La république des procès politiques baroques, hérétiques établit-elle un caractère pédagogique ? Par Ahmadou Diop.
Décryptage d’un Gouvernement de Capharnaüm de la tête aux pieds ?
Ceux qui nous dirigent d’une main de fer et nous tiennent en laisse, sont-ils vraiment sereins ? Ou ont-ils quelque à se reprocher, qu’il faille appuyer sur l’accélérateur pour qu’il ait davantage de procès loufoques motivés à la surenchère en permanence ? Personnellement, je le crois
La graine avariée ne peut produire le contraire. Comparons l’actuel pouvoir politique avec son devancier ! Qui peut parler de progrès, économiques, pérennes, en termes de sincérité, de droiture, de démarche démocratique, de santé et de la liberté des consciences ? Les flagorneurs encordés, tressent, passent leur temps à tresser des litanies d’inepties démentielles de piètre qualité en faveur de l’imposteur déclaré, lequel ne dispose probablement que des qualités, mais jamais de défauts.
À Chaque Magistère, correspondent son lot de fadaises et sa particularité. Le dernier venu est le pire. Curieusement pendant la campagne électorale, le candidat tient des discours mielleux et lénifiants, mais aussi extraordinaire cela que puisse paraître, l’impétrant , qui a goûté les plaisir du pouvoir et vécu sous les lambris dorés du plais, change son fusil d’épaule, se décharge, se défausse de tout , comme si le pouvoir rend fou, pour celui qui en abuse, et qui n’était bien préparé pour occuper ledit siège, oublie sciemment les promesses pour lesquelles il a été élu
La crédibilité est source de contre- vérités, selon la conception étriquée du machiavel sénégalais, se défausse à longueur de journées sur tout, rejette toute la responsabilité à ses adversaires politiques immédiats, qu’il compte réduire à sa plus simple expression.
Décidément à la moindre incartade, tout devient systématiquement un délit ou presque, pour un oui pour un non. Les indignés qui veulent garder et garantir leur indépendance, sont jetés en lambeau et en pâture, en paient les frais de la rupture éclopée. L’ignominie est-elle devenue l’unique option possible, comme système de gouvernance pourrie de la tête aux pieds ? La mauvaise marmite se sent par son odeur.
La seule vocation qui vaille dans ce pays se réduit –elle à la bouche cousue ? Le taux de croissance se mesure- t-il à des compilations de mensonges et de menaces rituelles , qui pèsent, comme l’épée de Damoclès de tout citoyen dégagé de tout complexe, pour que les sottises deviennent une pédagogie véridique, devant l’éternel ?
Voilà donc le talisman auquel s’évertuent inlassablement les fripouilles pouilleuses négationnistes, depuis, hélas, le regrettable historique !
La montagne a accouché d’une souris, puisque malheureusement, le rouleau compresseur, se transforme peu à peu quotidiennement en enfer pour les populations qui ne savent plus à quel saint se vouer. Normal, lorsque les cirques électoraux se jouent exclusivement dans la cour des voleurs en bande organisée. Comme on dit, les mêmes causes irréfragables, reproduisent les mêmes effets nocifs. Que voulez-vous ? La majorité des sénégalais votent quantitativement, ne votent pas librement, rationnellement en toute connaissance, mais par suivisme ou par régionalisme, ou par appartenance ethnique, religieuse Il va de soi qu’il en soit toujours ainsi.
En politique tout se tient. Point n’est besoin de savoir que le poste de nomination n’est qu’une simple vue de l’esprit. . Le poste des nominations tan sa bula nex autorise tous les excès possibles.
La Gouvernance tortionnaire, bancale des acrobates, s’acclimate sur ses mensonges grossiers, ethnique, entre autres, des prévarications, des cueillettes de jour comme nuit, s’amoncellent les unes après les autres le tout aligne des chiffres bidonnés, ne reposent aucun critère rationnel. Car l’argent volé, qui est faiseur de rois et d’opinions, détermine la comédie électorale en Afrique des fantoches, multimilliardaires des Presdigitateurs de la magie noire. Et dans une moindre mesure, quoiqu’il en soit, la majorité des citoyens suivistes, se transforment en moutons tondus, votent, crachent sans le savoir, contre ses propres intérêts C’est devenu un secret de polichinelle.
Derrière un menteur professionnel, profanateur, mécréant jusqu’à l’abysse, se cache nécessairement en toute logique un voleur technicien en la matière, utilise lâchement la force publique, qu’il considère comme ses auxiliaires de services, tous sont brossés, depuis 5 ans et sans répit, comme mode opératoire, digne des méthodes fascistes.
Un gouvernement carambouilleur, pourri, calamiteux, abuse dangereusement des deniers de l’état, s’érige en guichet automatique en toute impunité, distribue à tout vent l’argent des contribuables sénégalais, épargne par devers son clan, n’a d’existence que pour corrompre librement transvaser et transhumer l’assemblage en jointure, qui se transforment flétrissure de rabatteurs, se convertissent tous lamentablement en politicards mercenaires , se complaisent, s’accommodent de leur posture de pacotille, pour n’avoir qu’une faiblesse notoire de la puissance de l’argent facile.
Macky Sall à « Jeune Afrique : «il vaut mieux ne rien publier et cacher son patrimoine».
Le même homme déclarait : » j’ai bénéficié de privilèges relatifs à ma position d’ancien premier ministre ». Au regard de la morale, cela laisse pantois par un tel culot que le médiocre tente de blanchir en bonne et due forme.
Et la Fondation « Servir le Sénégal », cette nébuleuse grossièreté cataclysmique, ou ce foutoir de caniveau est devenu par la force des choses , le guichet automatique, ou la caisse la plus toxique, de la corruption massive haut débit, ne sert qu’à massifier l’apr le parti politique le plus misérable de toute l’histoire du Sénégal.
On peut légitiment se poser rationnellement la question. Et le procureur mercenaire-alimentaire de la république des voyous, très zélé, sourd et aveugle, lequel est bien servi n’agit qu’au doigt et à l’œil de son mentor provisoire, traque, sélectionne par sa politique à géométrie variable et selon la tète des clients, qui ont emprunté les mêmes chemins les plus douteux.
Le tracteur, l’arroseur, arrosé, des biens spoliés et placés à l’étranger, doit être lui aussi traqué, comme un malfrat. Mais faut-il que nous ayons vraiment une justice libre, qui rend le verdict au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, qui agit en toute indépendance rapport au pouvoir de l’exécutif cliniquement clanique?
En vérité nous sommes orphelins, car n’avons qu’une justice des courbettes et des farandoles corrompues.
Le pickpocket le plus pourri, qui chantait, hier, les louanges de khalifa Sall change son fusil d’épaule, tient mordicus à le maintenir en prison, alors que sa propre femme, qui s’est investie à des folies dépensières, a eu l’outrecuidance de s’enrichir ostensiblement et de façon attentatoire. L’Association bidon Servir le Sénégal : une grosse arnaque, fait main basse sur le butin de son propre mari. Lequel s’est transformé habilement en Casseur du Siècle par les raccourcis politiques et dans des conditions scandaleusement effroyables et à la face du monde.
Affaire Khalifa Sall : gangstérisme des fourberies insolites et les incohérences d’un capharnaüm de prédateurs- proxénètes en bande organisée et ses crimes imprescriptibles
Le voyou dénonce l’ingérence de la France. C’est le voleur qui crie au voleur. Depuis 5 ans et à nos jours, la politique de la chasse aux sorcières en sens unique reste plus que jamais le socle fondamentale du banditisme de l’état -apr des faussaires teigneux en bande organisée ; tant que le nègre de service en place des courbettes, s’exécute bassement pour donner du travail aux entreprises françaises, tant que ses diplomates outrepassent leur rôle, la France bénie, S’agissant de l’affaire Khalifa Sall, aussi bizarre que cela puisse paraître, le bougre berger colonial, converti en référent de l’expansionnisme américano-français , qui prétend dénoncer les ingérences directes de la France , se croit plus futé que l’ensemble que des sénégalais que nous sommes, privilégie lui-même le pays de Marianne. S’agissant des affaires sénégalo-politico, notamment sur le procès politique de Khalifa Sall. Le mercenaire, fourbe de la françafrique, se travestit lamentablement en vulgaire chantre de la monnaie nazie coloniale.
La gouvernance bancale ethnique des proxénètes qui s’indigne des ingérences outrancières étrangères dans les affaires sénégalo-sénégalaises- » Affaire Khalifa Sall » – ces gens-là ont-ils la mémoire courte, au point qu’ils perdent leurs pédales et leurs repères.
Oublient-ils les tirs groupés des diplomates français6tant que cela les arrangeait. que cela ne tienne ! La démocratie ne pipait pas un seul mot. Et pour cause Je sais que le fidèle caniche de l’Occident, le virtuose de la tortuosité du misérabilisme mystique-fraudeur, champion du népotisme des folies dépensières et de la corruption- Numéro 1 est la mascotte et le chef de la république des proxénètes ethniques et des procès politiques de caniveau, ne changera jamais, mais j’interroge solennellement, interpelle tous autres acteurs politiques. Qu’ils nous disent ce qu’ils comptent faire, si toute fois, ils accéderaient à la plus haute magistrature suprême !
Qu’est-ce qu’ils nous proposent, comme rupture, tangible, véridique, pour nous convaincre ? Qu’ils nous jurent par sur le coran, dévoilent avec clarté par audio et par supports informatiques, en papiers, sans langue de bois, ni ornements, leurs programmes politiques, pour remettre la démocratie sur les rails que le nègre de service foule du pied.
Le réfractaire, coupable, à la démocratie, qui est au plus haut de l’état sénégalais, serait-il donc à sa place, si on lui appliquait à la lettre, sans empathie, sa propre fatwa judiciaire ?
La justice, hérétique, complice, infantilisée, expéditive, est sens dessus dessous. Apparemment, Samba Sall, le prétendu doyen des juges et son procureur, tous les deux des auxiliaires de service, sous la botte du despote multimilliardaire étrange, ne jugent que les citoyens libres et les opposants présumés coupables d’avance, mais se gardent bien de traduire dans les tribunaux, les premiers coupables des enrichissements illicites, dont Marième Faye, en première loge, ne dispose guère d’aucune immunité constitutionnellement reconnue .
Ses propres frères, beau-père, cousines, tantes, cousins directs ou parents d’alliance, sont aussi riches miraculeusement, passent sous les mailles du filet, comme s’ils bénéficient d’un Talisman, comme nous autres sénégalais, nous sommes relégués comme des citoyens sont de seconde zone.
En France, à propos de la liberté, voltaire, un certain écrivain proposait : « la communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi ».
Gouverner, c’est prévoir. Mais selon l’entendement étriqué de la police politique, renversante, à double standard- selon la posture du client, qui est au mauvais endroit, agit mécaniquement sur commande, recommandée du maître, provisoire des fétichistes, il faut savoir prendre les devants, et enclencher toutes procédures inquisitoires d’urgence, à l’encontre de tout opposant réel ou supposé, comme tel, tendant à lui donner en bandoulière, un caractère présumé judiciaire., de façon presto illico. C’est le label des faussaires de la démocratie familiale des référents de la Françafrique.
En lieu et place du changement, le désenchantement, l’amertume et la colère grandissante, restent comme une Chappe de plomb dans nos gorges. L’arrogance attentatoire des grosses cylindrées, sorties, on ne sait où et comment, font florès chez les nouveaux riches, nous scandalisent, nous révulsent.
Pendant que le chômage de masse, chronique, obstrue tout espoir. En conséquence, les jeunes sénégalais et les africains, valides, bravent les terres et les mers au péril de leurs vies, sont à la merci des requins et des esclavagistes libyens. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, on a l’impression que les populations africaines à l’échelle supranationale, creusent leurs propres tombes, pour être enterrés le plus remarquablement du monde, votent pour leurs propres bourreaux, qui les tuent sans état d’âme.
quoiqu’il fasse, aucune rivière au monde ne peut laver les crimes politiques, financières et économique de ce gouvernement fantoche, qui est arrivé dans la dépendance dynamique systémique – c’est un gouvernement composés exclusivement maléfiques d’attardés, d’abrutis pathétiques, moribonds, de déséquilibrés psychiques de guenilles , d’énergumènes détestables s’arrogent la rhétorique de caniveau, et ‘habileté correspond leurs postes de putréfaction et son inféodation au régime de capharnaüm- point n’est besoin de compétence, ni d’expérience, si n’est les injuries et les cavalcades monstrueuses des insultes mortifères, dont ils sont les maîtres de la tartufferie-plus les mensonges grossissent, mieux ils gravitent des échelons , pour des promotions sociales indues.
La lâcheté est l’apanage des fauteurs de troubles, médiocres, cartellisés en malfaiteurs goinfrés, et qui utilisent de la force publique pour charcuter la démocratie, pour se croire se maintenir au pouvoir par des méthodes compatibles dignes de la police de la Stasi.
nous ne pouvons guère donner un quelconque blanc seing, ni accorder aucune excuse ou des circonstances atténuantes face aux parades incessantes de ce gouvernement apocalyptique de bazar, de la démesure négationniste, qui demeure plus jamais comme étant le temple unique des invectives à répétitions , et promet plus, qu’il n’en fait en réalité en terme de gouvernance supposée, , mais le fait le contraire , en fait sa propre religion d’état.
Alors, les discours surréalistes et les charivaris de la surenchère aux effets multiplicatifs, ténébreux emphatiques, inflationnistes à l’emporte pièce par presse interposée de la servilité décapante, tiennent lieu de contradictions politiques, effroyables. Seules comptent les réalisations visibles, massives par les actions matérielles sur le terrain. Tout reste n’est que mystifications et amateurisme survoltant, nous donnent un goût amer, regrettable.
Où sont donc les corps de contrôle institutionnels , clientélistes, restent au garde au garde –vous, agissent promptement apparaissent tous sous le contrôle d’un chef de clan, ubiquitaire ?
jules Diop, qui tirait, hier à boulets rouges sur le cheval marron, le chante dans un verbatim de pirouettes cousues de fil blanc, maintenant, change sa nature, qui lui colle à la peau, est bien dans l’appendice du tyran .
Qui ne souvient pas des diatribes et des matraquages quotidiens du plumitif à couper le souffle du sur les 7 milliards de Taiwan, qui accablaient jadis, le candidat satanique, qui fut peint sur les défroques victimaires ? Qui peut donc oublier son article célébrissime à la renverse, gravé dans les mémoires, intitulé : » que Macky nous dise » !
En définitive, en effet, tout le gotha qui entoure aujourd’hui, la république des blaireaux alimentaires, ne sont ni des serviteurs de du Sénégal, ni des intellectuels, mais des castes de mercenaires dévergondé, dont la plupart d’entre eux, ,ont mangé dans tous les râteliers.
C’est ça le paradoxe et la singularité de la classe politique sénégalaise et ses éternels transhumants, broutent partout et sont constamment à la recherche d’un gagne-pain, tirent leur miel du jeu de la démence.
Reparlons donc des chiffres farfelus, alignés, insolites, imaginaires, exposés ici ou là, à tout vent, comme des gages en bandoulière, ne reflètent nullement la réalité, qui nous nous donnent la chair de poule, ou le socle du modélisme héréditaire des faussaires, malfaiteurs de la république trompe l’œil tromperie !
Le taux de croissance est modulé à la hausse, passe tantôt à hauteur de 6, 5. tantôt à 7 % , auxquels s’ajoutent les rafistolages des milliers Mrds de F CFA , imaginaires, incongrus et les simagrées de la éloquence peu crédible en continu, témoignent absolument de l’incompétence avérée d’une bande de défroqués , n’ont que des insultes à la bouche, tendant à combler par la ruse, des coquilles vides, pour croire nous emberlificoter, comme si nous sommes des gueux.
Pour ne rien arranger, le virtuose de classe exceptionnelle des dénégations multiples, accrédite la thèse d’un Sénégal émergent, aux anges, où tout est rose, parfait ou presque.
Les longs chapelets de chiffres bidonnés, retoqués, étalés grossièrement, quotidiennement, notamment l’autosuffisance alimentaire, l’eau qui coule à flot, l’électricité, la santé, la sécurité, et l’économie, semble-t-il, se portent bien, et tourne à plein régime.
Tout cela relève de l’esbroufe, n’est qu’un Tissuthèque de mensonges grossiers. Bref, le magistère d’un imposteur de l’hécatombe, le Sénégal apparaît comme le meilleur élève de la bonne gouvernance de la sous région, où est bon.
Rien que des échappées torrides du matin au soir et à la mesure du professionnel des coups tordus. Curieusement, malheureusement, tout ces éléments contrastent avec le marasme social, endémique, constituent une preuve supplémentaire d’un amateurisme alarmant.
De surcroît, l’éternel climat délétère de la gouvernance abondante , nauséabonde, s’identifie étrangement à la politique hitlérienne, s’auto glorifie toute seule, occupe par devers le terrain du crime, oriente le débat pour sa propre cause, monopolise, en sus, le service public et privé, pavoise et plastronne , conformément à la Com’ des charniers de mensonges cataclysmiques, dont il détient l’unique secret.
Mentir et mentir jusqu’à l’abîme. Voilà le visage hideux d’un monstre qui ne compte jamais dévier d’un seul pouce de sa trajectoire totalitaire ! Le tyran encombrant, copie systématiquement, hystériquement, textuellement les méthodes fascistes de son inspirateur, Joseph Goebbels, qui fut le ministre de la propagande du Reich. Lequel disait à qui voulait l’entendre : » Plus le mensonge est gros, plus il passe. … ».
Affaire Khalifa Sall : un gangstérisme des fourberies insolites et les incohérences d’un capharnaüm de prédateurs- proxénètes en bande organisée, passent leur silence coupable et ses crimes imprescriptibles.
La gouvernance bancale ethnique des proxénètes s’indigne des ingérences outrancières étrangères dans les affaires sénégalo-sénégalaises- affaire khalifa Sall- oblige. Ces gens-là ont-ils donc la mémoire courte, au point qu’ils perdent leurs pédales et leurs repères. Qui n’a pas entendu, vu, lu les incursions cataclysmiques, lors du procès politique de Karim Wade ?
Oublient-ils les tirs groupés des diplomates français6tant quand cela les arrangeait ; Et la démocratie familiale n’a pipé pas un seul mot. Et pour cause.
Je sais que le fidèle caniche de l’Occident, bien connu, ou le virtuose, déclaré de la tortuosité du misérabilisme mystique-fraudeur, arrache le champion du népotisme des folies dépensières et de la corruption, numéro 1, s’érige la mascotte et le chef de la république des proxénètes ethniques des procès politiques de caniveau, ne changera jamais, sa trajectoire.
Mais j’interroge solennellement, interpelle tous autres acteurs politiques. Qu’ils nous disent ce qu’ils comptent faire, si toute fois, ils accéderaient à la plus haute magistrature suprême ! Qu’est-ce qu’ils nous proposent, comme rupture, comme valeurs ajoutées ? Qu’ils jurent sur le coran, dévoilent avec clarté par audio et par supports informatiques, en papiers, sans langue de bois, ni ornements, leurs programmes politiques, pour remettre la démocratie sur les rails que le nègre de service foule du pied.
Le coupable, réfractaire à la démocratie, qui est au plus haut de l’état sénégalais, serait-il donc à sa place, si on lui appliquait à la lettre, sans empathie, sa propre fatwa judiciaire ?
Et la soi-disant justice, hérétique, farandole, complice, infantilisée, expéditive, est sens dessus dessous, quoiqu’on dise. Apparemment, Samba Sall, le prétendu doyen des juges et son procureur, sont tous les deux des auxiliaires de service, sous la botte du despote multimilliardaire étrange, ne jugent que les citoyens libres et les opposants présumés coupables d’avance, mais se gardent bien de traduire dans les tribunaux, les premiers coupables des enrichissements illicites, dont Marième Faye, en première loge, laquelle ne dispose guère d’aucune immunité constitutionnellement reconnue.
En France, à propos de la liberté, voltaire, un certain écrivain proposait : « la communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi ».
Gouverner, c’est prévoir. Mais selon l’entendement étriqué de la police politique, renversante, à double standard, selon la posture du client, qui est au mauvais endroit, agit mécaniquement sur commande, recommandée du maître, provisoire des fétichistes, il faut savoir prendre les devants, et enclencher tout de suite toutes procédures inquisitoires d’urgence, à l’encontre de tout opposant réel ou supposé, comme tel, tendant à lui donner en apparence et en bandoulière, un caractère présumé judiciaire., de façon presto illico. C’est bien le label des faussaires de la démocratie familiale des référents de la françafrique.
En lieu et place du changement, le désenchantement, l’amertume et la colère grandissante, restent comme une Chappe de plomb dans nos gorges. L’arrogance attentatoire des grosses cylindrées, sorties, on ne sait où et comment, font florès chez les nouveaux riches, nous scandalisent, nous révulsent.
Pendant que le chômage de masse, chronique, obstrue tout espoir. En conséquence, les jeunes sénégalais et les africains, valides, bravent les terres et les mers au péril de leurs vies, sont à la merci des requins et des esclavagistes libyens.
quoiqu’il puisse faire, aucune rivière au monde ne peut laver les crimes politiques, financiers et économiques de ce gouvernement fantoche, qui est arrivé dans la dépendance dynamique systémique.
C’est un gouvernement composés exclusivement d’attardés maléfiques, abjurés d’abrutis pathétiques, moribonds, de déséquilibrés psychiques de guenilles, d’énergumènes détestables s’arrogent la rhétorique de caniveau. La lâcheté est l’apanage des fauteurs de troubles, médiocres, cartellisés en malfaiteurs goinfrés, et qui utilisent de la force publique pour charcuter la démocratie, pour se croire se maintenir au pouvoir par des méthodes compatibles dignes de la police de la Stasi.
Nous ne pouvons guère donner un quelconque blanc seing, ni accorder la moindre excuse ou des circonstances atténuantes, face aux parades incessantes de ce gouvernement apocalyptique de ce bazar, négationniste, qui demeure plus jamais comme étant le temple unique des invectives à répétitions, et qui promet plus, qu’il n’en fait en réalité.
Alors, les discours surréalistes et les charivaris de la surenchère aux effets multiplicatifs, ténébreux emphatiques, inflationnistes à l’emporte pièce par presse interposée de la servilité décapante, tiennent lieu de contradictions politiques, effroyables ; seules comptent les réalisations visibles, massives par les actions matérielles sur le terrain-tout reste n’est que mystifications et amateurisme survoltant, nous donnent un goût amer, regrettable.
Où sont donc les corps de contrôle institutionnels , clientélistes, restent au garde-à-vous, agissent promptement , mécaniquement apparaissent tous sous le contrôle d’un chef de clan, ubiquitaire ?
quant à Jules Diop, qui tirait, hier à boulets rouges sur le cheval marron, chante son dieu , maintenant, dans un verbatim des pirouettes cousues de fil blanc, change sa nature, qui lui colle à la peau, lequel reste dans l’appendice du tyran .
Qui ne souvient pas des diatribes et des matraquages quotidiens du plumitif à couper le souffle du sur les 7 milliards de Taiwan, qui accablaient jadis, le candidat satanique, qui fut peint sur les défroques victimaires ? Qui peut donc oublier son article célébrissime à la renverse, gravé dans les mémoires, intitulé : » que Macky nous dise » !
En définitive, en effet, tout le gotha qui entoure aujourd’hui, la république des blaireaux alimentaires, ne sont ni des serviteurs de du Sénégal, ni des intellectuels, mais des castes de mercenaires dévergondé, dont la plupart d’entre eux, ,ont mangé dans tous les râteliers.
C’est ça le paradoxe et la singularité de la classe politique sénégalaise et ses éternels transhumants, broutent partout et sont constamment à la recherche d’un gagne-pain, tirent leur miel du jeu de la démence.
Reparlons donc des chiffres alignés, insolites, imaginaires, exposés ici ou là, à tout vent, comme des gages en bandoulière, ne reflètent nullement la réalité, qui nous donnent la chair de poule, ou le socle du modélisme héréditaire des faussaires, malfaiteurs de la république- trompe l’œil !
Le taux de croissance est modulable, selon leurs sottes d’humeur, tend à la hausse, passe tantôt à hauteur de 6, 5. tantôt à 7 % , auxquels s’ajoutent piteusement les rafistolages des milliers de Mrds de F CFA , imaginaires, incongrus, y compris les simagrées à l’ éloquence peu crédible en continu, témoignent absolument de l’incompétence avérée d’une bande de défroqués, n’ont apparemment que des insultes à la bouche, tendant à combler par la ruse, des coquilles vides, pour croire nous emberlificoter, comme si nous sommes des gueux.
Pour ne rien arranger, le virtuose de classe exceptionnelle des dénégations multiples, accrédite la thèse d’un Sénégal émergent, aux anges, où tout est rose, parfait ou presque. Mon œil !
Les longs chapelets de chiffres bidonnés, retoqués, étalés grossièrement, quotidiennement, notamment l’autosuffisance alimentaire, l’eau qui coule à flot, l’électricité, la santé, la sécurité, et l’économie, semble-t-il, se portent bien, comme si notre pays en abondance, tourne à plein régime sur tous les plans.
Tout cela relève de l’esbroufe, n’est qu’un tissuthèque de mensonges. Bref, le magistère d’un imposteur de l’hécatombe, le Sénégal apparaît comme le meilleur élève de la bonne gouvernance de la sous région, où est bon.
Rien que des échappées torrides à la mesure d’un Grand professionnel, Guignol par ses coups tordus. Curieusement, malheureusement, tous ces éléments contrastent avec le marasme social, endémique, et qui constituent une preuve supplémentaire d’un amateurisme alarmant.
De surcroît, l’éternel climat délétère de la gouvernance abondante, nauséabonde, s’identifie étrangement à la politique hitlérienne, s’auto glorifie toute seule et à la place publique, occupe par devers, le terrain du crime, oriente le débat pour sa propre cause, monopolise, en sus, le service public et privé, pavoise et plastronne, conformément à la Com’ des charniers de mensonges cataclysmiques, dont il détient l’unique secret.
Mentir et mentir jusqu’à l’abîme. C’est un tic chez les fraudeurs. Voilà, malheureusement, le visage hideux d’un monstre qui ne compte jamais dévier d’un seul pouce de sa trajectoire totalitaire ! Le tyran encombrant, par mimétisme schizophrénique, copie systématiquement, hystériquement, textuellement les méthodes fascistes de son inspirateur, joseph Goebbels, qui fut le ministre de la propagande du Reich. Lequel disait à qui voulait l’entendre : » Plus le mensonge est gros, plus il passe. … ».