La Police Politique À la Stasi -Mackyée : ou le Caniche Encarté À la CPI et les Parades de Sa Cour de Justice au Garde- À -vous. Par Ahmadou Diop.
Quoique l’on puisse dire, ce laquais étrange, qui est au sommet de l’état sénégalais, n’en démord pas, est harnaché dans le secret des dieux par des lobbies mafieux internationaux enchevêtrés les uns après autres, tue non seulement délibérément, sciemment le droit inaliénable du peuple, neutralise toutes les libertés fondamentales,enfreint, musèle la démocratie, enterre systématiquement tout contre-pouvoir et toute capacité de résistance, face à tous ses opposants qui lui font de l’ombre, les réduit lâchement, constamment en charpie et au silence, de sorte qu’ils ne valent plus un sou, et qu’ils soient laminés, traînés dans la boue et en lambeaux, pourvu que le vent les emporte à jamais.
Comment donc un tel valet qui traîne plus que d’autres des casseroles si clinquantes, dont le gouvernement inique, indignement, clanique, ethnique, le plus servile de toute l’histoire de pays, peut-il s’arroger le label de la rhétorique abracadabrantesque, jusqu’à demeurer le chouchou le plus adulé de ses maîtres outre atlantique et par-là, l’hémisphère nord ?
Alors le même chef de clan par ses courbettes envoie son supplétif immédiat, en l’occurrence, Sidiki Kaba, passe au statut de parquet en paquet politique, atterrit hystériquement et étrangement à la CPI. Cela relève incontestablement d’un conflit politique antidémocratique, éloquemment manifeste, manifeste qui dit bien son nom.
C’est un non sens qui contraste parfaitement méthodes fasciste, décriées auxquelles il nous habitué depuis qu’il est arrivé au pourvoir par effraction à cause des esclandres massifs de ses milliards de F CFA, qu’il a bien obtenus par des raccourcis politiques dans des conditions totalement nébuleuses au regard de la morale.
Voilà donc un serpent à deux têtes en chair et en os ! Comment expliquer que les dérives exponentielles du régime totalitaire, négationniste, ne soient pas visibles dans les radars des distributeurs de la démocratie mondialiste ! Une curiosité abrasive totalement incompréhensible qui nous étonne et nous intrigue.
Au lendemain du regrettable soir du 25 mars 2012, sans trêve, en lieu et place d’une rupture matérialisée sur le terrain, il y’a que la seule musique d’une justice instrumentalisée, intégralement intégriste, ethnique, est en osmose totale avec une certaine affluence avariée de référence, qui lui sert de relais .
Tout le monde en Afrique parle abondamment de Macky Sall, qui est par définition, le socle et le chantre de la terreur et du nazisme de la monnaie CFA. Qui peut donc le nier au risque d’être ridicule ? Plus personne ne peut l’ignorer.
Sa justice de carpette, dégonflée et la presse achetée, toutes alignées et soumises au pouvoir totalitaire, agissent sur commande et dans l’art de la désinformation et la manipulation totale.
Le rôle éminemment de l’état Sénégal auprès de l’ONU – le gendarme colonial représenté par cette instance internationale, se résume entre dominateurs et son vacataire, comme arrière-plan politique. C’est une simple vue de l’esprit dit en long sur une vaste tromperie gigantesque internationale.
De 2012 jusqu’à aujourd’hui, la Communauté dite Internationale, n’a pipé un seul mot sur les scandales, les reniements, les renoncements et en particulier, la parodie référendaire de mars 2016 et les parades en continu des cueillettes de jour comme de nuit et à tout vent, passent sous silence et en toute connaissance de cause sur le régime de pugilat qui continue de fouler toute contradiction et contre-pouvoir indispensable, dans un état supposé de droit.
Naturellement, lorsque des ambassadeurs, dont les noms sont connus, outrepassent leurs devoirs de réserve, en tant que diplomates, s’ingèrent ouvertement , librement et directement sur les affaires d’un pays prétendument indépendant, libre et souverain, il y’a lieu de parler de deux poids et deux mesures qui ne souffrent d’aune discussion possible.
Cela nous intrigue davantage et nous laisse penser que la solennité suscitée, ne défend nullement ni la démocratie, ni le droit mais ses propres intérêts impérialistes, mal placés.
Pour preuves, le renforcement des entreprises étrangères, en particulier, françaises, monopolisent toutes les parts de marché, sans appels d’offres et toute l’économie sénégalaise, qui est elle-même extravertie, le prouvent éloquemment.
À nos yeux, ça nous donc paraît comme un satisfécit, pour dédouaner, blanchir le pion invétéré en place.
En politique tout se tient. Et rien n’est un hasard en toute logique.
La politique piteusement intercalée à la CPI du piètre troubadour, réfractaire à la démocratie, se travestit de plus en plus , sans discontinuer, en médiocre nègre de service, négationniste, qui s’était déclaré victimaire des leurres, trouble absolument l’ordre public, interdit tout par devers et contre tous, toute manifestation légale dans notre pays. le caniche de l’occident au Sénégal, en contrepartie de son allégeance, prend les devants, en nommant Sidiki kaba, garde des sceaux et ministron de l’injustice ethnique à la cour pénale internationale, n’existe que pour juger les indigènes nègres, qui sont triés au volet, mais épargne habilement les véritables donneurs de l’ordre mondialiste de la tyrannie et de l’arbitraire, par le truchement de l’ONU.
Ceux qui se barricadent et ferment leurs frontières, cherchent-ils vraiment la démocratie, la justice, en Afrique ? On ne peut pas à la fois et armer et installer des dictateurs sanguinaires, dociles au pouvoir durablement, et agir par une justice au double standard. La neutralité aurait voulu que tous les traitres soient traités au même niveau.
Ce qui n’est jamais le cas. Voilà l’ambigüité patente et l’hypocrisie d’un monde étrange à la renverse ! Et c’est inacceptable !
L’Afrique des 14 pays tous assujettis, ne pourra jamais se développer, tant qu’elle se maintient à la fois dans le nazisme de la monnaie et à la CPI, tout en conservant les accords de défense entre dominateurs et dominés. C’est une police politique dans les faits. Elle est inéquitable par essence dans son fondement, en sens qu’elle apparaît nettement comme étant un instrument politique au service des pouvoirs impérialistes, capitalistes.
La CPI a été créée le premier juillet 2002 par l’Onu [5 puissances ont une voix prépondérante utilisent des mécanismes douteux, obliqués pour arriver à leurs fins].
Selon les termes mêmes des textes, les Etats-Unis d’Amérique, défenseur des droits de l’Homme qui n’ont pas ratifié le traité instituant la CPI tout comme la Russie, Israël, comme la Chine, n’ont pas signé ledit traité, visant à réduire l’impunité, les génocides, les crimes contre l’humanité, les crimes de guerre, et crimes d’agressions, pour promouvoir la prévention, la dissuasion et la répression, par les dirigeants politiques.
On enseigne dans les manuels scolaires, la traite Nègrière pour faire croire que ce sont les noirs eux-mêmes qui vendirent leurs semblables, alors qu’en réalité, il s’agissait tout simplement de la traite exclusivement Nègrière Européenne.
En définitive, les bonnes raisons supposées, ne servent que les mauvaises intentions dissimulées ;
Finalement, la raison de la subjectivité l’emporte sur celle de l’objectivité, qui n’est rien qu’un prolongement du colonialisme .Car lors de la pénétration coloniale, les expansionnistes qui commettaient des crimes dans leurs colonies, bénéficiaient automatiquement des lois d’exceptions. C’est la règle maintenant !
Pour toutes ces raisons, il faudrait qu’en Afrique que l’on mette sur pied une autre solennité plus souveraine dans laquelle des magistrats et des juges africains puissent agir à l’échelle continentale, en toute indépendance et en toute conscience, sans pression d’aucune sorte, d’où qu’elle puisse venir.
Alors, cette cour pénale internationale défend-elle vraiment des principes de la démocratie ou des causes obscures ?
L’histoire des dictateurs africains triés au volet, sont assistés en logistique se maintiennent tous au pouvoir, tandis que de l’autre côté, des présidents africains, élus démocratiquement, passent à la potence sans autre forme de procès.
Tous les paradis fiscaux, y compris plus grandes instances internationales mondiales, financières, juridiques capitalistes et impérialistes sont logés en Europe et aux Etats-Unis. Et on nous parle de démocratie ou de justice.
On peut donc parler d’un système de vase communicant mafieux international, nébuleux et burlesque. C’est le moins que l’on puisse dire.
Et le commanditaire principal de la traque des biens mal acquis, qui est très riche, a ouvert ses comptes bancaires à l’étranger, nous a tambourinés le rapatriement des biens spoliés et placés. ce n’est pas de l’argent comptant.
La vraie justice est par essence impartiale, neutre, car sa mission essentielle, régalienne, c’est de rendre la justice au nom du peuple et pour le peuple dans son intime conviction, et non certainement pas pour servir les intérêts crypto- personnels d’une monarchie présidentielle totalitaire.
Or, aujourd’hui, plus qu’hier, la justice hérétique, partisane et juge dans les faits parlants, , est totalement dévoyée, outrepasse sa mission n’obéit qu’au doigt et à l’œil d’un chef de clan. Alors que le même écervelé qui s’arrogeait le cheval de Troie contre la tyrannie supposée wadienne par ses parades dans les rues de Dakar hier à la place de l’obélisque , menaçait orbi et urbi de vouloir créer un gouvernement presto illico un parallèle, en cas de victoire du défunt régime, dont il était lui-même un acteur principal.
Pourtant à l’époque, Abdoulaye wade, tel qu’il était peint faussement comme étant le socle de la tyrannie, avait toute la latitude de charcuter l’inimitable Macky Sall, qui est par définition, un véritable réfractaire à la démocratie.
Par principe et par sourcil de cohérence, il n’y a pas que des noirs qui soient coupables devant l’histoire. Les génocidaires nègres de service et leurs souteneurs, tapis dans l’ombre, présumés, distributeurs, soi-disant de la bonne parole, devraient être logés en toute logique dans la même enseigne que les tyrans. On l’oublie souvent.
Hommage au Grand Magistrat Ibrahima Hamidou Dème, démissionnaire, défraie la chronique, fait la Une de tous les journaux, est un homme d’honneur, dénonce un état de gangstérisme, dont les agissements délictueux, insupportables, quotidiens, nous obligent à en découdre avec lui, si nous voulons nous libérer d’un pouvoir clanique, traitre et qui le prouve de façon récurrente.
Le magistrat, le résistant a infligé une gifle à Macky S all et sa cour docile, un cours magistral de droit public et de déontologie qui leur renvoie à leurs études.
L’homme des culots et des sorties démentielles, vient nous tarabiscoter d’un Tarata habituel, selon lui, les raisons professionnelles de la démission du honorable magistrat Ibrahima Dème, ne doivent pas être divulguées au nom d’un secret d’état, n’a pas sa raison d’être ?
La politique piteuse de la servilité absconse, vis-à-vis de l’extérieur colonial, ne saurait ni tenir lieu de contradiction , ni de paratonnerre, ni de rapines politiques, dynamiques, pérennes, encore moins d’un hold–up électoral, lors des prochaines législatives de 2017, et par – delà, les cirques présidentialistes aux entournures totalitaires, monarchiques, masquées de 2019.
Qu’il revienne à la raison et qu’il se le tienne pour dit !
Sous le magistère bancal du tonitruant, tout est tabou, constitue secret. On est où dans ce pays ? Alors que lorsque l’on traque le pouvoir de la tyrannie fait la chasse aux sorcières, tout est autorisé pour mettre en charpie les cibles à la place publique, sans discernement, de sorte qu’elles soient réduites au silence. Il y’a là, incontestablement des méthodes fascistes que l’on ne saurait taire sous aucun prétexte.
L’affaire jakpot Macky SallGate : l’argent des russes amenuise ses dégâts et qu’il faille limiter la casse de sorte qu’il n’y ait pas de bruit au niveau des grands médias, n’ont d’autre choix que d’adoucir leurs copies sur un scandale politico-financier cataclysmique de grande envergure .
Pour ce faire, on ne sait par quel miracle, malgré les chefs d’accusation et les charges très graves qui pèsent sur Lamine Diack, et son fils, ceux qui sont chargés de l’affaire, traînent bizarrement les pieds pour l’étouffer. Puisque ce n’est pas anodin que ce nègre est le plus mouillé.
Et pour cause, refuse de livrer Massata Diack, cerné et accablé de toutes parts. en définitive, on peut dire que n’eût été la soumission totale pour la cause de la politique impérialiste incarnée par celui qui est surnommé spécial colonial en Afrique, accrédité à Dakar, à juste titre tire, l’homme subirait une descente aux enfers massives que ne l’était le pape du Sopi en 2012 au soir du mars.
Les mêmes puissances coloniales maintiennent, orbi et urbi, les dictateurs africains par des soi-disant accords de bidon, qui sont aussi coupables, doivent être traitées au même pied d’égalité que les fascistes qui sont sur les plis de la françafrique.
Or, il n’en est rien. Puisque la subtilité de l’Onu n’est d’autre rien que le prolongement du colonialisme soft.
Car les 14 pays africains tous assujettis qui ont signé des accords de défense bidon-et pour cause – sont dirigés par des dictateurs, bourreaux, génocidaires, sont aussi signataires à la CPI. Curieusement, les plus fidèles à la politique hégémonique Française, restent mordicus au pouvoir, passent sous les mailles du filet, se le transmettent de pères en fils, tant qu’ils obéissent au doigt et à l’œil du gendarme colonial ubiquitaire, qui est juge et partie.
Depuis 1945, le gouvernement provisoire de Charles De Gaulle a imposé à l’ensemble de ces pays alignés, satellites, le nazisme de la monnaie F CFA.
Depuis de 70 ans, plus de 50% des réserves de change de ces pays atterrissent annuellement dans des comptés d’opération ouverts au trésor public français. Alors, pour la race prétendument suprémaciste blanche, le panafricanisme apparaît anti-européen ou d’un racisme voilé. Pis encore, les mêmes donneurs de leçons, se barricadent et ferment leurs frontières, durcissent de plus en plus les conditions coercitives de séjour.
L’agent impérialiste, le traitre nègre de service, Macky Sall, le renégat, le coupable terroriste, intégralement intégriste, ethnique, mercenaire, désigné, n°1,prend le contre pied du communautarisme international leucoderme, se complaît par sa platitude manifeste, se résume par l’apologie de la monnaie F CFA, qu’il déclare bonne à garder, s’arroge indignement le rôle de caniche de l’occident, trie au volet, foule du pied les libertés fondamentales, par sa lâcheté, abuse et use dangereusement de la force publique à sa propre convenance personnelle, lamine les instituions du Sénégal, et met qui il veut, quand il le désire, en prison et à tour de bras, un par un, tout citoyen libre, et tous ses opposants politiques ou réels ou supposés, le plus souvent pour des broutilles, au nez et à la barbe de ses parrains, qui apparaissent tous peu réactifs, voire même amorphes, muets, sourds et aveugles.
Les mêmes changent peu à peu leurs fusils d’épaule et laissent le terrain au voyou, qui agit par la terreur. Alors que sous d’autres cieux, ils étaient tous actifs et très loquaces sur les affaires purement politico- sénégalo sénégalaises d’un pays, présumé libre et indépendant, soi-disant pour défendre la démocratie et les libertés fondamentales, qui leur paraissent indispensables, constituent le premier droit inaliénable de tout peuple.
Bizarrement, sous le magistère moribond, apocalyptique, la cohorte encartée corporatiste de piètre qualité représentée par la justice ethnique de la sarabande, par sa capacité de nuisance, et son amplitude décousue, tel l’aimant sur l’acier, est en totale osmose avec l’affluence nauséabonde servile, s’auto déclarent bassement comme étant les professionnels de la désinformation et la manipulation, restent plus que jamais les instruments de la propagande ordurière et les bras armés du pouvoir lamentablement totalitaire, en échange des galons de la corruption, portent incontestablement un caractère blasphématoire contre tout le peuple.