À l’instar de Mobutu, qui de son temps, s’estimait en démocrate, le corrompu,le sanguinaire, a été cautionné et soutenu par l’ancienne puissance coloniale, assassina sauvagement le dirigeant nationaliste congolais, Patrice Lumumba, le premier ministre de l’époque, avant de dissoudre son corps dans de l’acide sulfurique, Macky Sall, « le kleptocrate béni-oui-oui» – s’autoproclame lui aussi un démocrate des leurres, est à la fois et le porte étendard et le nouveau Gardien du Temple des intérêts colonialistes; et dont le régime moribond, capitulard et avarié jusqu’à lie, tombe affreusement, et peu à peu dans l’escarcelle du pré-carré expansionniste.
wikipédia définit la kleptomanie comme étant une maladie mentale qui se caractérise par une obsession à voler des objets, cette monomanie pouvant se porter sur des objets dont la valeur importe peu.
Donc la kleptocratie provient de la kleptomanie, qui signifie en politique, la mainmise du pouvoir du peuple par des autocrates.
La légion d’honneur française, gratifiait la taupe, en place, lequel en sus eu reçu sa Médaille d’Honneur À l’Américaine [pétrole et la présence militaire permanente au Sénégal]. Les gratifications surréalistes,, compilées cousues de fil blanc, nous donnent la mesure sur des charrettes de décorations tentaculaires enchevêtrées les unes après les autres, ne valent rien, mais constituent un véritable Patacaisse pesant, digne d’un bandit de grand chemin,
N’en déplaise à l’opposant de circonstance, l’opportuniste, qui s’est métamorphosé en symbole d’un Gourou de la mal gouvernance ethnique et du népotisme, n’est qu’un vulgaire traitre, voleur et Casseur du Siècle au Sénégal. Il n’y a pas l’ombre d’un doute possible.
L’estampille déclarée, nocive, fait encore la Une des journaux, continue son éternel numéro de l’autre côté du Rhin, focalise les esprits, et défraie quotidiennement la chronique, est toujours sur les feux de la rampe, labellise ses méthodes fascistes qu’on lui connaît. La tromperie nous laisse pantois.
Que voulez-vous ? Nous avons affaire à un arrogant quelqu’un qui se défausse, se décharge de tout, n’a jamais respecté d’un iota les promesses électorales pour lesquelles il a été élu à défaut et par dépit et dans des conditions exceptionnelles, édites, n’a jamais eu de parole, se dédit, en se comportant dans une hystérie abrasive, telle une girouette, nous met au pinacle par ses pantalonnades indécrottables et ses ratonnades dont ; il a l’unique secret devant l’éternel, et ses pirouettes, inverse, drôlement ses rôles, frisant la démence. Qu’il faille lui briser à tout prix ses ailes démesurées, et le déboulonner bruyamment et le juger devant les tribunaux libres, pour moult trahisons. Circulez, il n’y a rien voir ! Ce n’est pas un scoop, loin delà . Nous sommes habitués à ses esclandres cataclysmiques.
Au fur et à mesure que les inepties se perlent, s’empilent les unes aux autres à la pelle, doivent servir de système de gouvernance moribonde. il parle plus qu’il ne fait en réalité en terme de bonne gouvernance. Il a toujours raison, ne se trompe jamais, quand il punit, cela fait du bien. C’est toujours des autres ? Il n’a aucune leçon à recevoir. Il se croit surhumain, invincible et immortel. Pour lui, son pouvoir relève d’un legs divin. Quand il a été en 2012, il plastronnait, déjà je le cite : » les sénégalais ne savent pas là où je suis passé ».
En effet, il réduit tout à lui, nous ignore et nous méprise constamment, nous écrabouille, nous traite comme des moins que rien, gagne par devers et contre vents et marées, à tous les coups. Rien ne lui résiste, balaie d’un revers de main sur tout son passage, rejette tous les reproches, tranche en lieu et place de sa justice aux ordres, dévouée, et corvéable et à merci, puisqu’il s’arroge tout le dieu, le Tout-puissant sur terre au Sénégal, n’en a cure des récriminations peu ou prou, a une approche très limitée sur un état régalien, qu’il piétine allégrement pour sa propre cause.
« Les sénégalais n’aiment ni la vérité, ni la transparence, ni la rigueur ».
« Les hommes de chapelet et les marabouts sont des hommes ordinaires, ne peuvent pas développer le pays »
« Les polémiques et les politiques ne peuvent pas développer le pays »
Sur la réduction de son mandat, il fulminait sèchement, personne ne peut tordre mes bras.
Quant à l’envoi de nos Diambars en Arabie saoudite, qui constituent la chair à canon, l’autocrate trancha unilatéralement, en clôturant le débat. Croire qu’il changera son fusil, relève d’une illusion monumentale.
C’est un euphémisme pour dire qu’il a une addiction aux mensonges. Une drogue à laquelle il ne peut pas s’en passer. La vérité lui est totalement étrangère. C’est le propre de tout mythomane. En marge d’un forum soi-disant sur l’investissement en Allemagne, le fourbe, Macky sall, le chantre du népotisme, des transvasements et des achats des consciences abîmées, déclare honteusement : « LE SENEGAL EST UNE DEMOCRATIE ABSOLUE ».
LES FRAUDES MASSIVES À GRANDE ÈCHELLE COMME SYSTÈME DE GOUVERNANCE ETHNIQUE TYRANNIQUE « NÈDO KO BANDOUM ».
Le symbole des fraudes électorales massives des rapines, « institutionnalisa » à Grande échelle ses pratiques éculées, croit pouvoir laver à grande eau en Europe ses méthodes décriées, car pour lui, ceux et celles qui n’avaient pas l’intention de voter pour lui, leurs bureaux de vote ont été systématiquement déplacés, délocalisés en dehors de leurs lieux d’habitations, à la seule fin de les empêcher d’accomplir leurs devoirs civiques.
Pis, quand bien même ils obtiennent leurs sésames, leurs cartes d’identité nationale et leurs cartes d’électeurs comportent des erreurs intentionnelles. Les parodies référendaires- Deum- en mars 2016 et les législatives du 30 juillet 2017, en témoignent éloquemment, notamment à Touba Mbacké, où plus de 6000 personnes n’ont pu voter à cause des bureaux de vote caillassés arbitrairement par le pouvoir politique ,planificateur,, et qui en imputait la responsabilité à l’opposition.
Un stratagème digne d’un pickpocket de son rang, en dit long sur son intention réelle de fabriquer de toute pièce sa propre victoire à l’horizon 2019, à l’instar de ses compères mercenaires, tous arrimés à la françafrique, plus que jamais omnipotente sur le terrain du crime, malgré les discours usuels.
Décidément, les récurrentes conférences internationales, inutiles, résultent tout simplement de la poudre aux yeux, ont tendance à nous tromper, sans compter les longs chapelets infinis des prix loufoques et au nom de la mascarade, ne servent qu’à parrainer les marionnettes, mais plombent durablement le développement de l’Afrique et son avenir plus que sombre.
Les éternels sommets de la Francophonie en Afrique des guignols en sus des forums en Europe à tout vent et à travers des mécanismes douteux et dans lesquels l’abruti nègre de service, toujours prompt à s’exécuter machinalement, est constamment associé, disponible par son rôle de farandole, dépense sans compter, pour amuser la galerie, fait son show et sous le sceau d’un surréalisme survoltant de l’esbroufe à couper le souffle .
Tout délinquant acrobate, kleptocrate, n’agit jamais au hasard, est par définition un lâche, bénéficie immanquablement de gros bras
À cet effet, le ridicule kleptocrate, révisionniste, déclaré, nous tambourine à l’accoutumée sa grille de lecture par son approche négationniste sur la démocratie et par presse occidentale, est prétendument faiseur de roi et d’opinion.
L’homme des scandales, l’irascible, soumis, n’est que la reproduction fidèle, spontanée de sa propre nature. Entre lui et les actes qu’il pose ne font qu’un. Je l’ai déjà toujours martelé à maintes reprises. Qui parle, agit, se découvre et s’expose. Ne vous trompez pas ! Les réactions épidermiques correspondent naturellement à l’état d’esprit et à son Adn.
L’inculte multimilliardaire ténébreux, étrange, négationniste, ségrégationniste, ethnique de la tête aux pieds, des postes de nomination- Tansabula nex– confond baromètre et thermomètre. La justice française ne peut accepter qu’un président de la république puisse mettre toute sa famille biologique et tout un village entier dans toutes les structures de haut niveau de l’état français. Pourtant, c’est ce que fait le Troubadour, qui trie au volet ceux qui doivent être poursuivis ou non, ose nous parler d’une démocratie absolue au Sénégal, jusqu’à comparer sa justice aux ordres avec celle de la France.
S’agissant du Sénégal, peut-on vraiment parler d’une démocratie absolue, lorsque le monarque- président, nomme le Conseil supérieur de la magistrature, dont il est lui-même le président ?
Badio Camara, Samba Sall, Serigne Bassirou Guèye, le Conseil Anticonstitutionnel, y compris tous les corps de contrôle supposés institutionnels, restent tous sous le contrôle du chef de l’exécutif, qui est lui-même juge et partie, chef de son propre parti politique, clinquant, cliniquement clanique.
C’est la politique de Coumba Am Ndeye Ak Coumba Amul Ndeye : interdiction systématique des marches autorisées par la constitution, mais cerise sur le gâteau, le maître de la rupture éclopée, impose par devers son fichier totalement ombrageux, tripatouille la constitution moribonde, garde son mandat présidentiel de 7 ans – revient sur ses promesses électorales, notamment la Commission nationale de réforme des institutions [CNRI] l’application des assises nations nationales, réforme du code électoral à quelques encablures des cirques électoraux, élague et cisaille, choisit ceux qui doivent ou non concourir à la comédie électorale de 2019.
Peut-on vraiment parler, alors d’une justice équitable, impartiale, laquelle sur Ndiguel d’en haut, trie au volet, embastille 57 personnes d’un seul camp, présumé coupable, avec en prime, emprisonne le Député- maire de la capitale, qui est candidat à la présidentielle de 2019, perd de facto sa casquette ?
Pendant que le directeur du Coud, Oumar Hann, maire de Ndioum, qui a été épinglé de toute part, pour avoir détourné plus 81 millions de FCFA, circule librement. Et la liste, s’allonge, se compile, puisque Abdoulaye Sylla, un proche de Marième Faye et de Macky Sall, administrateur provisoire de ahs- Aviation Handling Services / Sénégal, traîne une ardoise de 800 millions de FCFA, ne s’inquiète outre mesure, marche devant la barbe et au nez de la CREI, qui n’est qu’une police politique exceptionnelle, unique au monde, n’a rien à envier celle de la Stasi, par son caractère discriminatoire et arbitraire.
[La CREI ]-Une machine tortionnaire- est devenue un instrument politique au service du négationniste, machiavel, a été réactivé unilatéralement par Macky Sall Himself et par Décret présidentiel, et sous le prétexte fallacieux de lutter contre les enrichissements illicites, traque exclusivement ses opposants, qui lui font de l’ombre. L’accusateur n’apporte pas les preuves, à contrario, l’accusé, présumé innocent, doit se défendre, quand bien il apporte ses preuves, par ses avocats interposés, il reste prison. Et la suite est connue.
Et ce n’est pas tout, puisque le changeant, qui dénonçait jadis la tyrannie, hier, lorsqu’il était en mauvaise posture, abuse dangereusement aujourd’hui de l’article 80 bidon, désuet, que l’on ne trouve que dans les régimes fascistes africains, fantoches.
Pour rappel, il est écrit ceci et de marbre : « en France, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a pour rôle de garantir l’indépendance des magistrats de l’ordre judiciaire par rapport au pouvoir exécutif ».
« La révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 a profondément modifié l’organisation du CSM, afin de répondre à la demande d’approfondissement des garanties d’indépendance de la justice ».
La révision du 23 juillet 2008 met fin à la présidence du CSM par le Président de la République ».
La justice française est beaucoup plus structurée, plus indépendante, n’a aucune commune mesure avec la justice aux ordres du nègre de service en place.
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