A LA UNEACTUALITÉSCONTRIBUTIONLE BLOG D'AHMADOU DIOP

La république des procès politiques baroques, hérétiques établit-elle un caractère pédagogique ? Par Ahmadou Diop.

Décryptage d’un Gouvernement de  Capharnaüm  de la tête aux pieds ?

Ceux qui nous dirigent d’une main  de fer et nous tiennent en laisse, sont-ils vraiment  sereins ?  Ou ont-ils quelque à se reprocher,  qu’il faille appuyer sur l’accélérateur  pour qu’il  ait  davantage  de procès loufoques motivés  à la surenchère  en  permanence ?   Personnellement,  je  le crois

La graine avariée ne peut produire le contraire.  Comparons l’actuel pouvoir politique   avec  son devancier ! Qui peut parler de progrès, économiques, pérennes, en termes de sincérité, de droiture,  de démarche  démocratique,  de  santé  et   de  la liberté   des consciences ?  Les  flagorneurs encordés,  tressent,  passent leur temps  à  tresser  des litanies  d’inepties démentielles de piètre qualité   en faveur de  l’imposteur déclaré, lequel    ne dispose  probablement  que des qualités, mais jamais de défauts.

À  Chaque Magistère,   correspondent  son lot de fadaises et  sa  particularité. Le dernier venu est   le pire. Curieusement pendant la campagne électorale,  le candidat  tient des discours mielleux et lénifiants,    mais aussi extraordinaire cela que  puisse paraître,  l’impétrant , qui   a goûté  les plaisir du pouvoir et  vécu  sous  les lambris  dorés du plais,  change  son fusil d’épaule,  se décharge, se défausse  de tout , comme si le pouvoir rend fou, pour celui qui en abuse,  et qui n’était bien préparé pour occuper ledit siège,  oublie  sciemment  les  promesses pour lesquelles il a été élu

 La crédibilité est source de contre- vérités,  selon la conception  étriquée  du machiavel sénégalais, se défausse  à longueur  de journées sur tout,  rejette toute  la responsabilité à ses adversaires politiques immédiats, qu’il compte réduire  à sa plus simple expression.

Décidément à la moindre incartade,   tout devient systématiquement  un délit ou presque,  pour un oui  pour un non.  Les indignés  qui veulent garder et garantir  leur indépendance,  sont jetés en  lambeau et en pâture, en paient  les  frais de la rupture éclopée. L’ignominie  est-elle  devenue l’unique  option possible, comme système de gouvernance pourrie de la tête aux pieds ?  La  mauvaise marmite se sent par son odeur.

 La seule vocation qui vaille  dans ce pays se réduit –elle  à la bouche cousue ?   Le  taux  de  croissance se mesure- t-il   à  des  compilations  de  mensonges  et de menaces  rituelles , qui  pèsent, comme l’épée de Damoclès   de tout citoyen dégagé de tout complexe, pour que les sottises deviennent    une pédagogie véridique,  devant l’éternel ?

Voilà donc  le talisman  auquel  s’évertuent  inlassablement les fripouilles pouilleuses négationnistes, depuis, hélas, le regrettable historique !

La montagne a accouché d’une souris, puisque malheureusement,  le rouleau compresseur, se transforme  peu à peu quotidiennement  en  enfer  pour les populations qui ne savent plus à quel saint se vouer.    Normal,  lorsque  les cirques électoraux  se jouent  exclusivement  dans la cour des voleurs en bande organisée. Comme on dit, les mêmes causes  irréfragables,  reproduisent les mêmes effets nocifs.  Que voulez-vous ? La majorité des sénégalais votent  quantitativement, ne votent  pas librement,  rationnellement en toute connaissance,  mais par suivisme ou par régionalisme, ou par appartenance ethnique, religieuse   Il va de soi qu’il  en soit toujours ainsi.

En politique  tout se tient.  Point n’est besoin de  savoir que le poste de nomination  n’est qu’une simple vue de l’esprit.  . Le poste des nominations tan sa bula nex autorise tous les excès  possibles.

La Gouvernance  tortionnaire,  bancale des acrobates, s’acclimate  sur ses  mensonges grossiers, ethnique,  entre autres,  des  prévarications,   des cueillettes de jour comme nuit, s’amoncellent  les unes  après  les autres le tout  aligne des chiffres bidonnés, ne reposent aucun  critère rationnel.   Car  l’argent volé,  qui est faiseur de rois et d’opinions,  détermine la  comédie électorale en Afrique des fantoches, multimilliardaires des Presdigitateurs de la magie noire.  Et  dans une moindre mesure, quoiqu’il en soit,  la majorité des citoyens suivistes, se transforment en moutons tondus, votent,  crachent sans le savoir, contre ses propres intérêts C’est devenu un secret de polichinelle.

Derrière un menteur professionnel, profanateur, mécréant jusqu’à l’abysse, se cache  nécessairement en toute logique  un voleur technicien en la matière,  utilise lâchement la force publique, qu’il considère comme ses auxiliaires de services, tous sont  brossés,  depuis  5 ans et sans répit, comme mode opératoire, digne des méthodes  fascistes.

Un gouvernement  carambouilleur, pourri, calamiteux, abuse dangereusement des deniers de l’état, s’érige  en guichet  automatique en toute impunité,  distribue à tout vent  l’argent des contribuables sénégalais,   épargne par devers son clan,  n’a d’existence  que  pour corrompre librement transvaser et transhumer  l’assemblage en jointure,  qui  se transforment  flétrissure de rabatteurs,  se convertissent   tous  lamentablement  en  politicards  mercenaires ,  se complaisent,  s’accommodent  de leur  posture  de pacotille, pour n’avoir qu’une faiblesse notoire   de la  puissance de l’argent facile.

Macky Sall à « Jeune Afrique : «il vaut mieux ne rien publier et cacher son patrimoine».

Le même homme déclarait : » j’ai bénéficié de privilèges relatifs à ma position d’ancien premier ministre ». Au regard de la morale, cela laisse pantois par un tel culot que le médiocre tente de blanchir en bonne et due forme.

Et la Fondation « Servir le Sénégal », cette nébuleuse grossièreté cataclysmique, ou ce foutoir de caniveau  est  devenu  par la force  des choses , le guichet automatique,  ou  la caisse  la plus toxique,  de la corruption massive  haut débit,  ne sert qu’à   massifier l’apr le parti politique le plus misérable de toute l’histoire du Sénégal.

On peut légitiment se poser rationnellement la question.  Et le procureur  mercenaire-alimentaire de la république des voyous, très zélé, sourd et aveugle,  lequel est bien servi n’agit qu’au doigt  et à l’œil  de son mentor provisoire,   traque,   sélectionne  par sa politique à géométrie variable et  selon la  tète des clients, qui  ont emprunté les mêmes chemins les plus douteux.

Le tracteur, l’arroseur, arrosé,  des biens spoliés et placés à l’étranger, doit être lui aussi traqué, comme un malfrat. Mais faut-il que nous ayons vraiment  une justice libre, qui rend le verdict au nom du peuple  par le peuple et pour le peuple, qui agit en toute indépendance  rapport au pouvoir de l’exécutif cliniquement  clanique?

 En vérité nous sommes orphelins, car n’avons qu’une justice des courbettes et des farandoles corrompues.

Le pickpocket  le plus  pourri, qui  chantait, hier,  les  louanges de khalifa Sall  change son fusil d’épaule, tient mordicus  à le maintenir en prison, alors que sa propre femme, qui   s’est investie  à  des folies dépensières, a eu l’outrecuidance   de  s’enrichir ostensiblement et de façon attentatoire.   L’Association  bidon Servir  le Sénégal : une grosse arnaque, fait main basse  sur  le butin de son propre mari. Lequel  s’est transformé habilement  en   Casseur  du Siècle  par les raccourcis  politiques et dans des conditions  scandaleusement  effroyables  et à la face du monde.

Affaire Khalifa Sall : gangstérisme  des  fourberies  insolites  et  les  incohérences  d’un capharnaüm  de prédateurs- proxénètes  en bande organisée et   ses crimes imprescriptibles

 Le voyou dénonce l’ingérence de la France.  C’est le voleur qui crie au voleur.   Depuis 5 ans et à nos jours,  la  politique de la chasse aux sorcières  en sens unique  reste plus que jamais le socle fondamentale du banditisme de l’état  -apr  des faussaires  teigneux  en bande organisée ;  tant que le nègre de service en place des courbettes,  s’exécute bassement  pour donner du travail  aux entreprises françaises,   tant que ses  diplomates   outrepassent leur rôle, la France bénie,   S’agissant de l’affaire Khalifa Sall, aussi bizarre que cela puisse paraître,  le bougre  berger colonial, converti en référent  de l’expansionnisme américano-français ,  qui prétend dénoncer les ingérences  directes  de la France ,  se croit plus futé que l’ensemble  que des sénégalais que nous sommes,  privilégie  lui-même le pays de Marianne. S’agissant des  affaires sénégalo-politico, notamment sur le procès politique de Khalifa  Sall. Le mercenaire,  fourbe de la françafrique, se travestit lamentablement  en vulgaire   chantre  de la monnaie  nazie coloniale.

  La gouvernance bancale  ethnique  des proxénètes   qui  s’indigne des ingérences  outrancières étrangères  dans les affaires sénégalo-sénégalaises-  » Affaire Khalifa Sall  » – ces gens-là ont-ils la mémoire courte, au point  qu’ils perdent leurs pédales et leurs repères.

 Oublient-ils les tirs groupés des diplomates français6tant que cela les arrangeait. que cela ne tienne !    La démocratie ne pipait pas un seul mot. Et pour cause Je sais que le fidèle  caniche de l’Occident,  le virtuose de la tortuosité du misérabilisme  mystique-fraudeur,  champion du népotisme  des folies dépensières et  de la corruption- Numéro 1 est la mascotte et  le  chef de la république des proxénètes ethniques et des procès  politiques de caniveau,   ne changera  jamais, mais j’interroge solennellement, interpelle  tous autres acteurs politiques. Qu’ils nous  disent ce qu’ils  comptent faire, si toute fois, ils accéderaient  à la plus haute  magistrature suprême !

 Qu’est-ce qu’ils nous proposent, comme rupture, tangible, véridique, pour nous convaincre ?  Qu’ils nous   jurent par sur le coran, dévoilent avec  clarté par audio et  par supports informatiques,  en papiers,   sans langue de bois, ni ornements, leurs programmes politiques,  pour remettre la démocratie   sur les rails  que le nègre de service foule du pied.

Le réfractaire, coupable,  à la démocratie,  qui est au plus haut de l’état sénégalais,  serait-il donc  à sa place, si on  lui  appliquait à la lettre,  sans empathie, sa propre fatwa judiciaire ?

La justice, hérétique,  complice, infantilisée, expéditive, est  sens dessus dessous. Apparemment, Samba Sall, le prétendu  doyen des juges  et son  procureur, tous les deux des auxiliaires  de service,  sous la botte du despote multimilliardaire étrange,   ne jugent que les citoyens libres et les opposants présumés coupables d’avance, mais se gardent bien de traduire dans les tribunaux, les premiers coupables des enrichissements illicites, dont Marième Faye, en première loge, ne dispose guère d’aucune immunité constitutionnellement reconnue .

Ses propres frères, beau-père, cousines, tantes, cousins directs ou parents d’alliance, sont aussi riches miraculeusement, passent sous les mailles du filet, comme s’ils bénéficient d’un Talisman,  comme   nous autres  sénégalais, nous sommes relégués comme des   citoyens sont de seconde zone.

En France, à propos de la liberté, voltaire, un certain écrivain proposait : « la communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi ».

  Gouverner, c’est  prévoir.  Mais  selon  l’entendement étriqué   de la  police  politique, renversante,   à double standard- selon  la posture  du client, qui est  au mauvais endroit, agit mécaniquement   sur commande, recommandée  du maître, provisoire des fétichistes,  il faut   savoir prendre  les devants,  et enclencher  toutes procédures inquisitoires  d’urgence, à l’encontre  de tout opposant réel ou supposé, comme tel, tendant à lui  donner en bandoulière, un caractère  présumé judiciaire., de façon presto illico. C’est le label  des faussaires de la démocratie familiale des référents de la Françafrique.

 En lieu et place du changement, le désenchantement, l’amertume et la colère grandissante,  restent  comme une Chappe de plomb dans nos gorges. L’arrogance attentatoire des grosses cylindrées, sorties, on ne sait où  et comment, font florès chez les nouveaux riches, nous scandalisent,  nous révulsent.

 Pendant que  le chômage de masse, chronique,  obstrue tout espoir. En conséquence,  les jeunes  sénégalais et les africains, valides,  bravent les terres et les mers au péril de leurs vies,  sont à la merci  des requins  et des esclavagistes libyens.  Aussi extraordinaire que cela puisse paraître,   on a l’impression  que les  populations africaines à l’échelle supranationale, creusent leurs propres tombes, pour être enterrés le plus remarquablement du monde,  votent  pour leurs propres bourreaux,  qui les tuent sans état d’âme.

quoiqu’il fasse,  aucune rivière au monde  ne peut laver  les  crimes politiques, financières  et économique  de ce  gouvernement fantoche,  qui est arrivé  dans la dépendance dynamique  systémique  – c’est  un gouvernement composés exclusivement    maléfiques d’attardés,  d’abrutis pathétiques,  moribonds,  de déséquilibrés psychiques de  guenilles ,  d’énergumènes  détestables  s’arrogent la rhétorique de caniveau, et ‘habileté correspond  leurs postes   de putréfaction  et  son inféodation   au régime de capharnaüm- point n’est besoin  de compétence, ni d’expérience, si n’est  les injuries  et les cavalcades  monstrueuses  des  insultes mortifères, dont ils sont  les maîtres de la tartufferie-plus les mensonges grossissent, mieux ils  gravitent des échelons , pour des promotions sociales indues.

La lâcheté est l’apanage des  fauteurs de troubles, médiocres,  cartellisés  en malfaiteurs  goinfrés, et qui utilisent de la force publique  pour charcuter la démocratie,  pour se croire se maintenir au pouvoir par des méthodes compatibles  dignes de la police de la  Stasi.

nous ne pouvons  guère  donner un quelconque blanc seing, ni accorder   aucune excuse  ou des circonstances atténuantes face   aux parades  incessantes  de   ce gouvernement  apocalyptique   de  bazar, de la démesure  négationniste,  qui demeure plus jamais comme étant   le temple unique   des   invectives à répétitions ,  et  promet plus, qu’il n’en fait en réalité  en terme de gouvernance  supposée, , mais  le fait le contraire , en fait sa  propre religion d’état.

  Alors,  les  discours surréalistes et les charivaris de la surenchère   aux effets multiplicatifs, ténébreux emphatiques, inflationnistes  à l’emporte pièce par presse interposée  de la servilité décapante,  tiennent lieu de contradictions politiques, effroyables.  Seules  comptent  les réalisations visibles, massives par les actions matérielles sur le terrain. Tout reste n’est que mystifications et amateurisme survoltant, nous donnent un goût amer, regrettable.

Où  sont donc  les corps de contrôle institutionnels ,  clientélistes,  restent au garde au garde –vous,  agissent promptement  apparaissent  tous  sous le contrôle  d’un chef de clan, ubiquitaire ?

jules Diop,   qui tirait, hier  à boulets rouges  sur le cheval marron,  le chante dans un verbatim  de pirouettes cousues de fil blanc, maintenant,  change  sa nature,  qui lui  colle  à la peau,   est  bien  dans l’appendice du tyran .

 Qui ne souvient pas des diatribes et des matraquages  quotidiens  du plumitif  à couper le souffle  du sur les 7  milliards  de Taiwan,   qui  accablaient  jadis,  le candidat  satanique, qui fut peint sur les défroques victimaires ?  Qui peut donc oublier   son article célébrissime à la renverse, gravé dans les mémoires,  intitulé :  » que Macky   nous dise  » !

  En définitive,  en effet,  tout le gotha qui entoure  aujourd’hui,  la république des  blaireaux alimentaires,  ne sont ni des serviteurs de du Sénégal,  ni  des  intellectuels, mais  des castes de  mercenaires  dévergondé, dont la plupart d’entre eux, ,ont mangé dans tous les râteliers.

C’est ça le paradoxe  et  la singularité de la classe politique sénégalaise et ses éternels transhumants, broutent partout et sont constamment à la recherche d’un gagne-pain, tirent  leur miel du jeu de la démence.

Reparlons donc  des chiffres  farfelus,  alignés, insolites,  imaginaires,  exposés   ici ou là,   à tout vent, comme des gages en bandoulière,  ne reflètent nullement la réalité,  qui nous nous donnent  la chair de poule, ou le  socle  du modélisme  héréditaire   des faussaires, malfaiteurs   de  la  république  trompe l’œil  tromperie !

  Le  taux de croissance  est  modulé à la hausse,   passe tantôt à hauteur  de 6, 5.  tantôt   à 7 % , auxquels   s’ajoutent     les rafistolages   des milliers Mrds  de   F CFA , imaginaires,   incongrus et les simagrées  de la éloquence peu crédible  en continu,  témoignent absolument de l’incompétence avérée d’une bande de défroqués , n’ont que des insultes à la bouche, tendant à combler par la ruse, des coquilles vides, pour croire nous emberlificoter, comme si nous sommes  des gueux.

  Pour ne rien arranger,   le virtuose de classe exceptionnelle   des dénégations multiples,  accrédite la thèse  d’un Sénégal  émergent,  aux anges, où  tout est  rose,  parfait ou presque.

 Les longs chapelets de chiffres bidonnés, retoqués, étalés grossièrement,  quotidiennement,  notamment l’autosuffisance alimentaire, l’eau qui  coule à flot, l’électricité, la santé, la sécurité,  et l’économie,  semble-t-il,  se portent  bien, et   tourne à plein régime.

Tout cela relève  de l’esbroufe,  n’est  qu’un Tissuthèque de mensonges grossiers.   Bref, le magistère d’un imposteur de l’hécatombe,  le Sénégal  apparaît comme le meilleur élève de la bonne gouvernance de la sous région, où est bon.

Rien  que des échappées torrides  du matin au soir et  à la mesure  du professionnel  des coups tordus.  Curieusement, malheureusement, tout ces éléments contrastent avec le marasme social,  endémique,  constituent une preuve supplémentaire d’un amateurisme  alarmant.

De surcroît,  l’éternel   climat délétère de la gouvernance  abondante , nauséabonde,  s’identifie étrangement   à  la politique  hitlérienne, s’auto glorifie  toute seule, occupe par devers  le terrain du crime, oriente le débat   pour sa propre cause,  monopolise, en sus,  le service public et privé, pavoise et plastronne , conformément à la Com’ des charniers de mensonges cataclysmiques, dont il détient l’unique  secret.

Mentir et mentir  jusqu’à l’abîme.  Voilà le visage hideux  d’un  monstre   qui  ne compte jamais dévier  d’un seul pouce  de sa  trajectoire totalitaire !  Le  tyran  encombrant,  copie systématiquement, hystériquement,  textuellement  les méthodes  fascistes de son inspirateur, Joseph  Goebbels,  qui fut le ministre de la propagande du Reich. Lequel disait à qui voulait l’entendre :  » Plus le mensonge est gros, plus il passe. … ».

Affaire Khalifa Sall :  un gangstérisme  des  fourberies  insolites  et  les  incohérences  d’un capharnaüm  de prédateurs- proxénètes  en bande organisée, passent leur silence coupable  et   ses crimes imprescriptibles.

  La gouvernance bancale  ethnique  des proxénètes  s’indigne des ingérences  outrancières étrangères  dans les affaires sénégalo-sénégalaises- affaire khalifa Sall-  oblige. Ces gens-là ont-ils  donc  la mémoire courte, au point  qu’ils perdent leurs pédales et leurs repères.  Qui n’a pas entendu, vu, lu les incursions cataclysmiques, lors  du procès politique de Karim Wade ?

 Oublient-ils les tirs groupés des diplomates français6tant quand  cela les arrangeait ; Et   la démocratie  familiale n’a  pipé pas un seul mot. Et pour cause.

 Je sais que le fidèle  caniche de l’Occident, bien connu, ou le virtuose, déclaré de la tortuosité du misérabilisme  mystique-fraudeur,   arrache le  champion du népotisme  des folies dépensières et  de  la corruption, numéro 1,  s’érige  la mascotte  et  le  chef de la république des proxénètes ethniques  des procès  politiques de caniveau,   ne changera jamais, sa trajectoire.

Mais  j’interroge solennellement,  interpelle   tous autres acteurs politiques. Qu’ils nous disent ce qu’ils comptent faire, si toute fois, ils accéderaient  à la plus haute  magistrature suprême !  Qu’est-ce qu’ils nous proposent, comme rupture, comme valeurs ajoutées ? Qu’ils  jurent sur le coran, dévoilent avec  clarté par audio et  par supports informatiques,  en papiers,   sans langue de bois, ni ornements, leurs programmes politiques,  pour remettre la démocratie  sur les rails  que le nègre de service foule du pied.

Le coupable,   réfractaire  à la démocratie,  qui est au plus haut de l’état sénégalais,  serait-il donc  à sa place, si on  lui  appliquait  à la lettre,  sans empathie, sa propre fatwa judiciaire ?

 Et la soi-disant justice, hérétique,  farandole, complice, infantilisée, expéditive, est  sens dessus dessous, quoiqu’on dise. Apparemment, Samba Sall, le prétendu  doyen des juges  et son  procureur,  sont  tous les deux des auxiliaires  de service,  sous la botte du despote multimilliardaire étrange,   ne jugent que les citoyens libres et les opposants présumés coupables d’avance, mais se gardent bien de traduire dans les tribunaux, les premiers coupables des enrichissements illicites, dont Marième Faye, en première loge, laquelle  ne dispose guère d’aucune immunité constitutionnellement reconnue.

En France, à propos de la liberté, voltaire, un certain écrivain proposait : « la communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi ».

  Gouverner, c’est  prévoir.  Mais  selon  l’entendement étriqué   de la  police  politique, renversante,    à double standard,   selon  la posture  du client, qui est  au mauvais endroit, agit mécaniquement   sur commande, recommandée  du maître, provisoire des fétichistes,  il faut   savoir prendre  les devants,  et enclencher tout de suite  toutes procédures inquisitoires  d’urgence, à l’encontre  de tout opposant réel ou supposé, comme tel, tendant à lui  donner en apparence  et en  bandoulière, un caractère  présumé judiciaire., de façon presto illico. C’est bien  le label  des faussaires de la démocratie familiale des référents de la françafrique.

 En lieu et place du changement, le désenchantement, l’amertume et la colère grandissante,  restent  comme une Chappe de plomb dans nos gorges. L’arrogance attentatoire des grosses cylindrées, sorties, on ne sait où  et comment, font florès chez les nouveaux riches, nous scandalisent,  nous révulsent.

 Pendant que  le chômage de masse, chronique,  obstrue tout espoir. En conséquence,  les jeunes  sénégalais et les africains, valides,  bravent les terres et les mers au péril de leurs vies,  sont à la merci  des requins  et des esclavagistes libyens.

quoiqu’il  puisse faire,  aucune rivière au monde  ne  peut  laver  les  crimes politiques, financiers  et économiques  de ce gouvernement fantoche,  qui est arrivé  dans la dépendance dynamique  systémique.

 C’est  un gouvernement composés exclusivement    d’attardés maléfiques,  abjurés  d’abrutis pathétiques,  moribonds,  de déséquilibrés psychiques de  guenilles,   d’énergumènes  détestables  s’arrogent la rhétorique de caniveau. La lâcheté est l’apanage des  fauteurs de troubles, médiocres,  cartellisés  en malfaiteurs  goinfrés, et qui utilisent de la force publique  pour charcuter la démocratie,  pour se croire se maintenir au pouvoir par des méthodes compatibles  dignes de la police de la  Stasi.

Nous ne pouvons  guère  donner un quelconque blanc seing, ni accorder   la moindre  excuse  ou des circonstances atténuantes,  face   aux parades  incessantes  de  ce gouvernement  apocalyptique   de   ce bazar, négationniste,  qui demeure plus jamais comme étant   le temple unique  des   invectives à répétitions,  et  qui  promet plus, qu’il n’en fait en réalité.

  Alors,  les  discours surréalistes  et les charivaris de la surenchère  aux effets multiplicatifs, ténébreux emphatiques, inflationnistes   à l’emporte pièce par presse interposée  de la servilité décapante,  tiennent lieu de contradictions politiques, effroyables ; seules  comptent  les réalisations visibles, massives par les actions matérielles sur le terrain-tout reste n’est que mystifications et amateurisme survoltant, nous donnent un goût amer, regrettable.

Où  sont donc  les corps de contrôle institutionnels ,  clientélistes,  restent au  garde-à-vous,  agissent promptement , mécaniquement  apparaissent  tous  sous le contrôle  d’un chef de clan, ubiquitaire ?

 quant à Jules Diop,   qui tirait, hier  à boulets rouges  sur le cheval marron,  chante son dieu , maintenant,  dans un verbatim  des  pirouettes cousues de fil blanc, change  sa nature,  qui lui  colle  à la peau,  lequel    reste   dans l’appendice du tyran .

 Qui ne souvient pas des diatribes et des matraquages  quotidiens  du plumitif  à couper le souffle  du sur les 7  milliards  de Taiwan,   qui  accablaient  jadis,  le candidat  satanique, qui fut peint sur les défroques victimaires ?  Qui peut donc oublier   son article célébrissime à la renverse, gravé dans les mémoires,  intitulé :  » que Macky   nous dise  » !

  En définitive,  en effet,  tout le gotha qui entoure  aujourd’hui,  la république des  blaireaux alimentaires,  ne sont ni des serviteurs de du Sénégal,  ni  des  intellectuels, mais  des castes de  mercenaires  dévergondé, dont la plupart d’entre eux, ,ont mangé dans tous les râteliers.

C’est ça le paradoxe  et  la singularité de la classe politique sénégalaise et ses éternels transhumants, broutent partout et sont constamment à la recherche d’un gagne-pain, tirent  leur miel du jeu de la démence.

Reparlons donc  des chiffres alignés, insolites,  imaginaires,  exposés   ici ou là,   à tout vent, comme des gages en bandoulière,  ne reflètent nullement la réalité,  qui nous donnent  la chair de poule, ou le  socle  du modélisme  héréditaire   des faussaires, malfaiteurs  de la  république-  trompe l’œil   !

  Le taux de croissance  est  modulable, selon leurs sottes d’humeur,  tend à la  hausse,   passe tantôt à hauteur  de 6, 5.  tantôt   à 7 % , auxquels   s’ajoutent  piteusement    les rafistolages   des milliers  de Mrds  de   F CFA , imaginaires,   incongrus, y compris  les simagrées  à l’ éloquence peu crédible  en continu,  témoignent absolument de l’incompétence avérée d’une bande de défroqués, n’ont  apparemment que des insultes  à la bouche, tendant à combler par la ruse, des coquilles vides, pour croire nous emberlificoter, comme si nous sommes  des gueux.

  Pour ne rien arranger,   le virtuose de classe exceptionnelle   des dénégations multiples,  accrédite la thèse  d’un Sénégal  émergent,  aux anges, où  tout est  rose,  parfait ou presque.   Mon œil !

 Les longs chapelets de chiffres bidonnés, retoqués, étalés grossièrement,  quotidiennement,  notamment l’autosuffisance alimentaire, l’eau qui  coule à flot, l’électricité, la santé, la sécurité,  et l’économie,  semble-t-il,  se portent  bien,  comme si notre  pays en abondance,   tourne à plein régime sur tous les plans.

Tout cela relève  de l’esbroufe,  n’est  qu’un tissuthèque de mensonges.   Bref, le magistère d’un imposteur de l’hécatombe,  le Sénégal  apparaît comme le meilleur élève de la bonne gouvernance de la sous région, où est bon.

Rien  que des échappées torrides à la mesure  d’un  Grand  professionnel, Guignol  par   ses coups tordus.  Curieusement, malheureusement, tous  ces éléments contrastent avec le marasme social,  endémique,   et  qui constituent une preuve supplémentaire d’un amateurisme  alarmant.

De surcroît,  l’éternel  climat délétère de la gouvernance  abondante,  nauséabonde,  s’identifie étrangement   à  la politique  hitlérienne,  s’auto glorifie  toute seule et à la place publique,   occupe par devers,  le terrain du crime, oriente le débat   pour sa propre cause,  monopolise, en sus,  le service public et privé, pavoise et plastronne,  conformément à la Com’ des charniers de mensonges cataclysmiques, dont il détient l’unique  secret.

Mentir et mentir  jusqu’à l’abîme.  C’est  un tic  chez les fraudeurs.  Voilà, malheureusement,  le visage hideux  d’un  monstre   qui  ne compte jamais dévier  d’un seul pouce  de sa  trajectoire totalitaire !  Le  tyran  encombrant,  par mimétisme  schizophrénique,  copie systématiquement, hystériquement,  textuellement  les méthodes  fascistes de son inspirateur,  joseph  Goebbels,  qui fut le ministre de la propagande du Reich. Lequel disait à qui voulait l’entendre :  » Plus le mensonge est gros, plus il passe. … ».

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page