Selon la Fao, l’objectif principal de cette formation comme première activité du projet, vise à former un noyau de personnes ressources issues des parties prenantes du projet, des acteurs à la base (associations des acteurs) sur la thématique de l’assainissement des coquillages bivalves marins au Sénégal. A cette occasion, Eugene Rurangwa, fonctionnaire principal chargé de sols et eaux au Bureau sous régional de la Fao pour l’Afrique de l’Ouest a rappelé l’importance du secteur de la pêche au Sénégal.
Il a expliqué que cet atelier, qui se tiendra sur deux séquences dont une de deux jours entièrement sur le terrain, contribuera à la formation des opérateurs et des membres des Gie femmes et des coopératives aux bonnes pratiques (Bp) pour la production, l’élevage, la transformation, la purification et la distribution des coquillages au Sénégal (avec plus de 50% des participants composé de femmes de <40 ans d’âge médian).
Il a ajouté que plus de 20 formateurs relais capables de conduire la sensibilisation et des formations aux Bp de production, à l’élevage, à la transformation, à la purification et la distribution des coquillages au Sénégal (avec plus de 50% des participants composé de femmes de <40 ans d’âge médian) seront également formés.
«Je n’ai aucun doute que cet atelier sera l’occasion d’une meilleure appropriation des bonnes pratiques par les personnes en lien direct avec ou opérant dans un segment de la filière (production, récolte, transport, assainissement/épuration, transformation et commercialisation). Nous sommes heureux de compter parmi les participants un nombre important de femmes qui jouent un rôle prédominant dans la filière », a déclaré le responsable de la Fao.
Adou FAYE
