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le groupe parlementaire BBY salut les mesures préventives et conservatoires prises pour que force reste à la loi – Sud Quotidien

La nouvelle stratégie des forces de défense et de sécurité (FDS), notamment celle d’empêcher les principaux leaders qui appellent à manifester de quitter leur domicile et de procéder à l’interpellation systématique de ceux qui sont parvenus à quitter leur demeure, semble être fortement approuvée par la majorité présidentielle, plus précisément le groupe parlementaire Benno Bokk Yakkar.

« Nous saluons et soutenons sans réserve les mesures préventives et conservatoires prises par le gouvernement pour que force reste à la loi et que l’autorité de l’état et celle de nos institutions soit en toutes circonstances sauvegardée; car c’est de cette autorité que dépendent notre sécurité à tous, celle des citoyens, de leurs familles et de leurs biens ainsi que la paix civile et la stabilité qui sont les conditions de notre développement« , ont salué Aymérou Gningue, président du groupe parlementaire de BBY et ses camarades députés. Mieux, la majorité présidentielle ont renouvelé leur confiance au chef de l’État Macky Sall.

« Le groupe BBY exprime tout son soutien au Président Macky Sall pour la grande fermeté de son gouvernement face à ces graves tentatives de déstabilisation de notre pays, lui renouvelle sa confiance et celle de ses mandants, et lui adresse les condoléances de la Nation après le décès de ces jeunes à la fleur de l’âge dont les crimes ne peuvent rester impunis », peut-on lire sur la note rendue publique ce jour, lundi 20 juin 2022.

Aymérou Gningue et ses camarades députés de BBY n’ont pas manqué de brocarder l’attitude « inadmissible » et la « rage débordante » du leader de Pastef, qu’ils ont dénoncé avec la dernière énergie.

« Dans une rage débordante, le leader de Pastef en particulier a appelé ses partisans à poser des actes de violence sur les responsables de la majorité et leurs familles, au saccage de leurs domiciles sous prétexte que des coffres-forts remplis d’argent y seraient détenus. C’est la première fois dans l’histoire politique du Sénégal que des déclarations d’une telle gravité qui ne sont rien d’autre qu’un appel sans fard à la guerre civile ont été prononcées et publiquement assumées par un homme politique, en l’occurrence le leader du parti Pastef qui, rappelons-le, a délibérément déserté les bancs de l’Assemblée nationale tout en conservant les avantages liés à la fonction de député ».

J M D

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