“Le Casse du Siècle au Sénégal“ et la parade pandémique des interdictions burlesques ? Par Ahmadou Diop CPC
Le félon, voyou notoirement connu, fiché au grand banditisme financier, hors pair, qui est au sommet de la république ségrégationniste, ethnique d’apartheid manifeste publiquement, voyage inutilement à tout vent à travers les quatre coins à l’échelle planétaire internationale et dépense sans compter l’argent du contribuable sénégalais, astiqué et criblé d’impôts et de toutes sortes de taxes, trouble l’ordre public et interdit tout .
L’ homme de la rupture éclopée s’est bien enrichi honteusement sur la gestion des affaires de la Cité, en enrichissant par ricochet, son frère immédiat Aliou Sall, sa propre femme, Marième Faye, et toute sa famille immédiate pressureuse, de naissance , faussaire jusqu’à l’abîme.
Le 10 mars 1977, Albert Spaggiari,l ‘homme qui défraya la chronique quelques mois plus tôt en réussissant le casse du siècle à Nice, saute par la fenêtre du palais de justice et s’échappe à moto…
Le casse rocambolesque n’est pas le domaine exclusif des voyous fichés au grand banditisme, certains hommes véreux, en font aussi leur spécialité, pour arriver à leurs fins. C’est le cas de Macky sall, qui l’utilise sous d’autres formes soft.
En fait, cela revient au même, puisqu’un crime est un crime, car la violence morale est condamnable, quelques soient les auteurs, d’où qu’ils puissent venir. Un braquage est un braquage. Le vol, c’est le vol. Point barre.
Un seul homme, fût il directeur de Pétrosen, premier ministre et je ne quoi encore, prive délibérément tout un peuple qui a faim, des ressources dont il dispose dans son sous-sol.
La pieuvre tortueuse, versatile incorrigible et encombrante, se moque de tout, se dresse en vers et contre tous, crache son venin sur le droit inaliénable du peuple sénégalais.
La trahison de cet homme ne fait aucun doute. C’est un prédateur, parasite et un vendu qu’il faut absolument arrêter et le juger pour moult trahisons, en particulier sur le pétrole du Sénégal auquel son frangin n’est qu’un prête nom se taille la part du lion. C’est indiscutable et Personne ne peut le nier, à moins d’être couard.
Que nenni ! Depuis le triste soir du 25 mars 2012, qu’on ne s’y trompe point, qu’on le veuille ou non, voilà donc de fond en comble, les arguties légères, démentiels, ici ou là de la part des professionnels, profanateurs, menteurs , incantatoires, discriminatoires, symbolisés par le binôme- macky Sall- Aliou Sall- se sucre sur les contrats nébuleux du pétrole et gaz du Sénégal, nous donne la mesure d’un cartel inique, qui n’accouche que des compilations de cascades mensongères, grossières, suintantes dans lesquelles , la fausseté , les vols organisés, servent absolument de fonds de commerce, demeurent le socle fondamental d’une marque de fabrique d’une duplicité familiale, faussaire au sein d’un Etat apocalyptique, personnalisable et personnalisé, qui n’a pas sa raison d’être.
En vérité, c’est ça l’entente ignominieuse et directe dans le secret des dieux entre le chef cliniquement c et son bras droit biologique, sévissent de plus bel et par télépathie parentale, estampillée la profession de foi des mensonges grotesques, inonde à longueur de journées et par presse interposée, matelassée, alignée, monopolisée et sous contrôle. Tel est le cynisme du pedigree parental détraqué par ses des fadaises, comme système de gouvernance
En Afrique, le statut de brigand notoire à celui de notable constitue le socle ou le chemin le plus court pour arracher le statut de président de la république. En effet, deux postures contradictoires s’opposent ; le nationalisme ou la trahison. En apparence, être du coté du peuple n’est certainement pas la posture idéale, selon les nègres de services asservis ? Il va de soi que les renégats choisissent cette dernière qui vont de pair avec les services après- vente embarqués, sont les meilleurs alliés de la référence démocratie mondialiste propagandiste, servent nécessairement de support médiatico-politique.
Ce n’est pas un tabou, ni une quelque offense, encore moins d’affirmation gratuite, mais une vérité éternelle devant l’éternel. Il faut le dire tout haut. Macky Sall et son frère, Aliou Sall, ne sont en réalité que des renégats, des pilleurs, des détrousseurs des ressources du Sénégal.
Ils sont tous responsables de la misère chronique qu’ils ont aggravée de façon éhontée et publiquement.
Qu’ils le sachent, qu’ils l’acceptent ou non et qu’ils se le tiennent pour dit ! Aucune moralité ne les couvre. On ne peut pas s’enrichir illicitement, bassement sur l’autel de l’égoïsme et s’ériger en victimaire des leurres. Ils sont tout sauf des honorables. Leur comportement indécent sert de rigueur et d’émergence coloniale, familiale, mal placée, n’a été possible qu’à l’étourderie généralisée chronique de la majorité des sénégalais.
Le prédateur Macky braqueur et auteur Casse du Siècle au Sénégal trouble l’ordre public, bannit régulièrement toute marche autorisée par l’article 11 de la constitution.
L’impunité, les dérives totalitaires de la surenchère, spectaculaires torrentielles agencées avec la lâcheté de la cavalcade familiale qui s’accaparent de toutes les ressources du Sénégal et qui interdisent tout et n’importe quoi, ne passeront pas.
Le monstre, multirécidiviste, tonitruant, revient à la charge, n’en démord jamais, en met toujours des couches plus épaisses, interdit tout par sa soldatesque WAFFEN SS interposée, dans l’espoir de croire pouvoir parachever et instaurer définitivement le totalitarisme, alors que le personnage est éclaboussé par ses scandales incommensurables.
Comment peut-on accepter qu’une armée de garnements invétérés en bande familiale hystérique toute coupable de casseroles très bruyantes, impose sa propre loi contre tous ?
Comment un peuple intégral peut-il se plier à la loi tyrannique d’une telle saillie, monstrueuse, si ce n’est le particularisme de son opportuniste, qui lui colle à la peau, croit pouvoir triompher et imprimer sa marque de fabrique aussi longtemps que cela s’avérera nécessaire, contre tout un pays entier, apparemment somnolent que l’on prend constamment pris en otage permanent, et qui reste immanquablement peu réactif, face à des renégats indiscutables, qui tiennent mordicus contre vents et marées à l’avilir et à jamais ?
Macky Sall, le brigand politique s’érige à la fois et le porte-parole du colonialisme suffocant dans son piédestal et le chef de bande des bandits gratifiés, fait à sa manière « son Casse du Siècle » au Sénégal, qu’il réussit avec une prouesse inouïe, correspondant à la légèreté de l’individu caractériel par le canal des Egouts Politiques de Caniveau, échappe à sa justice soumise, qui obéit régulièrement et promptement à ses ordres.
Le Sénégal qui est timbré le laboratoire des professionnels, profanateurs, médiocres, faussaires, apparaît nettement comme la source de référence, de notoriété et de prestige.
La bande familiale des racailles n’a jamais rien obtenu d’elle-même. Tout ce qu’elle a entre ses mains vient directement des amis. Cette bande atypique de ripaille a brouté, a vécu aux crochets de leurs bienfaiteurs, partout pour parvenir à leurs fins. La fin justifie les moyens, fussent-ils abjects.
Alors, une telle famille a-t-elle vraiment du mérite ? Certainement pas. Macky sall, la girouette des pirouettes, est d’ores et déjà dans le giron des renégats de la françafrique en totale en osmose, n’est pas un cas isolé en Afrique.
Car les exemples foisonnent partout à l’échelle continentale africaine. Citons-en quelques uns des guignols à la pelle : Mobuto, l’ex dictateur, sanguinaire, a été propulsé sur le devant internationale par Patrice Émery Lumumba, premier ministre, fut assassiné le 17 janvier 1961 sur l’autel de son engagement pour la libération de son pays par le despote du Zaïre qui n’était rien sans son protecteur qu’il trahit. Patrice Émery Lumumba, le visionnaire nationaliste, dirigeant congolais, avait vu juste quand il déclara : « si je meurs, demain, ce sera parce qu’un blanc aura armé un noir ».
Lisons donc un extrait la préface de Ludo De Witte, le sociologue belge, auteur du livre L’assassinat de Lumumba : « Bruxelles tout comme Washington et les dirigeants des Nations-Unies, étaient d’avis que la liquidation de Lumumba était indispensable pour sauver les intérêts des trusts qui exploitaient la colonie comme leur pays conquis. Cinq ans et des dizaines de milliers de morts plus tard, la conquête occidentale d’un régime néocolonial stable est parachevée par le second coup d’Etat de Mobutu ».
– Au Togo, le président de la république Sylvanus, élu démocratiquement en avril 1960, annonça que son pays sorte de la zone Franc au profit de la monnaie anglaise, fut assassiné par coïncidence, le 13 janvier 1963 par un simple sergent gratifié, Gnassingbé Eyadéma.
Les accords qui devaient fixer la rupture entre la banque de France et celle du Togo devaient être signés le 15 janvier 1963.
Laurent GBAGBO, l’ancien président de la république ivoirienne, vainqueur des élections présidentielles, qui s’est inscrit dans la même trajectoire a été brutalement évincé du pouvoir, pour soi-disant crimes contre l’humanité, face à son challenger, Alassane Ouattara, occupe sa place, grâce aux fourgonnettes étrangères. le contrôle de la monnaie des 14 pays africains par la France sous tutelle coloniale est la preuve matérielle d’une dépendance dynamique.
Depuis de 70 ans, 50% des réserves de change des économies africaines sont virées directement dans des comptes d’opérations au trésor public français (14000 milliards F CFA en 2011).
Quand on parle de terrorisme, on pense généralement et mécaniquement à l’islam.
Or, il existe aussi le terrorisme intégriste, politique, idéologique, économique, bref colonial qui passe nécessairement sous silence puisque sur la question du nazisme de la monnaie CFA, les élites serviles africaines , larbinisées, préfèrent, hélas, faire profil bas, s’exécutent honteusement et s’en accommodent par consentement réactionnaire et par manque de nationalisme et de patriotisme.
Le nègre de services, Macky Sall, est en tête des hits parades des dociles de la Françafrique, sous la marque y’a bon banania.
Au Sénégal, les entreprises étrangères, en particulier, françaises, arrachent et détiennent le monopole des parts de marchés, sans compter les services après-vente embarqués.
En effet, les prétendus accords de défense des services rendus réciproques, ne visent qu’à garantir l’impunité des despotes africains, coalisés.
L’affaire du candidat républicain Donald Trump continue de défrayer la chronique aux Etats-Unis, pour n’avoir pas payé ses impôts; depuis au moins 18 ans sous prétexte d’une perte factuelle de 916 millions de dollars.
L’homme crée un coup de tonnerre et un séisme dans son pays. Mais ici, chez nous, le mal est beaucoup plus profond qu’on ne le croit. Macky Sall, qui n’a rien apporté à notre pays, s’est bien enrichi piteusement et gloutonnement, paie annuellement plus de 50 millions de dollars à la première puissance mondiale, supposée.
L’étrange personnage à l’étroitesse d’esprit, qui est au cœur de tous les scandales, politico-financiers, grotesques que le pays ait connus jusqu’ici, a le culot d’user, d’abuser lâchement de la force, publique, interdit systèmatiquement toute manifestement légale par ses dérives spectaculaires, exponentielles.
Du statut victimaire, l’homme passe à celui de faussaire, déclaré, non –éclairé, receleur, non repenti, partage par des mécanismes habiles le butin avec son frère, Aliou Sall, l’inculte moelleux, le dissimulateur empesté, qui sort curieusement de son hibernation telle une tortue, mute sa peau comme un serpent, se singularise et se métamorphose affreusement en personnage affabulateur, tortueux sinueux puis s’adjuge de façon indécente des compétences cousues de fil blanc, crée piteusement son entreprise pétrolière sous la houlette et la baguette magique du premier détrousseur de la république des gangs -prédateurs, unifiés, devient étrangement un multimilliardaire des ténèbres.
L’unique créature se donne faussement une respectabilité d’apparence, se réfugie derrière un palais Al Pulaar, s’est transformé depuis le regrettable soir du 25 mars 2012 en label des sorciers vermines affairistes ethnicistes, ségrégationnistes.