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Le nouveau coronavirus mystérieux serait une arme biologique, selon la Corée du nord

Alerte biologique

Le 2019-nCoV, le nouveau coronavirus mystérieux apparu initialement à Wuhan en Chine orientale serait une bioarme à en croire des officiels nord-coréens.

La Corée du Nord a d’ailleurs fermé ses frontières avec son seul débouché vers l’international.

Les autorités chinoises ont agi avec célérité et mis en quarantaine deux grandes villes de plus de cinq millions d’habitants et adopté une certaine transparence vis-à-vis de la crise. A vrai dire, la Chine dispose d’une certaine expérience dans ce domaine depuis l’apparition des virus SARS et H1N1 dans les années 2000. Cependant, la baisse généralisée des défenses immunitaires de l’ensemble de l’humanité laisse les humains aussi vulnérables face aux virus que ne le furent les populations autochtones des Amériques face à la variole ramenée par les européens.

La situation est-elle grave ? Selon les médias chinois, le nouveau coronavirus est mutant et s’adapte très vite. Des critères susceptibles de le classer dans la catégorie des bioarmes (bioweapons). Le nombre de personnes infectées est classé secret.

Faut-il en avoir peur ?

Oui et non.

Oui parce que nous humains sommes très vulnérables aux virus dont on ne comprend pas vraiment le fonctionnement. Notre alimentation n’est plus vraiment saine depuis plus de 60 ans et l’apport d’OGM (organismes génétiquement modifiés) et de molécules artificielles a détruit nos dernières défenses immunitaires naturelles. On ne peut rien faire face à la grippe ou à l’herpès pour ne citer que les affections les plus communes.

Non, parce que les virus semblent obéir à une dynamique de propagation et un cycle de vie qui nous dépassent et qui semble relever d’un certain équilibre naturel. Il y a toujours eu des épidémies ou des pandémies (pas toujours causées par des virus) dans l’histoire des groupements humains et fort souvent quelle que soit la sévérité de l’épidémie, celle-ci disparaissait au bout d’un certain temps.

La recherche de paléovirus ou de virus fossiles disparus depuis des milliers d’années et les tentatives de leur réactivation à des fins médicales ou, ne le cachons plus, militaires, pourraient être fatale à l’espèce humaine. Ce syndrome prométhéen dont est atteint l’homme dans sa vanité est à l’origine de sa perte.

source:https://strategika51.org/2020/01/23/le-2019ncov-est-il-une-bioarme/

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