« Le bon valet de la Françafrique », dit l’Anarchiste Ethnique, porte-t-il les Habits du Seigneur Tchadien et Cie ? Par Ahmadou Diop.
2019 \ une date charnière, le progrès ou le recul : « le vote Universaliste », est-il vraiment synonyme de Sainteté ?
Personnellement, solennellement et à mon intime conviction, la réponse est nettement négative.
Le népotisme et l’ethnicité deviennent force de loi en Afrique sous tutelle coloniale. C’est le cas du faussaire né, grisé par l’euphorie pouvoir, qui rend, fou, nous enquiquine, parce que requinqué par les accords de défense bidon. Évidemment en Afrique, le pouvoir est une affaire de famille et de clan chez les nègres de service tous ferrés par le même gendarme colonial, fait florès sur tout le continent. Les deux frères jumeaux que cités, partagent le même ADN. Il n’y a pas matière à discussion. C’est une évidence, en ce que sens que la frontière entre eux est poreuse.
Sous le règne du régime fantoche le plus scandaleux de toute l’histoire du Sénégal, en tête duquel « le bon valet de la Françafrique », dit l’Anarchiste Ethnique, le suppôt-potentat porte incontestablement les Habits et la fibre du Seigneur Tchadien .
Étrangement comme par magie, à chaque fois qu’un » Néko bandoum » s’en va, il est recasé automatiquement, ailleurs. Car derrière la même moule, qui porte mécaniquement la même consonance, n’est jamais loin. Et pour cause, Omar Maal, » le Mal » en est une parfaite illustration parmi tant d’autres. La même marque de fabrique digitale, est le propre de tout tyran africain, cyniquement irrécupérable, ethnique, par définition. Que nenni, le nominé, gratifié parle » Alpulaar » peu ou prou, l’homogénéité raciale sera toujours de rigueur.
En poste depuis 1990, le président tchadien venu dans les fourgonnettes françaises, instaure une nouvelle IVe République pour renforcer ses pouvoirs.
Alors que les alliés occidentaux de Déby, dont la France, ferment les yeux, la presse ouest-africaine dénonce le risque d’un pouvoir à vie”, selon une certaine presse bien renseignée. Macky Sall, le sosie du maître du Tchad, qui porte bien les habits de ce dernier, est bien l’homme des galéjades et des faux bonds cataclysmiques, n’a rien à envier à ses clones dictateurs africains, s’aligne aussi sur les mêmes plates bandes du seigneur du Tchad, à qui il ressemble, s’assemble, telle une goute d’eau, ” Monarchise à son tour et peu à peu le Sénégal” pour sa gloire personnelle, et ce, sous le sceau” Nédo Ko Bandoum” continue de nommer plus qu’un village entier dans les structures de l’état de haut niveau, porte incontestablement les mêmes patronymes particuliers, qu’il renforce plus belle que jamais. L’abondance des nombreuses casquettes de son frangin, Aliou Sall, et les nominations ethniques, le prouvent matériellement et éloquemment sur le terrain du crime.
Aussi étrange que cela puisse paraître, et à quelques encablures des scrutins présidentiels de pacotille, les mêmes autocrates unifiés les plus cyniques à l’échelle continentale africaine des pays francophones, à dessein de confisquer le pouvoir pour des raisons bassement obscures.
Les prétendus accords bidon savamment élaborés, obligent dont, figure au premier plan des hits parades des mercenaires bénis oui-oui, le tyran encombrant , en l’occurrence, Macky Sall, fait partie des pires féroces fascistes, tous sans exception, condamnent sans état d’âme, leurs propres adversaires politiques, immédiats, qui leur font de l’ombre : à savoir Karim Wade et Khakifa Sall, Aux yeux de l’opinion publique et par la seule volonté du même Himself Voleur – Casseur du siècle au Sénégal, veuille qu’ils soient tous les deux considérés comme de vulgaires bandits, ne valent plus rien, soient réduits à leur plus simple expression, et élagués, cisaillés, charcutés, houspillés, avant d’être livrés à la vindicte populaire, traînés dans la boue, et en charpie, ne puissent pas postuler en aucun cas à l’élection présidentielle en perspective.
Et ceci bizarrement , sous le nez et à la barbe des trois pays — lesquels se substituent allégrement à la dite Communauté Internationale — sans bruits, leur balisent le terrain, et qui s’autoproclament curieusement à la face du monde comme étant les distributeurs automatiques de la démocratie mondialiste, se taisent tous par leur silence coupable, restent passifs et peu réactifs, face à la tyrannie scandaleuse exponentielle en pis et aux crimes politiques surréalistes, incessants, dont sont coupables leurs propres valets les plus sûrs asservis de la planète entière.
Sur le cas du Sénégal, qui peut donc réellement croire à des scrutins libres, démocratiques, apaisés et transparents, compte tenu de ce que déjà vu d’amère ? Pour le mercenaire, maître de l’esbroufe et de la haine viscérale, promettre à tout vent, c’est mentir et mentir, et se défausser, en changeant sans scrupules, ni vergogne.
Alors, à quoi bon de perdre notre temps avec un Eternel Fasciste, Braqueur-Vainqueur avant l’heure, tient mordicus, arrachera une fois de plus comme toujours et à maintes reprises, pour sa convenance personnelle, et de façon récurrente, se taillera lui-même son propre score fantasmagorique sur commande, programmé, digne de son espèce, depuis sept ans ?
Les fadaises et les compilations grotesques des rafles quotidiennes, qui sont pires que celles de veld’hiv en France restent plus que jamais des signes avant- coureurs, n’augurent rien de bon à date échue. Si on n’y prend pas garde, le despote, fidèle à lui-même blanchira son hold-up électoral.
Et la prétendue Communauté Internationale Suprémaciste blanche – de trois pays- lesquels sont les plus bavards à l’échelle interplanétaire, entérineront, sans doute, le moment venu, et à notre place, comme d’habitude et à bras raccourcis , le coup d’état électoral , permanent du braqueur et l’éternel Casseur du Siècle, Macky Sall, le Caniche de l’occident, béni oui -oui- et ce, face à notre consentement réactionnaire, criard et notre abdication auxquels nous nous accommodons dangereusement et habituellement .
Hier, le potentat , ou l’escroc minable pitoyable parvenu, arriviste, taciturne de son rang, l’étrange gratifié des postes de nomination TAN SABULA NEX ne reflète nullement ses présumées compétences et expériences bidonnées, qui dénonçait orbi et urbi, les ratonnades du régime Abdoulaye Wade avec lequel il a cheminé pendant 8 ans, lui a permis d’assurer sa promotion sociale indue, pour se gloutonner abondamment, honteusement, devient l’inimitable changeant, interdit tout par devers et par son ignorance et par sa carence, et sous le fallacieux prétexte de trouble à l’ordre public.
Alors que le même imposteur-voleur né, en chair et en os, qui est réfractaire aux libertés fondamentales de conscience et des contradictions politiques, indispensables dans un état régalien, trouble lui-même l’ordre public au su et au vu de tout le monde, ce qui correspond bien à un casus belli ,que l’on saurait tolérer sous aucun prétexte.
Toute l’opposition réunie, pourra déposer autant que possible tous les recours que cela est nécessaire, mais rien n’y fera, car l’impassible ira toujours droit dans ses bottes, persistera et signera, n’en démordra jamais, imposera sa propre loi tyrannique, qu’il faille en découdre avec lui par la force et pour le déboulonner bruyamment à la place publique. Il n’y a pas d’autre alternance possible.
Selon lui, toute l’administration et la justice aux ordres, y compris les forces du désordre, sont ses auxiliaires de service et ses jouets.
Donc, nous devons tout faire pour inverser le rapport de force, pour le contraindre à abdiquer totalement. . C’est une priorité absolue, légitime à la quelle nous avons moral de nous atteler, quoi qu’il puisse faire.
Que l’on me comprenne bien, que l’on ne parle pas de courtoisie, ni de morale, et je ne sais quoi encore, de la part de quelqu’un, qui a été crée de toutes pièces par son devancier, bienfaiteur, qu’il bravait à longueur de journées, allant jusqu’à le menacer publiquement de vouloir créer un gouvernement parallèle par presse et médias interposés, toutefois que celui-ci remporterait la présidentielle de 2012.
Autrement dit, la girouette n’admet plus ce qu’il défendait hier orbi et urbi.
Le changeant, l’ignorant, qui est aujourd’hui méconnaissable, brade pour une bouchée de pain toutes nos ressources minières, vitales et indispensables à savoir le pétrole et gaz du Sénégal, tient à laver à grande eau ses crimes imprescriptibles, dont il est l’unique comptable devant l’histoire, « criminalise » par devers et nous tous affreusement et par-dessus tout, le premier droit inaliénable du peuple sur internet et dans les réseaux sociaux, notamment sur whatsapp, facebook et youtube, mais oublie sciemment par son insuffisance et par son arrogance ses insultes cataclysmiques permanentes à l’encontre de tous les citoyens, qu’il n’ a jamais cesser d’écrabouiller, chaque jour que dieu fait.
En France, et ailleurs dans le monde civilisé, le fiscalisme politique fait florès, est toujours nécessairement de rigueur, mais ici, chez nous au Sénégal et en Afrique à l’échelle continentale, de façon étrange, les violences récurrentes des états africains fantoches, satellites, sont érigées en dogmes, constituent cyniquement une pédagogie renversante.
Pis encore, historiquement et présentement, toute capacité d’abnégation, de bravoure, de culture patriotique, crée systématiquement de la discorde partagée à l’échelle supra nationale, devient hystériquement un consensus.
En revanche, les nègres de service indigestes les plus structurés, en bande organisée, ont le vent en poupe, puisque les trahisons suffocantes aux effets multiplicatifs tous azimuts, passent mieux dans les esprits phagocytés.
L’éternel psychodrame à l’échelle continentale freine, durablement son avenir et plombe son développement. Habituellement en Afrique, la plupart des prétendus dirigeants africains garantissent l’envol de leurs médiocres, qui sont sortis de terre on ne sait où et comment, choisissent sur un coup de tête, eux-mêmes leurs dauphins qui doivent leur succéder ou non et ce, à leur péril. Là ou le bât blesse, est que le plus souvent, une fois que le poulain est sur les commandes, « il donne des coups d’âne » à son bienfaiteur, comme retour de l’ascenseur.
De 60 à nos jours, nous n’avons que des états moribonds, c’est à dire des domaines réservés au pré-carré. Les pays africains n’ont que des indépendances dépendantes, fictives et au sein desquels des capitulards-mercenaires, pour exister, se travestissent loyalement et honteusement en bouffons gouverneurs , dociles pour les beaux yeux du gendarme colonial, omnipotent sur le terrain du crime.
En vérité, ce n’est pas seulement une question d’homme, mais qui relèvent plutôt des constitutions moribondes, pensées et savamment élaborées dans le secret des dieux par ceux là mêmes, qui ont une approche coloniale ou des arrières pensés politiques de piètre qualité, pour saper la démocratie en Afrique des guignols, qui marchent au pas de leurs créateurs blancs.
Lesquelles constitutions garantissent l’impunité du régime présidentiel, qui est par définition, inquisitoire, totalitaire, parce que confiscatoire à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience. Tant que cette écharde ne sera pas résolue, le mal qui sévit de plus belle que jamais, ira en pis.
Est-donc la raison la raison pour laquelle Abdoulaye Wade tient mordicus contre vents et marées, parraine son fils, Karim Wade, lequel à ses yeux ne le trahira pas, pour qu’il soit dans la course de la comédie électorale ?
Le réfractaire à la démocratie, prend les devants sur le procès controversé scandaleux des biens mal acquis à double standard et à géométrie variable, notamment sur les deux cas : Karim Wade et Khalifa Sall, deux adversaires politiques, qui risqueraient de l’empêcher d’être présent au second tour de la présidentielle.
Pour le cas de l’ex super ministre d’état du Ciel et de la Terre, en l’occurrence, karim wade, le boucanier, s’est arrogé comme étant le seul justicier Himself, l’a gracié non pas pour des raisons d’empathie, mais pour lui tordre les bras , dans un procès particulièrement politiquement chaotique, où rien n’a été clair du début à la fin.
Je me passe du rapport du magistrat français, qui a été ignoré et à qui l’état sénégalais a donné un cabinet en bonne et due forme dans les bureaux de la crei, s’est écartée de son chemin, a apparemment choisi son camp la tète baissée, a agi dans cette affaire rocambolesque et sur Ndiguel d’en haut.
On l’oublie souvent, car la grâce présidentielle obéit à des conditions strictement exceptionnelles, particulières bien déterminées.
À ce titre justement, il faudrait d’abord que le condamné fasse sa demande en bonne et due forme auprès du président de la république. Ce que le concerné n’a jamais fait. Ce qui résulte d’un véritable abus de pouvoir, d’où l’interférence abjecte et directe de la part de l’exécutif, qui est juge et partie, digne de son rang, se substitue allégrement dans une affaire pendante à la justice. Ce qui en dit en long sur un conflit d’intérêt, criard, n’est nullement synonyme de neutralité, mais d’un label fasciste négationniste intégralement ethnique » Nédo ko bandoum » « à la Mackysallienne.
En conséquence, le procès politique du fils de son père n’est nullement judiciaire, tel un cordon ombilical, est aussi lié à celui du maire deDakar, porte la même pantomime despotique, et ceci, sur fond de règlements de comptes, comme arrière-plan. C’est du banditisme de grand chemin d’un lâche, plastique. Point barre !
Il n’y a rien d’autre, puisque ce n’est pas de l’argent comptant. Dans l’un comme dans l’autre, l’état Macky Sall, totalitaire, qui a bien ourdi le plan machiavélique et par le vacarme surréaliste, de ses ustensiles de cuisine interposés, ont fait preuve de justice expéditive, punitive, a failli sur toute la ligne par ses dysfonctionnement en pis. Il n’ya pas eu la moindre déontologique professionnelle de la part des tribunaux aux ordres, si ce n’est qu’elle s’est pliée à la fathwa lapidaire du politiquement incapable, et dont l’incongruité manifeste, dépasse largement l’esprit rationnel. Selon, l’entendement de l’autocrate, déclaré, il faut absolument donc les virer, et les extirper à tout prix de la comédie présidentielle de 2019, quoiqu’ils fassent des pieds et des mains. Et ceci tout simplement pour des raisons de conflits d’intérêts manifestes, inavoués. C’est bien la chasse aux sorcières, ordurière, digne des méthodes fascistes de la Stasi.