LA RÉPUBLIQUE DES MÉDIOCRES HORS-LA-LOI MIEUX STRUCTURÉS, FAIT L’HSTOIRE À LA PLACE DES BONS MINORITAIRES. PAR AHMADOU DIOP.

Par son verbatim fertile et son réflexe remarquable de haute facture, SEYBANI SOUGOU, n’a pas eu sa langue dans sa poche, jette un pavé dans la marre et à l’encontre du tyran encombrant, notamment ses valets fidèles captifs, auxiliaires, tous se sont transformés en vulgaires rabatteurs, au premier rang desquels PAPE OMAR SAKHO, président du CONSEIL CONSTITUTIONNEL EN 2016 : LA PREUVE QUE LE DECRET N° 2016-1222 N’A JAMAIS ETE PUBLIE AU JOURNAL OFFICIEL.
MACKY SALL- HIMSELF –EN CHAIR ET EN OS-LE LABEL DE LA COM DES PAROLES DEDITES, EST LE FRAUDEUR- TROUBADOUR, CHEF D’ORCHESTRE TIENT EN LAISSE SA SARABANDE DES FRIPOUILLES ALIGNÉEES : l’apparent conseil anticonstitutionnel, est loin d’être une institution digne de son nom, a entériné le foutoir-la parodie présidentielle, tronquée et truquée de 2019, de fond en comble.
SEYBANI SOUGOU, le juriste, très habile, a démasqué à maintes reprises et à la place publique, et preuve à l’appui, pour avoir mis à nu les rituels scandales surréalistes DE LA RÉUBLIQUE DES MÉDIOCRES– HORS-LA-LOI FAIT L’HSTOIRE À LA PLACE DES BONS MINORITAIRES.
« Sac am deund yombona waye fokoy tengué mo diafé »- certes, voler un tam-tam est une chose, mais lors qu’il s’agit de le battre, c’en est une autre.
Les pratiques confiscatoires d’un usurpateur incorrigible disent en long sur les dysfonctionnements en continu d’un amas de gangstérisme et son éco système d’apartheid. En 2019, l’élection du menteur professionnel, profanateur dans l’âme, à la plus haute magistrature suprême, n’était qu’un leurre, une vaste escroquerie gigantesque de grande envergure, par son caractère ostentatoire, attentatoire, illégitime, illégal, tant sur le plan juridique que politique.
En vérité, dans notre pays à la renverse, les institutions présagées n’ont qu’une existence virtuelle, ne que sont les jouets du président-monarque, autoproclamé.
La crei, est le bras armé du pouvoir politique usurier. Celui qui est arrivé au plus haut sommet de l’état par effraction, ne peut que nous gouverner de la sorte.
Comme tout félon, le multirécidiviste endurci, digne de son rang, réitère le scénario du film, n’en démord jamais, s’est taillé lui-même sur mesure son score fantasmagorique, et ce sous la complicité directe du supposé président anticonstitutionnel, Pape Omar Sakho, lequel ne dispose, à ce jour, d’aucune parcelle de légitimité juridique, s’octroie une telle stature de pacotille, et sous la bienveillance du maître apocalyptique népotique.
Le peuple, qui est par définition, la véritable institution, on lui nie son pouvoir, au point qu’on foule du pied ses récriminations légitimes, qui deviennent de facto son premier droit inaliénable. Toute contestation est synonyme d’office d’offense supposée au chef d’état. Alors que ce dernier ne serait rien sans le peuple. On marche sur la tète. Nous n’avons pas des élites à l’endroit, mais plutôt des minables incultes, qui ignorent par leur carence la notion d’un état régalien et les arcanes de l’administration.
Comme on dit souvent, quand toutes les hypothèses sont totalement fausses du début jusqu’à la fin, tout s’écroule comme un château de cartes, n’est-ce pas ?
Et pour cause. Malgré mes mises en garde à répétitions sur le caractère nébuleux du double fichier électoral, les dés étaient pipés avant l’heure. Ali Ngouille Ndiaye, l’infatigable mercenaire ministron de l’intérieur, a tenu bon, pour que gagne au premier tour, MACKY SALL, le bourreau du Sénégal, est le kleptocrate des horloges et adepte de la secte maçonnique, s’adjuge le symbole de la corruption massive des consciences abîmées, des transvasements, de l’archaïsme, du népotisme et de l’anarchie, versus outrancier « nédo ko bandoum ». Chose promise, chose due.
Comme si cela ne suffisait pas encore, pour gonfler son chiffre bidon cousu de fil blanc, le faussaire, le virtuose de classe exceptionnelle, y ajouta indignement 1 million 500.000 de votants fictifs.
Au soir du premier tour, le premier ministron, réquisitionné pour la circonstance et pour les besoins du service de piètre qualité, monta au créneau, et n’obéit mécaniquement et machinalement aux pulsions névrotiques et au doigt et à l’œil de son envoyeur, désarticulé, prend les devants, fixe la barre très haut, en proclamant le chiffre de 58%, qu’il légalise contre nous et par devers.
La suite qui est bien connue, passe encore comme une lettre à la poste. Car le double fichier électoral ombrageux était exclusivement gardé et respectivement par le chef de clan, lequel a agi librement de façon souterraine et dans le secret des dieux avec le soi-disant conseil constitutionnel. Pour pimenter encore la sauce, les morts ont voté plus massivement que les vivants, auxquels se sont ajoutés les suffrages farfelus, irréels « nédo ko bandoum ».
Qu’il s’agisse de SONKO CIE, ou de journalistes professionnels qui travaillent dans l’exercice de leur fonction, tous doivent passer à la potence et au nom de l’arbitraire et de la tyrannie, et ce par le vacarme hystérique label de la médiocrité affligeante. Rien n’y fait, car les charniers de mensonges cataclysmiques en abondance priment sur tout, depuis malheureusement du 25 mars à nos jours, pour sauver absolument l’inimitable soldat, naufragé, mouillé jusqu’au cou, quoique cela puisse coûter.
La brutalité et les mensonges cataclysmiques tiennent lieu de contradiction politique.
Pendant ce temps, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, au lieu de s’attarder sur le bilan calamiteux, chaotique de l’usurpateur en place, le média de la servilité, en l’occurrence, L’observateur, l’excellence des coups tordus, de la manipulation et la désinformation , qui est arrivée au pouvoir clanique par sa bassesse dégoulinante, qu’on lui connaît habituellement, tente vaille que vaille, tourne en dérision, les folies dépensières supposées du Pape du SOPI à TERROU-BI.
L’objectif majeur consiste à focaliser les esprits sur lui, de sorte qu’on oublie les incommensurables forfaits et les dépenses et les voyages superflus du pigeon dans les airs, ne cherche que ses propres intérêts mesquins mal placés et ceux de ses maîtres leuco dermes, à qui il accorde toutes les parts de marché et sans les moindre appel d’offres au Sénégal, reste plus que jamais sous tutelle coloniale.
Pour cela, et à des fins de propagande indigne, cette prétendue presse corrompue, épargne Aliou Sall, l’entonnoir de son frangin, et développe inlassablement, quotidiennement des sujets de diversion, oriente le débat, fait focus sur le bienfaiteur du plus grand kleptomane, Macky Sall, un multimilliardaire des ténèbres et des raccourcis politiques-TAN SABULANEX- qu’on ait jamais connu au Sénégal, et dont le patrimoine et son magot si colossal en 2012, donnent des vertiges.
Après 7 ans de mal gouvernance, à combien s’élève donc le butin ? Ne parlons pas des cas Aliou Sall, Marième Faye, Mansour Faye, Adama Faye, Daouda Faye, Gassama, Timbo, Abdou Rahmane Seck, dit Homère, parents , ou parents d’alliance, cousins, cousines, frères, les obligés, les griots de la dernière heure, y compris plus qu’un village entier, pourtant les mêmes patronymes particuliers, bien sonnants. Et on faisait l’état des lieux d’un Bassar ?
À combien s’élève, aujourd’hui l’ardoise des plans structurels FMI et de la banque mondiale ?
Bouche et motus cousue sur la question qui fâche. Circulez, il n’y a rien à voir ! Manifestement, il y a lieu de parler des réalisations coloniales en continu, en puissance, ou tout simplement de l’émergence impérialiste qui se frotte les mains.
Et pourvu qu’il en soit toujours ainsi, de façon pérenne. Y a-t-il vraiment une armée nationale au service du peuple par le peuple et pour le peuple, ou des subalternes endogènes, réduits en supplétifs galonnés, bien gloutonnés, dans un pays, où la majorité des citoyens ne mangent pas à leur faim, manquent de soins de santé les plus élémentaires ?
Le hors-la-loi, le caractériel, ou le tonnant boucher à la démocratie et aux libertés d’expression, par ses sottes d’humeur démentielles en cascades et ses folies dépensières, dans une certaine mesure, porte atteinte aussi à l’autorité de l’armée nationale.