La Radiothérapie À la place publique : ou « L’Arme de Guerre » du Machiavel. (Par Ahmadou Diop).
Le pouvoir calamiteux des rapines politiques par sa nature, est bien sous la marque et la botte du Gendarme Colonial, qu’on le veuille ou non.
Pour commencer, nous qui sommes membres de la conscience patriotique pour le changement- « XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW », nous déclarons solennellement nulles et non avenues les mascarades électorales du laboratoire des politiciens mythomanes jusqu’à l’abîme.
Le réveil sera brutal, car il y aura des gueules de bois demain, quand demain fera jour. Il ne sert rien de courir, il faut partir à point. Nous n’avons pas à encourir des risques inutiles. Il nous incombe d’utiliser d’autres paramètres distincts des cirques électoraux, puisqu’ils qui ne sont qu’une simple formalité administrative, abusive. Le spectacle ahurissant, permanent n’est qu’une source de la boite de pandore des nègres de service, ou le symbole du négationnisme outrancier.
Nous avons déjà vu et vécu. Nous devons tous en tirer toutes les conséquences ; Nous n’aurons aucune excuse possible, peu ou prou. Ou alors sommes- nous maudits, oublieux, pour nous laisser gruger une fois de plus ?
On n’a pas encore fini avec le pouvoir abusif qui risque d’en finir avec nous, si nous restons dans léthargie visible.
La parodie référendaire de mars 2016/ ou le renforcement des pouvoirs du présentent –monarque déjà exorbitants qui sont synonymes d’une vaste escroquerie gigantesque , résulte incontestablement d’un manque de vigilance sidérante de l’opposition toute réunie tondue, passive, s’accommode piteusement par son consentement réactionnaire et sur fond d’abdication in d prête le flanc , autorise le changeant de naissance à imposer son propre calendrier électoraliste des législatives du 30 juillet 2017, au moment où les submersions cataclysmiques, épileptiques, apocalyptiques, favorisent les abstentions, les maladies, le choléra, les diarrhées et les déplacements forcés des citoyens , auront la tête ailleurs, que de remplir leurs devoirs civiques. C’est le coup d’état permanent des bluffs en continus et en toute impunité.
Le machiavel des faux bonds ubuesques annonce encore la couleur, imprime sa maque de fabrique et son tempo, pour arriver à ses fins et peu importe les moyens soient abjects.
En vérité, celui qui tient par devers et les médias de la servitude et l’assemblée nationale des godillots et la justice soumise, maintient par la corde tout un pays que l’on réduit au silence, lequel s’accroupit face à un monarque chevaleresque, a un droit de vie et de mort lui. Dans ces conditions, tant que la somnolence généralisée à l’échelle nationale, rien ne changera.
Plus les charrettes des scandales se corsent et se multiplient à la pelle plus la république des monarchique en met des couches épaisses, plus c’est gros, plus ça passe et mieux c’est.
Le pillard détourne les deniers de l’état, engraisse les députés des courbettes à la sauce apéristes. Pendant que la majorité des sénégalais tirent le diable par la queue, vivent dans la misère chronique, absolue, le chef du clan-juge et partie s’en faut de tout et s’arroge par ses dérives exponentielles. Croire que les cirques électoraux changeront d’un iota dans le sens des progrès, relève d’une illusion monumentale.
Les promesses électorales ne suivent jamais les actions matérielles sur le terrain du crime. Autrement dit, l’ensemble des sénégalais déçus, désemparés, versent dans le fatalisme quel ils semblent s’accommodent.
Voilà donc le plus vaste complot du conglomérat des professionnels de l’imposture jamais égalé s’inscrira dans les annales de toute l’histoire politique du Sénégal !
Le propriétaire de la Radiographie confiscatoire à la démocratie des législatives sévit de plus belle, expose son trophée de Guerre envers et contre tous à dessein de croire pouvoir rafler la mise et en tirer tous les dividendes politiques de piètre qualité.
Par sa presse de servitude interposée, le chef de tribu nous notifie à grande pompe la réception de l’appareil, ce mercredi 28 juin 2017. Et le tour sera joué.
Selon la presse arrimée au totalitarisme, les malades du cancer devraient retrouver le sourire. Le malheur des uns fait le bonheur d’un pouvoir profanateur, cynique.
Il n’y a que deux choix contradictoires : soit, nous abdiquons tous par notre léthargie et consentement réactionnaire, soit, nous utilisons d’autres contingences mondiales, obligatoires, spécifiques à chaque peuple, pour assouvir son propre destin et opérer une véritable rupture totale.
Croire que celui qui au sommet de l’état perdra et les législatives et les présidentielles des comédies électorales, relève d’une erreur monumentale et d’une naïveté baroque.
Et les business étonnants relatifs sur le nazisme monétaire du F CFA (Colonies françaises d’Afrique) et ses dégâts collatéraux, en sus des autres affaires si scandaleusement massives et infinies, se perlent de plus en plus à la pelle par son caractère exceptionnellement ubuesque, nous donnent la chair de poule d’un gouvernement totalement fantoche, abracadabrantesque s’adjuge porte- malheur, selon ses propres compilations par les esclandres des charniers de mensonges.
Alors, le Machiavel déclaré-non éclairer, introverti expose son Trophée de Guerre à la place publique par le vacarme titanesque de sa radiothérapie en grande pompe et à quelques encablures des législatifs trompe-l’œil.
Qui se cache derrière l’entreprise Forteza ? Justement, parlons-en un peu ! Et ouvrons donc une parenthèse sur la Forteza qui exploite le gaz avec ses zones d’ombre sur le pétrole au Sénégal, dont le chef de la démocratie familiale ethnique est l‘actionnaire principal N°1 !
Le coupable désigné n’en pipera un seul mot sur le pétrole et gaz de l’état sénégalais, mais communiquer souterrainement et silencieusement à huis clos et dans le secret des dieux avec le PDG de l’entreprise américaine. Nous resterons toujours sur notre faim. La seule solution qui tienne, c’est de le déboulonner, le destituer publiquement et le juger presto illico par la haute cour de justice indépendante de celle que nous connaissions.
Après Aliou Sall, le prête-nom, ou l’écran de fumée, qui a eu sa licence agréée sur le pétrole et gaz du Sénégal, est aussi propriétaire de Sahel aviation basé aux Etats-Unis et d’autres entreprises, un autre scandale prend le relais, révélé par Baba Aïdara. On l’oublie souvent. Le contenu est dans les archives de notre radio Sunuker Fm : la première radio panafricaine en Californie.
Même chose avec la Banque de Dakar, appelée la Banque de Macky Sall- BMS- HimselF, l’indivisible, délateur des manières aléatoires. Les associés tels que Frank TIMIS (roumain), le bruyant et CORTINA : un espagnol, ne sont-ils pas derrière cette officine pompeuse.
Selon la presse de la propagande, le Trésor français vient de communiquer au Président Emmanuel Macron un rapport sur la situation du franc CFA en relation avec le compte des opérations d’où il résulte qu’il faut conforter la division géographique de la zone CFA Afrique centrale et Afrique de l’ouest.
Où est donc l’indépendance politique, souveraineté monétaire, économique, lorsque l’ancien puissance coloniale imprime sa marque par devers et envers contre toute l’Afrique sous satellite ?
La démocratie occidentale prône la rupture chez elle, mais dénie toute idée d’indépendance réelle à l’Afrique supposée son esclave de droit.
Nous avons donc démantelé dans le secret des dieux, ce que mijotait donc le parisien à Paris. Les masques commencent à tomber et toutes les langues se délient et défrayent la chronique sur le tenants et les aboutissants de cette de ce rendez-vous. Nous en savons un peu plus sur « la dévaluation programmée d nazisme monétaire F CFA ».
Décidément, tous les chemins mènent à Paris.
En échange, l’autocrate s’autorisera tout Au Sénégal, fera ce qu’il voudra. Une raison de plus pour que nous utilisions d’autres paramètres distincts des cirques électoraux, dans lesquels les scrutins de pacotille se joueront automatiquement dans la cour des voleurs en bande organisée.
Le nouveau président de la république française en marche, a reçu successivement respectivement l’indigène N°1, aliéné de la tête aux pieds reste plus que jamais dans son rôle de nègre de service asservi, ou l’étrange logiciel, dénommé à juste titre, l’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar et son complice acolyte immédiat, son comparse Alassane Ouattara. Tous les deux apparaissent alignés par le maître de l’Elysée.
Tous les deux pédigrées, qui ne travaillent que pour leurs comptes et à ceux qui nous asservissent davantage depuis la nuit des temps.
D’où la nécessité absolue de changer nos institutions importées, pour que nous soyons libres, souverains et indépendants, en traitant avec des partenaires sur le plan multilatéral sur des bases égalitaires, dans lesquelles nos intérêts nations soient protégés.
C’est la révélation scabreuse de la rencontre entre le maître et ses esclaves dans des secrets de dieu du côté de la Seine.
Toute l’Afrique du cartel des 15 pays reste tous sous tutelle coloniale, pour l’existence du même gendarme colonial qui se frotte les mains et corrige peu à peu à peu ses récessions récurrentes; en échange du renforcement des entreprises étrangères et des accords de défense, dont l’objectif majeur consiste à maintenir les mêmes dictateurs de la sarabande des mercenaires unifiés. Regardez mon doigt du côté de la Côte d’Ivoire et du Sénégal qui ont mis le concept de la France-Afrique, décryptée par le défunt François- Xavier Verschave, le premier président de survie France.
En vérité, rien n’a changé absolument sur le colonialisme soft malgré les apparences, si ce n’est le pire même. En effet, la Françafrique, ou l’hydre mafieuse n’a jamais trouvé portes closes en Afrique des larbins, attachés, préfèrent naturellement eux- mêmes porter la corde autour de leurs cous.
L’Afrique des félons demeure plus que jamais l’éternelle vache à lait et le terrain de prédilection préféré des Cow-boys, qui ont la puissance de feu et agissent par guidage laser et par ordinateurs interposés. C’est plus facile et plus rentable, étant donné qu’il n’y a pas de risques majeurs à encourir.
Un euphémisme de dire qu’un tel pays entier qui est à la fois si riche et si pauvre compte étrangement une kyrielle de milliardaires obscures par des raccourcis politiques, au point qu’il n’y a qu’un seul et unique appareil pour soigner des cancers, c’est la honte.
À commencer par le premier d’entre eux, qui s’est bien curieusement enrichi, pour avoir volé son pactole –Takhrip dans les deniers de l’état, pouvait à lui seul l’acheter par ses richesses étalées à la place publique..
Le symbole de la délinquance finance financière a bien planqué à l’abri des regards indiscrets son magot vertigineux dans ses nombreux comptes bancaires ouverts l’étranger, en particulier dans les paradis fiscaux.
Et les médias encartés à la démocratie hégémonique ne tarit d’éloges à l’égard d’Amadou Bâ, le ministron de l’économie et des finances – BËK NEK auprès du tyran encombrant, est convoité, s’auto déclare lui-même le cheval de Troie de la démocratie familiale ethnique bon teint, sous la bénédiction du promoteur de la république d’Apartheid intégralement intégriste jusqu’à l’os.
On connaît la musique de l’homme pour ses déclarations tant plastiques que pithiatiques sur le plan Sénégal émergent peu convaincant, au regard de ce que nous savons Nous ne sommes pas ni des gueux ni des moutons tondus.
Il faut que cela soit clair ! Il ne dit que ce son mentor veuille bien qu’il entende. Ce n’est pas de l’argent comptant. Il n’y a rien qui tienne tout décousu et farfelu de fond en comble. Il ne peut pas faire autrement. Nous ne sommes pas amnésiques et nous avons tout entendu.
Depuis donc quand ce type est-il convoité ? La notoriété se mesure nécessairement à l’aune des mêmes patronymes particuliers. Naturellement sous le magistère bancal, tout est permis.
Rien n’est donc nouveau. Racine Talla, l’homme des casseroles interminables, qui est aujourd’hui catapulté PDG alimentaire de la RTS et maire de wahinane, bénéficiait des mêmes dithyrambes loufoques peu crédibles. C’est pareil avec le soi-disant pdg du service public qui fait partie de l’escadron des faussaires dont on disait qu’il est un visionnaire. Mon œil ! Un visionnaire, un bien grand mot qui ne correspond à la réalité du personnage décrié à cause de ses manières aléatoires.
Selon, une certaine bien renseignée, en clair, le décret date du 20 février 2013, mais Racine Talla qui a pris fonction le 7 novembre 2012, a fait un rappel à partir de novembre même, en plus de son indemnité de logement passé de 150 000 francs CFA à un million de francs. Or, son prédécesseur, Babacar Diagne percevait deux millions et 150 millions francs d’indemnités.
Tout courtisan adulé, complimenté de la gouvernance boiteuse est à prendre par des pincettes, est par définition un escroc en puissance. C’est la règle et normal, puisque leur chef même a montré la voie. Vous savez ce que je veux dire. Point n’est besoin de réfléchir de midi à quatorze heures.
Le président de la république devrait faire preuve d’humilité et de retenue sur la radiothérapie, au lieu d’en faire une arme de guerre contre ses adversaires. C’est mesquin, étrange et peu glorieux de la part du chef de l’exécutif, qui s’autorise tout et n’importe quoi.
Le rituel de l‘imposture d’une gouvernance calamiteuse d’une ribambelle de caïds et des faux bonds hypocrite tient lieu de démocratie, lors des prochains cirques électoraux, sur fond de mascarade électorale. Gouverner, c’est prévoir.
Evidemment, il n’en a cure. Arracher à tout prix la victoire par la tricherie légalisée et qu’il pleuve ou qu’il vente, constitue les recettes fondamentales des planificateurs de bas étage.
Chassez le naturel, il revient toujours au galop.
La politique de l’esbroufe d’un capharnaüm en bande organisée de l’imposteur, ou l’espièglerie savait parfaitement d’avance qu’il y aurait des submersions cataclysmiques en abondance, alors qu’il avait toute la latitude de l’organiser à un moment où il n’y aurait aucun risque de déluges.
Le gouvernement apocalyptique ethnique tambourine à qui veut l’entendre qu’il a pris toutes les mesures adéquates pour parer à toute éventualité d’inondations, insoutenables. C’est tout simplement de l’hypocrisie, d’autant plus qu’on ne peut pas vouloir quelque chose et son contraire. Quel crédit plausible peut-on lui accorder ?
Cela participe encore une fois de plus à des mensonges grossiers, comme il en a toujours l’habitude. Alors venir nous enquiquiner que le gouvernement du Sénégal a mobilisé pour cet hivernage, près de deux milliards FCFA pour parer au risque d’inondations, a déclaré le ministre délégué auprès du ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie en charge de la Restructuration et de la Requalification des banlieues.
On n’entend que le seul son de cloche qui sévit sans que rien ne change vraiment. Où sont donc les 60 milliards décaissés par la mendicité internationale ? A Quoi donc ont servi de tels chiffres peu crédibles ?
Pou le pouvoir politique mal préparé à nous gouverner, mentir et mentir, est son socle fondamental, auxquelles ajoutent des couches épaisses suffocantes. Car de pareilles méthodes médites sont forcément similaires à celles des fachos.
Une incongruité inégalée est à la mesure des fripouilles coalisées. De telles pirouettes convulsives qui mettent en relief les échappées torrides, ne valent rien et n’engagent que leurs auteurs ma intentionnés.
En dehors, de la radiothérapie, l’onéreux et inutile Ter, qui a coûté la bagatelle de plus 1365 milliards Francs CFA,
Qu’est –ce que l’homme a apporté d’exceptionnel en terme de démocratie, de rupture, que qu’aucun de ses devanciers n’a fait jusqu’ici, si ce n’est qu’il s’est non seulement bien enrichi illicitement par le miracle de ses postes de nomination Tan Sa bulax nex, a fait de même pour sa toute famille immédiate et à son clan. Tous sont bien à l’abri de tout besoin réel ?
Le singulier passé maître de la tromperie, rempilera de nouveau à l’aube de 2019, inaugurerait sans doute l’Aéroport International Blaise Diagne avec ses zones d’ombre, notamment ses opaques actionnaires, ou associés hétéroclites aux ramifications tentaculaires, dont l’ambiguïté contraste parfaitement avec les intérêts supérieurs de la nation.
Décidément, le ridicule ne tue plus dans notre pays étrange et à la renverse.
L’appareil en panne a défrayé la chronique depuis des mois et crée l’hystérie généralisée à raison, a fait couler beaucoup d’encre au Sénégal et pour cause, au point que les sénégalais tous réunis perdent leur Cocc barma, ne savent plus à quel saint se vouer.
Le régalien veuille que la santé, la sécurité des populations relèvent tout simplement de l’état. Il n’y a pas de quoi pavoiser pour en faire une campagne électorale est cousue de fil blanc.
Mais aussi extraordinaire que cela puisse paraître, ceux qui ont une vision étriquée sur la chose publique et des arrière-pensées politiques de piètre qualité, démontrent matériellement à la publique un cynisme injurieux. C’est la règle des amateurs qui tentent d’y trouver une brèche et croient pouvoir avoir une sainteté imaginaire.
L’achat de l’appareil radiothérapie n’a été possible que grâce aux populations sénégalaises toutes criblées d’impôts et de taxes de toutes sortes.
Mais comme d’habitude, le planificateur exceptionnel, qui a ses méthodes décriées, nous avait promis une radiothérapie dans un délai d’un mois, attend l’approche des législatives de pacotille pour la livrer dans un tapage assourdissant, comme s’il s’agit d’un cadeau.
Alors que dans les pays hautement démocratiques, de tels appareils indispensables pour la santé des citoyens, sont toujours acquis au temps opportun et sans bruit, ni ornement. Bizarrement chez nous, les imposteurs nés, en font nécessairement un objet de vantardise.