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Le Blog D'Ahmadou Diop

La limitation à deux mandats verrouillés : un droit sacré, irrévocable, est non négociable. Par Ahmadou Diop CPC.

 Encore une fois de plus, je le rappelle, tous les mensonges cataclysmiques, grossiers, mènent désormais et directement  au palais de la république des  prédateurs  et des scandales surréalistes  d’un Eco système d’apartheid «  nédo ko bandoum, » timbré des fétichistes, déclarés non éclairés, montrent  leurs visages hideux.

Macky Sall : « le 3ème mandat,  c’est fini pour lui, est un faux débat. Je n’y pense pas ».  Veut-il  encore se dédouaner,  se dédire, et rempiler à la Ouattara  et Cie ? Car celui qui n’est pas affirmatif,  ne dit rien, consent,  ne s’assume pas, reste  flou  et évasif,  entretient le  doute et le suspense, ne confirme,   n’infirme pas, par ses  non dits-ni oui, prêche  à la fois l’ambiguïté totale,  tout  en esquivant  la question.  Le diable en chair et en os,  se croit plus futé  que nous  tous, tente mordicus,  évacue à bras raccourci la question  qui fâche,  du haut de son ignorance sur le régalien,  n’y répond pas.  

Ça, c’est l’attitude scandaleuse et déplaisante  d’un  caractériel atypique, défroqué, versatile et insaisissable, incorrigible renégat, versatile, ne va pas au bout de sa pensée, le prouve.   Mais en tout état de cause, le 3 ème mandat, est nul et non avenu. Puisque la limitation  à deux mandats est un droit inaliénable, irrévocable et non négociable.  

 Qu’il fasse des pieds, pour se ridiculiser,  la dynamique  altérée d’un escroc,  n’aura aucune emprise réelle  sur la détermination du peuple debout, et fier de l’être, arrachera bec et ongles ses droits inaliénables,  quand il le désire, aura, toujours le dernier mot. L’inimitable dictateur, qui est déjà  pris  en flagrant délit plusieurs fois,  comme une teigne,  s’inscrit habituellement dans  des manœuvres  aléatoires  à  la démocratie,  à dessein d’usurper le pouvoir. 

Mais aussi extraordinaire que cela puisse paraître,  une fois qu’il est sous es lambris dorés,  par son incongruité mortifère, l’autocrate, va-t-en en guerre,  l’hypocrite,  a  non seulement  délibérément changé le code électoral pour  lequel il a été élu  dans des circonstances   totalement exceptionnelles,  inédites à défaut et par dépit,, comme si cela ne suffisait pas encore,   il a  supprimé par miracle   aussi en un quart  de tour  en   toute impunité et par-dessus tout,  le poste de premier minstron, et ce, pour se  croire  tout seul comme l’éternel  maître des horloges.  En mars 2016 celui qui nous promettait de réduire son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, fait volte-face, puisque le fameux référendum –DEUM en cours ne concernait son mandat. Le récidiviste rafle la mise, lors des législatives du 30 juillet 2017.  

Et  ce n’est pas tout  Pis en 2019, le monarque, qui  a savamment planifié  sa parodie présidentialiste,  s’est taillé  lui-même sa victoire préfabriquée, Le Sénégal obéissant et taiseux, et place à la galaxie d’un capharnaüm en bloc : confiscation  du suffrage universel, dont les résultats n’ont jamais reflété la vérité des urnes parlantes.

Pour rappel, c’est la règle chez les nègres de service,  qui se convertissent  tous en gouverneurs  dociles pour le triomphe du pré-carré  colonial, qui dicte sa loi, imprime sa marque.

 Dans une démocratie réelle et tangible, il n’est pas acceptable qu’un juge, fût-il gratifié et désigné-on ne sait  par quel miracle- par le président de la république, candidat à sa propre succession,  puisse rendre librement en toute conscience  les résultats des scrutins présidentiels, sont malheureusement passés comme une  lettre à la  poste. Le revoilà  revenir encore  avec ses sabots pour nous faire manger la tambouille.

Voilà  donc les signes avant-coureurs  d’une vaste  supercherie grotesque   savamment entretenue dans le silence absolu.  Pour ce faire, l’organisateur de la parodie présidentielle, sachant d’avance,  qu’il arrachera  par devers son score de 58 %, et ce, sous la baguette magique son magistrat  politique, en l’occurrence Demba Kanji, et la  bénédiction active  des prétendus observateurs étrangers francs-maçons, pour la plupart d’entre eux,  sont présagés faiseurs de roi  et d’opinion,, ont tranché  en lieu et place de nous, les sénégalais,  classés comme des citoyens de seconde zone.

En vérité, nous avons affaire à un kleptocrate, qui ne recule devant rien pour arriver à ses fins de basse besogne. En Afrique des félons, le suffrage universaliste  est synonyme d’escroquerie et de banditisme. Les consultations à grand tapage médiatico-politique ne servent absolument rien.   

Car ceux mêmes  qui prétendent limiter  les deux mandats, les violent leurs propres paroles, se déchargent de tout,  gagnent à tous les coups, se renient eux mêmes sans vergogne et sans scrupules. Autant donc  que nous utilisions d’autres paramètres distincts des cirques électoraux, pour remettre la démocratie sur les rails.  

 Macky Sall,  lui-même-himself,  le talon d’Achille  à la démocratie, ou  le Casseur du Siècle au  Sénégal et ses  casseroles infinies n’a  aucune moralité, ni respecté  peu ou prou  ce à quoi il a été élu,  a  remis maintes fois  le couvercle, et réussi jusqu’ici  toutes les prouesses, pour garantir son impunité corrodante. Maintenant,  malgré tout, il passe à la vitesse supérieure,  en soufflant le chaud et le froid,  par des propos aigre-doux,  à  l’horizon 2024, et  dans l’espoir d’échapper à la justice et par la petite porte.

Omar sarr : “C’est moi qui ai obtenu de Macky Sall la libération de Karim Wade, qui m’a demandé de le cacher à Abdoulaye Wade”. Les coquetteries  absurdes  du larron démasqué   correspondent  au personnage corrompu  parmi tant d’autres, n’ont jamais valu de l’argent comptant.  Et pour cause. Ceux qui se ressemblent, s’assemblent et  qui partagent le même Adn,  se valent tous, finiront par  se retrouver tôt ou tard.  L’envers du décor,  en transe,  ou le vendu  qui  transhume, sans âme,  parle,  se déshonore, agit, s’expose lamentablement,  se découvre lui-même  en lambeau et à visage découvert  et à la  place publique. N’est-ce pas ?   

 En  lieu et place d’une rupture,  l’accident de l’histoire, est le seul justicier, protège indignement sans vertu, ni éthique, ni équité ceux qui  roulent au gré du vent,  ont brouté et mangé dans tous les râteliers, selon la météo du moment et  les rétributions financières de la caisse toxique  à corruptions massives à haut débit.

 Derrière  le symbole de  l’esbroufe,  loufoque jusqu’à l’abime, un autre corrompu, si ridicule  perd ses pédales et ses  marques,  broute nécessairement  dans la même prairie, n’est jamais loin,  déclare : “Si Macky refuse de se présenter en 2024, nous allons lui tordre la main pour qu’il le fasse”. Evidemment, dans la république des  canailles, des traitres-prédateurs élogieux, des privilèges et des passe- droits en bande organisée. C’est le  sauve-qui-peut.   Car  la rhétorique dithyrambique   de caniveau devient systématiquement  un marqueur indécent, sert de rigueur, est un gagne-pain, pour les  mêmes plastiques.

 Le tyran Macky Sall , qui est droit dans ses bottes,  a quelque chose à se reprocher,  reporte  lâchement sine die le calendrier  républicain des locales  et des législatives , comme tout félon  de son espèce, foule du pied la démocratie le suffrage universaliste, qu’il relègue au second plan. Cela dit en long sur ses intentions malveillantes en 2024.

Si par malheur et toutefois,  il  commettrait  l’irréparable,  en  se déclarant  candidat à date échue, nous n’aurions  d’autre choix que de l’arrêter immédiatement  en toute légitimé, pour atteinte à la sécurité de la république, menaces,  rébellion et déclaration de guerre et trouble à l’ordre public contre le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple. 

Et en ce moment là,  il faut  le  déboulonner menottes   aux poignets  et l’emmener à rebeuss et sous bonne garde, à l’instar d’IBK, qui est  en résidence surveillée. Depuis 2012 à nos jours, qui peut compter les scandales ubuesques  à répétitions  les dérives exponentielles d’un bazar, qui sévit à la moindre incartade, et qui bande ses muscles pour un oui ou pour non, abuse, réprime toute velléité démocratique ?

Je le répète et le martèle à chaque instant que cela est nécessaire.  Le voyou  réduit drastiquement les libertés fondamentales  de conscience, passe de plus en plus à la vitesse supérieure, fait fi d’un référendum populaire, en franchisant allégrement de nouveaux paliers, supprimera le poste de ministre, le 4 mai prochain 2019, via sa mécanique automatique de jouets,  se confine dans son rôle de caisse d’enregistrement et de résonance, avait voté machinalement, les yeux fermés, la modification  de la constitution moribonde.

Et le Sénégal libre,  souverain et indépendant  n’aura aucun compte  à rendre à qui que ce soit.  Que cela soit clair !  On ne peut pas dialoguer  avec traitre incurable  et  qui apparaît inflexible,  sourd, aveugle et muet, qui se croit surhumain, immortel et invincible, s’appuyant  lâchement   et dangereusement des moyens de l’état. Alors que son devancier avait toute la latitude  de charcuter  le satellite –pantin asservi, pour le  réduire définitivement  en charpie et  au silence, en le traînant dans la boue, comme un malfrat, si bien qu’il ne serait pas là pour en enquiquiner par ses ratonnades, dont il a l’unique secret.  La pilule ne passera pas ! Quand le vase est plein, il  déborde.  Nous ne sommes pas  ni des gueux,  ni ses sujets crevables,  modulables, taillables à merci,  encore moins ses moutonniers tondus. C’est la force qui arrête la force. Qu’il vante ou pleuve, le 3 éme mandat ne s’impose pas et peut pas se discuter et  d’ailleurs au nom de quoi ? Auquel cas notre existence n’aura plus de sens.

Alors,  ce prisme là, la  limitation  à deux mandats verrouillés : un  droit sacré,  irrévocable,  est  non négociable.  Le droit international présumé, est-il donc à géométrie variable, selon les pays du sud et ceux du nord ? Que l’étourdi se le tienne pour dit !

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