VIOLS DU MANDAT PRESIDENTIALISTE/ PREDATEUR : ’BANALISATION ET ALPULAARISATION DE LA REPUBLIQUE FAMILIALE’, CORROMPUE ET INCOMPETENTE, PLACE AUX PILLAGES ORGANISÉS DE NOS RESSOURCES PÉTROLLIERES ET GAZIÈRES, ET CE, SOUS L’AUTEL DE LA TRAHISON. PAR AHMADOU DIOP CPC.
Tout régime ethnique, négationniste, guignolesque, est capitulard, par définition, pro colonial. Cela fait partie des conditions sine qua non de l’immunité des dirigistes autocrates, sont source d’impunité. L’étrange Afrique des indignes guignols, pantins satellites, soumis, baptisée honteusement francophone, qui plaide pour la cause et les faits de la charte de l’impérialisme ’ soft ’ n’échappe nullement à la culture de la trahison.
Les prétendus accords de défense bidon, qui comportent des clauses secrètes, ne visant que les intérêts cachés, sont passés par là.
En échange des services rendus, réciproques, les nègres de service , et au premier rang desquels, l’inimitable tonitruant, clinquant autocrate en place au Sénégal, le chef de son parti politique cliniquement clanique, et son acolyte ivoirien de la dernière heure, peuvent plastronner donc et s’autoriser tout, et en franchissant allégrement le Rubicon. En effet, ils n’en courent aucun risque, minime, soit-il, violent systématiquement à leur guise, banalisent à ciel ouvert, ’ l’alpulalaarisation l’harmonisation’ administrative, tant au niveau des prétendus ambassadeurs, des consulats Généraux, les préfets, la police et l’armée, que tous les ministrons nommés sur la base de l’immoralité, etc. Peu importent les récriminations des citoyens et des citoyennes. Car leurs avis ne comptent point.
Et ceci délibérément et en toute impunité la durée de leur mandat présidentialiste, qu’ils ont élaborée eux-mêmes, et ce par leur propre constitution respective, est présumée effaçable en toute circonstance, à tout moment, quand ils le désirent, comme ils veulent, ne craignent rien, tant qu’ils respectent à la lettre la feuille de route, qu’on leur a tracée, en rendant matériellement l’ascenseur, la tète baissée, à leurs propriétaires blancs, autoproclamés suprémacistes leuco dermes.
La vérité, est que si nos toutes richesses vitales à gogo avaient été exploitées judicieusement de façon efficiente, optimale, les dividendes engendrés par ce pactole immense, auraient pu nous faire sortir la tète de l’eau et nous permettre de créer nécessairement non seulement notre souveraineté monétaire, mais notre défense nationale et également notre indépendance totale sur des bases voulues, à l’instar des autres pays de la sous région, tels le Nigeria, le Maroc, la Mauritanie, l’Algérie, la Tunisie, la Guinée, pour ne citer que ceux là.
Mais bizarrement, malheureusement, l’indécence de l’indépendance bâillonnée, de la décadence dynamique, et ce au nom d’une prétendue instabilité politico-financière des leurres, ne tenant que sur une ligne de crête, veut que notre pays de la Téranga, le Sénégal, comme dans le passé, soit nécessairement et obligatoirement dans l’appendice de l’ex puissance coloniale, qui reste comme jamais le maître du jeu, tranche unilatéralement, et décide de tout, garantit par devers et par dessus tout le F CFA, le socle du nazisme monétaire, et dont le moins que l’on puisse dire, est directement fabriquée même en France, fixe à elle seule, le nombre de billets de banque émis, imprimés.
En réalité, en politique, tout se tient en toute logique et pour cause. Car la dépendance monétaire étrangère, est aussi par ricochet et par définition, , un outil d’asservissement, de domination politique, financier, économique, idéologique, un moyen de chantage et de pression politique contre les dirigistes nègres de service tous tondus et ferrés à la même charte de l’impérialisme outrancier autoproclamée suprémaciste blanche leuco dermique .
C’est du pareil au même pour le français, un service public, on l’oublie souvent, est devenu en même temps un instrument politique, idéologique, linguistique, financier, culturel économique et par excellence la langue officielle du Sénégal et de tous les pays africains satellites soumis à l’échelle supra nationale continentale.
Nous en avons eu la preuve à maintes reprises avec l’inutile sommet chevaleresque de la francophonie, le tambour battant à ciel ouvert, qui demeure plus que jamais le prêt à porter culturel et une tribune politique, comme si la langue Wolof, consensuelle la plus parlée et la plus partagée au Sénégal, est antinomique à la science. Ce qui constitue déjà une incongruité démente.
Où a-t-on vu dans le monde, un pays se développer, en dehors de son environnement culturel et spécifique ? La sempiternelle monnaie coloniale, qui n’a que trop duré, quand même si elle sera remplacée par l’éco, demain, n’y fera rien. C’est du vent et un écran de fumée. Point barre.
Puisque ce dernier sera toujours arrimé à l’euro. Qu’on le veuille ou non, le FCFA et l’éco, freinent durablement et retardent les mécanismes fonctionnels du développement de toute l’Afrique tenue en laisse, aussi longtemps que nous resterons sous le joug expansionniste , versus le pré-carré, le tout puissant, diligente tout par derrière et ce, sans bruits et au nom de la géopolitique.
Tout pays qui n’a pas sa propre monnaie, ne peut en aucun cas, se prévaloir d’être libre, indépendant et souverain. Celui qui imprime sa marque de fabrique, gagne à tous les coups, mais met en diète beaucoup de perdants larbinisés et laissés pour compte sur le quai et au mépris de la conscience humaine. D’autant plus qu’ils importent plus qu’ils n’exportent, d’où le déséquilibre financier crescendo, constitue à n’en pas douter un gouffre colossal insurmontable.
Au lieu de transvaser et brader à tour de bras et à huis clos, pour un sou, toutes nos ressources minières de toutes sortes- ce don de dieu exceptionnel – notamment nos gisements pétroliers et gaziers lesquels, ’la république prédatrice, corruptrice et incompétente versus familiale Alpulaar’ des canailles, convertie en écosystème clos, nédo ko ban doum fait main basse veut absolument absoudre ses moult imprescriptibles crimes économiques, financiers et politiques, pour se maintenir au pouvoir , et échapper éternellement ainsi à la justice aux ordres, n’obéit qu’au doigt et à l’œil du tyran.
Le pétrole et gaz du Sénégal ont fait couler beaucoup d’encre. Les journalistes professionnels, extra-africains, tous azimuts libres , spécialistes de la corruption massive à haut débit, qui sont à l’endroit, ont écrit des montagnes d’articles pertinents sur l’or noir, au Sénégal, et perdu leur latin, défraient hystériquement et quotidiennement la chronique et mis l’accent sur le talon d’Achille, par leur courage, un étranger, un aventurier de grand chemin, en l’occurrence, Pétro-Tim, Frank Timis, lui-même, en chair et en os, et sa taupe immédiate, opportuniste, dont Aliou Sall, le mongolien, le personnage par les scandales arrivent, n’est autre que le crocodile, récidiviste, le prête -nom indigne, l’incomparable entonnoir atypique, de son frangin, Macky Sall, circule librement en toute impunité et en toute circonstance, et digère tranquillement sa proie dans les eaux troubles de l’apr, le ciel ouvert apocalyptique de toute l’histoire politico-financière du Sénégal.
Pourrions-nous accepter l’idée farfelue, selon laquelle une famille paresseuse, venue de nulle part ailleurs, puisse nous dominer à jamais , en réduisant au second rang et au silence ? On marche sur la tète. Alors, sommes-nous des moutons tondus, ou des moins que rien, pour laisser entuber par une seule famille viscéralement haineuse et vindicative, de cancres, de vermines, de lascars, de canailles, sont toutes liguées les unes aux autres, nous tiennent en laisse et au mépris de la conscience ?
En vérité, le traqueur des biens mal acquis, est le premier dealer, doit être poursuivi jusque dans ses repères, si nous voulons rétablir, dans les règles de l’art, la démocratie, la justice sociale, la justice tout court, un état de droit exemplaire, l’éthique et l’équité. Mais faut-il que nous soyons vigilants et sur nos gardes, et puissions faire vent debout contre le mal absolu et en finir avec lui, avant qu’il ne soit trop tard, pour agir ? Le monde appartient à ceux qui ont des histoires et un fiscalisme politique crescendo.
Plus nous resterons dans notre somnolence congénitale à la renverse, les médiocres de référence, auront nécessairement de belles années devant eux, continueront de laisser leur empreinte digitale, écriront l’histoire à la place des bons minoritaires.
En ce moment là, nous nous serons tous maudits et des coupables, pour n’être que les sujets et les jouets modulables d’un malfaiteur et sa bande de chenapans, auront un droit de vie et de mort sur nous. Comme on dit souvent, il ne sert à rien de courir. Il faut partir à point. À bon entendeur, salut !