L’axe DAKAR-LIBREVILLE: ou l’Hydre Mafieuse des liaisons dangereuses, ce mal absolu et ses ramifications tentaculaires sont à démanteler. Par Ahmadou Diop.

Sommes-nous des incapables pour venir à bout celui qui nous empoisonne notre existence et nous pourrit quotidiennement la vie ?
SI l’Afrique n’avance pas, occupe le bonnet d’âne en matière de la mal gouvernance, n’émerge jamais dans le sens des progrès exponentiels à l’instar des autres nations libres, c’est que d’une part, elle porte dans son ventre des traitres-comploteurs, d’autre part, les populations africaines assujetties par les coups de canon, en particulier, francophones, sont incapables d’en finir avec leurs bourreaux respectifs qui leur pourrissent la vie. Une spécificité à l’échelle continentale africaine, en dit long sur son exclusion à la mémoire.
Les violences coloniales, pédagogiques ont-elles donc laissé des traces indélébiles, et sur lesquelles surfent nécessairement les élites guignolesques, dont la platitude manifeste, freine, et plombe durablement les mécanismes fonctionnels du développement ?
La régression des pays africains sous tutelle est-elle un hasard ? Personnellement, je le crois à mon intime conviction et en toute conscience. Est-ce donc normal que les médiocres de référence, sacralisés, et au nom de quoi, fassent hystériquement l’histoire à la place des bons minoritaires ? Évidemment, la réponse, c’est non.
Je l’ai toujours martelé, et continue dans ce sens. Le monde appartient à ceux qui ont des histoires matériellement prouvées et qui disposent d’un fiscalisme de haute teneur.
La culture du patriotisme est donc proportionnelle à la résistance et au degré de conscience de tout peuple déterminé, se prend en charge lui-même, quoiqu’il advienne, et aura nécessairement le dernier mot, triomphera, s’il le désire. Mais ici chez nous au Sénégal, la résignation et la couardise semblent prendre le dessus sur tout et au nom d’un masla, est synonyme d’abdication, n’a plus sa raison d’être, face à un félon endurci, qui continue d’abuser dangereusement de la force publique, tant qu’on le laissera faire.
C’est la règle édictée de tout peuple debout libre, souverain, indépendant, et fier de l’être, et à l’endroit, agit, et arrache bec et ongles, et par devers, et pour défendre ses propres droits inaliénables, lorsqu’ils sont bafoués par une horde de malfrats cartellisés en bande organisée.
Le régime présidentiel monarchique, dévoyé en Afrique francophone, est illégal juridiquement, politiquement, car les concernés ne l’ont pas entériné par voie référendaire, si ce n’est la volonté des relais du colonialisme. Depuis, il n’a produit que des prétendues élites corrompues et des passe-droits, gouvernent avec leurs valets dépités, lesquels n’ont jamais n’inspiré aucune confiance auprès des populations, sont sous la remorque de leurs maîtres leuco dermes
La répétition est pédagogique : La constitution étrangère, liberticide et moribonde, n’est qu’un slogan, enjolivé, creux et verbeux, n’est jamais ce qu’elle prétend incarner, car la réalité contraste parfaitement avec les faits têtus.
Car le personnage central, le putschiste, désarticulé, qui est au sommet de l’état, dicte ses propres lois cataclysmiques, se prend toutes les libertés et de façon unilatérale, s’autorise et s’octroie des décisions impopulaires, absolutistes, décriées, qui n’engagent nullement le pourvoir du peuple sénégalais, et se passe éperdument de l’assemblée nationale qui se soumet, et se confine dans son rôle de supplétif et de farandole.
Le nazi, kleptocrate autoproclamé des horloges des leurres – MACKY SALL- le boucanier à la surcharge pondérale, ou le câble de la Françafrique, béni oui-oui, qui est encarté à la démocratie des Bongo I et Bongo II, se croit immortel, surhumain et invincible.
Le tonnant se dresse lâchement debout contre vents et marées, du haut de son ignorance sur les affaires de la Cité.
L’illuminé de la secte maçonnique, revigoré par l’ivresse du pouvoir usurier, ne lâchera jamais prise, tient mordicus à utiliser les mêmes ressorts, qu’il a indignement et bassement appliqués contre Karim Wade et Khalifa Sall, et ce par sa police politique mécanique digne la Stasi- la CREI- interposée a été réactivée unilatéralement par décret présidentialiste.
Comme si cela ne suffisait pas encore, le fasciste déclaré, en met une couche épaisse, et harnache son armada mécanique de ramassis « doungourous », farandoles, fidèles captifs, sémillants, tribalistes jusqu’à l’os, n’a d’existence que pour abattre un par un tous les adversaires politiques immédiats du pedigree- larron, timbré le Clown.
Alors, après avoir cisaillé et élagué tous ses concurrents, l’usurpateur et adepte de l’engeance maléfique, requinqué, et sous l’escarcelle de l’hydre mafieuse, dans ses gonds, et par sa lâcheté congénitale, passe maintenant à la vitesse supérieure, n’en démord jamais
et quoiqu’il arrive, veut à tout prix et réduire au silence, et par n’importe quel moyen, fût-il abject, euthanasier politiquement et sans état d’âme, promet le feu et la potence au redoutable soldat intrépide, Ousmane Sonko, le patriote digne, charismatique, leader Pastef, l’auteur du brûlot » Pétrole et Gaz du Sénégal : Chronique d’Une Spoliation« .
Le réfractaire à la démocratie tient en laisse ses deux armes de guerre. Lesquelles travaillent en osmose et de façon concomitante, la tête baissée. Pour ce faire, et à l’instar de ses ramassis de justiciers alignés, se transforment pitoyablement en vulgaires abrutis dévergondés, taillables et corvéables à merci , compte tenu de leur adn qui leur colle à la peau, telle une peau de chagrin, pour n’être que des ustensiles de cuisine, s’exécutent bassement, et pour faire le sale boulot.
Et L’lois liberticides, et demeure plus que jamais l’autre arme de guerre confiscatoire à la démocratie et aux libertés fondamentales, reste immanquablement aux attaches au service du potentat, nègre de service, négationniste intégralement intégriste, terroriste, le braqueur électoral permanent en place, malgré son bonnet satanique, trompe-l’œil.
Pourquoi la manif virale du 23 juin 2011 était possible à la Place de l’Obélisque, laquelle avait obligé Abdoulaye wade à revoir sa copie sur le ticket- président-vice président, n’est plus de mise après de Sept ans de gouvernance bancale absolue ?
Est-ce à dire que les organisateurs au premier rang desquels Moustapha niasse, avec pierre en main, dont Macky Sall et sa bande de ripoux politicards, sont plus forts que l’ensemble des sénégalais apparaissent tous résignés sur leur sort ? Et auquel cas nous tous réunis, nous sommes coupables et faibles d’esprit, face à ce cartel mafieux
Ce que l’on peut dire au Sénégal des temps modernes, dire la vérité devient une mission impossible et périlleuse.
Car mettre le curseur sur la vérité, sera mal interprété, crée systématiquement la discorde et la division. Sommes-nous vaincus par le diable ? Et la question se pose.
L’intrusion su Satan en place chez nos chefs religieux musulmans ne peut lui servir de tribune politique et de bouée de sauvetage. Que n’a-t-il pas dit de plus ignoble contre ces derniers ?
L’adepte incorrigible de la secte maçonnique a-t-il donc la mémoire courte, pour croire se donner une sainteté imaginaire.
De 2012 à nos jours et sans répit, plus qu’un village entier portant les mêmes patronymes particuliers, bien sonnants, détient tous les leviers économiques, financiers et juridiques d’un régime autoritaire et son éco système d’apartheid.
On s’en souvient, et pour rafraîchir les mémoires oublieuses, dans la nuit du samedi 24 janvier au dimanche 25 janvier 2009, Abdoulaye Sall, l’argentier Spécial de MACKY SALL, venant de LIBREVILLE, a été interpellé à l’aéroport International Léopold Sédar Senghor pour blanchiment d’argent sale.
Depuis lors, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts jusqu’à aujourd’hui.
Car l’axe du MAL se porte plutôt bien, et reste plus que jamais au beau fixe, malgré les apparences douteuses. Et pour cause. Désormais quoique l’on puisse dire, tous les coffres forts du Gabon mènent directement au palais des fétichistes et pour le plaisir de la dynastie des « alpulaar nédo ko bandoum » versus Françafrique oblige, et ce par la solidarité de la secte maçonnique.
L’impunité de l’axe tyrannique franc-maçonnique entre les deux adeptes béni-oui-oui de la françafrique, ne passera pas, ne peut être légale, ni un prétexte ni un secret d’état, ni tenir lieu d’accord bidon, ni un tabou, mais demeure plus que jamais une alerte, pour nous autres sentinelles panafricaines, imbues de la fibre kamit.
Celui dont l’exhibitionnisme cynique par ses folles dépensières tout azimut, et son comportement outrageant, indécent, devient à n’en pas douter un casus belli, une menace réelle à la démocratie, à la cohésion sociale et l’unité nationale, vont à l’encontre du bon fonctionnement d’un état régalien, civilisé, normal.
Nous devons donc conjurer le mal du capharnaüm ambiant, et en découdre avec lui, et créer de facto les conditions obligatoires de sa chute brutale, et dans un mouvement unitaire, consensuel, partagé à l’échelle nationale.
Le pouvoir d’état monocratique, autoritaire déclaré, et incarné par le kleptocrate, Macky Sall –himself, dit l’Acrobate- l’Envoyé Spécial Colonial, attitré en Afrique, et accrédité à Dakar, dicte unilatéralement son tempo, et maintient orbi et urbi son propre calendrier électoral immoral, illégal, illégitime et sa loi tyrannique, blasphématoire, gouverne contre la volonté de tout peule entier, qu’il méprise,, et relègue au second plan, comme son pouvoir relève d’un droit divin, comme s’il a droit de vie et de mort sur ses sujets.
Ce qui est encore plus surréaliste, surprenant, et insoutenable, est que la façon calamiteuse, dont le pouvoir apocalyptique, kleptocrate, gère les soi-disant retrouvailles douteuses wade- le Berger Colonial- et la libération immédiate de Khalifa SALL, laisse apparaître des zones d’ombre, au lendemain de l’inauguration salutaire de la Grande mosquée de Massalikul JINANN.
Car les mêmes fripouilles de république familiale ethnique, indigne, converties en farandoles et en bande organisée, tels des abrutis moutonniers tondus, dressés en coupe réglée, n’apportent aucun éclairage tangible, et preuves l’appui, répètent mécaniquement, promptement et machinalement les mêmes éléments de langage, et ce sous le diktat du changeant, est pire qu’une girouette : « APAISER E CLIMAT SOCIAL », et dont le moins que l’on puisse dire, pour dire la vérité, est loin d’être une science infuse, ou de l’argent comptant, tant ses reniements abrasifs et renoncements en cascades font froid au dos.
Ali bongo, qui assume son appartenance à la secte franc- maçonnique sera candidat à l’élection présidentielle en 2023 au Gaon. En revanche, Son acolyte à la démocratie familiale n’a pas eu le courage de l’affirmer, malgré qu’il y reste silencieusement dans le secret des dieux. Comme on dit, ceux qui se ressemblent, s’assemblent, se reconnaissent tous entre eux.