Le Sénégal, ou la Légende d’un Pays : Mythe ou Réalité ? Par Ahmadou Diop.
Le Sénégal, ou la légende d’un pays s’enferme-t-il tout seul dans son propre piège ?
Lorsque deux forces s’opposent dans un même pays, un tel état pourra-il sortir la tète de l’eau ?
D’emblée, allons donc directement au but sans fards, ni langue de bois ! Et ne nous voilons pas la face, si nous voulons éviter l’hypocrisie généralisée qui gangrène et hypothèque dangereusement l’avenir de la société sénégalaise dans son ensemble, pour dire la vérité. Pour cela, crevons d’abord l’abcès et cherchons par nous-mêmes le meilleur remède qui vaille, pour soigner la plaie !
Alors, l’image d’Epinal, idyllique, trompe l’œil, veuille que l’on présente aujourd’hui le Sénégal sous de faux postulats sur la scène internationale par presse interposée farandole des courbettes, est totalement biaisée, erronée, voire même décalée au regard de la réalité matérielle sur le terrain du crime. En réalité, il ne s’agit que tout du vent et d’une simple vue de l’esprit. Un écran de fumée qui cache la forêt.
La logique veuille que l’on utilise les vieilles recettes imparables, selon lesquelles la minorité est plus facile à organiser que la majorité totalement désunie, désarticulée, par nature.
En politique, l’erreur se paie cash. Rien n’est jamais trop tard pour un peuple, pour corriger le tir à tout moment, s’il le désire, à condition qu’il sache les tenants et les aboutissants, de ce à quoi il se bat.
Mais faut-il qu’il soit réellement informé des enjeux politiques encourus ? car le même peuple par sa maturité, debout, déterminé, et fier de l’être, pour aller de l’avant, doit s’approprier par devers ses propres intérêts normaux , a l’obligation et le devoir moral, patriotique, civique de sévir et trancher librement , pour avoir le dernier mot, qu’il faille même les arracher à tout prix, quoiqu’il arrive, lorsqu’ils sont bafoués par une minorité de malfaiteurs en bande organisée, qui se croit supérieure.
Le même peuple qui est composé d’un même agrégat d’hommes et de femmes, aura toute la latitude nécessaire de changer le rapport de force, à un moment ou à autre, n’aura d’autre choix que d’imprimer sa marque de fabrique, et pour en tirer toutes les conséquences de son passé douloureux, à dessein de forger sa conscience.
Pour cela, il nous faudrait mettre à la tête de notre pays de véritables élites courageuses, altruistes, visionnaires, exemplaires, qui se chargent de prêcher le langage de la vérité par la rhétorique adéquate, et ceci dans l’objectif de créer la dynamique pérenne, en vue de galvaniser les masses dans toute sa composante par une impulsion qui créera le déclic nécessaire.
De la colonisation jusqu’à l’indépendance formelle, dynamique de la dépendance systémique, la même logique des combinards unifiés, apparaît nettement plus coriace que l’ensemble de la majorité suiviste, tondue se laisse encorder rituellement par une minorité ploutocrate de la dernière minute, toute puissante, capitaliste, bourgeoise, laquelle telle une toile d’araignée, s’inféode au pouvoir autoritaire, de la démesure apocalyptique en place, sévit par sa terreur, et dénie toute critique et toute contradiction politique, légale, sont totalement bannies, sous le fallacieux prétexte d’offenses de toutes sortes aux autorités ou de trouble à l’ordre public.
Reparlons donc du capharnaüm ! Justement, le cartel, qui est par définition, corporatiste, bien que numériquement inférieur, exploite cet état de fait, s’y loge dans cette brèche, utilise tous les moyens de l’état, y tire son miel du jeu, par sa brutalité, la division, les menace à tout vent , clive, oriente le débat politique en sa faveur et à sa propre guise, en toute impunité, tendant à engranger les dividendes pour arriver à ses fins, et qu’importe que les moyens, fussent-ils abjects, ou tordus. C’est la règle générale qui demeure plus que jamais, comme étant un legs colonial.
En dehors des immixtions étrangères, le Sénégal, reste l’éternelle victime expiatoire, s’enferme tout seul dans son propre piège. la force réactionnaire, minoritaire des ploutocrates et la majorité léthargique, ont des intérêts divergents, dont l’une, certes minoritaire, est mieux structurée et raffinée, s’arrime à l’attelage du pouvoir politique, apocalyptique, tortionnaire en place.
Cette caste de vautours reste la classe dominante – au sein de laquelle l’inimitable chef de gang clanique et son gotha de thuriféraires mortifères, tous alignés – détiennent par devers tous les leviers du pouvoir politique, financier et économique, monopolisent tous les médias d’état et privés, ont une emprise directe sur la majorité absolue des sénégalais, apparentés somnolents, désorganisés, abdiquent, soit par consentement réactionnaire, soit par manque d’informations, face aux tirs groupés de la délinquance étatique ethnique, abusent dangereusement de la force publique, interposée, qui s’apparente en auxiliaires de service, dociles.
C’est bien cela le constat, ou le rituel maléfique, qui explique l’éternel climat délétère permanent en continu.
En d’autre terme, il faudrait impérativement que nous arrivions dans les délais impartis à extirper le mal endémique, et renverser le rapport de force en faveur de la majorité écrasante, pour que nous puisions opérer une rupture dans le sens des progrès et vaincre les forces du mal, à l’instar des pays libres, souverains et indépendants, qui ont réglé le compte de leurs traites à la place publique, et qui ont bien compris que le sous développement n’est pas une fatalité, mais une question de volonté politique, de salubrité et de courage.
Ceux qui veulent nous ramener à la pierre taillée et nous considèrent comme étant leurs esclaves de droit divin et par des dictateurs interposés de la sarabande, n’ont pas de richesses naturelles chez eux, possèdent des outils de domination.
Pour ce faire, nous devons coopérer avec les Brics et établir, ainsi, avec eux des relations multidimensionnelles en toute sécurité et en toute indépendance, sur des bases voulues, entre gagnants et gagnants, au lieu de nous laisser asservir par les mêmes qui nous ont colonisés, et qui continuent de piller toutes économies, qu’ils entravertissent pour leurs propres comptes mal placés.
À défaut, le mal ira toujours en pis, compte tenu du caractère dilatoire, blasphématoire d’une minorité de goinfrés de la dernière heure, qui agit en toute impunité contre toute morale et contre tout le peuple, tient mordicus à le mettre dans une bouteille par les politiques des coups de bâton, comme étant l’unique mode opératoire, pour croire parachever et pérenniser le totalitarisme d’un régime colonial, négationniste en place, qui n’obéit qu’à ses pulsions névrotiques.
On ne le dira jamais assez, car un pays ne récolte que ce qu’il a semé. Rien ne change chez un peuple si ce même peuple ne change pas ce qui est en lui-même.
Est-il acceptable sur le plan moral, que dans un pays qu’une caste d’abrutis minoritaires s’enrichissent ostensiblement sous le nez et la barbe des citoyen, qui s’appauvrissent de plus en plus , pendant que les autres minoritaires, s’engraissent indignement de façon attentatoire, récurrente, par le mépris et par les raccourcis politiques de bas étage, prennent en otage tout un pays, interdisent tout, s’érigent par la loi de la fatwa de l’omerta, emmitouflée de l’arbitraire et de la tyrannie, que leur procurent, soi-disant, leurs prétendues postures de piètre qualité- que l’on appelle des Postes de nomination Tan Sa Bula Nex, contrastent avec le reste majoritairement à terre , ne boit que d’eau fraiche, et vit au seuil de la pauvreté chronique ?
La première force numérique crache par méconnaissance sur ses intérêts, va à l’encontre de l’histoire et en contre sens de l’histoire, renforce la minorité empestée du pouvoir politique de minables de tout bord, contre ses propres intérêts, se laisse laminer. L’émergence coloniale, ou l’arnaque organisée fait l’affaire des escrocs notoires, qui reprennent des galons.
La France connaît parfaitement sur le bout des doigts et de fond en comble toute la cartographie, politique de toute l’Afrique occidentale, sait qui est qui et qui a fait quoi. Elle sait dans ses archives qui furent les traitres notoires et ceux qui eurent combattu sa politique coloniale, pendant 24 ans, dictèrent leurs propres lois, et maîtrisèrent le terrain, malgré sa supériorité numérique. Je veux donc parler du Héros national, Laba, ou Lar Dior Ngoné Lartir Diop, n’a jamais tremblé face aux colonialistes.
Le Sénégal sous l’actuel régime en place des marionnettes, représente une province une et invisible de la France.
Macky Sall : « Si Wade dit, le soir du 26 février : j’ai gagné avec 53%, comme ils sont en train de le faire, ce sera l’insurrection, on ne l’acceptera et nous mettrons tous les moyens à notre disposition pour le dégager du pays », créera automatiquement un gouvernement parallèle, alors que le même personnage curieux, déclarait urbi et orbi dans le journal qu’il organisera un référendum, pour ramener son mandat président présidentiel de 7 à 5 ans, ajoutera qu’il y aura des scrutins en début 22017. L’homme a donc menti sur toute la ligne, ce qui est synonyme de trahisons, passe comme une lettre à la poste.
Celui qui s’autoproclame Technicien tortionnaire par ses coups tordus apocalyptiques à répétitions en continu depuis 5 ans comme système dictatorial, pour se maintenir au pouvoir, élimine un par un tous ses adversaires politiques, immédiats. Voilà la seule vocation médiocre.
Le Sénégal, malgré son apparence, a été laminé toujours par des traitres, qui se travestirent en comploteurs, collaborationnistes, parmi lesquels Mamadou racine Sy, fut gratifié pour la première fois, à la légion d’honneur française en 1833 ; le même personnage, fut enterré au Mali.
En 1857, sur l’initiative de son mentor, le général Faidherbe et son armée de Tirailleurs sénégalais, ont combattu farouchement contre Lat Dior Ngoné Latir Diop.
Ceux qui trahissent le Sénégal, notre partie, viennent toujours du même camp, clanique, pétainiste, ethnique, portent les mêmes patronymes particuliers. Le Sénégal est le seul pays au monde, où Faidherbe et les gouverneurs colonialistes sont plus que bénis, servent de référence étrange, sous la magistrature familiale ethnique du nègre de service, Macky Sall, prend cause et les faits de l’expansionnisme.
Le renégat en chair et en os, ou le pédigrée, s’érige par ses parades lâches, fait l’apologie de la monnaie coloniale, le FCFA dont il dit « qu’elle est bonne à garder ».
Le même apostat, de surcroît, estime, je le cite: « que le retrait des troupes et bases militaires relevait quelque peu d’un nationalisme mal placé », fulminait le fasciste, le tyran, fourbe, négationniste et incorrigible.
Revisitons l’histoire ! Et vous verrez que rien n’a changé, ne changera jamais, tant que nous ne prendrons pas nos responsabilités et la problématique à bras le corps à l’échelle continentale africaine, pour en finir définitivement avec la mascotte » des Tirailleurs sénégalais » !
Comment accepter l’idée que l’assemblage des paresseux, teigneux, verbeux de caniveau , puissent se transformer en faussaires, criminels, notoires, sortis de terre, vers de terre, multimilliardaires des défroques victimaires, sèment la pagaille et la terreur, se nourrissent des deniers de l’état, qu’ils pillent, et qui disposent de comptes bancaires bien fournis, qu’ils n’en ont besoin, qu’ils ouvrent en toute impunité dans les paradis fiscaux et à l’abri des regards indiscrets ? Et le peuple trinque, trépasse, vit dans la misère affligeante.
Un tel peuple qui se laisse marcher sur les pieds, se fait gruger constamment par des bandits, et qui abdique au nom « d’un Masla », s’apparente en vérité, à un consentement réactionnaire, n’a pas sa raison d’être. Ce peuple là, est-il vraiment mature politiquement ?
Pour dominer la majorité, renforcer la minorité politique traitresse en Afrique et dans le monde en l’armant et lui donner des logistiques extensibles, incommensurables. Tous les dictateurs africains, fascistes, sans exception, sont tous logés dans cette catégorie minoritaire. C’est aussi valables dans les monarchies saoudiennes, moyen –orientales. Il n’y a pas une seule qui échappe à la règle. C’est ça le secret qui explique et empêche le décollage massif de l’Afrique et la démocratie au Moyen-Orient.
Ici, chez nous, au Sénégal, qui est le centre de l’exotisme politique à couper le souffle, l’évidence schizophrénique est beaucoup plus patente, flagrante, quand on examine son histoire politique. La sarabande du régime apocalyptique négationniste, terroriste, ethnique en témoigne éloquemment par ses agissements et ses intrusions indignes contre tout citoyen libre, qui tient à l’être.
Plus il en fait, plus il « est béni », plus il met des couches épaisses, mieux c’est, puisque ses méthodes fascistes sont compatibles à celles du régime hitlérien, dans une certaine mesure..
Diviser, cliver- sens dessous, mettre les uns contre les autres, en privilégiant les plus dociles minoritaires. La puissance de la majorité représente un danger et un suicide et une menace réelle pour les intérêts colonialistes. Étouffer le fœtus dans l’œuf et y mettre les moyens. C’est pratique et plus sûr, sans état d’âme. C’est la praxis pédagogique des impérialistes
De Lat dior Ngoné Latir, Diop, le vaillant téméraire, le Grand résistant , qui fut mort les armes à la main, en passant par le soufi, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, El hadji Omar Tall, El hadji Maclick Sy, Khali madiakhaté Kala, jusqu’ aux élites intellectuelles de qualité , en l’occurrence, Mamadou Dia, Cheikh Anta Diop, Omar Blondin Diop, pour ne cirer que ceux là, font notre fierté. Car la liste est loin d’être exhaustive.
On peut dire qu’ils sont tous des immortels, inscrits plus que jamais dans la postérité et dans le panthéon des Grands Hommes d’Honneur, Héroïques nous honorent, et continueront à faire vibrer nos cœurs, pour que nous soyons libres, souverains, indépendants et penser pour nous-mêmes et par nous-mêmes.
Au lieu de pérenniser les missions salvatrices colossales de nos Grandes figures emblématiques et charismatiques, malheureusement, depuis des siècles à nos jours- comme par hasard et au moment de la Deuxième Alternoce, symbolisée par la République des carpettes, des chiffonniers, historiques, égoïstes, aliénés, infiltrés par le colonialisme, infiltrent à leur tour et à petit feu une partie de la nomenklatura religieuse, à dessein de court-circuiter habilement et à coup de briques de FCA, les œuvre magistrales du saint Homme, [paix à son âme ], lequel fut déporté indignement au Gabon pour ses croyances musulmanes et son amour de dieu et de son Envoyé, le prophète, Mouhamed [ PSL]
Dans toute l’histoire du Sénégal, les plus insignifiants d’hier de par leur descendance, ont eu toujours la capacité et la prouesse titanesque de transmette le virus de génération en génération par télépathie et par entente directe, et dans le secret des dieux, à la majorité absolue des citoyens presque tous accroupis, on ne sait par quelle magie, s’allongent et s’alignent mécaniquement sur la trajectoire de la référence moribonde, empêche tout progrès, si ce n’est leur surmoi, démesuré.
Voilà l’émergence coloniale, cataclysmique de caniveau de la république des caïds, des voyous et des fripouilles tous unifiés, des procès politiques saugrenus, interminables à géométrie variable et à double standard, continuent son spectacle surréaliste insolite, selon la tète des clients qui en ont pour le grade, pour avoir emprunté les mêmes chemins douteux !
Voilà l’amateurisme et l’escobarderie de la saga des Grands Guignols, attardés, pouilleux flamboyants des racailles de l’arrogance, dont l’euphorie, correspond à leur insuffisance criarde, atavique.
Des procès qui n’en finissent pas, d’autres reprennent automatiquement leur droit. Et jusqu’à quand donc ? Nous ne l’avons pas élu pour qu’il n’organise que des procès infinis.
Affaire khalifa Sall des déballages massifs- amine : C’est un procès politique, dont le scénario est déjà écrit par l e captif procureur mercenaire –alimentaire- Serigne Bassirou Guèye et Samba Sall, l’autre ustensile, peint comme étant le chef doyen des corrompus ethniques décomplexés, s’arroge la piètre qualité d’un culte de la personnalité et de médiocrité affligeante. Nous sommes dans une république anormale.
Pour rappel, Serigne Bassirou Guèye, continue de faire preuve d’excès de zèle, collectionne à longueur de journées, curieusement de gros bolides BMWX3 –V8 TOYOTA, fraichement sortis d’usine et coûtant chacun la bagatelle de plus 60 millions de F CFA. Ce n’est pas tout, puisqu’il dispose de plusieurs villas et des terrains à Thilmakha Mbacol à Dakar et à Touba Mbacké.
Faites le calcul, car vous serez effarés et tombés des nues ! Alors que l’indice de son salaire ne peut justifier en aucun cas ses riches étalées rapides au grand jour. Et le prétendu mercenaire, Samba Sall , qui est juge et parie, reste plus que jamais dans le même registre.
Les poursuivants et les poursuivis sont tous des voleurs- fondation bidon ou la structure politique association servir le Sénégal, asservir le Sénégal, ou l’escroquerie gigantesque familiale en bande organisée, le scandale, un embrouillamini mystificateur.
Depuis quand donc Marième Faye est –elle devenue une personnalité internationale au point que les états donateurs se passent des états receveurs. D’où viennent ses milliardaires sortis de terre on ne sait où comment ? Et à quelle fin ? Et pourtant l’agitateur procureur ne pipe un seul mot sur les dérives de la femme de Macky Sall.
Alors que le principal accusateur, le plus humidifié par ses scandales ubuesques, épouvantables, insurmontables, est en réalité, le premier délinquant, qui s’autoproclame bassement un donneur de leçons et d’ordre, se refugie lâchement derrière son ustensile de cuisine – procureur-alimentaire, s’accommode piteusement de sa stature de piètre qualité par ses richesses étalées et dans des conditions extraordinairement et scandaleuses au grand jour, devrait être lui-même poursuivi, si nous étions dans une véritable démocratie réelle, tangible qui tourne à pleine régime..
Depuis quand donc Macky Sall, le faussaire nègre de service est-il donc devenu un professeur ? Ou alors s’érige-il professeur ès inepties par ses échappées torrides ?
Qui est Macky sall ? Décidément, rien le prédestinait à cette stature de gros calibre, n’eût été la magnanimité de son créateur, car le bougre berger colonial, converti en taupe, affichait une fidélité fausse ;
en 2000, brusquement, comme un conte de fée, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, un aventurier taciturne, opportuniste, sorti de terre et de nulle part et au cursus scolaire standard, totalement inconnu sur la scène politique, jusque là , vit dans les quartiers populaires de la capitale sénégalaise, prend son envol, bidonne hystériquement son cv, est catapulté avec fracas dans des postes de haut niveau -Tan sabula nex – , gravit un par un tous les échelons, amasse en 8 ans, un gros butin qu’il a indignement obtenu par l’entregent des raccourcis politiques dans des conditions scandaleusement abjectes, , grâce aux largesses et à la bénédiction de son mentor, dont l’étourderie manifeste, ne se doutait de rien, alors qu’en réalité, comme tout félon de sa trempe, s’applique à lui-même ignoblement la règle imparable, qui veut aller loin , ménage sa monture.
Macly Sall, nous dit-on, devient ingénieur géologue, géophysicien, formé à l’Institut français du pétrole (IFP) de Paris. À ce que je sache, dans les plus grandes écoles d’ingénierie en France, L’étudiant doit subir d’abord un test d’aptitude. S’il réussit, il sera en classe préparatoire scientifique
Ensuite, il passera de nouveau le concours pour entrer à l’école d’ingénieur Ce n’est pas le cas du tricheur, menteur, professionnel. L’arrangement d’un séjour de quelques mois ne signifie nullement qu’il a la qualité requise d’un ingénieur. Macly Sall n’est jamais un ingénieur. C’est totalement archi faux. Qu’il nous montre donc son diplôme d’ingénieur géologue, géophysicien, en bonne et due forme, qui a été délivré par (IFP) de Paris ! Il ne le fera jamais. Je vous le promets.
Nous avons affaire avec un usurpateur, un faussaire, qui a du culot. Un ingénieur n’est pas n’importe qui. Il faut 7 ans d’études après le bas avec des expériences et un cv bien fourni à l’appui dans une grande entreprise internationale. À quelle période il a été formé en France et pendant combien d’années ? Rien qu’une compilation de mensonges cousus de fil de blanc qui se perlent à la pelle.
Sur le Classement par rang d’excellence académique des 25 premières écoles supérieures d’ingénieurs, je n’ai vu pas dans le classement, ce fameux institut (IFP) de Paris, en tant qu’école d’ingénieurs. un tel menteur professionnel, profanateur dans l’âme jusqu’à l’abysse, mentira tout le temps sur tout le reste et jusqu’à mort.
Nous avons chez nous ce don de dieu exceptionnel, à savoir les ressources naturelles, immenses, extensibles, extraordinairement bénéfiques, que sont le pétrole, le gaz, l’or, le zircon etc., en sus des ressources humaines, dont nous disposons.
Nous avons donc le devoir moral patriotique, civique de les mettre hors d’état de nuire. Un impératif absolu ! Cette Chappe de plomb est la clé de voûte de notre retard pandémique.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, l’étrange pays de la Téranga est devenu bien ce Géant virtuel aux pieds d’argile qui cache la forêt.
Régler le compte du traitre fasciste, est devenu une question de salubrité publique pressante.
En Afrique tout comme le Sénégal, ne déroge point à la règle de la tyrannie, reste le laboratoire du ciel ouvert et le temple Timis des esbroufeurs enjolivés.
Qu’on ne s’y trompe pas ! Les parodies électorales permanentes qui passent comme une lettre à la poste, deviennent le socle fondamental d’une rupture dictatoriale par la fatwa des scrutins des rapines ADU kalpé Keuf.
Car la mécanique totalement biscornue, et dont l’opacité manifeste, obture toute transparence démocratique, malgré la litanie grandiloquente des charivaris démentiels, cousus de fil blanc.
Ainsi donc, habituellement, le dictateur – fraudeur en place, s’adjuge le maître du jeu, tient et la justice et l’armée et la police et la gendarmerie, organise savamment son spectacle permanent – à savoir le baguage électoral- sacralisé en grande pompe.
Selon la vision du nègre de service, les scrutins de la mascarade ne seront qu’une simple formalité administrative, rafle la mise en toute circonstance et en toute impunité, se taille abusivement ses propres scores fantasmagoriques, dignes de lui, par des combines et des combinaisons sont toutes compatibles aux méthodes fascistes, et l’effigie de ses collègues fantoches africains, francophones, à qui il partage les mêmes les mêmes gènes.
Et la communauté dite internationale, juge et partie, autoproclamée faiseur d’opinions et de rois en Afrique, légalise par devers ses forfaitures à répétitions, se substitue joyeusement aux citoyens sénégalais, passent au second plan.
L’éternel casseur du siècle, oublie, entérine et sa parodie référendaire deum- et son braquage électoral, lors des dernières législatives cataclysmiques de pacotille, notamment à Touba Mbacké, la ville sainte, où une certaine classe spirituelle non des moindres étaient en osmose totale avec la machine répressive, institutionnalisée, cliniquement clanique . Il faut rappeler que la Cité du mouridisme comptait 124 bureaux de vote, où plus de 6000 inscrits n’ont pu accomplir leurs devoirs civiques.
Et la vieille garde ringarde, qui est exclusivement composé d’un ramassis d’incultes pathétiques, s’érigent en ribambelle de la rengaine, et dont l’immoralité constitue un secret de polichinelle, se travestissent allégrement en lamentables vulgaires rabatteurs pour les yeux du tyran encombrant , se déclarent en entente cordiale avec le pouvoir totalitaire. Le pouvoir politique en place extravagant est extraordinairement en jointure avec une certaine classe politico-religieuse, porteuse de voix, s’encarte en filigrane à la démocratie tyrannique.
Tout ce beau monde se frotte à huis clos les mains, puisque les pluies torrentielles de milliards de f CFA, sont passés par là, et à cause de la machine toxique , irrévérencieuse, représentée par cette caisse notoirement troublante, n’est en définitive que la clé de voûte des corruptions massives à haut débit, pour corrompre librement tous ceux qui ont une faiblesse pathologique de la puissance de l’argent facile.
Après la réciprocité des services rendus, le profanateur menteur professionnel, qui nous parle de dialogue, et tend la main aux hommes de la double casquette et aux autres acteurs politiques, dont la plupart sont tous quasiment des corrompus, clientélistes de la démesure. C’est bien ça le foutoir, ou le dialogue de la tromperie de piètre qualité.
Le Sénégal, ce géant virtuel aux pieds d’argile, est sous contrôle total et à la botte d’un tyran, mercenaire, fantoche, qui s’appelle Macky Sall, « le Caudillo Sénégalais », le tient d’une main de fer par sa police politique de la Stasi, bannit de facto toute marche, pacifique, traque sans répit, humilie à tout vent, tout opposant réel, qui lui fait de l’ombre, ou tout citoyen libre s’exprimant publiquement peu ou prou , en aura aussi pour son grade, dans la demi- heure.