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Le Bonnet d’Âne & le Label De la Mal Gouvernance D’un Bazar […]. Par Ahmadou Diop.
Sylvanus Olimpio, élu président de la république en avril 1960, qui voulut sortir le Togo de la zone FCFA au profit de la monnaie anglaise , fut assassiné le 13 janvier 1963, lors du coup d’État par le soldat, Gnassingbé Eyadema.
Les accords qui devraient fixer la rupture entre la banque de France et celle du Togo, devraient être signés le 15 janvier 1963.
Nicolas Sarkozy : «Pas question de laisser les colonies françaises d’Afrique avoir leurs propres monnaies !» Le discours de Sarkozy n’est pas tombé dans les oreilles d’un sourd, prend-il la mesure de la gravité ? Et pour cause. Car le résonnant, Macky Sall : « F CFA déclare la monnaie Coloniale bonne à garder ».
Le 13 janvier 1967, Gnassingbé Eyadéma renverse Nicolas Grunitzky, prend le pouvoir jusqu’au 5 février 2005, réprimait férocement toute forme d’opposition politique
«La France aura recours à l’arme nucléaire si un pays africain ose quitter le FCFA »
De tels propos abusifs entrent en droite ligne aussi dans la politique Antipanafricaine que l’on pourrait assimiler à l’Antikamisme savamment organisé, qu’il convient de bannir dans les discours, ringards à caractère colonialiste. Nous ne sommes pas pauvres en matière grise.
Macky Sall et son pédigrée, Alassane Ouattara, construisent leurs palais, s’agrippent et s’accommodent honteusement sur la monnaie coloniale F CFA
Pour le deuxième cas, une entreprise française gagne le marché de facto. Sur le deuxième, on peut que croire qu’elle viendra toujours du pays de Marianne. Reprenons du service tant qu’il sera nécessaire, et reparlons donc du Label de la Mal Gouvernance Ethnique D’un Capharnaüm et son Bonnet d’Âne, ou le représentant emmitouflé de la Françafrique, qui cherche à tout prix son impossible Baroud d’Honneur sur le terrain du crime.
Les nombreuses violations des droits de l’Homme à répétitions au Sénégal, sont parfaitement établies au Sénégal, Mais la Grandiloquence de Caniveau Emphatique, qui reprend du poil, se distingue tristement par ses cueillettes et ses charrettes d’arrestations massives contre tous ceux qui refusent de se plier à sa règle tyrannique, mettent à nu à la place publique, le label Bonnet d’Âne de la Mal Gouvernance Ethnique d’un Capharnaüm, face à ses contradictions farfelues, purulentes de celui qui incarne sa carence.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le magicien- parrain du népotisme et des marchés de gré à gré, viole systématiquement les codes des marchés publics, place ses adeptes, comme en témoigne éloquemment la rénovation du building administratif, qui a coûté au départ la somme de 17 mrds FCFA ; puis s’est rallongée à hauteur de 31 mrds, qu’il confie à son ami, Apériste, un novice en la matière, en lui accordant des largesses inouïes, qui frisent la démence.
Ce n’est pas tout, car ce mode opératoire n’est qu’un aspect de la face cachée de l’iceberg :
Manifestement, il y a lieu de parler de rétro commissions, tendant à massifier financièrement un parti politique cliniquement clanique jusqu’à l’abysse.
Le décryptage sur la réduction de la caution de 65 millions de F CFA : » le Deal d’un crocodile « . Qui profite du crime ?
Il n’appartient pas au dictateur de fixer les règles du jeu, pour être candidat à la magistrature suprême. Il propose, dispose, clôt le débat, impose sa propre loi arbitraire, ne dialogue point, prend les devants, instaure le parrainage sans concertation aucune à la place des représentants politiques, n’en a cure et tranche unilatéralement par décret président.
L’homme des décrets et des charniers de mensonges constitue un obstacle à la démocratie. Sur les 6,5 millions inscrits, tout candidat devra réunir 65 mille parrains pour pouvoir participer à l’élection.
De plus, il tranchera et réduira la caution de 65 millions de FCFA de moitié, qui obéit de facto à des calculs bassement politiques.
Sur la question, point n’est besoin de sortir de l’école de l’Énarchie ou des sciences politiques — n’est qu’une simple vue de l’esprit— pour débusquer, démanteler le renard en chair et en os, n’a que des arrière-pensées. Et pour cause.
Alors, celui qui s’est enrichi scandaleusement et frauduleusement par les raccourcis politiques dans des postes de nomination Tan Sa Bula Nex—, prend les devants et propose de réduire la caution de 65 millions de F CFA, lors les élections présidentielles de 2019, porte immanquablement un secret en bandoulière des stratégies bassement politiques, pendant qu’il n’ose point affronter publiquement ses adversaires politiques, refuse d’organiser un débat contradictoire sans quartier et par médias interposés, indépendants et libres avec l’arbitrage de journalistes professionnels en la matière.
Parmi les soi-disant candidats, il y en a nécessairement et sûrement des rabatteurs à l’affût encagoulés, seront armés financièrement dans le secret des dieux par le même premier Casseur du Siècle au Sénégal, et qui savent eux-mêmes qu’ils seront balayés dés le premier tour, ne visent en réalité que des strapontins, et qui vont se déporter sur le Planificateur des cirques présidentiels par calcul.
Dont acte, monsieur le bluffeur, mais ne nous laissons pas divertir par le boucanier, l’homme de la pègre, et soyons donc vigilants, mais à condition qu’il faudrait absolument des gardes fous et des préalables.
Car s’il [Macky Sall] était sincère et courageux, confiant en lui-même, il aurait fallu qu’il accepte dignement le principe d’un débat contradictoire avec tous les candidats présidentiels potentiels autour d’un plateau de télévision, à l’instar des grands pays démocratiques, au terme duquel, dans un premier temps, chacun des concurrents puisse étaler largement son programme politique, aura le même temps d’antenne.
Après quoi, les concitoyens et concitoyennes, qui auront leurs propres lecture, trancheront librement via les sondages, serviront de baromètre, pour mesurer réellement la température ambiante.
Le Label Bonnet d’Âne De la Mal Gouvernance Ethnique D’un Capharnaüm.
Naturellement , celui qui nous gouverne par la terreur de sa police de Stasi , s’octroie lui-même le Bonnet d’Âne de la Mal Gouvernance Ethnique, se considère de facto comme l’ennemi public numéro Un et le Bourreau du Sénégal, qu’il faille l’ abattre politiquement, quoiqu’il fasse .
Le renégat, castreur de la démocratie, privatise et le fichier électoral et la démocratie et les libertés fondamentales. Voilà un arrogant mythomane, requinqué par l’euphorie, ne s’encombre outre mesure d’aucune moralité palpable, excelle dans les manigances, la désinformation et les manipulations, pour se faire réélire en 2019 par son impunité, et à dessein d’épargner et sa famille, fait main basse de tous les leviers du pouvoir politique, économique et financier, espérant ainsi échapper à la justice de demain, la vraie de l’ivraie.
Selon la conception étriquée de l’ignorant, chef clanique de la république des fripouilles en bande organisée, la virtuosité et la sobriété, riment avec le label de la mal gouvernance.
La justice qui est controversée, a failli sur la traque des biens mal acquis et la caisse d’avance, agit à géométrie variable.
Affaire Karim Wade : la justice française déboute la junte familiale d’état. De surplus, la Crei à la solde du tyran, n’a pas versé dans le dossier de l’inculpé le rapport de la banque mondiale, dirigé écrit par un magistrat français. La suite est connue.
Dans ces conditions, est-il acceptable que dans un état supposé de droit, civilisé, la justice aux ordres de la débauche, supplétive, soumise et sous les bottes aux griffes du totalitarisme, se dégonfle , prête le flanc, se ridiculise, sélective à géométrie variable, selon la tête des clients, utilise grossièrement des moyens abusifs, s’écarte de son droit chemin, élimine du haut de son ignorance un adversaire, fût-il présumé d’enrichissement illicite.
Quand la charpente d’une baraque tombe, il n’y a plus d’habitacle, ni d’habitation puisque le tout le reste suit naturellement, et qu’il faut la reconstruire sous des bases solides. Ou le nullard voudrait-il nous dire qu’elle tienne par sa baraka, quoiqu’il arrive ?
L’ex ministronne de la justice de son mentor, s’est transformée en proxénète politique et au près du Nullard, qui s’est dénommé lui-même le Berger Colonial, sermonne : « Je doute que le Sénégal ait commandité ce rapport », confie Aminata Touré, l’ex-ministre de la Justice.
L’ex minable garde des sceaux et ministronne de la justice du dictateur, se ridicule affreusement, fait la honte de la justice, s’accommode bassement dans ses légèretés décousues, est-elle aveugle, au point qu’elle ne voit rien ? La crédibilité s’éloigne d’elle-même.
Ou voudrait-elle nous dire que l’ex-magistrat français, Hérail , s’était autorisé en toute impunité , à installer un bureau dans l’enceinte de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), à Dakar.
La justice est par définition rationnelle, sacrée , sert de contre-pouvoir, qu’elle ne doit pas être utilisée à des fins de règlements de compte ou de politique politicienne ; ne peut être non plus l’otage et les auxiliaires interposés, pour servir de levier et pour le compte du pouvoir politique en place, et ceci pour punir les forces d’opposition d’en face.
Alors, dans un État de droit réel, la mission régalienne de la justice républicaine, c’est de ne pas se soumettre, c’est aussi la rendre par l’équité et l’éthique en son intime conviction et au nom du peuple pour le peuple et par le peuple, et non d’être instrumentalisée, ni asservie, ni aliénée, ni partiale, ni partisane, encore moins de subir la pression de quelque que soit, d’où qu’elle puisse venir.
À défaut, ce n’est pas la vraie justice à l’endroit à la place et qu’il nous faut, mais une justice hérétique, dévoyée. Et la justice n’est pas au dessus des lois.
Et dans ce cas d’espèce, elle est dévergondée, farandole et en faillite, et fait preuve de dysfonctionnements multiples et de manquements.
Où est donc la séparation des pouvoirs dans cette affaire scabreuse parmi tant d’autres à la pelle ?
On sait que la frontière entre l’État-APR et son chef clanique est poreuse.