LE DISPOSITIF ORSEC « FEN FENATI –DEUK CI » À LA MACKY : À QUOI JOUE DONC LE BAZAR À DAKAR ? PAR AHMADOU DIOP CPC.
Décidément, le ridicule ne tue plus. Après le plan mensonger contre la pandémie mortelle, le mythomane kleptocrate en met nécessairement des couches épaisses. Place maintenant au plan Orsec cousu de fil blanc. Plus les mensonges deviennent de plus gros, plus ils passent comme une lettre à la poste. C’est bien la praxis d’un guignol, qui le prouve constamment. Il n’est jamais ce qu’il prétend être.
DAKAR : Le BAZAR PLAGIE honteusement LE DISPOSITIF ORSEC du côté de la Seine : UNE COQUILLE VIDE TIRE- L’ŒIL DANS LA CAPITALE SENEGALAISE ET SA BANLIEUE. Que nenni, qu’il fasse des pieds et des mains par ses sottes d’humeur, nous sommes bien blindés sur les cavalcades et les ratonnades grossières d’un aventurier, hâbleur en chair et en os, qui nous a toujours trahis par ses faux bonds usuels. Qui peut vraiment croire au programme, qui n’est qu’un tissuthèque de balourdises empilées les unes après les autres ? Où a-t-on vu un dictateur respecter à la lettre sa parole donnée ? « Yalla moy fal moy folli – lu am ndolo yalla », dans un pays prétendument majoritairement. Dans ces conditions, il va de soi que nous soyons résignés et fatalistes, face à notre torpeur. Au Sénégal et dans les 13 autres pays sous tutelle coloniale, les politicards corrompus, parlent de transition au Mali. À contrario, celle des prétendues élites –pantins satellites nègres de service reste un tabou, au nom de la loi de l’omerta.
Face aux inondations urbaines, cycliques cataclysmiques dans la Capitale sénégalaise, le bazar, incurieux, s’accommode dans son rôle d’amateur, singe hystériquement le dispositif ORSEC de la France (Organisation de la Réponse de Sécurité Civile), parle plus qu’il n’en fait en réalité sur le terrain du crime, n’a jamais eu d’actions visiblement matérielles, mais s’évertue à passer tout son temps à aligner des chiffres bidon, à dessein de focaliser et d’attirer les projecteurs et les esprits autour de sa personne imbue.
À chaque hivernage, le même rituel sévit, tombe comme un couperet. Car des milliers de maisons de la banlieue Dakar, passent dans l’eau, avec en prime ses dégâts collatéraux et ses victimes, lassées, sont laissées pour compte, vivent durablement dans des abris provisoires, et à ce à l’indifférence quasi générale de la république des fripouilles, qui elles mêmes se barricadent tranquillement dans des villas luxueuses, notamment aux Almadies, le quartier des nantis et des politicards ont tous failli à leur mission régalienne. Où sont donc passés les 65 MRDS FCFA à la suite des déluges de 2013 ? À l’époque, Abdou Latif Coulibaly était nommé le ministre de la promotion de la Bonne gouvernance et Porte-parole du gouvernement.
En vérité, tous les gouvernements qui se sont succédé jusqu’ici, ont fait preuves de dysfonctionnements en continu. Aucun d’entre eux n’a échappé à la règle de l’indignité. La politique d’assainissement n’a jamais été une priorité absolue numéro un. Ils ne l’ont jamais dans leurs champs d’actions. Les canalisations d’antan sont toujours restées à l’état colonial. Les constructions sauvages anarchiques, anachroniques sont la résultante des débordements de l’eau à tout vent, aggravent un peu plus cette période particulière.
Sans répit, les inondations périodiques, incessantes, pleuvent torrentiellement, reprennent nécessairement ses droits. A qui la faute ? si ce n’est le capitulard coupable, désigné, est vite trouvé : l’autoritarisme politique, le très bavard, qui nous promettait la rupture la sobriété, l’efficience, l’éthique, l’équité, que sais-je encore, n’a aucune vision patriotique et une parcelle de moralité, peu ou prou, préfère s’enrichir scandaleusement lui-même et engraisser en même temps son clan, ses obligés, en particulier, sa propre famille immédiate, paresseuse, devient miraculeusement si riche, vit à l’abri de tout besoin réel.
Le pire est qu’il[ MACKY SALL] dépense sans compter, a d’autres priorités, met exclusivement l’accent sur les réalisations coloniales inutiles et coûteuses, sont dictées sur commande recommandée : comme en témoignent éloquemment le fameux TER, décrié, inopportun- en terme d’emploi pérenne, et le soi-disant Centre International Abdou DIOUF à Diamniado. Ces deux ouvrages qui constituent un véritable financier, ont coûté respectivement la bagatelle de 1400 MRDS et 50 MRDS FCFA. Et l’autoroute à péage Dakar Diamniado et les stations d’essence appartiennent à des entreprises étrangères se frottent les mains, raflent automatiquement toutes les parts de marché sans appels d’offres. Alors que plus de 500 compagnies sénégalaises ont mis la clé sous le paillasson. Le plan pse ou le prestataire de service des intérêts extérieurs. Ouattara fait la même chose avec son métro. Est-donc la raison pour laquelle les deux pédigrées dignes d’eux font partie des soi-disant personnalités les plus influentes au monde ? En vérité, il s’agit bien d’un paternalisme outrageant.
Et ce n’est pas tout. S’y greffent en sus les mrds FCFA, lors du sommet de la francophonie, qui s’est tenu en 2014 : un outil politique d’asservissement, de service public, linguistique, idéologique, politico-financier, économique et culturel à l’échelle supra nationale africaine. Je me passerai des autres scandales surréalistes, éclaboussant Jakpot père et fils, qui se prolongent sur les SallGATE- PETROTIM.
Et L’Esclandre INOUBLIABLE dossier opposant l’état Sénégalais à Arcelor Mittal ? On s’en souvient.
Aïcha Gassama Tall, l’agent judiciaire de l’Etat n’a pas voulu signer la transaction entre ARCELOR Mittal et L’Etat du Sénégal parce qu’elle estimait que pourquoi signer pour 150 millions de dollars alors qu’on pouvait avoir 5 milliards de dollars. Elle a refusé et Macky a envoyé son ministre des mines Aly Ngouille Ndiaye.
La correspondance de la Lettre du Continent), parlante et édifiante reste de marbre – et les zones d’ombre de l’accord entre ArcelorMittalet Dakar.
Compensations dérisoires. En septembre 2014, ArcelorMittal a déboursé 150 millions $[72, 2 MRDS FCFA] pour régler le litige. Unes somme aussitôt transférée via deux virements distincts [140 millions $ et 10 millions $] à l’agence centrale parisienne BNP Paribas, sur le compte Me François MEYER. Ce dernier se trouve être à la fois l’avocat personnel du président Macky Sall et de l’état Sénégalais.
NB : Macky Salll himself ne s’est jamais exprimé publiquement sur ce scandale, qui n’en est pas un, avait fait grand bruit au Sénégal.
C’est la même chose pour l’affaire prodac- mame Mbaye Niang [30 MRDS FCFA], s’y additionne Scandale au cœur de la République : le dossier du COUD, dont l’auteur, est Pape Alé Niang, le journaliste professionnel.
Tout cet argent aurait pu régler beaucoup de problèmes urgents au Sénégal.
Gouverner, c’est prévoir, n’est pas synonyme d’un chèque en blanc. Or, pour l’aventurier incorrigible, digne de son rang, le virtuose de classe exceptionnelle, promettre, c’est mentir et mentir absolument sur le soi-disant plan Orsec contre les inondations cycliques dans la Capitale Sénégalaise et les quartiers périphériques : ou la coquille vide ?
Le bazar copie textuellement le concept –pse, et tout le dispositif(Organisation de la Réponse de Sécurité Civile), pour ne citer que ceux là, se l’approprie par mimétisme et par servilité, n’est qu’un écran de fumée.
Depuis le regrettable soir historique du 25 mars 2012 à nos jours, on ne compte plus les dysfonctionnements et les scandales exponentiels en continu au plus haut sommet d’un état FAMILIAL en bande organisée, s’est enrichi gloutonnement à bras raccourci et ce sur l’autel des postes de nomination à caractère indignement ethnique, vit abondamment dans une opulence cyniquement exhibitionniste, fait froid au dos, chaque jour que dieu. Pendant que la chapelle mafieuse se la coule douce en toute impunité et en toute circonstance, le faussaire prétend déclencher ce qu’il appelle le plan ORSEC contre les inondations, « du réchauffé » « TANGAL- LEGUETOUTKESSE NAXUT AY BEY » n’est-ce pas ?
Voilà donc manifestement, les preuves matérielles d’un régime de pugilat, en lambeaux, face aux inondations cycliques, cataclysmiques, tente vaille que vaille de blanchir comme jamais son incompétence abyssale par son amateurisme atavique. Pour croire nous tromper encore une fis de plus, le rituel enfumage classique, digne de son rang, par sa presse, colmate les brèches, pour se tirer d’affaire et à bras raccourci, tente d’arrondir désespérément les angles et cintrer les coins, veut à tout prix exhumer le fameux plan Orsec, la coquille vide, afin de sauver les meubles. C’est peine perdue. Nous avons déjà vécu et vu. ” GALUK DOF DUTEER– GUEWEUL BUREEPEE CIP XARE LU JIN XEPKO”. Chassez le naturel, il revient toujours au galop !