L’ARROGANT OUSMANE TANOR DIENG, EST-IL DONC LE SYMBOLE DU MISERABILISME AUX ATTACHES DE LA DECADENCE ? Par Ahmadou Diop.
Ousmane Tanor Dieng : « Je ne souhaite pas laisser le Sénégal et le PS entre les mains d’aventuriers politiques »
Le Rabatteur- béni- le ridicule, décomplexé, pourri de la tète aux pieds, sait d’avance sa descente aux enfers, demain, en cas de débâcle de la république. L’objectif majeur du politicard – alimentaire consiste à absoudre les crimes tous genres pour les reléguer au second plan les scandales incommensurables du régime fantoche, de sorte que les projecteurs se braquent sur ses adversaires immédiats, dont certains. Eux, sont dans le même parti.
À quelle planète somme-nous ? Nous sommes des sénégalais et nous savons qui est qui et qui a fait quoi. Les archives qui parlent d’elles-mêmes, en témoignent éloquemment, démasquent le forcené.
Que l’insolent du haut de son ignorance se le dise, se le tienne pour dit ! Le minable a-t-il donc la mémoire courte ? L’arrogance et la suffisance sont l’apanage des opportunistes et des transhumants. Les postes de nomination TAN SA BULA NEX- ne sont point synonymes de compétences, ni d’expériences avérées, tant s’en faut. La médiocrité sert de gagne-pain et de promotion sociale dans notre pays. Un euphémisme que l’on ne saurait passer sous silence, ni l’occulté de quelque manière que ce soit. Ce n’est pas de l’argent comptant. Et pour cause. Nous ne sommes pas non plus oublieux, ni des idiots. L’histoire parle d’elle-même.
Nous ne laisserons pas étouffer ; ni dominer par l’escarcelle de malfrats en bande organisée, n’ont aucune étoffe d’honorabilité, visible, sont eux-mêmes des flibustiers de premier plan de la dernière espèce. N’importe quel abruti, politicard- alimentaire, fourbe, combinard, farfelu, fût-il nommé à des postes bidon, peut s’autoriser toutes les invectives et les dérives exponentielles, pourvu qu’il soit harnaché par le valet caniche de l’occident, l’imposteur déclaré. Halte, stop, ça suffit ! Finie donc la Récréation.
Les véritables aventuriers, vampires se reconnaissent entre eux, tous sont logés sous l’autel de la franc-maçonnerie, ont une proximité avec la république apocalyptique ethnique. L’animal sympathique est dans la mythologie franc-maçonnique. Une curiosité décapante pour quelqu’un qui se réclame musulman- mon œil !
Désormais, nous répondrons à coup sur et au coup par coup, pour freiner et endiguer le mal, l’ardeur et le taux d’adrénaline démesurés d’un fainéant de son espèce, le prouve.
Pour qui se prend donc l’envers du décor et à la renverse, représenté par cet écervelé, qui devient de plus en plus bavard, sous le magistère bancal de la sarabande, alignée, n’a jamais émergé d’un iota, si ce n’est son aigreur malsaine et sa petitesse d’esprit ?
Les verdicts sans appel de la Cédéao des procès politiques de khalifa sall et de karim wade et ses dégâts collatéraux sont passés par là. Alors, l’état incurieux et sa justice plastique de carpe explique la peur bleue du régime fantoche délinquant, est dans ses gonds.
Pour ce faire, et pour se faire sortir d’affaire, le chef fétichiste de la république des caïds et des voyous , cannibalise la politique et ceci avec la complicité de la bande des fripouilles par des méthodes autoritaires, décriées, adoube et recycle par vote clanique et sur commande d’en haut , Ousmane Dieng, le déchet toxique, qui n’a jamais rien obtenu de lui-même, a été catapulté à la tète du soi-disant Haut Conseil des Collectives Territoriales, et sous le fallacieux acronyme\ HCCT.
Made clientéliste, inutile et nébuleux, n’est constitué exclusivement que d’un cartel de ramassis complotistes, dévergondés, tous restent des rabatteurs lamentables opportunistes, arrivistes, à la suite du Référend’Deum de mars 2016 de triste mémoire – Que vaut donc cette tanière mafieuse, clientéliste des rapines politiques ? L’éternel secrétaire général du ps, l’empesté, le dirige d’une main de fer, comme s’il s’agit d’une entreprise unipersonnelle, familiale; tout en ayant à la fois un pied à l’apr. C’est l’auspice qui se moque de l’hôpital.
Un tel énergumène, est-il vraiment bien placé pour parler d’aventuriers, alors qu’il est pire que ceux qu’ils insultent lâchement. Autrement dit, c’est le voleur qui crie aux voleurs. L’homme des échappées torrides et des dérives tout comme son mentor, doivent tous faire profil bas. Qu’ils se taisent, et qu’ils ne nous fassent pas parler !
Décidément, l’irascible bandit, l’irrécupérable mercenaire doungourou fidèle captif, le sémillant – OTD- l’homme des casseroles infinies, l’effronté, a du culot, par son passé et son présent sont si ombrageux. Qui a une addiction envers les Driankés de la Capitale sénégalaise ?
Qui était donc l’homme, qui défrayait la chronique et faisait les choux gras de la presse, pour les avoir arrosées avec des valises de liasse de billets de banque FCFA, en achetant pour certaines d’entre elles des villas grand standing avec l’argent des deniers de l’état, devant la barbe et sous le nez du président de la république de l’époque ?
Un tel homme qui a bien la langue pendue n’a aucune parcelle de moralité, peu ou prou. Le moelleux, sous le magistère bancal du traitre, nègre de service du nullard en place, refait surface, reprend du service et du poil, est ragaillardi, et nourri des deniers de l’état, met les bouchées doubles,
Comme on dit Galuk dof du ter- car l’euphorie du pouvoir lui a permis de prendre sa part du butin, il perd décidément les pédales, au point qu’il croit détenir tout lui seul le PS et le Sénégal par un legs divin, la poupée s’offre piteusement et publiquement en spectacle et une tribune de bas étage, par presse propagandiste de référence, déclare du haut de son ignorance atavique, je le cite : «Je ne souhaite pas laisser le Sénégal et le PS entre les mains d’aventuriers politiques ».
En retour de l’ascenseur pour les services rendus, il est envoyé mécaniquement aux charbons par le label chef de bande de la République des fétichistes et du bazar, des décrets corrosifs, en sus des arrestations massives et des lois scélérates. Le violent ajourné lors des comédies électorales de 2012, s’adjuge le camérier, verbeux, crasseux, teigneux, digne de son rang, croit pouvoir repêcher par la magie le naufragé tax rip- menteur professionnel, profanateur dans l’âme.
Le lamentable, qui ne passe pas inaperçu, s’octroie des libertés cosmétiques et de façon incongrue, s’auto déclare le cheval de Troie du Sénégal, qu’il n’est jamais, ne le sera jamais, et ceci, tristement, dans une rhétorique de caniveau, qui est compatible à ses sottes d’humeur et à son ADN, qui lui collent à la peau.
Le personnage singulier, qui ne peut se dépatouiller de sa pathologie mentale, irréversible, a-t-il donc bu donc le calice jusqu’à la lie tout comme son chef avec lequel il partage les mêmes valeurs de l’indignité. Ceux qui s’assemblent, se ressemblent, n’est-ce pas ? Le pillard place ses propres intérêts avant ceux de la patrie.
Le médiocre, vindicatif, nombriliste, arriviste, affabulateur convulsif, insignifiant dans l’échiquier politique sénégalais, a changé, transhumé indignement, depuis le soir du deuxième tour des présidentielles de pacotille de 2012, s’est moulé et pour manger goulûment , ainsi, dans le laboratoire du parti cliniquement clanique victimaire des leurres et à ciel ouvert.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, OTD- l’Incubateur- l’Inculte agitateur, servile, inverse drôlement les rôles par son cynisme profanateur, corrodant, ne nous a jamais satisfait, au lieu de faire profil bas, déverse sa haine viscérale , fait vent debout à la place publique envers et contre tous ceux qui se dressent la tète haute contre le préfet de la France en place au Sénégal, tire à boulets rouges sur tous les citoyens, qui s’opposent à l’abondance tyrannique; qu’il considère avec mépris, allant jusqu’à les traiter comme de vulgaires aventuriers politiques. Alors que l’escroc incarne lui-même le symbole du misérabilisme de la décadence par sa vulgarité de la dernière espèce dans notre pays, le Sénégal.
Oui, reparlons donc de l’obscur élève d’Abdou Diouf, le diable ordurier, le plus monstrueux, le plus impopulaire du paysage politique, l’inimitable impétrant maître des insultes ignobles, ou l’acariâtre caractériel, ne s’est assagi, malgré ses casseroles plus bruyantes que ceux des grondements de tonnerre, telle une girouette, se moule de plein pied dans le Club fermé des menteurs professionnels, politicards, par sa peur bleue, et pour assurer ses arriérés aussi opaques que la nuit, se dispute effroyablement à la place publique, le déshonneur et l’ignominie avec le chef lèche-bottes des dépités des ramassis moutonniers des courbettes.
Juin 2014 – à quelques jours des municipales adu kalpé- foxarci- nangu- këf- le même brigand, hypocrite, fidèle à lui-même prend les devants, pour plaire plaisir à son mentor du moment, arrache par devers sa propre victoire, s’est taillé son score, digne de lui, comme tout fasciste de rang, face sa rivale Aïssata Tall Sall, se contente des miettes de 6%.
Les procès politiques de Karim Wade et de Khalifa Sall relèvent incontestablement d’un banditisme d’état familial. Ce n’est pas le droit qui a été dit, mais des procès iniques par l’entregent d’une justice soumise au service de l’état apr. Pendant ce temps, la Caste pourrie qui a bien les mains de sang, pour échapper à la justice farandole, qui agit exclusivement sur commande d’en haut , prête allégeance envers le Gourou – Casseur du Siècle au Sénégal, en échange des galons indus et des MRDS FCFA à gogo .
Et le dictateur indigène, indigeste, en place, peut-il vraiment bâtir une économie du pétrole et du gaz ? Qui pourrait le croire, compte tenu de ce qui se passe sous nos yeux ? Les nombreux juges et les procureurs, n’y feront rien, et qui prolifèrent comme des champignons, sont-ils donc aveugles sur les marchés de gré à gré, notamment les rivières de scandales torrentielles de certains hommes d’affaires, qui utilisent des pratiques douteuses ?
Voilà un autre mensonge grossier parmi tant d’autres à la pelle. L’état du Sénégal, le propriétaire présumé de ses richesses n’en détient que 10% et c’est discutable même.
Le braqueur, l’ennemi public numéro 1, qui est perché au plus haut sommet de l’état vassalisé, et qui prétend se donner une respectabilité de façade, pour son parti pris à l’encontre de ses rabatteurs encapuchonnés, gratifie et accorde bassement des largesses indues à son doungourou fidèle captif, en la personne de Ousmane Tanor Dieng, l’illuminé, défroqué, le caïd, invétéré, le très loquace gérontocrate fonctionnaire politicard , est devenu étrangement si riche très riche même par les mêmes miracles des raccourcis politiques , compte tenu de ses ratonnades mortifères par presse interposée, et ses charrettes de légèretés dégoulinantes, compilées les unes après les autres à couper le souffle, car l’infini recalé, qui est plus que trempé de la tète aux pieds jusqu’au cou des années durant, circule librement en toute impunité, nonobstant sa capacité de nuisance et par ses fadaises et son arrogance, dont il a l’unique secret.
Les immortels voyages permanents du nouveau napoléon ont-ils un caractère colonialiste en filigrane- une curiosité saugrenue sous l’habillage d’un bipolarisme désuet : l’hémisphère nord, ou le Géant apprivoise, tient en laisse le Modélisme les Monarchies -Orientales unifiées – tandis que de l’autre coté, toute l’Afrique des guignols dite francophone satellite , demeure plus jamais l’éternelle vache à lait pour du pré-carré, suprémaciste, dirige tout et fixe les règles de la zone Sahel , baptisée le G5 de la sarabande alignée.
Tous les prétextes servent d’ingérence et de collusions inavouées pour intervenir directement et durablement dans ses colonies d’Afrique- au sein desquelles, bien sur, des Esclaves de Droit Divin, se réduisent tous honteusement en carpes nègres de service, se complaisent dans leur rôle supplétif- ce que nous appelons avec euphémisme une recolonisation massive soft à petit feu qu’elle ne l’était, hier, pour les contrôler au nom de la géopolitique et du mépris affiché contre les populations africaines , reléguées que l’on considère comme des aborigènes
Sénégal \ BIME- Bingo\ LA BIGOTERIE \ dite de la diplomatie géopolitique- Commerciale, qui est en intelligence totale avec les complotistes fantoches mouchards des courbettes , serviles, jusqu’à la république surréaliste arabo-berbère des Maures blancs, les mesures liberticides, coercitives , font florès, foisonnent, deviennent force de loi, passent comme une lettre à la poste, face à la démocratie mondialiste de l’arbitre, reste peu réactive.