Le Sénégal est-il donc soumis et tenu en laisse par les esclandres de la République Ethnocentrique, Autoritaire et Autocratique ? Par Ahmadou Diop CPC.
Tout pouvoir absolutiste, fantoche et néocolonial, pour parachever le totalitarisme, foule du pied la démocratie, et décrète des lois liberticides, et à dessein de bâillonner durablement la liberté d’expression, individuelle et collective de tout un peuple.
Et justement, reparlons encore de notre pays, le Sénégal, qui s’ auto flagelle la qualité de la Téranga, bien que son caractère prétendument angélique, n’échappe nullement à la règle de la République Ethnocentrique, Autoritaire et Autocratique.
L’arbre qui cache- la forêt qui est ce tabou-, est-il tenu en laisse par son consentement réactionnaire, fataliste et ingénu politiquement, ou résigné, par son laxisme dynamique, est source de régression, face à l’aplomb indécent et à l’opulence d’un bazar indignement engraissé, s’érige bassement en bande organisée, et dont l’exubérance exhibitionniste et cynique, nous donne la chair de poule, rime parfaitement avec la platitude corrodante d’un ramassis d’idiots constitue vertement les bras armés de la république attentatoire, autoritaire et autocratique ?
Alors, disons le tout haut sans ambages, ni sans langue de bois, ni retenue, ni ornements, que Macky Sall, le charlatan en chair et en os, se le tienne pour dit !
Car du haut de son nombrilisme étouffant et de son arrogance mortifère, il demeure plus que jamais le mal absolu et l’ennemi public numéro 1, incarne le chantre du népotisme, de la trahison et de la pagaille, agit à ciel ouvert.
Un tel boucanier si étrange, qui réduit tout à lui, et entretient manifestement la culture du savoir et se taire- ou le soi-disant devoir de réserve – ne sera jamais dans le panthéon des patriotes et des hommes d’honneur, pour avoir bradé sur fond de haute trahison le pétrole et gaz du Sénégal.
Pis, sans éthique, ni équité, il se distingue par sa marque de fabrique digitale, s’est lui-même non seulement enrichi gloutonnement, et sous l’autel de l’égoïsme renversant, mais protège tout son clan et toute sa famille immédiate, sont devenus si engraissés par le miracle des postes de nomination « Tansabula nex ».
Alors, face à l’amplitude démesurée d’un régime capitulard, moribond, aléatoire, liberticide, corrompu, autocratique, autoritaire et ethnocentrique, quoiqu’il arrive, ne compte pas s’assagir d’une virgule, pour arriver à ses fins, et peu importe que les moyens soient abjects.
En effet, à l’instar des pays qui ont une haute teneur politique de marbre, si nous voulons aller de l’avant et au nom de l’intérêt général, nous devons tous faire corps et cause commune, et agir ensemble et proportionnellement au degré d’impunité, pour changer le rapport de force en faveur du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.
Compte tenu des brutalités permanentes du régime guignol, prédateur et de ses valets tous tondus et corrompus jusqu’à la lie, nous n’avons d’autre choix que de faire appel à une réaction forte et massive bien coordonnée. C’est la loi de la nature. Et en ce moment là, on saura qui est la force supérieure. C’est la force qui arrête la force [ndlr Abdoulaye Wade].
C’est la seule alternative possible, qui vaille, si nous voulons nous libérer du guêpier infernal et du régime obscurantiste et fantoche auxquels nous sommes confinés, depuis hélas 9 ans. Nous devons le traduire en action matérielle sur le terrain du crime.
C’est le cas de le dire tout haut et sans ambages, puisque nous avons affaire à une république bananière dans laquelle le tout répressif sévit, s’institutionnalise de plus en plus, sert de contradiction et comme unique solution. Depuis belle lurette et sans discontinuer, la soldatesque waffen SS, qui est au service du totalitarisme offensant- je pèse bien mes mots- agit librement, disproportionnellement et aveuglément, digitalise sa marque de fabrique, tue par devers toute capacité de résistance peu ou prou et à la moindre incartade, ou pour un oui et pour un non. La récréation est finie, halte, stop, trop, c’est trop, ça suffit –« doyna seuk »- louy jot jotna et maintenant ! Nous sommes devenus la risée du monde. La coupe est déjà pleine !
Plus personne n’est à l’abri de rien ! Nous sommes bien menacés dans notre existence par une bande de faquins et en tète de laquelle un lâche plastique se croit comme un dieu sur terre, immortel, surhumain et invincible, est grisé par l’euphorie du pouvoir le rend fou et insaisissable, apparaît détenir un droit de vie et de mort sur nous tous.
Nonobstant nos incantations stériles en abondance ne sont-elles pas synonymes d’abdication réactionnaires et de couardise, dans une certaine mesure ? sommes –nous un peuple apparenté immature politiquement par notre somnolence et notre déficit chronique en matière de patriotisme, ou alors, pour n’être que des citoyens réduits au second rang, au point que nous sommes ferrés et tenus en laisse par l’escarcelle de la république ethnique, autoritaire et autocratique, des privilèges et des passe-droits ?
Malheureusement, depuis le 25 mars à no jours, la rupture tant promise à grand tapage médiatico-politique, et ce à l’échelle planétaire internationale, n’a jamais produit jusqu’ici les effets escomptés, malgré la chorégraphie endiablée des tambours battants ici ou là. Manifestement, plus personne ne peut l’ignorer, car la montagne a accouché plus d’une fois d’une souris.
Selon la loi hérétique, érigée en dogme, les bouffons,-politicard- Insulteurs, corrompus, désertiques et comploteurs de la tète aux pieds, et ce, sous l’autel de l’égoïsme et de la trahison, n’ont aucune parcelle de moralité, de vertu, ni aucun iota de conviction politique, palpable, se transvasent piteusement, et transhument bassement sans vergogne, dans la galaxie de la République capitularde,autoritaire, autocratique, fantoche, Familiale et Ethnique.
Pour avoir sa place au soleil et dans le bazar embelli, sur fond de mensonges en continu, le vacarme pithiatique de l’arbitraire et la tyrannie, qui font froid au dos, priment sur tout, commandent, et recommandent la théorie de caniveau, et à l’aune des reniements et des renoncements infinis, passent nécessairement sous silence, comme une lettre à la poste, comme si rien n’était.
Au Sénégal et en Afrique, dite honteusement francophone, lors des campagnes électorales de l’esbroufe, les despotes taciturnes, s’érigent affreusement et sous le faux manteau de démocrates, promettent plus qu’ils n’en font en réalité, mais une fois qu’ils sont sous les lambris dorés, ils montrent leurs véritables visages hideux, en changeant leur fusil d’épaule.
« Le bon élève de la francophonie », ou l’autocrate déclaré et non éclairé, s’accapare de tout l’appareil d’état, et place de façon indécente toute sa famille immédiate, paresseuse, qui occupe par devers et par-dessus tout des postes de haut niveau qui contrastent avec leurs cv de ramassis et leurs expériences bidonnés. Cela en dit long sur la cécité d’une gouvernance boiteuse.
L’exhibitionnisme exubérant, cynique, attentatoire fait florès. Et l’opulence indécente d’une sarabande emmitouflée circule dans de grosses cylindrées, tire-l’œil, sorties de terre on ne sait où et comment, contrastent avec le marasme social, délétère, et auquel s’ajoute le chômage chronique en pis.
Où sont donc les preuves matérielles de la rupture tangible que sais-je encore, dont il nous tympanisait nos oreilles à longueur de journées ? Macky Sall, qui nous promettait un état régalien, use des moyens dangereusement de la force publique, pour réduire son opposition à sa plus simple expression, et tire à vue sur tous ceux qui bougent.
Les interdictions burlesques s’enchevêtrent à ciel ouvert et ce, sous le fallacieux prétexte de troubles à l’ordre public. Nous sommes bien dans un état inquisitoire, autoritaire, autocratique, et qui tourne à plein régime, et qui n’accepte aucune voix dissonante, contradiction, minime, soit-elle.
Qui trouble vraiment l’ordre public, si ce n’est le réfractaire à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience ? Décidément, toute allégation farfelue, sert de restrictions drastiques, pour atteinte à la sécurité de l’état, ou de déstabilisation interdire tout, et dissoudre le mouvement Pastef et n’importe quoi. Le plouque, ou le boucanier, qui agit à tout vent, et dépense sans compter, est-il donc oublieux ?
En vérité, nous n’avons que des institutions soumises, factices et asservies, qui se distinguent par leur servitude, ne servent à rien, n’ont qu’une existence virtuelle, sont loin d’incarner ce qu’elles prétendre être.
Et le clown, qui n’a jamais respecté d’un pouce, ses paroles données, notamment son mandat présidentiel, qu’il avait promis de réduire de 7 à 5 ans. Cerise sur le gâteau, il a organisé sa parodie référendaire DEUM – dans laquelle le mandat en cours n’était pas concerné. En mars 2016, au lieu de nous servir d’un fourre-tout tout, s’il était sincère, aurait pu utiliser l’article 27 de la constitution. Comme tout félon de son rang, il a préféré nous mentir sur toute la ligne et par le truchement de ses institutions interposées.
Élections législatives cataclysmiques programmées du 30 juillet 2017 : après s’être renié à la place publique, pour avoir gardé son mandat présidentialiste, l’objectif, c’était de rester le maître du jeu, et d’avoir la main sur la mécanique, qui lui obéira promptement, afin qu’il puisse régler dans le silence absolu le compte de ses adversaires.
Dans une démocratie présidentialiste, le mandat du chef de l’exécutif est proportionnel à celui des députés. Mais pour des raisons de calculs politiciens, ces « doungourou, » si plastiques, sont majoritaires au soi-disant hémicycle, reste sous la botte du tyran. Alors, dans ces conditions, en 2017, les députés bénéficient tous d’un mandat de 5 ans.
En ce moment là, sachant qu’il va écrire le scénario du film en février 2019, qu’il se taillera son propre score fantasmagorique, il aura donc le loisir et toute la latitude de tripatouiller à sa propre guise la loi électorale, pour éliminer et se débarrasser à bras raccourci un par un de tous ses adversaires encombrants.
En vérité, le minable kleptocrate, imposteur avait des arrière-pensées politiques de bas étage. Comme on dit, chose promise, chose faite.
Le mandat des députés finira en 2022. Alors, pour ce faire, si on n’y prend pas garde, le dictateur, qui a des intentions malveillantes risque de le prolonger par décret présidentialiste. Et c’est déjà le cas pour les municipales de pacotille.
Et bizarrement, après quoi lors de son voyage en Allemagne, il a eu le culot de dire que le Sénégal est une démocratie.
Le même aventurier contrôle tout, tient en laisse et son assemblage de godillot, de services, de sinécures et ses tribunaux instrumentalisés de carpette et aux ordres et sa presse plumitive et corrompue, indigne, oriente ses articles bidons dans le sens voulu, et sur ndiguel d’en haut- l’aide à la presse-oblige- s’écarte dangereusement de la déontologie professionnelle journalistique et des traitements objectifs des informations.
Macky Sall, l’opposant de circonstance, est l’arroseur arrosé, l’obscur multimilliardaire des ténèbres, le traqueur des biens mal acquis supposés à géométrie variable, qui fut peint complaisamment sous les défroques victimaires, est manifestement, aujourd’hui, le premier fraudeur de classe exceptionnelle, dans son piédestal, sous les lambris dorés d’un palais aux patronymes particuliers, dont la trahison à l’épreuve des faits tangibles, ne souffre d’aucune discussion possible.
Tous ces ramassis d’idiots, d’incultes, d’ignares, qui tiraient hier le diable par la queue, sont devenus immensément si riches et par le miracle des postes de nomination tansabulax nex bidon sans éthique, ni équité.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, la crédibilité et la respectabilité se mesurent chez les présumés notables des leurres et de corrompus, qui se mettent au garde- à- vous, face à celui qui n’a aucune solvabilité politique, ne possède, ni de près, ni de loin, aucune orthodoxie, peu ou prou, et dont les manquements et les dysfonctionnements, nous donnent la mesure qu’il dispose de la moindre équité, encore moins d’éthique.
Le caractériel renégat autocrate – Tali nãareet– ou la courroie de transmission de la servitude encadrée par la charte de l’impérialisme international, agit librement par sa soldatesque waffen SS, interposée, multiplie de jour comme de nuit et en tout lieu, les charrettes d’arrestations arbitraires, massives et abusives, qui ne se comptent plus, mènent directement à rebeuss- le nouveau Guantanamo tristement célébrissime- dépotoir endogène des déportés, pour la gloire du lâche Mussolini sénégalais, devient systématiquement une décharge de détenus prisonniers politiques et de droit commun à ciel ouvert .
Problématique d’un état ethnocentrique, autoritaire autocratique comme système doctrinaire et dogmatique.
Macky Sall : « de l’idiocratie à la médiocratie », la gouvernance banalement ethnique, est synonyme de banditisme et d’escroquerie en bande organisée. La problématique ethnocentrique débridée privatise et confisque la démocratie et les libertés fondamentales de conscience, interdit tout et sous n’importe quel prétexte bidon. Et pour cause.
Décidément, plus personne n’échappe non plus au dogme autoritaire d’un état absolument autocratique, terroriste, mafieux, prédateur, corrompu inquisitoire et paranoïaque. L’inguérissable despote, ou le va-t-en guerre, requinqué et revigoré par l’euphorie du pouvoir, qui le rend fou et amnésique, surfe sur la somnolence dynamique à l’échelle nationale , n’y va plus avec le dos de la cuillère, balaie tout sur son passage, et ce, avec une désinvolture colossale, réussit tout, réécrit d’avance le même scénario du film, et gagne nécessairement à tous les coups, bafoue par devers toutes les règles les plus élémentaires des droits humains.
Le devoir de réserve, c’est savoir, se taire, et se complaire, par consentement réactionnaire. Voilà le label de la tyrannie, qui bannit toute rigueur et toute transparence peu ou prou d’un état de droit régalien, alors qu’en 2013, déclarait ne pas vouloir construire des ponts, ni des routes, mais bâtir un état de droit. Qu’en est-il aujourd’hui au Sénégal ?
La suspicion et les embastillements à n’en plus finir, se corsent à un rythme effréné. Boubacar Sèye, président de l’organisation non Gouvernementale Horizons Sans Frontières (HSF), a été arrêté arbitrairement et placé presto illico en mandat de dépôt, le vendredi 15 janvier 2021 par la Police de l’Air et des Frontières , à l’aéroport international Blaise Diagne de Dakar, à la requête de la section de recherche, pour diffusion de fausses nouvelle, suite à une déclaration faite au sujet des fonds reçus par l’état du Sénégal et les états africains en général, de l’Union Européenne pour lutter contre l’émigration clandestine.
Le citoyen Boubacar Sèye, embastillé manu militari, qui était en exercice de ses droits, n’avait fait que demander un audit de ces fonds.
Ce n’est pas une première au Sénégal et sous le magistère de Macky Sall, loin de là, car l’aventurier de classe exceptionnelle, est réfractaire à la démocratie. La longue liste incommensurable donne la chair de poule des interdictions et les arrestations burlesques. Solennellement, nous avertissons, que la sécurité du détenu ne dépend pas de lui, mais de ses geôliers, en particulier, du commanditaire principal, en l’occurrence, Macky Sall en chair et en os. D’autre part, non seulement, nous déclarons nuls et non avenus les chefs d’accusations contre lui, mais exigeons sa libération immédiate et sans conditions !
Depuis 2012 à nos jours, les détentions arbitraires tous azimuts pleuvent sans répit, et sous le fallacieux prétexte de diffusions de fausses nouvelles, le pouvoir apocalyptique, qui est dévoué, voué et accroc mécaniquement aux gémonies géopolitiques, tient mordicus à légitimer ses violences récurrentes, son autoritarisme et sa dictature à tous ceux qui se dressent debout contre son absolutisme habituel.
Les prétendus distributeurs de la démocratie, qui s’érigent faiseurs d’opinion à travers la planète entière, apparaissent peu réactifs, sourds, aveugles et muets, restent silencieux sur les manières aléatoires des dictateurs. Les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts financiers politico- économiques passent avant ceux des droits humains.
Alors, au Sénégal, la prétendue lutte mensongère contre le terrorisme, invisible et le coronavirus international servent de foutoir-fourre-tout et de dérives confiscatoires pour le Guignol autocrate béni oui-oui, surfe obligatoirement sur les plantes bandes de ses propriétaires, pour se maintenir au pouvoir, déclarait hystériquement : « Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri de rien ». En vérité, la sémantique parlante de la thématique terroriste et la pandémie, ont plus de tonalité et d’écho que la démocratie et la liberté d’expression dans le lieu du crime au Sénégal.
Et pourtant, pendant la campagne électorale il faisait de la rupture, son cheval de bataille, son tempo, en particulier, le cumul des mandats. le chantre de la corruption, du népotisme et la culture d la trahison a battu le record des marchés de gré à gré, avec en prime les emplois familiaux décriés. IL est le seul procureur réel de la république autoritaire, autocratique, diligente tout par derrière, trie au volet les coupables désignés, protège, et blanchit ceux qui lui ont prêté allégeance et peu importe qu’ils soient fautifs.
Tous ceux qui se sont enrichis illicitement jusqu’au cou, et qui se logent mordicus dans la secte maçonnique, échappent miraculeusement aux griffes acérées de la justice aux ordres, sont à l’abri de toute poursuite judiciaire.
Alors, l’immoralité de saillies sert absolument de rigueur instable, de gagne-pain et de promotion sociale indue, dans notre pays étrange et à la renverse, le Sénégal, malgré son apparence, trompe-l’œil, demeure comme jamais ce géant virtuel aux pieds d’argile, apparaît par définition, fataliste résigné, s’effondre peu à peu, qu’il ne l’était hier, et au fur à mesure que le temps passe.
Macky Sall : « le 3ème mandat, c’est fini pour lui, est un faux débat. Je n’y pense pas ». Rebelote, je pense que le multirécidiviste entretient le doute et le faux suspens sur le 3 ème mandat illégal, juridiquement, politiquement et cliniquement et dans le secret des dieux,