LA SERVITUDE DE L’IMPERIALISME : INCOMPETENCE, CYNISME, EXHIBITIONNISME SUR LE CORONAVIRUS. PAR AHMADOU DIOP CPC.

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, bouche et motus cousue. Comme par hasard et par malheur, le coronavirus ; un cas concernant un français au Sénégal, à prendre avec des pincettes jusqu’à preuve du contraire.
Au nom de la rétention d’information, nous ne le souhaitons jamais et si par malheur, dans l’hypothèse impensable, ou tout patient, atteint éventuellement du coronavirus, la grippe et le paludisme seront systématiquement comme étant les seuls coupables désignés.
La servitude de l’impérialisme politise sa justice et la pandémie. C’est la règle chez les autocrates africains, dont l’incompétence et le cynisme se mesurent à l’aune de leur degré d’inconscience.
bête immonde répressive, toxique, institutionnalisée, prend toujours les devants pour se disculper automatiquement, comme d’habitude, reprend du poil. Bien que cernée de toutes parts par ses interminables, rallume à nouveau un autre contrefeu, croit pouvoir y trouver une bouée de sauvetage.
Pour faire oublier son cynisme exhibitionniste et son incompétence, qui sont synonyme de trahisons, elle ressort le même refrain, et copie fidèlement et textuellement Emmanuel Macron. Rebelote, MACKY SALL, le Vassal béni oui-oui sur le CORONAVIRUS fulmine encore : « NOUS NE SOMMES PLUS À L’ ABRI ».
Il avait fait la même chose, en utilisant les mêmes éléments de langage sur la thématique terroriste, sous le parrainage de ses maîtres, dont il voue une fidélité indéfectible et une admiration certaine. Car déjà, le 26 janvier 2016, dans une interview sur commande qu’il avait accordée au journal français express, et dont les propos étaient recueillis par le journaliste –écrivain, français Vincent Hugeux: Macky Sall: « Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri d’un attentat ».
Vincent Hugeux : « Vous avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole? »
Macky Sall : « Absolument. Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017 »
NB ; Nous ne le souhaitons pas toutefois et par malheur, les cas du coronavirus se multiplient, le dictateur s’en servira comme excuse.
Le traitre terroriste HIMSELF EN CHAIR ET EN OS, incorrigible, cherche à la fois une échappatoire sur la thématique terroriste au Sénégal, dont le ciel est toujours dégagé de toute terreur et la pandémie apocalyptique, pour reporter sine die la présidentielle de 2024, comme il l’a déjà annoncé de façon unilatérale et arbitraire sur les locales et les législatives.
Ça suffit à la rhétorique de caniveau des charniers de mensonges, halte stop ! La coupe est plus que pleine. Le disque est rayé plus d’une fois.
Nous ne sommes jamais oublieux, ni crédules. À chaque situation exceptionnelle, l’illuminé satanique, menteur professionnel, profanateur, mécréant franc-maçon, dit l’expert de l’imposture de la désinvolture, par son incompétence, n’a jamais eu la moindre solution exceptionnelle, ne manque jamais ni de culot, ni de piment et d’occasion pour attirer les projecteurs sur lui, tient en tirer et les dividendes politiques et les marrons du feu, et se tirer d’affaire sur les scandales qui l’éclaboussent.
Il fait vent debout contre nous tous par son verbatim décousu ses slogans inflationnistes creux et vides.
Le diable escroc de grand chemin prétend donc dégainer 1 MRD ET 450 Millions FCFA pour financer la pandémie mortelle au Sénégal. Qui voudrait-il tromper encore ? Et qui pourrait le croire ?
» LEGUETOU KESSE NAXUT AY BÊY- KU MUS REN DEMB DAÑU LANA NAXO » LEGUETOU KESSE NAXUT AY BÊY- KU MUS REN DEMB DAÑU LANAXONE ».
Depuis quand donc notre santé, est-elle devenue une préoccupation majeure du multi milliardaire, étrange, récidiviste des postes de nomination TAN SABULA NEX promet plus qu’il n’en fait en action sur le terrain du crime ? Plus les mensonges sont gros, plus ça passe comme une lettre à la poste.
Ce n’est jamais de l’argent comptant. Les hôpitaux au premier rang desquels, celui de Dantec- de l’indigénat-, sont des mouroirs à ciel ouvert, à l’exception de l’hôpital Principal, manquent de tout, notamment en matériels adéquats et des soins de santé les plus élémentaires.
Pendant que la majorité des sénégalais lassés est laissés pour compte sur le quai, la servitude à la charge pondérale et sa caste de ribambelle, y compris toutes leurs familles en abondance et leur clan, se font soigner tous en France par les deniers de l’état en toute impunité et en toute circonstance, et ce dans un cynisme exhibitionniste.
Or, les citoyens français se soignent chez eux, puisque leurs dirigeants y mettent le prix, ne lésinent jamais avec des moyens colossaux, ne prennent aucun risque, peu ou prou, compte tenu des enjeux et de la gravité. La santé est une préoccupation au pays de Marianne Ici, chez nous au Sénégal et en Afrique des fascistes coalisés de l’asservissement, les mensonges cataclysmiques prennent le dessus sur tout.
L’inimitable presdigitateur des leurres, n’a jamais soigné le mal qui est en lui-même. À chaque 31 décembre jusqu’à l’enzyme, qui défraie la chronique, utilise les mêmes ressorts des chiffres bidonnés, comme plan, soi-disant de riposte contre le mal du coronavirus, qui continue ses dégâts collatéraux à l’échelle planétaire.
Pour arrondir les angles et cintrer les coins, il réquisitionne dans son palais, et pour les besoins du service, le chef de service des Maladies infectieuses, qui se charge d’assurer le service-après vente du minable encombrant, ne s’encombre d’aucune moralité palpable ou probante. Curieusement, ce fameux chef de service endogène en place, n’a fait que copier hystériquement et textuellement les chiffres des professionnels de santé en France, lesquels sont relayés en boucle par les médias français.
En vérité, nous avons affaire à l’excellence d’un esbroufe, ou d’un absolutiste mythomane, convulsif, désarticulé de la tète aux pieds, est visiblement atteint pathologiquement et mentalement préparé, excellant dans l’art de la Com des inepties et des coups tordus, agit sans remords, ni scrupules, ni état d’âme, et fait des pieds et des mains pour faire ses éternelles divagations, grossières et fumantes, jusqu’à la lie.
Face au Troisième mandat illégal juridiquement, politiquement et cliniquement, l’autocrate proclamé, maître des horloges et de l’esbroufe, s’érige le marchand d’illusions, plus connu sous le nom de traitre- machiavel, par sa nature clinquante, clivant, taciturne et versatile, abuse sans scrupules et lâchement des moyens de l’état, dont la politique moribonde se résume exclusivement TAPALE KATE et au nom de la servitude. Alors, un tel délateur singulier dans le paysage politique, est-il donc sur les traces de Blaise Compaoré et Cie ?
La réponse est sans appel et pour cause. Compte tenu de ses intentions malveillantes à l’horizon 2024, qu’il distille à comptes d’eau et à petit feu à travers sa sarabande de laquais enveloppée, haineuse , inculte et rancunière, par définition, et dont l’immoralité abjecte constitue une évidence mortifère, s’est enrichie scandaleusement dans des raccourcis bassement politiques et par le truchement du miracle des postes de nomination TAN SA BULANEX d’un Écosystème en vase clos lamentablement Enjolivé d’Apartheid made « Nédo Ko Bandoum ».
En politique tout se tient. S’ils font autant de bruit par médias interposés de la servilité, ce n’est pas tant qu’ils sont altruistes, ou qu’ils aiment d’un iota leur idole pickpocket, qui est lui-même un mythomane dans l’âme, mais veulent plutôt sauver absolument leurs peaux menacées, par la baguette magique.
Les ignares chambellans-TAli ñareet- tondus en vulgaires Doungourou sémillants de la république des DÉFROQUES prédateurs proxénètes, BOUGRES DE NAISSANCE, des privilèges d’exception et des passe-droits, -GUENEULATE-BERALLOXO, ne jurent que sur la tète du premier malfaiteur et ce du bout des lèvres, se réduisent en vers de terre, pour n’être que des vampires de la pire espèce, du haut de leur rang, n’ont d’existence virtuelle que pour protéger leurs propres intérêts mesquins. Que voulez-vous ?
Inévitablement, dans ces conditions, ils ne peuvent que prêter allégeance, la tète baissée devant celui qui les engraisse abondamment dans les deniers de l’état, et pour lequel d’ailleurs, ils n’affichent qu’une apparence trompe-l’œil pour mieux manger davantage, aussi longtemps que cela sera nécessaire.
Naturellement le dévoyé numéro 1, donneur de leçons -mon œil- est considéré, à juste tire le Casseur du siècle au Sénégal, et dont la carte génétique si parlante, n’est plus un secret pour personne, compte tenu de ses dérives attentatoires vont de plus en plus en pis, sait d’avance et dans son for intérieur en décrépitude, qu’il est entre le fer et l’enclume.
Pour ce faire, il tente vaille que vaille d’entretenir le faux suspense sur le troisième mandat par des non-dits, des insinuations alambiquées, espérant ainsi se dépêtrer du goulot d’étranglement, dans lequel il s’est tout seul embourbé, et dans l’espoir d’éviter le retour du bâton, quand demain fera jour.
Ses cancres bénis oui-oui, sont bien obligés de se solidariser, et se tenir, telle une toile d’araignée. C’est du pareil au même. Ils savent tous qu’ils ont le même sort scellé, qui lie les uns et aux autres, tel un cordon ombilical.
La même psychose permanente de rendre des comptes habite et empêche de dormir le cartel de la république de la bamboula, au premier rang duquel, le boucanier, qui se refugie derrière les grilles « d’un palais Marron », est un adepte de la secte maçonnique. Lequel partisan de l’apocalypse n’a qu’une apparence de respectabilité, et dont la gestion des affaires de la cité, est si chaotique, au point qu’il la considère lui-même comme étant sa vache à lait, ou plus exactement un bien unipersonnel, familial ou clanique.
Un tel abruti, n’en a cure de la marche normale d’un état de droit régalien. Ce qui l’intéresse de prime abord, comme tout dictateur, c’est son surmoi, sa propre personne imbue, qu’il se fait de lui-même. Car sa suffisance et son incapacité notoire témoignent éloquemment d’un aventurier digne de lui, méconnaît totalement la déontologie professionnelle de l’administration. Cela n’est que la face émergée de l’iceberg.
Nous citons quelques unes de ses dérives confiscatoires à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience, qui nous ramènent à la pierre taillée :
– Le Code électronique liberticide des communications
– les parrainages inflationnistes, mortifères, pour éliminer des adversaires politiques, sous l’autel prétendument judiciaire. Pendant que les véritables coupables des passe-droits et des privilèges d’exception dans l’enseigne franc-maçonnique, se promènent librement à ciel ouvert et en toute impunité.
– particulièrement le fichier électoral ombrageux, dont les conséquences considérables et ses dégâts collatéraux en disent long sur la dernière parodie présidentialiste en 2019. Cette dernière constitue à n’en pas douter la plus vaste escroquerie gigantesque politique du siècle au Sénégal, qu’ait connue la téranga dans toute son histoire. Et ce n’est pas tout, tant s’en faut.
Qui peut donc compter les scandales infinis, la gabegie, les nombreuses engeances clientélistes, les morts suspects, déguisés en crimes politiques maquillés, crapuleux, jamais élucidés, les folies dépensières tout azimut, auxquels s’y greffent en continu, en prime, les voyages superflus, inutiles, qui n’obéissent qu’à des critères de pur prestige mal placé, ou de culte de personnalité. Et les prix loufoques sur commande, les emprisonnements massifs à tout vent, sans compter les interdictions automatiques de toute manifestation légale, et ceci sous n’importe quel prétexte bidon de trouble à l’ordre public ou déstabilisation et d’atteinte à la sécurité de l’état ?
Compte tenu de tous ces éléments bien connus, les propagandistes, proxénètes politiques, se donnent tous de la voix, pour croire se tirer d’affaire, comme si rien n’était. Quand une pyramide s’effondre, tous ceux qui s’y trouvent dedans, disparaissent en même temps.
Publication, le 4 Octobre 2017/ un article intitulé « la Junte Familiale Autocratique À la Blaise Compaoré : un Cassius Belli ! » Par Ahmadou Diop CPC.
Et l’oligarchie militaire sénégalaise, obscure, jusqu’ici, quoique l’on puisse dire, s’est toujours rangée du côté de l’exécutif et sur commande de qui et pourquoi ?
Comme par magie, si cela se produirait, [l’armée nationale, dite républicaine et la police nationale], pourvu qu’elles ne soient pas tentées par le diable, à l’instar des dictatures miliaires du Zimbabwe et du soudan, pour ne citer que celles-ci.
Dans l’histoire du Sénégal, on n’a jamais vu de mémoire autant de pédophiles et d’homosexuels aussi massifs , qui pullulent ouvertement et à ciel ouvert et par médias interposés que sous le règne d’un absolutiste, qui s’inscrit dans la nouvelle génération de la françafrique, s’accommode indignement dans son rôle de relais attitré farandole, par sa servitude à l’égard de la charte de l’impérialisme. Le coupable numéro un fera tout de son poids pour s’accrocher mordicus au pouvoir, telle une huître sur son rocher.
Le pantin a une psychose et une peur bleue de la prison. C’est pour raison qu’il ne lésinera pas sur les moyens et faire des pieds et des mains pour échapper demain à la justice libre, souveraine et indépendante.
Il n’y a pas de fumée sans feu. L’ONG islamique Jamra “reprend” du service. Avec le Comité de défense des valeurs morales, elle a décidé de porter plainte contre la série télévisée “Réwoolén”. Comme tout menteur professionnel, profanateur, mécréant , franc-maçon, l’autocrate, digne de son rang – ou la girouette des pirouettes déboutonnées, par sa duplicité à la renverse machiavélique, prêche constamment l’ambigüité, en la parrainant par derrière l’homosexualité, de façon qu’elle soit pérenne et intégrée peu à peu dans les consciences abîmées et dans les règles dépravées.
N’oublions pas que Macky Sall en 2013, à l’université de HAWARD aux Etats-Unis disait, pour plaire à l’ancien président Barack Obama, je le cite textuellement, cryptait son discours : « qu’il faut protéger les minorités », entendre les lobbies homosexuels. Dans un pays musulman, il y ajouta : « qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème ».
Bizarrement, il s’est bien gardé de défendre les musulmans. Tout bon imam présumé, qui prêche la droiture sans langue de bois, ni ornements les préceptes rigoureux du saint coran, devient systématiquement suspect et potentiellement dangereux à ses yeux. L’imam Ndao et d’autres gros calibres ont payé un lourd tribut. Autrement dit, les interdictions burlesques apparaissent comme source de pédagogique, selon le minable, qui prône ouvertement la culture de la trahison.
La constitution moribonde, étrangère, pensée et élaborée par les mêmes et pour les mêmes, plaide la cause de la suprémacie leuco derme, par son caractère impénitent, pervers prétendument idyllique, constitue la clé de voûte de notre descende aux enfers, n’a d’existence réelle qu’à nous insulter en permanente, et de façon abusive, pour travestir davantage nos consciences collectives et nos modes de pensée et nos valeurs culturelles traditionnelles et notre civilisation.
Avant la pénétration coloniale, l’organisation sociale des sociétés africaines était analogue ou supérieure à celle de l’Europe disait le kamit, Cheikh Anta Diop, l’égyptologue, historien scientifique le plus élevé de tous les temps, dont la pensée fertile , par sa profondeur, hors-pair de classe exceptionnelle, inégalée et inégalable, demeure plus que jamais aujourd’hui d’actualité.
MACKY SALL, le changeant, dictateur en chair et en os, la girouette des pirouettes, ou le tourniquet-cheval marron, réécrit d’avance le scénario du film en permanence, confond sciemment les stratégies politiques et la malfaisance, gagne à tous les coups.
La relance du débat du 3 ème mandat, est initiée par le DEUM BOUMAK BI- DIOUBLANG ramène tout à lui-même, veut absolument assurer l’abondance de ses arriérés aussi opaques que la nuit, désire à échapper à la justice de demain, en assurant ceux de ses ramassis, sont aussi coupables.
C’est pourquoi, dans le secret des dieux, il fait des pieds et des mains pour mesurer la température, tendant à légaliser par ses mécanismes confiscatoires contre le suffrage universel et pour lequel il n’a aucun respect. Toute sa politique aléatoire ne repose que sur des TAPALE., son jeu favori auquel il s’accroche telle une teigne. Même ses multiples prétendus prix loufoques à l’échelle planétaire internationale, contrastent parfaitement avec ses lois liberticides, qu’il organise et finance par derrière, n’échappent pas non plus à sa règle édictée.
Le moelleux, qui est réfractaire à la démocratie, aux libertés fondamentales et à la justice et à la droiture. Celui qui est arrivé au pouvoir par l’esclandre de ses mrds F CFA ne peut jamais se dépêtrer de son ADN haineux.
Pour rappel, lors de la dernière comédie présidentielle de 2019, des dérives exponentielles, pour faire passer la pilule amère au soir du premier tour,Bounn Abdallah Dionne, qui est par définition, le porte-voix et la bouche et les yeux de l’éternel maître des reniements et des renoncements, annonça la couleur à cor et à cri le score fantasmagorique de 58% pour son mentor, digne de lui, à l’instar des autocrates africains.
Après quelques jours d’attente et de faux suspense, le juge Demba Kanji, sur ordre du dictateur, se cacha dans les valises de la rupture aléatoire, et ce pour les besoins du service de piètre qualité, confirma textuellement les prédictions absolutistes, préfabriquées de toute pièce. Sachant qu’il est le chouchou de gros bras, qui le soutiennent sans bruit, il s’estime tout-puissant, se permet et n’importe quoi, tant qu’il respecte à la lettre la feuille de ceux qui lui donnent des ordres. Cela est aussi valable pour tous les dictateurs africains, qui se transmettent le pouvoir de père en fils.
Nous en avons eu la preuve en 20011 SUR LE TICKET PRESIDENT ET VICE-PRESIDENT que Wade voulait instaurer au Sénégal.
La levée de bouclier des chancelleries occidentales combinée avec celle du peuple a eu le dessus sur la volonté de l’ancien président, avait fini par abandonner le projet. En revanche, Alassane Ouattara, le putschiste, qui a bien organisé une parodie référendaire en Cote d’ivoire, lui permet de créer le poste de vice-président.
Pis, il a nommé son propre frère, que l’on appelle « la photocopie », au poste directeur financier de la république, pour sa ressemblance avec son frangin. Macky Sall, par mimétisme a fait la même chose, catapulte Aliou Sall, maire de Guédiawaye, cumule sa fonction, est devenu un étrange constructeur de bâtiments, continue en toute impunité de bénéficier des largesses incommensurables et de prises illégales d’intérêts sur le marché du pétrole et gaz.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la communauté internationale, qui était très audible hier en Côte d’ivoire et au Sénégal, apparaît aujourd’hui peu réactive face aux dérives des autocrates africains, notamment francophones.
Cela veut dire que tous les larbins pantins satellites, qui respectent scrupuleusement la charte de l’impérialisme, c’est-à-dire de la servitude, ont tout le loisir de sévir aussi longtemps qu’ils le désirent.