La Loi de l’Omerta Face à la Justice à Scandales et aux Ordres\L’Opium du Peuple en Intelligence avec l’Agenda du Régime de l’Engeance Coloniale en place. Par Ahmadou Diop.
En Afrique des larbins, sans exception- tous les médiocres de référence- les plus structurés, ont le vent en poupe en Afrique dite francophone sous tutelle. C’est la règle. La justice aux ordres, est ferrée au régime colonial du Caniche de l’occident, car tous les deux rejoignent désormais la Caste de la Cour fermée des pires dictateurs africains.
La révocation cynique du maire de Dakar, qui défraie hystériquement la chronique, est un décret fort de café abusif, abject, immoral, de la part d’un vagabond, endurci, devrait nous servir de déclic pour le virer définitivement, pour en finir avec lui.
Un tel abus qui n’en est pas un constitue manifestement à nos yeux un conflit d’intérêt, dans les faits. Ses actes permanents, répréhensibles, mortifères, ne sont jamais neutres pour quelqu’un, qui s’autoproclamait à grand tapage Médiatico-politique national et international, comme étant le Parangon et la Colonne Vertébrale de la rupture- mon œil ! À beau mentir qui vient loin ! Qui parle, se découvre, s’expose à la place publique ! En terme clair, » ku wax feñ, ku jef feñ ».
Évidement, derrière un menteur professionnel, profanateur, mécréant dans l’âme, se cache nécessairement un voleur, est pris constamment la main dans le sac. Qui peut donc le nier ?
Nous qui sommes membres Actifs de la Conscience Patriotique pour le Changement » XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW » \CPC\ nous condamnons fermement jusqu’à la dernière énergie le casus belli de l’agitateur. Lequel n’a jamais ni de près, ni de loin, la moindre étoffe d’un chef d’état, mais donne les preuves matérielles d’un chef de parti cliniquement clanique.
Ne leurrons pas, et disons clairement les choses en toute connaissance de cause, en toute logique, en toute indépendance, en conscience en toute conviction sur des bases voulues. L’incompétence s’arrête à Macky Sall , l’imposteur, qui le prouve éloquemment matériellement sur le terrain du crime, en tordant par peur ses adversaires. Plus incompétent que lui tu n’existes pas.
Ce n’est pas parce qu’il a été élu dans des conditions exceptionnelles, inédites qu’il mérite sa place, loin delà, tant s’en faut. D’une part au Sénégal et en Afrique sur l’échelle continentale, le vote irrationnel ne reflète nullement une volonté politique populaire, d’autre part, résulte incontestablement et exclusivement de la puissance de l’argent, volé dans les caisses de l’état. Nous avons tous commis une faute politique et une erreur de casting sur le guignol, qui donnait l’impression d’un fidèle à son ex mentor, qu’il a trahi lui-même, alors qu’il était de mèche avec nos oppresseurs.
C’est bien le cas avéré de l’agitateur servile en place, nous a trompés, et nous a trahis du début jusqu’ici en impunité toute sur toute la ligne. Il a été propulsé sur le devant de la scène nationale et internationale par les médias de la référence propagandiste, le peignait faussement sur des oripeaux victimaires des leurres. Parce qu’à l’époque, les sénégalais, grugés par leur étourderie massive généralisée, espéraient naïvement un changement dans le sens du progrès. Le vote de 2012, suiviste était protestataire, ne visait en réalité, qu’à sanctionner mécaniquement Abdoulaye wade et son clan. Maintenant, nous vivons un calvaire. N’eut été donc sa nomination tan sa boula, qui s’est transformé curieusement un cancre, ne serait pas connu, et vivrait certainement dans l’anonymat total. Il passe tout son temps à mentir de plus en plus. C’est un tic pathologique chez lui. Il le sait parfait dans son âme qui est totale putréfaction.
À quelques encablures des présidentielles en 2012, Si Abdoulaye Wade, l’avait voulu au bon moment, il aurait pu modifier aisément et sans entrave aucune la loi du code électoral par l’entregent de l’assemblée nationale, qui lui était totalement acquise, pouvait nuire intentionnellement et réduire au silence ces adversaires politiques immédiats, en particulier, le faussaire né, numéro 1, Macky Sall, l’homme des éternelles casseroles et des coups tordus, qui se donne une respectabilité de façade, lui est totalement redevable, s’est bien pourtant bien enrichi gloutonnement, s’est transformé miraculeusement en Casseur du Siècle au Sénégal et dans des conditions abominablement scandaleuses par les blâmables raccourcis politiques.
Un tel pickpocket, irrécupérable, aurait pu avoir sans doute d’autres préoccupations, à fortiori de vouloir candidater au poste de la république. Voilà donc une girouette arrogante, imprévisible, se dresse à monstre sournois, typique, démoniaque, sectaire par définition, ne dispose d’aucune vision politique papable et en terme de développement pérenne et de démocratie, n’ a que des invectives des paramètres de la répression dans son champ d’action, laisse sciemment mourir les sénégalais dans mers et sur terre. Même nos hôpitaux, sont devenus des mouroirs, mais l’étrange détrousseur s’en faut éperdument de tout, s’engraisse telle une bourrique de plus en plus, en arrosant de même sa bande de racailles unifiées, agit plutôt à ciel ouvert, sans état d’âme, ni scrupules, ni vertu, ni éthique, ni équité, selon sa propre personne imbue, qu’il se fait de lui-même et ses pulsions névrotiques, et, dont la rengaine exceptionnelle par le vacarme du paroxysme et son cynisme, repoussant , décapant, incommensurable, inique, constituent immanquablement un mal du siècle au Sénégal ! Ce qui est déjà source d’inquiétude, plombe plus davantage l’avenir de notre cher pays.
Or, l’irréfléchi, digne lui, combinard dans l’âme jusqu’à la moelle, est à la fois oublieux, suffisant et caractériel, est arrivé au pouvoir par effraction, n’a que la mémoire courte par son banditisme financier international, et par ses manquements à répétitions, dont il a l’unique secret devant et l’éternel, abuse dangereusement des pouvoirs exorbitants que lui confère la constitution moribonde.
Pour arriver à ses fins comme tout fasciste machiavel, déclaré, qui lui colle à la peau, ourdit tout et diligente tout par derrière, et contre toute attente, fait le contre pied de son devancier, réquisitionne son armada d’ouailles, estampillées honteusement de dépités de service et de sinécures. Lesquels à six mois de la présidentielle de février 2012, tels des moutonniers mouillent tous le maillot et s’empressent servilement de modifier mécaniquement l’article L 57, de manière à exclure intentionnellement, librement et en toute impunité des adversaires gênants, qui lui donneraient du fil à retordre, lors de la comédie électorale permanente, à l’issue de laquelle le simulacre des parodies ubuesques se joueront nécessairement dans la cour des voleurs en bande organisée.
Pour ce faire, pour éliminer savamment ceux qui lui font de l’ombre, de sorte que ces derniers soient disqualifiés tant sur le plan juridique que politique. Le premier chapardeur humidifié Taxrip fait des pieds et des mains, et donne des instructions de façon souterraine à sa justice aux ordres d’auxiliaires de service, qui se chargent lamentablement de s’exécuter promptement, et condamner ainsi les présumés coupables, qui doivent tomber nécessairement dans le panier de crabes et sous le coup de la loi votée en catimini . Et le tour sera joué.
C’est ça la stratégie mensongère du nègre, pègre de service encombrant, ne nomme, ne gratifie que les prétendus juges les plus dociles pour sa propre cause . C’est le propre de faire de tout despote de son rang, qui le prouve. Un juge, qui dévie de sa déontologie professionnelle en toute connaissance de cause, obéit machinalement au doigt et à l’œil du tyran encombrant, ne mérite aucun respect, ni égard, n’autorise pas tout, ne peut être au dessus des lois. La vraie justice de l’ivraie est sacrée, impartiale, doit être affranchie du pouvoir exécutif, a l’obligation de rendre les verdicts à son intime conviction, au nom du peuple et pour le peuple et par le peuple, ne peut être ni asservie, ou arrimée au calendrier pressant d’un guignol tribaliste, comique, qui se défausse en permanence et jusqu’à en faire sa religion ,et qui se décharge de tout à tout vent, devient changeant, telle une girouette, comme si il a droit de vie et de mort sur nous tous.
karim wade et khalifa Sall sont disqualifiés de la course présidentielle de 2019, après que leurs peaux sont traînées dans la boue. Cerise sur le gâteau, le chien de garde des intérêts impérialistes capitalistes, en met des couches par ses dérives permanentes, pour rien arranger, révoque royalement par décret présidentiel l’édile de Dakar. Décidément, les trois pays les plus bavards sur la planète entière, et qui s’octroient le parangon et le distributeur automatique de la démocratie, brillent dans leur silence, ne réagissent pas, feignent de rien voir, n’entendent rien, alors qu’ils étaient très impliqués sur les droits de l’homme au Sénégal en 2011, jusqu’à avoir eu le délit d’ingérence directe dans les affaires sénégalo-sénégalaises de l’état du Sénégal.
Tel un mouton de panurge aligné, une certaine presse étrangère, propagandiste de référence, qui se dédouane de tout, titre pompeusement « Karim Wade et khalifa Sall quasiment hors course pour la présidentielle », se contente de réciter textuellement les décisions totalitaires du régime colonial en place, ne commente pas les dénis de justice et la tyrannie du pouvoir tortionnaire des libertés fondamentales, alors que sous d’autres cieux, était rigoureusement très loquace hier, s’autoproclamait le cheval de Troie et le porte-drapeau de la démocratie, en 2012.
La tonalité change de camp, lorsqu’il s’agit du valet nègre de service de l’occident, béni, chouchouté et adulé, dont l’immoralité suintante correspond à son degré d’inféodation à la Françafrique, à la quelle il se plie fidèlement. Un peuple entier ne doit se laisser dominer par un minable par son ignorance sur la marche d’un état régalien, fût –il un soi-disant président- monarque, qui est venu au pouvoir à cause de l’esclandre de ses mrds FCFA, qu’il a frauduleusement subtilisés dans les deniers de l’état.
Nous ne cesserons de le répéter, le monde appartient à ceux qui ont une histoire glorieuse, matérielle sur le terrain. Sommes-nous alors des maudits pour nous laisser divertir, emberlificoter par un vulgaire, chenapan, a bien perdu sa raison d’être ? Toutefois que le bourreau remportera les cirques électoraux en 2019, tout le Sénégal et nous tous, sortirons définitivement de l’histoire pour n’y être entrés, quoi que nous fassions demain. Battre le fer tant qu’il est chaud, par rapport au degré de l’impunité du Berger colonial, à l’instar des grands pays démocratiques.
Le lâche boucher criminel, politique notoire, se complaît dangereusement par l’abondance de ses ratonnades, nauséabondes de ses cavalcades en cascades et par ses décrets démentiels, torrentiels de la foutaise. C’est une première dans toute l’histoire du Sénégal, d’un régime colonial, pantouflard par sa bassesse immonde, exceptionnelle. Un masque de théâtre qu’on n’ait jamais jusqu’ici dans notre pays étrange et à la renverse.
Macky avertit Karim : “Nous n’accepterons plus que nos magistrats soient insultés“. Un tel discours de caniveau ne vaut rien, n’a pas son pesant d’or. Si la justice, dévoyée, hérétique, est en faillite totale, ne rend pas les verdicts, à son intime conviction, au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, s’écarte dangereusement de son chemin de son chemin, pour lequel elle doit son existence, persiste, et signe, en s’encartant mécaniquement de sa voie régalienne, et ne prend compte que les causes et les faits d’un despote, qui agit par devers sans éthique, ni équité, ne s’encombre d’aucune parcelle de moralité, visible, peu ou prou, il faudrait absolument la récuser, quoiqu’elle puisse faire et à la place publique-CI SUNU DIG PENC MI à haute et intelligible voix.