tabou- une loi de l’omerta- ; surtout quand cela concerne des politicards, présumés notables des leurres, ou une certaine nomenklatura de circonstance, opportuniste et ex nihilo. Il ne s’agit pas d’un quelconque acharnement, ni d’une dénonciation calomnieuse, ni d’une désinformation, pour davantage nuire le concerné, encore moins d’une invention, mais en réalité, les troubles intellectuels sont liés à la personne la trisomie : c’est une donnée scientifique, dont on ne saurait se passer sous silence. Cette maladie génétique peut frapper n’importe qui à sa naissance.
En vérité, cette description correspond bien au pédigrée en d’espèce, Macky Sall, ex nihilo, ou, font le caractériel trisomique, un tire-bouchon ; disons le très clairement, pour être exacts et justes : nous avons affaire à un complexé irrécupérable de la schizonévrose, par nature, ex nihilo.
Le curieux personnage de la surcharge pondérale, dit l’aventurier acariâtre, guignol, est sorti de nulle part et au parcours singulier, cache quelque peu un malade mental, narcissique, exhibitionniste, schizophrène, et dont le comportement anormal, cynique, attentatoire trouble l’ordre public sans qu’on n’y prenne pas garde. Chaque jour que dieu fait et son lot de fadaises les unes après les autres. Et ses séquences convulsives usuelles en cascades reviennent en surface à chaque comédie électoraliste.
À ce prisme, le pouvoir est si sacré, au point qu’il ne peut être en aucun cas entre les mains de n’importe qui. C’est bien le cas de cet aventurier, téméraire, incapable, incontrôlé, incontrôlable, et dont son mental, à bien des égards, est déréglé, névrotique, irascible, qui le prouve matériellement sur le terrain par ses récurrentes ratonnades impulsives, déplorables et démentes.
Même si le sujet fâche, heurte, le caractériel en chair et en os, par ses manières aléatoires, est apparenté atteint de la trisomie 21. Qu’on le veuille ou non. C’est un secret de polichinelle. C’est quoi donc la trisomie ? Elle résulte d’une anomalie génétique et d’une faiblesse d’esprit. C’est celui qui a une déficience intellectuelle d’origine génétique.
En effet, cette déficience intellectuelle entraîne des tares et un complexe d’infériorité. Car le patient veut à tout prix rattraper et compenser ce qu’il n’a jamais pu avoir dans son passé. Sous ce postulat, le caractériel, qui mélange tout, se mêle de tout et n’importe quoi, doit subir un examen psychiatrique et psychanalytique.
L’agitateur qui a une insuffisance intellectuelle, caractérisée ; paraît anormal au regard de ses voyages superflus et ses folies dépensières, grotesques-achats d’un avion neuf A 320, un bateau, construction d’un palais etc., – et par ses déclarations intempestives à l’emporte pièce, notamment ses nominations hystériques, décriées, inopportunes, ont des connotations culturellement ethniques et claniques. Il est partout, ramène tout à lui, fixe le tempo tout seul et les règles du jeu, arrête la fin de la récréation, selon sa propre convenance personnelle. À chaque consultation, il s’accroche mordicus à ses manœuvres dilatoires comme s’il a un droit de vie et de mort sur nous tous.
En effet, et pour rappel, en juillet dernier, j’ai écrit et publié un article intitulé : « Quand Macky Sall, le Fabricateur des Fake News s’inventait une descendance Noble, le 20 mars 2015, à travers une presse hexagonale, et ce sous la signature de son plumitif local ». PAR AHMADOU DIOP CPC.
Nous n’inventons rien. Les faits têtus qui parlent d’eux-mêmes sont là. L’ignare fait feu de tous bois, car ses habituels propos scandaleux, déplacés nous irritent, nous enquiquinent et nous révulsent tant par leurs caractères hystériques, démoniaques, trisomiques, burlesques que sismiques.
Nous en citons quelques uns :
« Les sénégalais ne savent pas là où je suis passé ».
Macky Sall à « Jeune Afrique : «il vaut mieux ne rien publier et cacher son patrimoine».
Sur la réduction de son mandat de 7 à 5 ans, il répond sèchement avec une désinvolture décapante : « Personne ne peut me tordre les bras, les sénégalais n’aiment ni la transparence, ni la vérité, ni la rigueur». Même les marabouts ne sont point épargnés, dont il qualifie par son mépris et par sa suffisance de citoyens ordinaires, et j’en passe. Nous avons à un souffrant. C’est le cas de le dire tout haut et sans langue de bois.
Le 26/01/2016. Vincent Hugeux, écrivain-journaliste au journal français L’express : Vous avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole?
Absolument. Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017.
Cheikh yérim Seck, le très bavard mercenaire, qui fait parler de lui, s’érige le porte-parole officieux non assumé du palais, ex journaliste de JA.
Le journal dans lequel s’exprime étrangement et régulièrement le Caniche de l’occident et à quelle fin et à quel prix ?
Le plumitif qui dit bien son nom, s’accommode abominablement dans son rôle de farandole et de relais du palais, rapporte et titre pompeusement les propos de Macky Sall : « Il faut avoir les yeux bandés pour ne pas voir que le Sénégal a changé ».
De quel Sénégal qui a changé et dans quel sens, nous parle-t-il ?
Alors quand la mal gouvernance népotique, chronique continue plus belle que jamais, entre autres, des faux billets de banque et des faux passeports diplomatiques, de surcroît, des privilèges, des passe-droits dans la république des prédateurs et des soi-disant technocrates, proxénètes en vase clos.
Pis, la corruption tout azimut et massive à haut débit, excès de zèle d’une justice injuste, couchée, instrumentalisée jusqu’à la lie, et auxquels s’y greffent en abondance les dossiers du coud sous coude, que sais-je encore, sont de rigueur, et ce, malgré la tambouille. Rend-t-il donc l’ascenseur à son bienfaiteur ?
Nous ne sommes pas des oublieux, ni des moutons tondus. On se rappelle en 2012. Car dés les premières heures sur l’affaire, Marième Faye,ou les oreilles et les yeux de son époux, a bien rendu visite à Cheikh Yérim Seck qui a maille à partir avec la Justice pour viol sur la fille du magistrat Boubou Diouf Tall.
Je gère les dossiers les plus lourds». Est-ce donc un hasard ? Et la suite est connue.
Depuis quand donc le vendu a eu une relation amicale ou une proximité avec le couple de la mal gouvernance et pour lequel il roule pour ses propres intérêts mal placés ? Lequel couple loin exemplaire, doit leur salut à Abdoulaye wade. Et ce dernier candide, auréolé, flagorné du bout des lèvres par son tombeur et à cause de son étourderie, ne se doutait guère de rien, ignorait totalement les secrets bien gardés du sous-marin américano français, malgré sa fidélité apparente, lorgnait à petit le fauteuil convoité. A l’instar des politicards, les compliments du porte-parole non assumé de la déconfiture n’échappent pas non plus à la règle surréaliste, sont compatibles à l’étroitesse d’esprit du plumitif opportuniste de son espèce. Alors, que si nous étions dans un état de droit, le loquace, ou le repris de justice aurait d’autres soucis à se faire, que de nous ses salades. Mais de qui se moque-t-on ?
Certes, les locales sont importantes et louables, cristallisent les idées, occupent l’actuel politique du moment, et suscitent l’engouement généralisé des sénégalais, défraient hystériquement la chronique, au point que nous perdons notre COC BARMA.
Mais on oublie souvent qu’au-delà des querelles d’arrière boutique et sur fond des guerres internes et de positionnement, il n’en demeure moins pas que malgré les divergences des uns et des autres au sein de la caste timbrée malsaine, portent-elles mêmes le même moule et le mal, qui n’ont que trop duré, se disputent et se partagent entre elles la même ignominie, qui les lie, quoiqu’on dise. Car ce qui les unit est supérieur à ce qui les unit. Par ailleurs, on sait que le mandat des députés prendra fin en 2022.
Les législatives en perspective, sont d’une importance capitale pour l’avenir du Sénégal et, constituent à n’en pas douter, une dynamique salutaire et une date charnière, détermineront l’issue de la présidentielle en 2024, se tiendront-elles à date échue, quoiqu’il arrive, ou au contraire, seront-elles reportées sine die, ou couplées à la présidentielle de 2024, et à quelle fin, selon la volonté personnelle et le désir du tyran impulsif qui s’arroge par devers le maître des horloges des leurres, et dont le moins que l’on puisse dire, ne pourra pas en aucun cas, candidater le moment venu ? Or le très disqualifié, n’a ni politiquement, ni juridiquement, ni la qualité, ni les prérogatives, eu égard au préambule de la constitution. En tout état de cause, il se pose aujourd’hui, une grave crise institutionnelle au Sénégal, que l’on n’ait jamais connue.
D’autre part, manifestement, aujourd’hui, sous l’ère de la mal gouvernance et du banditisme d’état familial et à ciel ouvert, il n’y a pas lieu de parler d’un gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, ni d’un président normal à l’endroit et à la place qu’il faut, encore moins des députés du peuple par le peuple et pour le peuple, mais plutôt d’une sarabande au service d’un trisomique, qui apparaît avoir un droit de vie et de mort sur ses dépités- sujets. Jamais dans notre histoire, le parlementarisme n’a été si dévoyé, décrié et écorné, que sous le magistère d’un intrigant, s’est autoproclamé lui-même le poste de président-monarque en 2019.
Il s’agit de deux soi-disant institutions, imbriquées et interconnectées, telle une toile d’araignée : le débile et ses sujets dépités larbinisés, vassalisés –« taali ñaaret ». La majorité présidentielle- une coquille vide-, dite l’arrière cour martiale du dictateur désertique, ne travaille que sur commande recommandée, la tète baissée et les yeux fermés, agit ouvertement contre les intérêts légitimes du pouvoir du peuple. Car il s’agit bien de cela. Et pour cause.