« Le Parisien, pigeon voyageur marron, nègre de service ». Par Ahmadou Diop CPC
Macky, l’ethniciste, « terroriste, l’affairiste Pétain Noir », passe plus de temps à l’extérieur qu’à l’intérieur du pay. Marième Faye, la capricieuse dame, la fondatrice de l’Association bidon « Servir le Sénégal », la tristement célébrissime, très réputée pour sa gourmandise illimitée par l’esclandre de ses folies dépensières, avec son sac main , en bandoulière, coûtant la bagatelle de 19000 euros, éprouve toujours le besoin de s’inscruster, est aussi toujours dans l’avion présidentiel. Raisonnablement, on peut donc penser qu’elle ne va se priver de faire des escapades dans les magasins de grand luxe, qu’elle dévalise, sans coup férir et pour le bonnheur de ces derniers, à l’instar des autres épouses des dictateurs africains, voraces, qui renouvellent goulûment leurs parures si onéreuses qu’elles n’en ont réellement besoin. C’est un secret de polichinelle. C’est le moins que l’on puisse dire.
Ousmane Tanor Dieng, l’un des cireurs des bottes du despote, qui a élu aussi domocile dans la Capitale française, vit éternellement aux crochets de la république , se fait entretenir dans des hôtels les plus luxueux et aux frais du contribuable sénégalais, sous la complicité directe du premier corrupteur toxique de la rupture éclopée.. Macky n’est pas un cas isolé des dépenses inutiles. Il est le plus exposé par sa posture
Moustapha Niasse, le multimilliardaire des raccourcis politiques, qui emprunte les mêmes paramètres douteux, ne déroge point à la régle, mais agit en toute discrétion à Paris et à l’abri des regards.
Macky Sall, en chair et en os, le pigeon voyageur apocalyptique beige- marrron » est toujours dans les airs.
Marième Faye, très boulimique, est toujours dans l’avion présidentiel, dépense aussi et renouvelle sa garde-robe.
Qui peut donc compter les voyages inutiles de Macky Sall ? Après de moult sorties sanieuses qui se perlent de plus en plus sur le même terrain du crime, dont il détient l’unique secret, pas un seul jour ne passe sans qu’il y ait des balourdises torrentielles, relayées par une presse de rimbabelle, cartelllisée, odurière, des médias de carpes, traitres, qui en rajoutent , optent pour des panégyriques. L’abondance totalement ligotée, loufoque, foissonne, pour avoir sa place au soleil et gravir des galons et des échelons , indus, dictés par la loi arbitraire, tyrannique d’un régime pourri, envahissant. qui ne s’encombre outre mesure, d’aucune moralité visible, si ce n’est la politique décousue d’une fuite en avant, tendant à masquer son véritable visage hideux, depuis 3 ans.
Un régime avilissant, incurieux, anathématisé, receleur, corrompu, controversé, abonné aux concussions démentielles, même si certains n’osent point le dire tout haut, au risque qu’ils en payent le prix fort.
Un régime qui lynche médiatiquement dans lequel le carnage emphatique, inflationniste réduit au silence et tire à vue sur tous ceux qui bougent et s’opposent dignement.
Un régime des procès funestes, expéditifs où l’hérésie césarienne régne, pour assevir tout un peuple en colère.
Macky s’érige par la profusion des diatribes et les attitudes incantatoires sur fond de cataclysmes repoussants et le tout couronnés d’une surenchère spectaculaire, dans laquelle le chantage, la déformation, la manipulation, la désinformation servent de lits par des litanies incongrues, font florès.
Pour éclairer les sénégalais, une enquête nécessairement exécutoire est immédiatement obligatoire, Car selon des informatipons bien fournies, Energy aurait mis sur la table 400 millions de dollars Us, soit 200 milliards de francs Cfa … dénomméePetro Tim Limited à qui l’Etat du Sénégal a octroyé des blocs Et les 72 milliards qui ont apparmment atteri dans les comptes de son avocat personnel à Paris, alors que l’état du Sénégal dispose d’un compte bancaire à la BNP à Paris ?
Mack doit s’expliquer sur les conditions de la création de la Société Pétrotim en juillet 2012. C’est étrange ! Pourquoi donc son mutisme ? C’est donc suspect ?
Il y a des dysfonctionnements de la démocratie de plus en aigus. Bref, un régime d’apartheid et de pugilat peu vertueux, terroiste dans les faits, sévit.
Chez Macky, autoproclamé le cheval de l’anti- terrorisme, soi-disant, chasse des jihadistes inconnus. L’arnarchie est un socle pour les adeptes de la mal gouveranance, dans laquelle l’absolutisme est devenu une marque de fabrique. Tout est bon pour croire pouvoir tondre les sénégalais, présumés sujets. Depuis 3 ans, sans répit, l’homme s’adonne à des placements de son ethnie ou le communautarisme est de rigueur. Confiscation et omnipotence de son clan ethnique dans l’administration, l’armée nationale, la police, la gendamerie, les médias publics, les ambassades, les Consuls généraux- avec des primes à tout vent pour les conjoints et conjointes.
Jugements discriminatoires sur l’autel de la haine de la part d’une justice encordée , tenue en laisse, qui s’exécute bassement, disjoncte et agit sur commande d’en haut du politiquement incapable.
Sans discontinuer, des procès à la « Nuremberg soft » avec des scandales qui n’en finissent jamais. Pendant que d’autres prennent le relais. Après les escalades des rafles de l’opposition ciblée, entre autres, des citoyens libres, sont cueillis de jour comme de nuit pour un oui ou pour un non.
Place maintenant au feuilleton des mensonges du terrorisme, tendant à cliver les uns contre les autres avec en prime, des menteries inflationnistes et à répétitions qui deviennent des labels, comme système hystérique de gouvernance moribonde. C’est bien pire que les rafles au Vél’ d’hiv’ -bref l’inquisition sévit, dans lequel la répressif tout sert de contradiction. Écrire, parler, devient nécessairement un crime de lèse-majesté.
A chacun son état d’urgence. Au sénégal Macky surfe aussi sur le thème fétiche du terrorisme chimérique pour restreindre les contradctions politiques et limiter ainsi la liberté d’expression, indispensable dans un état civilisé.
La république clanique des mains sales, des larbins mercenaires incultes aux sorties sanieuses ou les symboles incultes médiocres, flagorneurs de la décadence blanchit ses mensonges illimités.
En vérité, pour l’état policier, tortionnaire, totalitaire, toute contradiction politique, indispensable est source d’atteinte à la stabilité de la république. Le tout répressif sert de contradiction, pendant que le régime de pugilat bande ses muscles, tire à vue sur tous ceux qui bougent et qu’on assimile comme des malfrats, sans que personne ne lève le petit doigt, au risque d’en avoir pour son grade.
Le droit de manifester n’existe plus. Pire, la prétendue lutte contre le terrorisme irréel autorise tout toutes les dérives exponentielles. Et à n’en plus finir. La violence étatique est légitimée.