La Galaxie des Proxénètes et les Incartades d’un Multirécidiviste, Prédateur Nègre de Service et « la Caste Des Talla et Cie ». Par Ahmadou Diop.

Insolite ! Macky Sall, le prédateur nègre de service, prédicateur, prédateur et la pègre familiale ethnique : ou le plus grand nègre de service, peint sous les défroques victimaires des leurres, joue sans trêve sur le piano « américano-français »
Comme un conte de fée, le prédateur autocrate, nègre de service, chef de bande de la république ethnique des proxénètes, figure parmi les dirigeants les plus influents au monde dont Ouattara et Cie, révélation de la pensée unique mécanique d’un média de service public atlantique ».
Cela me servira de tremplin. Et pour cause. Le désolant par son verbatim de piètre qualité s’exprime le plus souvent à un certain média occidental d’appartenance étatique, dont il est le chouchou le plus adulé Et le Vassal- Berger colonial béni oui-ou en place, fait partie des dirigeants les plus influents au monde, selon sa grille de lecteur se substitue à nous les sénégalais, tranche unilatéralement à notre place, alors que nous sommes les seuls juges sur la question.
Auquel cas, me semble-t-il, les malfaiteurs traitres nègres de service font l’histoire à la place des bons minoritaires en Afrique soumise et sous tutelle coloniale soft. Une réalité difficile à nier au regard des faits matériels.
Décidément, les pratiques immorales du bouffon chouchouté, deviennent une norme établie et un label.
Le vrai dirigeant exemplaire à la place et à l’endroit, qui le prouve, c’est celui qui a de la valeur ajoutée, de l’empathie pour son peuple, qu’il respecte à la lettre, avec des preuves matérielles à l’appui, et prêche la bonne parole, la droiture, l’égalité entre les citoyens et les citoyennes, en droit comme et en devoirs, n’est ni nombriliste, ni hautain, ni arrogant, ni suffisant, et qui bénéficie unanimement d’une grande popularité intacte dans son pays. L’autocrate, désolant, le symbole affairiste, « Pétain noir » singulier de la régression, est loin d’incarner un responsable, et demeure incontestablement le casseur du siècle et le mal du siècle par ses dérives constantes. Il est tout sauf un homme d’honneur, un dirigeant altruiste.
Ni la santé des populations, ni l’emploi, ni la lutte contre le chômage endémique ne sont jamais dans ses champs d’action. Il n’en a cure, et ne fait que des slogans creux et vides, comme charniers de mensonges empilés les uns et aux autres, du matin au soir.
Après le placement hystérique de toute sa famille immédiate, le pionnier de la démocrature « ouvre les feux », et balise peu à peu le terrain à « l’autre famille des TALLA », en l’occurrence, Mamadou Talla, le professeur, qui a bien joué ce que l’on appelle le rôle de proxénète, pour dire la vérité, puisqu’il s’agit bien de cela. En retour de l’ascenseur, tout le clan est récompensé, gravit des échelons plus que tous les autres sénégalais à diplômes équivalents ou supérieurs. Ainsi, donc marche la république mafieuse et des traitres.
Il est au contraire un usurpateur lâche négationniste, intégralement intégriste, un chef de clan, n’a aucune moralité, ni parole digne, peu ou prou. Les dithyrambiques de ses flagorneurs ne nous engagent pas, compte tenu de ses multiples forfaits. C’est le moins que l’on puisse dire. Après la presse propagandiste mondialiste, qui est présumée faiseur de roi et d’opinion, depuis 2012 à nos jours, comme un secret de polichinelle, plus personne n’ignore que le service public, classé de second rang, la RTS endogène en place, appartient exclusivement à la dynastie –« NEDO KO BANDOUM des TALLA–SALL- FAYE- TIMBO ET GASSAMA »
Au lendemain de la nomination du DG de ramassis de la dite RTS, pour justifier la posture injustifiable du soi-disant DG de ramassis, cumulant en sus la qualité de maire de Wakhinane, la presse de la sarabande titrait pompeusement : « Racine Talla, un visionnaire ». Depuis quand donc, est-il devenu un étrange visionnaire, disais je dans l’Emission INFO AUTREMENT DE NOTRE RADI SUNUKER FM- la première radio panafricaine installée en Californie.
Pour rappel et rafraîchir les mémoires, la nomination de Racine Talla en date du 7 novembre 2012, décriée avait crée une levée de bouclier, et fait couler beaucoup d’encre, défraya la chronique et un scandale, pour avoir lui-même falsifié de façon indécente ses émoluments farfelus de 4, 5 millions FCFA et ses indemnités de logement passèrent de 150 000 francs CFA à un million de francs.
Le professeur Mamadou Tall, présente son élève, Marième Faye à Macky Sall. Un comble d’un proxénétisme aggravé auquel si la justice était libre, indépendante, devrait s’autosaisir, si nous étions dans un état de droit. Sous macky SALL, tout est possible, puisque résigné et mis devant les faits, avait fini par signer le décret en date du 20 février 2013 ses honoraires indus. Alors que son prédécesseur, Babacar Diagne ne percevait que deux millions et 150 millions francs d’indemnités. A l’instar des Sall –faye-timbo et gassama, qui ont tous bénéficié d’une promotion sociale rapide, les Talla à leur tour, ont eu aussi leurs places au soleil. Est-ce parce que Mamadou Talla, a présenté Macky à son élève Marième faye, devient ministre, au point que les mêmes tous, sans exception, ont eu leurs parts du lion de la démesure? C’est la loi de la jungle des lionnes et les lions, n’est-ce pas ? Dans la jungle africaine, où les lions et les lionnes sont rois, les lionnes chassent pendant que les lions paresseux, restent à la maison, et surveillent les petits, en attendant le retour de celle-ci. Regardez mon doigt du côté de la soi-disant structure bidon « Servir le Sénégal », pour asservir le Sénégal, et se servir elle-même et toute la famille, celle que l’on appelle la propriétaire de la permanence de l’apr.Un tel leader charismatique, digne lui, est par définition, tolérant, équidistant, neutre et vierge politiquement, moralement, n’interfère point dans les affaires de la justice, gouverne sereinement dans les règles de l’art, et ce avec toute la rigueur et la retenue, humilité, éthique et équité, ne mêle jamais toute sa famille dans la gestion de l’état, ni ne met jamais au pas sa justice des courbettes et aux ordres pour son propre calendrier illégal et illégitime. Cumul tout azimut des mandats dans les eaux troubles de l’apr. C’est bien ça la conviction d’un ethniciste , inimitable multirécidiviste, prédateur nègre de service et la pègre de la galaxie dite « la caste Des Talla » des ritournelles et des proxénètes made « nédo ko bandoum « » et son éco système enjolivé de la canaillerie en bande organisée. Voilà donc le règne le plus scandaleux d’un régime ethnique de la tête aux pieds. Le paradoxe est que l’extérieur complaisant, qui y trouve son compte, le peint comme le parangon de la démocratie et de la liberté d’expression. ! Ostracisme, banditisme, et hiérarchisation à ciel ouvert des salaires de la démesure, selon l’appartenance de ses thuriféraires bien gloutonnés des postes de nomination tan sa bula nex. C’est bien la Galaxie des Proxénètes et les Incartades d’un Multirécidiviste, Prédateur Nègre de Service et « la Caste Des Talla et Cie ». Dans un gouvernement de bazar, où un amas de vers de terre à caractère culturel, sorti de terre on ne sait où et comment, compte autant de patronymes particuliers bien sonnants, confisquent par devers tous les postes clés, que nécessaires, comme si les compétences et les expériences bidonnées, présumées, se mesurent exclusivement à l’aune des mêmes, un tel pays n’aura point d’avenir, ni se développer, encore moins d’émerger d’un pouce. Nous n’inventons rien. Car les faits têtus, parlent d’eux-mêmes. Le pedigree de la surcharge pondérale, par qui tous les scandales arrivent, n’a rien obtenu de lui-même, tout ce qu’il a entre les mains vient de ses amis. Abdoulaye Wade, son bienfaiteur par étourderie manifeste, a laissé des plumes et crée sa promotion sociale indue. Et même sa propre femme n’échappe à la règle, lui a été offerte sur un plateau d’argent par Mamadou Talla, le professeur de Marième Faye. C’est tout sauf un honneur. Comment accepter l’idée farfelue, paternaliste, selon laquelle celui qui comprime la liberté d’expression, sacralisant la démocratie familiale intégrale, peut être l’un des dirigeants les plus influents ? De qui se moque-t-on ? Le professeur Mamadou Tall, présente son élève, Marième Faye à Macky Sall. Un comble d’un proxénétisme aggravé auquel si la justice était libre, indépendante, devrait s’autosaisir, si nous étions dans un état de droit. Bizarrement, l’enseignant y trouve son envol et son compte, devient un ministre. Pis, les Talla s’y engouffrent tous, au premier rang desquels Racine Talla. C’est ça la république mafieuse de la caste des proxénètes et des racailles pestiférées en bande organisée « NEDO KO BANDOUM ». Mamadou Talla, qui fait partie de la pègre n’est pas le seul. Et ce n’est pas tout. Il y en a à la pelle, contrairement à ce que l’on croit.Tamaro Seydi, notaire, l’une des filles du célèbre milliardaire, Idrissa Seydi, amie de la première dame, et épouse d’Abdoulaye daouda diallo, était l’épouse du défunt ministre, Ousmane masseck ndiaye, fut un pur produit du pds : ex président du conseil économique et social. Marième Faye, cogère la structure, ou la fondation bidon avec son frère, Daouda faye, occupe aujourd’hui L’immeuble Tamaro, qui servait de bureau de Karim wade. La pègre apériste opportuniste s’accommode, et utilise la notoriété d’une famille riche pour échapper à la justice de la Stasi. Car les mêmes personnages curieux, qui ont des mains baladeuses se retrouvent tous dans la chapelle mortifère, blanchissent leur banditisme , dont Awa Coudou Ndiaye, se couple avec Cheikh Kanté, le ténébreux richissime, exubérant guitariste de charme, en autres, Ablaye Baldé, le mari de Aminata Gasssama, La fille cadette de l’homonyme de Macky Sall, Omar Hann, Abdoulaye Sylla, le prête-nom du fils de l’autocrate, y compris la très bavarde mimi Touré, possède elle aussi un gigantesque immobilier dans les mêmes raccourci politiques tan sa bula nex, pour ne citer que ceux là. Dans cet embrouillamini mystificateur, on y trouve tout et en première la caste timbrée, avocate transhumante de la racaille –ripaille nédo ko bandoum. Je pèse bien mes mots et pour cause. Contrairement à ce qu’on nous laisse croire, dans la république capharnaüm, le proxénétisme aggravé, sert de rigueur, dans laquelle, pour avoir sa place au soleil, s’effiloche peu à peu, devient un amas de proxénètes. Alors que le glissement dangereux de l’autocrate dont la l’ivresse au pouvoir abusif ne fait aucun doute. Le virtuose de classe exceptionnelle, ou l’habitacle multirécidiviste des trahisons massives, plus connu sous le nom peu glorieux de chef de service des nègres tenus en laisse, à dessein d’avoir un prestige et une renommée internationale, par sa platitude congénitale, lui collant à la peau, s’aligne et joue nécessairement sur le piano américano-français, malgré son impunité crescendo. le vassal en place et ses pires compères incurables africains, malgré les discours alambiqués des uns et des autres et au nom de la stratégie géopolitique, sont bien reçus avec tous les honneurs et sous les ors des palais feutrés outre atlantique, à qui reçoivent tous les honneurs, parce qu’on leur déroule le tapis rouge, bénéficient de toutes bénéficient paradoxalement d’une large publicité renversante auprès du continent hexagonal, et ce sous le nez et à la barbe de ceux qui sont proclamés les parangons et les distributeurs de la démocratie à l’échelle planétaire internationale. Moustapha Diakhaté n’a plus l’odeur d’une sainteté au niveau de la pègre béni oui-oui, « benno bok yakaar wor woroti sunurewmi deuk ci », a été éjecté de son poste de ministron- conseiller auprès de l’autocrate, fait de l’arbitraire, en choisissant sa proie facile, traite Sibeth Ndiaye, de nègresse de service, mais fait profil bas sur le cas Macky Sall, qui est considéré comme le chef de service des élites paillassonnés. Le label putschiste, pigeon voyageur dans les airs, gourou de la corruption, réfractaire à la démocratie, se trouve toujours hors de nos frontières extra africaines, est déclaré le matelas financier, s’accommode comme étant la caisse de résonance d’un certain média occidental, d’appartenance étatique, devient le chouchou de ce dernier, dont il est un des clients les plus privilégiés, s’y s’exprime régulièrement, en lui donnant la primeur Selon ce média-occidental de service public-paternaliste, Macky Sall, le tonnant, est parmi les dirigeants les plus influents au monde. Un média privilégié auquel le maître de l’esbroufe, est un inconditionnel abonné mordicus par ses litanies démentielles.