Les mécanismes confiscatoires à la Démocratie de la république des scandales d’un Eco système d’apartheid : ou l’exposition enjolivée de la canaillerie Ethnocentrique. Par Ahmadou Diop.
Suppression du poste de premier ministre/ et inversion du calendrier républicain : ou les dessous des législatives apocalyptiques du 30 juillet 2017 et de la parodie présidentielle de 2019.
La suppression du poste de premier ministre est-elle donc un prélude pour renier une fois de plus ses paroles données ? Ou veut-il continuer ses faux bonds auxquels il nous a toujours habitués ?
Macky Sall : « le 3ème mandat est un faux débat. Je n’y pense pas ». Le caméléon esquive la question la question et n’y répond pas, n’est pas affirmatif, ne va pas au bout de sa pensée. Faut-il vraiment croire au menteur professionnel dans l’âme, car dans une interview en date du 26/01/2016 au journal français, l’express, et les propos étaient recueillis par l’écrivain, journaliste, Vincent Hugeux, le renégat en chair et en os, nous avait bien servi la sauce, selon laquelle Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017 ?
S’il ne compte pas se représenter en 2024, la logique et la morale veuillent qu’il ne supprime pas le poste de premier ministre. Ce n’est pas cohérent et c’est incompréhensible.
De deux choses l’une. Soit, il ment, soit, le moment venu, il veut arrondir les angles et cintrer les coins pour s’inscrire au coup d’état permanent à la Kabila de la RDC, tendant à assurer son impunité et ses arriérés politiques, d’autant que plus l’AFP a d’ores et déjà annoncé la couleur, présentera sa candidature, et certainement le PS suivra le pas
La suppression de premier ministre, n’est qu’une manœuvre dilatoire, confiscatoire, longuement pensée, permet au personnage atypique, d’être l’élément clé, hyper central et incontournable.
Dans le souci de ne pas détirer notre article sur ce gouvernement de capharnaüm, pourri de la tète aux pieds, nous nous passerons des éternels scandales du siècle au Sénégal qui s’empilent les uns après les autres, à savoir les affaires Arcelor ; Jackpot et fils, des frères SallGate; la non réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans; les casseroles de Abdoulaye Sylla ; Mbaye Niang ; Adama Bitcogo ; pétrole et gaz du Sénégal; l’onéreux TER, etc., ,pour citer que ceux là, auraient pu faire sauter l’état entier d’un Eco système d’apartheid.
Compte tenu de tous ses scandales, indiscutables et auxquels s’amoncellent et le foutoir référendum de mars 2016, y compris la suppression du poste de premier ministre programmée et les dessous des législatives apocalyptiques du 30 juillet 2017, se prolongent sur la parodie présidentielle de 2019, nous laissent penser que Macky Sall, comme tout tyran pantin- satellite de son rang, les abus de pouvoir doivent être nécessairement lavés à grande eau.
Le réfractaire à la démocratie, qui est donc dans cette logique surréaliste et funeste, croit pouvoir sauver indéfiniment sa peau par la magie de ses stratégies ( tapalé,) continue sa fuite en avant, fait des pieds et des mains, à dessein d’échapper à la justice, et garder son statut supposé de chef d’état, bénéficie de facto d’une immunité, foule du pied, et balaie d’un revers de main le suffrage universel, cet énième crime politique imprescriptible, impardonnable, est passible de la cour d’Assises pour moult trahisons à répétitions.
Alors, l’abandon du poste de premier ministre est la conséquence directe de la boîte de pandore, représentée par la parodie référendaire, cet exutoire ignoble, foutoir-fourre -tout, autorise toutes les dérives cataclysmiques du régime présidentiel, autoritaire, illégal, illégitime juridiquement, et politiquement, n’a jamais reçu l’approbation généralisée des sénégalais et par voie référendaire, si n’est qu’à la seule volonté d’un seul homme, en la personne de Senghor.
À l’instar d’Alassane Ouattara, son acolyte, le petit césar, le pédigrée-prédateur, ne s’arrêtera pas là, risque de rempiler, en créant par la ruse, le poste de vice-président.
Comme tout tyran de son espèce, en juillet 2015, le putschiste autocrate, taciturne, déclaré-non éclairé, à l’instar des de la dynastie des Bongo I et II et Cie, écrit d’avance le scénario et prit les devants ; envoie Makeur Ndiaye, son ministron des affaires étrangères devant là délégation européenne, annonce la couleur, met la charrue avant les bœufs, et inverse unilatéralement le calendrier républicain, avec des arrière-pensées bassement politiques, pour rester le maître du jeu politique.
Makeur Ndiaye déclare : «Nous avons échangé sur le calendrier électoral républicain au (Sunugaal) et j’ai rappelé que les élections législatives au (Sunugaal) auront lieu en 2017 et l’élection présidentielle en 2019, il n’y a pas encore de modification pour le mandat du chef de l’Etat. Et Les masques commencent à tomber et les langues se délient.
2017 est une année reste charnière. Et pour cause. Le prédateur de naissance, menteur professionnel, profanateur et par-dessus tout, un planificateur de mauvais augure, le mal appris dans l’âme, s’illustre une fois de plus à la place publique, s’est totalement renié sur ses promesses électorales, garde son mandat présidentiel, comme tout faussaire, digne de son rang ; a cyniquement caché dans le secret des dieux ses pratiques confiscatoires à la démocratie, si bien que le moment venu, en 2019, la présidentielle ne sera qu’une simple formalité administrative. L’autocrate, qui s’est taillé lui-même sa victoire préfabriquée, concentre tous les pouvoirs. Ce qui est le cas avéré.
Le Sénégal obéissant et taiseux, et place à la galaxie d’un capharnaüm en bloc : confiscation du suffrage universel, dont les résultats n’ont jamais reflété la vérité des urnes parlantes.
Voilà donc les signes avant-coureurs d’une vaste escroquerie savamment entretenue dans le silence absolu. Pour ce faire, l’organisateur de la parodie présidentielle, sachant qu’il arrachera par devers sa victoire préfabriquée de plus de 58 %, et ce, sous la baguette magique du magistrat, Demba Kanji, et la bénédiction des prétendus observateurs étrangers blancs, sont présagés faiseurs de roi et d’opinion, en lieu et place de nous, les sénégalais, classés comme des citoyens de seconde zone,
Le voyou passe de plus en plus à la vitesse supérieure, fait fi d’un référendum populaire, en franchisant allégrement de nouveaux paliers, supprimera le poste de ministre, le 4 mai prochain 2019, via sa mécanique automatique de jouets, se confine dans son rôle de caisse d’enregistrement et de résonance, votera, les yeux fermés, la modification de la constitution moribonde.
C’est la règle chez les nègres de service, qui se convertissent tous en gouverneurs dociles pour le triomphe du pré-carré colonial dicte sa loi, imprime sa marque, en s’engraissant.
L’enfumage classique et l’immoralité d’une gouvernance en lambeau sévissent de plus belle que jamais en bande organisée, nous renseigne éloquemment sur une vaste tromperie, digne d’une altération criarde. Macky Sall, s’érige le virtuose de la décadence, et demeure l’escroc, le dégingandé, reste le symbole démesuré de l’absolutisme et de l’anti républicanisme de classe exceptionnelle, est plus que jamais connu sous le label de sale pantin- maléfique satellite, se distingue par son banditisme survoltant, par son auxiliaire de service interposé, en l’occurrence, le soumis juge Dema Kanji, a arraché outrancièrement lui-même pour la énième fois sa propre victoire préfabriquée, lors de la parodie présidentielle de 2019 . C’est une première dans l’histoire du Sénégal.
Dans une démocratie réelle et tangible, il n’est pas acceptable qu’un juge, fût-il gratifié et désigné par le président de la république, candidat à sa propre succession, puisse rendre librement en toute conscience les résultats des scrutins présidentiels.
N’importe qui est enfermé derrière un bureau pendant des jours, avec l’assistance d’experts en la matière, il est très facile de manipuler 15000 procès verbaux en un quart de tour. Et L’idée saugrenue d’une prétendue impartialité veuille que le magistrat présumé, désigné unilatéralement par le candidat à sa propre succession, a tranché et prêté serment, circulez, il n’y a rien à voir, sa parole vaut donc de l’argent comptant, n’est qu’un raccourci. C’est un déni de justice. Il n’y a pas eu d’élection présidentielle, libre, indépendante, démocratie et transparente, mais un montage éhonté d’une confiscation du suffrage universel de grande envergure, jamais égalée, comme d’ailleurs tout le reste, qui passe comme une lettre à la poste.
Or, l’imposteur, du haut de son arrogance et de sa suffisance, confond sciemment l’état à sa propre personne imbue, qu’il se fait de lui-même, s’auto- déclare ignoblement par-dessus tout, comme étant le référent et le câble de la françafrique, tient mordicus contre vents et marées et contre toute morale, à parachever son régime poupée colonial, renforce davantage et ses réformettes usuelles et ses extravagantes prérogatives confiscatoires à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience.
Tant que le chantre de la rupture estropiée et ses ratonnades de réformettes liberticides lavées à grande eau par sa canaillerie, enjolivée, bien engraissée par les deniers de l’état vassalisé jusqu’à la lie, Rien absolument ne changera d’un pouce, si ce n’est le pire en continu, car la Grande Muette, dite républicaine, a étrangement dans son sommet une caste d’oligarchie militaire de hauts gradés, sont estimés au moins à plus de 35 dans un pays noyé par le gouffre des dettes progressives, et qui occupe le bonnet d’âne en matière des droits de L’Homme et de la mal gouvernance ; avec en sus, quand les citoyens sont criblés d’impôts et de taxes de toutes sortes, ne peuvent même pas s’exprimer librement, pour manifester leur mécontentement et leur ras-le bol, ont l’épée de Damoclès qui pèse constamment sur leurs tète, n’ont que des devoirs, mais jamais de droit, sauf leurs yeux pour pleurer.
le Sénégal est tombé plus bas que jamais, continue sa descente aux enfers, puisque l’éternel climat délétère contraste avec l’élan patriotique des Algériens, tous debout, désignent sans langue de bois, les oligarchies militaires comme étant des corrompus, réclament haut et fort, non seulement une redistribution équitable des ressources engendrées par le pétrole et le gaz,, mais aussi la justice tout court, l’éthique et l’équité. Qu’en est-il chez nous ? Le mal va en pis. Soyons sérieux, c’est du pareil au même, si ce n’est le pire, mais un tabou.
Quatre ans plutôt, le Burkina Faso, le pays des Hommes intègres, excédé par le pouvoir inquisitoire, a vigoureusement protesté contre le projet du gouvernement de modification de l’article 37 de la constitution.
Justement, à l’époque des faits accablants le dictateur, pantin, affilié à l’hydre mafieuse de la françafrique, a reçu au palais le 12 septembre 2015 (Annick Girardin, la secrétaire d’État française au Développement et à la Francophonie, qu’il serait souhaitable de laisser l’actuel Président du Faso se représenter à l’issue de son dernier mandat constitutionnel, malgré l’interdiction que la Constitution lui fait de briguer un autre quinquennat. à l’image de Blaise Compaoré et Cie, le kleptocrate est sur leurs traces, comme en témoignent les sempiternelles modifications de la constitution étrange et importée, tendant à asseoir son pouvoir à caractère dictatorial.
Je rappelle que dans l’une de mes chroniques hebdomadaire » XEW XEWI REWMI » du mardi, j’avais dénoncé avec vigueur les intrusions et la solidarité de classe du bouffon en place au Sénégal à l’égard de son Co-pedigree, mais malheureusement, youtube, le propriétaire qui gère l’autoroute de la toile, a tout simplement supprimé la vidéo et la plupart de « L’EMISSION de L’Info Autrement », pendant qu’hélas, les dictateurs satellites, ont le vent en poupe.
Afin de pouvoir se représenter aux élections, la goutte d’eau a fait déborder le vase. Après 27 ans de règne absolu par ses crimes imprescriptibles, dont il est l’unique coupable devant l’histoire, le soldat Blaise Compaoré, le dictateur, le fugitif, sous la pression de la rue, après s’être exfiltré par l’armée française, prit la poudre d’escampette, en atterrissant par la petite porte chez son ami Ouattara, à qui il a rendu bien des services, quand bien son hébergeur a bien emprunté les mêmes raccourcis politiques, et ce, par les vacarmes des fourgonnettes françaises.
Et le soudan, qui ne laisse pas ravir la vedette, s’est inscrit dans cette logique, par le truchement de son armée, a fini par obtenir la tète de Omar el-Bechir, le putschiste de 1989. Les soudanais unis comme un seul homme continuent le bras de fer avec son armée,, ne veulent rien entendre aucun autre son de cloche, que celui d’organiser des élections démocratiques, libres et transparentes.
Tous ces pays ont exigé mordicus, un changement de régime et de système, et balayé d’un revers de main, par le sursaut national et leur courage inébranlable, leurs dictateurs et leurs souteneurs, tous placardés dans les poubelles de l’histoire, mais ici, chez nous, nous demeurons ce géant virtuel et aux pieds d’argile, et rien ne passe, comme si nous sommes dans le meilleur des mondes. C’est ça la particratie et la particularité des hommes de tenues de la téranga qui prétendent se réfugier une crête de la neutralité pesante, comme si elles sont réduites dans son rôle de supplétif, face un despote- clown en place, qui foule du pied et le suffrage universel et toutes les libertés fondamentales de conscience.
Cela en dit long sur une spécificité à l’échelle supra nationale des 14 pays africains, francophones, tous soumis par le gendarme colonial, le tout puissant et ses accords bidon de défense, nous renseignent sur ce qu’il est convenu d’appeler les liaisons dangereuses avec ses colonies d’Afrique, deviennent, dans une certaine mesure, le prolongement soft des provinces du pays Marianne, et dans lesquelles les élites-autocrates de ramassis jouent les intérimaires, en se réduisant en simples farandoles de gouverneurs, en échange de sauver leurs sièges par la petite porte. Au Sénégal et en Afrique des courbettes, le suffrage universel n’a plus aucun sens, car les mêmes planificateurs inamovibles de la charogne gagnent à tous les coups.
Dans ces conditions, c’est une aberration que de croire à un Sénégal émergent, ne sortira jamais la tète de l’eau, encore moins d’aller dans le sens des progrès exponentiels, à l’image des pays debout, libres, indépendants et souverains, qui se dressent la tète haute, et se battent corps et âmes contre la tyrannie de l’ingérence absolutiste des pays impérialistes.
Dire que la séparation des pouvoirs est une réalité,, n’est qu’un leurre, un simple slogan creux dans le régime présidentiel totalitaire en Afrique des élites-courbettes, satellites, malgré leur apparence, quand on sait que tous les corps de contrôle, prétendument institutionnels, sont tous sous la botte et la tutelle du président-monarque, qui se considère lui-même comme étant un dieu sur terre, bénéficie d’une immunité, est source d’impunité, qui les nomme, peut les dégommer à tout moment, quand il veut, selon ses pulsions névrotiques , et ce, à sa propre convenance personnelle et pour ses propres intérêts mesquins.
Comment- en est-on arrivé là ? Car d’un coté, la passivité active de la majorité pauvre et résignée sur son sort, tandis que de l’autre côté, malheureusement par opportunisme, la rhétorique d’une certaine caste de réactionnaires, de vautours accommodants, affairistes, vendus jusqu’à la moelle, bien arrimés dans les alcôves du pouvoir avec le matraquage clientéliste de rats médiatico-politiques clivant, y tirent leur miel du jeu. Tous ces éléments réunis constituent donc un boulevard et un cocktail explosif sur lesquels surfe le chantre de la décrépitude, pour faire passer ses lois décriés.
Face à l’abdication totale repoussante qui est synonyme d’anesthésie généralisée de tout le peuple sénégalais soumis et machinalement obéissant et taiseux, reste plus que jamais au garde-à vous, en laissant le terrain au caniche de l’occident, le traitre endurci, est en tète des hits parades des pires dictateurs africains les plus serviles de la planète entière, n’a jamais été aussi fort depuis 2012 à nos jours, par ses méthodes fascistes indignes et surannées, lesquelles, quoiqu’on dise, prennent le dessus sur tout, semblent porter ses fruits à bien des égards.
En 2012, pour un oui ou pour non, tout le Sénégal requinqué, était uni et debout, pour balayer le régime d’Abdoulaye Wade, qui en avait pour grade. Macky sall, son successeur, le taciturne, est bien pire que son devancier. Le gourou, le mal du siècle au Sénégal met au pinacle, tous ceux qui lui font de l’ombre, sont livrés et traînés dans la boue et à la vindicte populaire, sont tous réduits au silence et à leur plus simple expression, comme étant des malfrats, passent à la potence et à la trappe de sa justice brossée, instrumentalisée, s’accommode dans son rôle de farandole supplétif, que leur confère leur posture de pacotille, se charge, hélas, lamentablement des basses œuvres, auxquelles elle est confinée, se dégonfle vertement sans état d’âme, ni vertu aucune, et s’exécute promptement, à dessein de plaire au Grand guignol encombrant en place, en échange, elle bénéficie de promotion sociale et des galons de piètre qualité. Voilà le spectacle surréaliste auquel nous assistons sans répit, depuis le regrettable soir, historique du 25 mars 2012, jusqu’à aujourd’hui.
L’habitacle de la haute finance internationale et de la délinquance par ses coups les plus tordus, est arrivé au pouvoir par effraction à cause de l’esclandre de ses mrds de francs Cfa, frauduleusement amassés dans des conditions totalement scandaleuses, obscures, et, ce par les raccourcis politiques, des postes de nomination tan sa bula nex. Le volatile changeant, qui nous a fait tous faux bonds, interdit tout, sévit à la moindre incartade, et gagne à tous les coups, nous gouverne d’une main de fer par sa lâcheté, abuse dangereusement de la force publique, qu’il croit détenir d’un legs divin, et ce, avec la complicité de sa police politique – la CREI-, digne de son rang, n’a absolument rien à envier à celle de la de la Stasi.
Le Sénégal, semble-t-il, donc, se soumet, en s’accommodant peu à peu à l’effigie de la république de la démocratie familiale. Ce qu’il dénonçait hier dans les rues de la capitale sénégalaise, en grande pompe, orbi et urbi par presses et médias interposés de la sarabande alignée, le pays de la Téranga, l’accepte matériellement et curieusement, dans les faits établis, et bien têtus. Est –ce donc à dire qu’Abdoulaye Wade est beaucoup plus tolérant, plus démocratique que son tonnant successeur, malgré son affichage, est source d’hypocrisie ? Tout le laisse croire. Et pour cause. Le déplorable menteur professionnel, profanateur dans l’âme jusqu’à l’abysse le prouve quotidiennement, nonobstant ses dénégations. C’est le cas de le dire tout haut, et sans langue de bois, il a eu le culot de fulminer en Allemagne : « le Sénégal est absolument une démocratie ». Sa parole est-elle vraiment de l’argent comptant, puisqu’il s’est lamentablement renié sur toute la ligne ce à quoi il était élu en 2012 ? Certainement pas. Nous avons affaire à un dévoyé, pour avoir vu et vécu. Tout dictateur s’autoproclame nécessairement un démocrate des leurres.
S’il agit de la sorte en toute impunité, sur le terrain du crime, c’est parce qu’il est soutenu par de gros bras, tapis, dans l’ombre. En échange des services réciproques, selon les intérêts mal placés des états impérialistes. Ces derniers ne cherchent nullement ni la vérité, ni la justice, ni le standard de la démocratie, ni les droits de l’Homme. Alors, il [le tyran Macky Sall] aura toute la latitude d’écraser tout son peuple, museler, et tuer dans l’œuf toute capacité de résistance, la démocratie et les libertés individuelles et collectives de conscience, sans rien craindre peu ou prou. Les exemples foisonnent partout dans le monde. Les droits économiques, financiers passent avant tout, priment sur tout avant ceux des humains, sont relégués au second plan.
Alors, le label de capharnaüm « Nédo ko bandoumm » béni oui, oui n’est qu’une coquille vide. La bête immonde reprend plus belle que jamais du poil. Aucun ministron, aucun ministron- conseiller de la canaillerie de l’immoralité n’a été abandonné, au contraire, ils ont tous retrouvé une planque, malgré le tintamarre. Le mécanisme horripilant, ou le changement dans la continuité versus « Rof, ropi, rofat », n’obéit qu’à l’esclandre d’une tambouille à la place publique. Qui peut donc parler de vertu, d’éthique et d’équité de la part d’un ramassis de chapardeurs indécrottables, sont quasiment « fichés S » au grand banditisme financier international, Malgré les effets d’annonce à tambour battant et par médias interposés serviles, les emplois familiaux eaux connotations ethniques se renforcent davantage dans le ciel terni sénégalais : « kowax feñ ko jef feñ ».
En vérité, en lieu et place d’un état régalien, nous assistons à des cascades de cumuls de mandats, Omar Hann, ex directeur du Coud [ 81 millions de FRANCS CFA ]catapulté ministron de l’enseignement supérieur, le pickpocket, est maire de Ndioum, entre autres, Abdoulaye Daouda Diallo, dont son frère de sang, Amadou Diallo, est nommé consul du Sénégal à Paris, n’a jamais chômé, fait son come back, occupe le poste de ministron des Finances et du Budget, une parité aléatoire, auxquels s’y rajoutent les raccourcis des placements ethnocentriques familiaux en continu pour amuser la galerie. Rien ne change et tout continue.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, les éléments les plus farfelus, les plus tordus et les plus mouillés par leurs comportements indécents, sont replacés à des postes de haut niveau, prennent des galons, nous indiquent une machine toxique d’une ribambelle d’ignares, revigorés. la montagne a accouché d’une souris. C’est une évidence mortifère nous donne la chair de poule.
Parmi eux, Mansour Faye, est accusé à maintes reprises d’avoir détourné plus de 17 MRDS DE FRANCS CFA, défraie la chronique, refait surface, et fait parler de lui. Peu importe, mais son bienfaiteur, le maitre du totalitarisme et du népotisme, des excès de zèle, le flegmatique et le chantre de la corruption, de l’archaïsme, de la transhumance, des transvasements apocalyptiques, de la désinformation et la manipulation, sont source de cannibalisme politique et d’anarchie des consciences abîmées.
Reparlons donc de celui qui surfe sur les eaux troublantes et de la démocratie familiale. Il s’agit bien de Mansour Faye, est de loin, l’élément le plus chouchouté, le plus privilégié, reste l’ hyper ministron le plus puissant du gouvernement du bazar, grand frère de Marième Faye, celle que l’on appelle la première dame, surnommée la femme fatale, ou le guichet automatique à tout vent de l’abondance familiale; la fondatrice présumée de la structure bidon : une grosse arnaque politique, emphatique, ou l’embrouillamini mystificateur, « Pour Servir le Sénégal ou Asservir le Sénégal, et se Servir elle-même.
Pour rappel, en juin 2014, lors des parodies municipales de pacotille, pour introniser le plastique, le symbole du misérabilisme, en qualité de maire de la ville de St louis, et ministron de l’hydraulique et de l’assainissement, le chef de bande de la république des caïds réquisitionnait un dispositif policier sécuritaire impressionnant, et disproportionné.
Le prétendu édile du Nord,-« béraloxo oblige »– a poussé des ailes, depuis, et gravi allégrement des échelons indus, comme si cela ne suffisait pas encore, bénéficie incontestablement des largesses incommensurables, injustifiées, et, ce, grâce à la bénédiction du chantre du népotisme, ou le temple des pratiques aléatoires, a déjà franchi de plus le Rubicon, le replace au summum, comme étant le pivot, collectionne présentement, et en concentrant inconsidérablement de portefeuilles ministériels à gogo et à n’en plus finir, s’octroie librement, le poste de ministron du Développement communautaire, et gère le Programme d’Urgence de Développement communautaire et Territorial, sous le vocable incongru d’éthique et d’équité et l’acronyme nébuleux (Pudc) , détient la part du lion et obtient par devers les postes juteux de l’Etat; le Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers (Puma) ; le Programme de Modernisation des Villes (Promovilles) ; le Délégation générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale (Dgpssn) ; le Commissariat à la Sécurité alimentaire ; l’Agence nationale de la Couverture Maladie Universelle (Anacmu). Qui veut-on tromper, pour nous parler d’éthique et d’équité ? Macky sall, est par définition, le symbole des slogans creux, des mystifications et le spécialiste des acronymes nébuleux.
Alors, pour faire beau, le chef de l’exécutif de la galaxie autoritaire, est fondamentalement ethnocentrique clinquant, cliniquement clanique, s’érige la courroie de transmission des intérêts colonialistes, gruge le tout le peuple somnolent et l’enfarine durablement aussi longtemps que cela est nécessaire, labellise ses dérives confiscatoires, en leur donnant caractère légal.
L’étalage de son gouvernement de chenapans moribonds et cyniques, cache en vérité un amas de vers de terre et de plaisanteries viles. Il n’y a plus ni moins. C’est une litote de dire qu’une telle engeance maléfique par son caractère impie, n’est qu’une simple vue de l’esprit ; car l’analyse rationnelle, visible, libre et indépendante, laisse apparaître nettement que Mansour Faye, flagorné étrangement, et dont la carence affligeante par son cv tortueux, contraste parfaitement avec ses compétences et ses expériences, présumées, occupe et dépasse de loin l’ensemble des postes octroyés à Karim wade, l’ancien super ministre d’état des infrastructures du Ciel et de la Terre.
Derrière un Mansour Faye, Aliou Sall, l’étrange multimilliardaire des ténèbres, le mou, l’inculte, n’est jamais loin, cumule à la fois et la qualité de maire de Guédiawaye, de constructeur de bâtiments, de président des maires du Sénégal ; président des élus locaux ; administrateur de plusieurs entreprises, dont la société SAHEL AVIATION, est domiciliée chez l’Oncle SAM aux Etats-Unis. Et le curieux personnage ne s’arrête pas là, par-dessus tout, bénéficie plus de largesses que n’importe quels sénégalais à diplômes supérieurs et plus soutenus. En un quart de tour, il s’est transformé en banquier, et dirige la BDK-la banque de Dakar- la BMS, ou la banque de Macky Sall himself.
Et maintenant, il atterrit à la caisse de dépôt et des consignations, gère des mrds de Francs CFA d’un Eco système d’apartheid mafieux, et clanique et à visage découvert.
PSE/ ou l’émergence de l’engeance de la malfaisance ethnique, familiale, indigeste jusqu’à l’abime, rime avec la tromperie de la marchandise avariée : un scandale permanent, digne d’un casus belli. La prétendue rupture aléatoire est une montagne qui a accouché d’une souris. Rien ne tient, car tout est décousu et nébuleux de fond en comble. En Afrique des félons et des nègres de services, le pouvoir se conçoit exclusivement à la famille et au clan. C’est leur marque de fabrique.
Une grosse arnaque politique, grotesque, ou l’habillage d’un tissuthèque de mensonges compilés les uns et aux autres.