LE CASSEUR DU SIÈCLE AU SÉNÉGAL PASSE SOUS SILENCE SON MAGOT : « FAITES CE QUE JE DIS MAIS NE VOUS OCCUPEZ PAS DE CE QUE JE FAIS ». PAR AHMADOU DIOP CPC.

Pour faire beau et amuser la galerie, la déclaration de patrimoine à grand tapage médiatico-politique des rapines, n’est qu’une simple formalité administrative, surréaliste, qui passe à la poste n’a jamais un sou : un tissuthèque de charniers de mensonges cousus de fil banc n’est jamais de l’argent., mais une piètre échappatoire à la mesure de l’incongruité, frisant la démence Il s’agit d’un enfumage classique et d’une vaste escroquerie politique gigantesque, compatible à un embrouillamini mystificateur jusqu’à l’abime. Tout est décousu de fond en comble, car rien ne tient. Nous avons déjà vu et vécu. DECLARATION DE PATRIMOINE : MACKY FIXE UN ULTIMATUM AUX MEMBRES DU GOUVERNEMENT OU PLUTÖT LE CIEL OUVERT D’UN CAPHARNAUM ENJOIIVE D’UN ÉCOSYSTÈME D’APARTEID. Pour dire la vérité, il n’y a nullement la moindre lueur tangible, tant soi peu ou prou.
Qui peut compter sans tomber des nues,les placements infinis de la famille immédiate, des courtisans, des amis, des obligés, aux cv imaginaires, et auxquels s’y greffent entre autre, plus qu’un village entier, portant les mêmes patronymes particuliers visiblement bien sonnants, occupent des postes de haute stature taillés sur mesure au cœur de la république agenouillée monarchisée, un népotisme injurieux d’un règne le plus scandaleux de toute l’histoire politique du Sénégal de l’indépendance nominale ?
La déclaration de la tartufferie n’est que du vent mais le socle d’un banditisme d’état en bande organisée d’un ethnisme débridé en vase clos. Quand le premier d’entre eux, le bougre de naissance, est le plus mouillé que sa sarabande, il va sans dire que Tous Taxrip, tout s’écroule comme un château de cartes. Point n’est besoin d’ergoter de midi à quatorze heures. Le flibustier, qui est fidèle et égal à lui-même, occulte, par devers son butin, fait du réchauffé-TANGAL- sur son patrimoine si colossal, qu’il réduit au rabais, fait abstraction de tout argent liquide, comme s’il n’a pas de comptes bancaires, alors que dieu sait qu’il en a et à gogo, et à l’étranger, notamment dans les paradis fiscaux et à l’abri des regards indiscrets. De qui se moque-t-on ? Qui voudrait-il tromper encore, comme si nous sommes des demeurés ? Le conseil constitutionnel : la tanière, le repère des corrompus, que j’appelle le symbole de l’hypocrisie et de l’esbroufe, une entourloupe, qui est la botte du Malfrat, ne peut que se soumettre et se mettre au garde à vous, s’exécute, la tète baissée et les yeux fermés, comme tout le reste des farandoles corps de contrôle institutionnels, font profil bas, face au gouverneur, dit le valet béni oui-oui de l’occident et des intérêts colonialistes.
Le syndicaliste corporatiste ETHNIQUE, le coupable MALVEILLANT, le Magouilleur désigné, l’ennemi public numéro un, digne de son rang, des postes de nomination TANSABULA NEX, telle une huître sur son rocher, n’est pas à son coup d’essai, arrive au pouvoir à défaut et par dépit, grâce à l’esclandre de son butin. Loin de là. En politique, l’erreur se paye cash Comme si rien n’était, comme on dit, rebelote, chassez le naturel, il revient au galop. Aujourd’hui plus qu’hier, il tient encore une fois de plus à laver grande eau ses parjures cataclysmiques empilés les uns aux autres, et à la place publique devant le nez et à la barbe. Pour rappel, un mois après son investiture à la magistrature suprême, qui avait fait un grand bruit et défrayé la chronique à l’époque, Macky Sall, l’inimitable Casseur du Siècle au Sénégal, ou l’hypocrite prédateur numéro, clinquant, tonitruant, taciturne, s’auto flagelle en qualité de parangon de la rupture aléatoire, s’offrit honteusement et affreusement en spectacle , et dans les colonnes du journal Jeune Afrique et on ne sait à quel prix, déclare ceci par un culot abracadabrantesque : « mieux vaut cacher son patrimoine et ne rien publier ».
publier ».
Quelle image renvoie t-il au peuple sénégalais ? Une telle déclaration en continu est synonyme d’un casus belli permanent, voire un parjure exponentiel. Un aveu de taille qui témoigne en dit long sur un monstre incorrigible, et dont la culpabilité avérée, ne souffre d’aucune ambigüité. Plus tard, il : ce qui est bassement légal peut être aussi immoral et abject.
À l’époque, pour la circonstance, j’avais écrit un article publié, le 26 septembre 2013, intitulé : « Macky Sall, pilleur, pyromane et pompier de service » ? Je m’interrogeais aussi sur le pédigrée, et posais la question suivante : Macky Sall, le pilleur, pyromane et pompier de service peut-il être nécessairement crédible pour créer un état de droit réel ? L’obscur multimilliardaire des ténèbres, ou l’homme aux mains baladeuses, chapardeuses, le chasseur déclaré de la traque des biens mal acquis, s’autoproclame, complaisamment le chantre de la bonne gouvernance de pacotille.
Un cambrioleur peut-il être crédible au point de se travestir étrangement en imam des leurres ?
Aujourd’hui, plus que jamais, Je ne prétends pas être un devin, le sujet reste tout de même d’actualité. Depuis, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Rien absolument n’a changé en termes de progrès, de droiture, des droits de l’Homme, d’éthique et d’équité, si ce n’est le pire, qui va en crescendo.
Au Sénégal, la constitution moribonde, pensée, élaborée exclusivement par les mêmes et pour eux-mêmes, est totalement contradictoire par définition et au regard de la morale, par son caractère ambivalent, nous bombarde d’un soi-disant gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. En vérité, il n’y a jamais eu ni de séparation des pouvoirs, ni d’état régalien, au sens élevé du terme. C’est une simple vue de l’esprit, qui ne nous engage nullement. Le parquet, ou le paquet n’est qu’un jouet de ramassis, n’obéit qu’au doigt et à l’œil du Président-monarque, diligente tout par derrière. Peut-on parler de juges et de magistrats libres, indépendants du pouvoir de l’exécutif, qui les nomme, est lui-même juge et partie ?
Le changement n’aura jamais lieu tant qu’on ne réformera pas en profondeur le statut d’immunité du président de la république, qui est source d’impunité, tant que les juges, magistrats, y compris les procureurs, seront nommés par un seul homme, demeure en même temps le chef de parti politique. Pis, il est membre et président de la soi-disant haute magistrature, les gomme librement en toute circonstance et en toute impunité, quand il veut, comme il veut, quand le désire, par ses propres pulsions névrotiques et sur la base de ses intérêts crypto- personnels.
L’étrange personnage, atypique, est-il vraiment un exemple, à la place et à l’endroit, ou une référence, au point qu’un certain média d’état hexagonal, qui agit sur commande de qui , bien engraissé, dans le secret des dieux, nombriliste et paternaliste, s’arroge faiseur de roi et d’opinion, se substituant allégrement à nous, tente mordicus, de sauver le soldat de la Françafrique, le considère comme étant l’un des dirigeants les plus influents de la planète entière ? Comme si cela ne suffisait pas encore, une autre presse, propagandiste du même acabit, reprend plus que jamais du service, prend le relais, tire à boulets rouges sur Karim keita, fils du président «IBK », député, et ses escapades, a été vu dans un yacht en Espagne avec des filles. La même presse reprend celle du Mali, dépeint un chef de l’Etat ayant contracté la même maladie que l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade : « Le virus Karim. » Une ambition dynastique qui a contribué à la chute politique d’un père et de son fils – Karim Wade – condamné pour enrichissement illicite et détournements de fonds. Il y a lieu de parler de deux poids et deux mesures et pour cause, selon la tète des clients.

Puisqu’il s’agit bien de cela. Pendant ce temps au Sénégal, elle se garde bien de piper un seul sur le « Coronavirus » Macky Sall : père et fils (AMADOU SALL) , l’exhibitionniste, cynique, circule et voyage avec un passeport diplomatique, cerise sur le gâteau, en privé entre Dakar Et les Emirats Arabes, portant ostensiblement Une Rolex Cosmograph Daytona or jaune et acier tire-l’œil d’une valeur à 11,3 millions FCFA peut coûter jusqu’à 18000 euros, d’après les experts en la matière. Est-ce donc à dire que la mal gouvernance au Sénégal, sert de rigueur et à quelle fin ? Et ce n’est pas. Je cite Ousmane Sonko, le Leader pastef, le Patriote, un des dignes fils de notre pays n’y va sur le dos de la cuillère : « Macky Sall a détourné de l’argent du pays et c’est à son fils de prendre maintenant le relais. Amadou Sall construit des immeubles à Dubaï et je me demande comment un gamin peut avoir autant de moyens jusqu’à construire des immeubles. Qui n’a pas vu Amadou Sall sortir dans une Lamborghini ? Aussi bizarre que cela puisse paraître, le même média, qui considère que Macky Sall fait partie des dirigeants les plus influents, le protège, s’érige le parangon des bons et mauvais points uns et aux autres, fait vent debout, blanchit vertement Amadou Sall. Ce n’est pas lui, mais un américain, affirme-t-elle mais à quel prix ? La question se pose de façon rationnelle et en toute légitime et pour cause. Et si on parlait d’Aly Ngouille Ndiaye, le ministron de l’intérieur, le prédicateur-planificateur de la comédie électorale de 2019. Lequel travaille pour que Macky Sall HIMSELF gagne dès le premier tour. Ce qui est étrangement le cas. Son fils, Ibrahima Aly Ndiaye, défraie la chronique dans les réseaux sociaux, a lui aussi son passeport diplomatique.
En Afrique et au Sénégal les soi-disant premières dames qui n’ont pas eu des fonctions officielles, reconnues, et leurs enfants voyagent avec des passeports diplomatiques. C’est la république des passe-droits et des privilèges illégaux. Les fils de présidents de la république sont aussi des présidents bénéficient de la sacro-sainte loi de l’impunité. C’est pareil pour les fils de ministres. C’est du pareil au même. La pratique usuelle, illégale est devenue une norme. Etablie. En revanche, en France, le passeport est strictement réglementé par décret présidentiel, en exercice, en bénéficie. C’est aussi valable le Premier ministre, le président du Sénat, le président de l’Assemblée nationale et les membres du gouvernement pour la durée de leurs fonctions, Il est « à titre de courtoisie » délivré aux anciens présidents de la République, Premiers ministres, ministres des Affaires étrangères et ambassadeurs.