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PSYCHOSE ET STERILITE AUTOUR D’UN VACCIN INCERTAIN ? MAIS À QUOI JOUENT DONC LE ROBOT ET LE BOURREAU SUR TWITTER ? PAR AHMADOU DIOP CPC.

Pour commencer,   on se demande pourquoi  il veut à tout prix un vaccin gratuit. Et quel vaccin ? La notion de  gratuité  étrangement choisie  est-elle donc  anodine ? Une telle idée   paraît elle –même insolite  et suspecte  au regard de la morale.  De surcroît, où a-t-on vu un vaccin obtenu  sur un plateau d’argent ? Auquel cas nous sommes circonspects   légitimement et rationnellement  sur les tenants et les aboutissants d’un vaccin  problématique, notamment  compte tenu  des  possibles  adjuvants,  pourraient  entrainer des effets catastrophes, et  dont les conséquences  insurmontables   sur la santé des citoyens  seraient irréversibles et désastreuses,  que l’on considère comme de simples cobayes  et sur l’autel du sacrifice.  

Quels sont donc  les dessous  et les  véritables motivations cachées en arrière-plan et à quelle fin au moment où la pandémie mortelle défraie mondialement  et hystériquement  la chronique et  sans répit ?  Le vaccin est une chose sérieuse,  ne peut être ni un jouet, ni  un tâtonnement, implique nécessairement  le pragmatisme, le savoir-faire  et    la rigueur  médicale  avec toute  la sécurité requise. La médecine n’est pas l’affaire d’un  imposteur  déclaré  de grand chemin,  converti  mécaniquement le mouton de panurge, s’offre  affreusement   une tribune sur twitter et ce,  pour des raisons  bassement politiciennes.  Les populations africaines ne sont pas des laboratoires d’essais cliniques à ciel ouvert. Ce que l’Europe réticente,  refuse de faire,  nous  n’avons pas le libre choix de le récuser et au nom de quoi ?

 Pourquoi  donc cette étrange précipitation surannée du politiquement incapable,  alors que le principe de précaution devrait  prévaloir ?

L’homme à la surcharge pondérale,  ou l’entonnoir colonial,  surnommé à juste tire, le robot et le bourreau du Sénégal- je pèse bien  mes mots-  porte  l’entière  responsabilité des crimes tout genre,  ne sont jamais élucidés,  et  dont le moins que l’on puisse dire par sa capacité de nuisance cataclysmique,  place  immoralement, ses juges politiques dans tous les secteurs clés de l’état  familial,  n’est jamais l’odeur  d’une sainteté en matière de bonne gouvernance, de  démocratie de transparence et des droits de l’Homme, passe tout son temps à restreindre davantage la liberté et sous  n’importe quel prétexte farfelu, bidon  et à la moindre incartade, bande ses muscles plastiques, abuse lâchement  et dangereusement des moyens de l’état.

Celui  qui  est considéré comme le  bourreau  du Sénégal  et le  robot béni oui-oui  du nouvel ordre mondial,  n’est jamais à l’endroit et à la place qu’il faut,  plombe par devers  et  le fonctionnement du développement du Sénégal et sa souveraineté nationale politique et monétaire, livre pour un sou le pétrole et gaz du Sénégal, pour ne citer ceux là,  reporte   unilatéralement  sine die et les législatives et les locales, foule du pied les libertés fondamentales et les clous du suffrage universaliste, entretient  le doute sur le troisième mandat illégal, juridiquement , cliniquement et politiquement.  Comme si cela ne suffisait pas encore,  mais  interdit   à sa bande de  ramassis  d’en piper un seul mot : «MUUT MBA  MOT » par ses dérives confiscatoires inflationnistes jusqu’à l’abîme.

La  fameuse  Communauté  Internationale,  est  sortie de terre en 2010, lors de la parodie  présidentielle en Côte d’ivoire,  n’avait  d’autre objectif  que d’empêcher  par la force brutale le tigre réel de poursuivre sa route,  en l’occurrence, Laurent Gbagbo.  Remake : le nouvel ordre mondial s’y ajoute,  pour lui donner un caractère juridique. Toutes ces nébuleuses  appellations, intempestives  qui poussent tels  des champignons  se tiennent   tous comme une corde, ne visent qu’à bâillonner durablement  les indépendances du sud, qui n’ont aucun droit de véto au Conseil de sécurité.  À fin  de justifier la colonisation, qui ne disait pas son nom,  les mêmes   à bras  raccourci, se focalisaient sur la mission soi-disant civilisatrice et salvatrice. Rien n’est donc  nouveau et tout est répétition. Selon l’entendement de  la charte impérialiste, je veux dire le nouvel ordre mondial,  cette énième  rhétorique antidémocratique, incessante,  n’en est pas une,  par définition, veut  que   les états  du sud  ne soient  pas  souverains, ni  libres  et indépendants, mais  suivistes, dominés  et dépendants des autres qui monopolisent le ciel et la terre  par le rapport  de force.  

Si on dit  que les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts, ceux  des plus forts priment sur le reste. Les pays francophiles des élites satellites-pantins de la zone  FCFA,  déjà fragilisés par la dépendance, dynamique,  n’ont jamais eu  leur souveraineté monétaire, politique,  ni leur défense nationale, seront davantage plombés, surtout avec la venue brutale  du coronavirus.  L’ECO,   ou l’élève du pré-carré, relève du vent, est arrimé à la zone euro,  a  certes remplacé le  FCFA  n’y changera rien.  C’est du pareil au même. Le gendarme colonial y gagne à tous les coups,  imprime sa marque digitale,  garantit  la nouvelle monnaie  coloniale, même si elle n’a plus son droit de véto dans les soi-disant banques centrales africaines. En vérité, c’est du pipeau. Qui  veut-on tromper ?   Il y aura toujours un impact  défavorable pour les pays satellites.  Car les APE constituent un déséquilibre financier lourd de conséquences. C’est un marché de dupes et un rapport  gagnant entre dominateur et dominés. Importent plus qu’ils n’exportent.

Comme on dit, pour faire beau,  le serpent change sa peau et sa sémantique,  mais garde sa nature, ramène tout à lui. Les Grands en vase clos émergent, Tandis que  les faibles, farandoles, doivent  se contenter  de leur sort,  ne jouent que   leur rôle de figurant,   c’est ça la praxis de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.  Le rapport de force prime surtout le reste. Le  droit humain n’est qu’un apparat.  Les états n’ont pas d’amis mais des intérêts économiques, passent avant tout.  C’est connu.

L’étude américaine diabolise et juge inefficace la molécule chloroquine, historique n’a jamais été l’objet de critiques peu ou prou. Et maintenant,   quand l’étrange coronavirus  mortel,  elle devient subitement la cible désignée, parce que  considérée comme du poison.  Ya-t-il donc de gros sous ci-dessous non assumés ?

Entre l’étude américaine et le pr  Didier Raoult, qui a soigné des milliers de malades, et donc l’expérience avéré en la matière,  qui dit la vérité?  La crédibilité médicale dépend-elle de la vérité médiatico-politique ? La question se  pose et pour cause. Au-delà de la chloroquine, certains professionnels de santé, s’interrogent, dont le pr  italien, Stefano Montanari ,  malgré le brouhaha,  casse la baraque, en jetant un pavé dans la mare,  et martèle : «  qu’il n’y aura pas de vaccin »

Le  développement et  l’avenir  du monde appartiennent  aux pays qui ont un   fort taux de croissance démographique. Comme toujours,  depuis des lustres à nos jours,  et sans répit, les adeptes politiques  de la théorie  malthusienne capitaliste de la pensée  idéologique mécanique  appuient mordicus sur l’accélérateur,  font du bruit assourdissant à travers les médias. Contrairement aux idées reçues, ceux qui dirigent le monde, ne  sont pas ceux  que l’on croit. La chloroquine peu coûteuse, est  recommandée  par l’éminent  pr Didier Raoult,  diminue considérablement la température, lorsqu’elle est appliquée aux patients, et  dés les premiers symptômes.

Or, plus de  3 mois, malgré les annonces et les prévisions apocalyptiques  à tambour battant, la pandémie mortelle  n’a pas  produit  jusqu’ici les effets odieux  à l’échelle continentale, nonobstant les supposés tests positifs  et les  morts limités  bidonnés, farfelus  ici ou là et sur commande de qui , notamment au Sénégal.

À  qui  profite le crime ?  Aucun pays africain francophone  n’a eu de laboratoires d’analyses sur les maladies infectieuses. Et ce malgré les mises en garde du  regretté professeur Cheikh Anta Diop, était en avance de deux siècles sur ses contemporains. Depuis les indépendances  formelles de la dynamique coloniale,  Cela n’est jamais une préoccupation  peu ou prou des élites farandoles asservies. Car au pays de la téranga, les hôpitaux  de l’indigénat  sont des  mouroirs à ciel ouvert.  Ici chez nous,   le dictateur en place, qui  agit  contre vents et marées, veut  imposer  quoiqu’il arrive, un vaccin incertain et  ce sans débat politique . Allez savoir pourquoi ?  Le coronavirus est-il donc un hasard  ou un  alibi  pour vacciner gratuitement avec des risques énormes  à grande échelle nationale  les sénégalais et les sénégalaises, majoritairement des jeunes,  et à quelle fin   pour procréer ? À contrario, selon la revue Sciences, publiée le 21 mai 2020, près d’un français sur quatre ne compte pas se faire vacciner contre le  Covid-19.

Du  haut de son rang, depuis le 26 mars 2012 à nos jours, l’intriguant flibustier,   le    virtuose hors-pair de classe exceptionnelle,    ou le minable dangereux   escroc  fantoche -kleptocrate marcotte et ses salades permanentes, mortifères,  s’est lui-même  converti  à la fois et  robot et  le bourreau du Sénégal,  sans vergogne, tient à  garantir  et son impunité et  ses mensonges corrodants, qu’il blanchit à travers  des médias et presses étrangers  interposés, clientélistes propagandistes autoproclamés de référence,   on ne sait à quel prix , se chargent d’assurer le service –après vente  de la Com` des  charniers de mensonges cataclysmiques empilés les uns après les autres.

Le comble est que le tonitruant, continue de  se dédouaner de tout, et  laver  ainsi, à Grande Eau ses burlesques  Trahisons Incommensurables au nom de sa gouvernance  abondamment chaotique indignement ethnique, enjolivée en vase clos et si calamiteuse de la tète aux pieds.

Face à la léthargie généralisée à l’échelle nationale, qui est synonyme d’abdication, de résignation et de  fatalisme ahurissant  à la renverse.  En même temps que la pandémie mortelle défraie la chronique,  depuis  trois mois, la température élevée du soleil, réduit considérablement  les dégâts collatéraux,  qui se chiffrent heureusement,  pour l’instant  à moins de quarante morts. pour l’instant. C’est de trop déjà. Que cela s’arrête là!

Certes, ce  bilan soit-il  limité, mais regrettable.  Pou autant,  pourrait-on raisonnablement  pointer du doigt   à 100%  le coupable désigné  comme étant le  marqueur du mal exclusif ? Lequel constitue un facteur aggravant.

La bête immonde revigorée,  qui  n’en a cure, n’en démord jamais, comme d’habitude,  réécrit  d’avance le même scénario du film, imprime sa marque digitale, gagne à tous les coups et par magie, reprend  nécessairement  du service et son tempo et sa fameuse thématique terroriste, est  invisible dans le ciel  bleu sénégalais totalement dégagé de toute terreur. Nous avons donc  le devoir moral  d’en finir  définitivement avec  le traitre  lâche et  incorrigible,  qui  nous enquiquine, nous nargue, en nous méprisant,  par ses dérives confiscatoires,  promeut mordicus  la culture de la trahison dynamique,  et qui passe tout son temps à chercher  lamentablement une tribune  imaginaire et une notoriété cousue de fil blanc. À défaut le mal ira en pis.

À bon entendeur, salut !

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