L’esclandre du juge Demba Kanji et politique : une Bombe à fragmentation laissera une Tache de Sang et des séquelles indélébiles dans l’histoire du Sénégal. Par Ahmadou Diop.
Le même Demba KANJI, qui a tenu en haleine, durant des heures, tout le Sénégal, a fait durer le faux suspense, dont il a l’unique secret, annihile vertement le suffrage universel des sénégalais qu’il méprise par devers, l’activiste, chevronné APR, cagoulé, a condamné Khalifa Sall, un des adversaires de l’autocrate encombrant.
Ledit juge roule visiblement, obéit machinalement aux doigts et à l’œil pour le pédigrée, tricheur, en l’occurrence, Macky SALL, le pirate dévergondé, le pillard, le moribond capitulard, l’habitacle de la décadence, de la de la désinvolture, le comploteur, le vers de terre, et de la déconfiture, n’a eu jamais aucune once de moralité, n’a jamais cessé d’emprunter les schémas obsolètes, les plus indignes, les plus baroques par sa tortuosité atavique, singulière lui collant à la peau.
Fidèle à lui-même, le volatile agit sans vergogne contre toute morale, et ce par la mécanique interposée de son auxiliaire de service le plus extensible. Lequel s’y complaît dangereusement dans ce rôle peu glorieux, le perdra demain et à coup sûr.
Aussi burlesque que cela puisse paraitre, comme on s’y attendait, malgré les charivaris torrentiels de toute une littérature, debout et contre vents et marrées, comme prévu, le verdict planifié, tombe comme un couperet, car l’inimitable bouffon, bien béni, des ritournelles, qui est dénommé à juste titre, le braqueur impénitent, flegmatique, s’est lui-même taillé un score fantasmagorique, digne de lui, comme tyran, arrache à lui seul et par devers par sa volonté titanesque plus de 2,5 millions de voix (58,27% des suffrages valablement exprimés), soit une confortable majorité absolue.
Même l’inamovible Bongo II, pour rappel en août 2016, la commission électorale a désigné le chef de l’Etat sortant, autoproclamé vainqueur des leurres, lors de la présidentielle avec 49,80 % des voix, contre 48,23 % à Jean Ping, s’est fait lui-même relégué au second plan, tout petit, est détrôné par la flétrissure en place, comme étant l’enzyme la plus dangereuse du siècle au Sénégal, détient le triste record des hold-up électoraux par son banditisme manifeste et par ses trahisons et son culot outrancier, démesuré, est le symbole du négationnisme de la dernière espèce. Il faut le voir en chair et en os pour le croire.
L’ancien Premier ministre Idrissa Seck, se voit attribuer un score de 20,50%, Ousmane Sonko (15,67%), le leader charismatique de Pastef et à qui on a déjà callassé volontairement et par l’arbitraire et la tyrannie, son QG, l’auteur du brulot «Pétrole et gaz du Sénégal: chronique d’une spoliation»:, l’étoile montante de sa génération spontanée, le résistant, intrépide, patriote digne, le distingué, très apprécié, malgré les lourdes menaces, dont il est l’objet, tient bon, galvanise les masses populaires, renforce son aura de plus de plus belle que jamais, qui suscite l’engouement et les adhésions spectaculaires, dérange-t-il par son verbatim percutant, et par sa rhétorique, implacable, on lui colle bassement des miettes de 15,67% pour son grade et pour le rabaisser davantage.
Le Candidat de la moule religieuse d’obédience Issa Sall, informaticien de formation, imbu de la moule religieuse et de confession Tidjaniya, Issa Sall, dispose de 4,07%) et l’ancien ministre Madické Niang (1,50%.
Qui peut vraiment croire à la neutralité du magistrat imaginaire qui est juge et partie ? On devrait savoir que Kanji, dit l’Envoyé Spécial du Palais Ethnique « Nédo ko bandoum », n’a fait que confirmer les mensonges absurdes de Boun Dionne, l’acariâtre pantin- traitre, le technocrate de la flétrissure par ses balourdises en cascades, qui demeure plus que jamais et les yeux et la bouche du Casseur du siècle au Sénégal.
Nous n’avons pas des juges équidistants, impartiaux, libres et indépendants par rapport au pouvoir de l’exécutif, mais certains d’entre eux sont des instrumentistes restent sous la botte et l’escarcelle du foutoir, s’écartent, et s’éloignent honteusement du droit chemin pour lequel ils sont censés formés, se déclarent pitoyablement en larbins, ont franchi peu à peu le rubicond, et outrepassé leurs rôles supposés, n’ont jamais la moindre l’étoffe, et passé leur sale temps à comploter, pour n’être que l’esquille du fascisme, ambiant, en lui donnant par devers tout sur un plateau d’argent par leur piètre piètre qualité. « Ku xax feñ, ku dieuf feñ »– qui parle, s’expose, et se découvre à la place publique.
Dans ma livraison du 26 février 2019, j’écrivais ceci : « les observateurs étrangers, le conseil constitutionnel, la commission nationale chargée des élections, doivent aller dans le sens des prédictions des résultats bien connus et concordants. Soyons vigilants et debout ! Tout autre verdict, ne sera que trahison. Point barre ! »
L’étrange photo du hâbleur juge, militant, se fait tout petit a été pris en flagrant délit, ou la taupe, bien présente, encartée à la campagne du démagogue, fauteur de Trouble à l’Ordre Public, voleur, violeur, qui circule dans tous les réseaux sociaux, la tribune des contradictions, fait florès, et continue de défrayer hystériquement la chronique, sans répit, fait jaser l’ensemble des sénégalais dans leurs gonds, tous estomaqués, sont tombés des nues, découvrent le mercenaire en chair et en os, en plein meeting de l’apr, la loge maçonnique de l’apostasie, ou l’engeance maléfique d’une bande des vers de traitres chevaleresques mortifères, ignares ne s’encombrent d’aucune moralité peu ou prou, sèment la terreur, depuis 7 ans. Et la machine toxique s’emballe et jubile, sans coup férir.
Un conte de fée qui n’en est pas un dépasse l’entendement de l’esprit rationnel et la réalité, et la science fiction. Il ne sert à rien de courir, il faut partir à point. Les faits têtus parlent d’eux-mêmes. En vérité, nos analyses et nos prédictions restent plus que jamais gravées de marbre dans les annales de l’histoire, Nous n’avons jamais cessé d’écrire que le planificateur a déjà bien réécrit le scénario, à maintes reprises, mais que nenni, nos écrits sont tombés dans les oreilles des sourds suicidaires à l’échelle nationale.
Le minable, monstrueux,criminel, mécréant, inégalé, inégalable, pathologique, né, sans scrupules, ni vertu, ni âme, montre chaque jour que dieu fait son véritable hideux, tient à laver à grande eau ses compilations de fadaises, de crimes imprescriptibles les un après les autres.
Malheureusement, nous avons bien perdu la fibre patriotique et l’esprit de sacrifice, qui firent le ciment fédérateur et le socle de notre fierté, comme en témoigna, jadis dans l’histoire glorieuse, l’intrépide guerrier, Lat Dior Ngoné latyr Diop, malgré les moyens disproportionnés, dont disposa l’armada coloniale, l’ennemi redoutable, le coriace, le téméraire contre la soldatesque repoussante, leur livra, durant sa vie des combats acharnés, sans merci, mourut dignement , tel un roc, les armes à la main, sur le chemin de l’honneur, à Dékheulé, le jeudi, 27,octobre 1886 avec ses deux fils, Sahéwar Niabass Diop, Thiéndella Fall, fils du Damel Birima Fall, frère de Lat Dior Ngoné latyr Diop, qui mourut en 1860 , Un bon nombre de ses guerriers y laissèrent leurs vies dans le berceau de la résistance armée.
Aujourd’hui, un roitelet, une moisissure poltronne, insignifiante, entourée de gardes de corps, a eu le culot de nous enquiquiner, de nous narguer, en nous déclarant la guerre du haut de son ignorance pathologique.
Alors, pour croire guérir le mal qui n’a que trop duré, nous préférons, hélas, nous réfugier derrière la politique de l’abdication, et ce par la mécanique du fatalisme ahurissant et par les incantations stériles, et sur fond de couardise, généralisée, pour nous donner bonne conscience de façade, comme unique solution, en attendant que notre descente aux enfers et notre régression permanente aillent en pis, face à la brutalité d’un incurieux lâche coupable et impassible, n’en a cure, bande ses muscles plastiques, ne recule devant rien pour arriver à ses fins de basse besogne.
Autrement dit, nous faisons appel au réflexe peu glorieux de la culture de la soumission totale, fait le lit de l’autocrate en place, et dont les conséquences directes sont incontestablement liées à l’aliénation culturelle du colonialisme, qui est ce mal inoculé dans notre substrat congénital.
Désormais, en Afrique des élites farandoles, serviles, satellites à la logique impérialiste, les Autocrates, terroristes, soumis, défroqués, confiscatoires à la démocratie, gagnent automatiquement à tous les coups, dés le premier tour, face à la bienveillance de la Comédie expansionniste de Trois pays complices, qui se substituent allégrement à la Communauté Internationale de 193. Lesquels sont relégués au second plan.
Toute chose est égale par ailleurs. Après le général Constantino, le putschiste, qui a détrôné Robert Mugabe, Demba Kanji, l’étrange bras armé de la démocratie familiale, suit textuellement le militaire zimbabwéen, fait la même chose, installe à son tour, le récidiviste Ethnique « Nédo ko bandoum », l’imposteur Macky sall à bras raccourcis et par le coup d’état Sensu Stricto en permanence, en lieu et place du suffrage universel sénégalais, préjugé et classé de second rang. Le score fantasmagorique, invraisemblable, est proportionnel au pédigrée de sa pire espèce.
Il n’y a pas l’ombre d’un doute. Il ya bel et bien un double fichier électoraliste ; l’ancien et le nouveau. Les dits fichiers sont exclusivement entre les mains du conseil anticonstitutionnel, lequel s’est réduit en auxiliaire de service, est en intelligence directe avec le planificateur du Casse du siècle himself ? Macky Sall.
Partout, à l’intérieur du Sénégal et à l’extérieur hors de nos frontières, réquisitions de bus remplis de votants payés pour le sale boulot, cerise sur le gâteau, rétention arbitraire de cartes d’électeurs, à la dernière minute, octroi de duplicata à tout vent, déplacements forcés des électeurs hors de leurs lieux d’habitation, distributions anarchiques en masse de cartes d’identités à des guinéens guinéennes, des mineurs « alpulaars », tendant à légaliser à bras raccourcis le vol organisé d’1 million 500 d’électeurs illégaux le score fantasmagorique, ont voté massivement sans aucun contrôle pour le compte du candidat, fraudeur nègre de services non éclairé, déclaré.
Il n’y a eu pas d’élection présidentielle, mais un vaste hold-up électoral comparable au référendum-deum- en mars 2016, auxquels s’y ajoutent les compilations des dernières législatives des vols armés du 30 juillet 2017. Toute la politique du négationniste repose exclusivement sur des combines et des schémas confiscatoires « tapalé ».
Mouvance Présidentielle d’un bazar ; une terminologie empestée, empruntée, défroquée, ignominieuse, indigne infâme par définition, dit en long sur un déni de justice confiscatoire à la démocratie.
Malgré leur apparence douteuse, les observateurs étrangers, invertébrés, tous des combinards rabatteurs, autoproclamés faiseurs de roi, et au premier rang desquels le choquant tonitruant, Thomas BoniYaya du bénin, ont fait bloc et par cynisme profanateur et sciemment falsifié à grande échelle de fond en comble, et de long en large les 15000 procès verbaux, et sur commande du tricheur, a bien agi dans le secret des dieux et de façon souterraine, et ce, sous la bienveillance effective des sorciers blancs tapis dans l’ombre.
Les sénégalais scandalisés, tous édifiés sur la nature du cambrioleur n’ignorent point le plus vaste hold-up électoral, le plus gigantesque de son histoire, ont mis à nu, et démasqué à la place publique les incohérences et les secrets de polichinelle les plus déments qui sont substantiels aux éternelles stratégies diaboliques confiscatoires concoctées par le nébuleux Macky Sall, le complotiste politique, terroriste, le plus funeste que le Sénégal n’ait jamais connu.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, par sa bassesse congénitale , vicieuse, mortifère, le banditisme de l’état bancal-apr macky sall, hors-la loi , ordurier de la débauche par son caractère criminel par essence, après avoir maintes fois planifié, arraché et volé pour la énième fois le suffrage des sénégalais, par ses esclandres braquages électoraux par son banditisme de classe exceptionnelle, le pyromane voleur par son outrecuidance et son indécence, a eu maintenant le culot démoniaque d inverser drôlement les rôles, s’érige vulgairement et pitoyablement victimaire des leurres, pour se croire sortir d’affaire, par son brouhaha démentiel, se distingue affreusement par la petite porte, et ce par le vacarme sismique de sa récurrente rhétorique de caniveau, ubuesque, qu’on lui connaît, le tout avec une compilation de montagnes de charniers de mensonges, grossiers, dont il détient l’unique secret devant dieu, l’éternel.
En Afrique sur tutelle coloniale des traitres nègres de service bénis, les scrutins organisés par les planificateurs ont-elles vraiment un sens ?
Évidemment, nous répondons par la négative. L’élection du fraudeur lâche, indigne, hors-la loi, en est une parfaite illustration par son brigandage parmi tant d’autres à l’infini, Nous autres, membres actifs de la Conscience patriotique pour le changement/XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW- cette prétendue victoire infâme, fabriquée de toute pièce, est totalement illégale, illégitime, cousue de fil blanc, nous la déclarons, haut et fort, qu’elle est nulle et non avenue. C’est tout simplement une confiscation du suffrage des sénégalais qu’on a usurpé délibérément, porte un caractère blasphématoire contre la volonté de tout le peuple qu’on a ignoré, assujetti, agenouillé,
Et la guerre de Troie à couteaux tirés aura bel et bien lieu à l’horizon 2022.
Car l’homme propose, mais ce travail incombe à dieu, le Créateur, le maître de tout l’univers, le Tout-puissant, le Miséricordieux le Clément, le bon dieu dispose de son propre calendrier,
D’une part, surtout du côté du pouvoir, quand demain fera jour, tout peut chambouler, au moment on s’y attendra le moins, puisque la plupart des politicards sont presque tous véreux dans l’âme, roulent au gré du vent, n’ont pas de conviction politique, ni de sacerdoce, mais des intérêts opportunistes et immédiats ; qu’ils défendent bec et ongles, selon leur humeur, d’autre part, les mêmes alliances contre nature peuvent être source de divergence cataclysmique, demain. Le forcené, ou le rouleau compresseur a cinq ans devant lui, tient pour le moment par la corde sa bande d’ouilles alignées. En politique, tout peut arriver. D’ici là, on ne pas rien exclure un clash entre les amis du moment. Tout dépend des paramètres imprévisibles et des rapports de force en présence. Et pour cause.
Aujourd’hui, le PS qui est plus que jamais en lambeau, ne pèse pas lourd, s’effiloche, telle une peau de chagrin,, et se scinde en deux camps opposés qui se regardent comme des chiens de faïence. Un tel parti, qui est tombé plus si bas, se tient en laisse d’une main de fer par Ousmane Tanor Dieng, l’écervelé, dirige le prétendu Haut Conseil des Hautes Collectivités territoriales- HCCT- sous l’acronyme nébuleux- un bien grand mot emphatique, fantaisiste, digne d’un poste fantoche politique, taillé sur mesure, pour recaser un éternel battu, un dinosaure de piètre qualité, dont le moins que l’on puisse dire, n’a jamais rien gagné de lui-même, vit absolument aux dépens du maître des lieux,
Pis, on reproche à ce parti qui se défait peu à peu, pour s’être renié sur toute la ligne, au point qu’il n’a pas eu de candidat à l’élection présidentielle des cirques. La durée du mandat des députés est de 5 ans, dont la majorité des dépités de sinécures et de service, sont la botte du tyran. L’autocrate, vindicatif, n’a aucun intérêt à dissoudre l’hémicycle pour des raisons évidentes.
Théoriquement, il y aura bien des législatives, c’est à dire deux ans avant les présidentielles de 2024. Mais il peut y avoir entre temps, une anticipation Et l’équation Moustapha Niasse, chef d’entreprise et patron de l’Afp, le multimilliardaire, le preneur d’otages, contrôle à lui seul tout son parti politique, qu’il dirige comme une entreprise unipersonnelle- nourri ses adeptes- dak- et dieu sait qu’il n’est pas le seul- malgré ses insultes permanentes, nous lui souhaitons longue vie. Amine !
Aura-t-il une prouesse et Garder encore le perchoir, lorgné par le transhumant Moustapha Cissé Lô, le maître incontesté, incontestable des invectives ennuyeuses ? Pas si sûr ! Et auquel cas la guerre de Troie à couteaux tirés, aura bien lieu et à quel prix, à moins que le miracle se reproduise, d’ici là ? Comme on dit, qui rira bien, rira le dernier.
Le tyran agite le débat sur une éventualité dissolution de l’assemblée nationale godillot des Dépités.
Dans l’une de mes chroniques, je posais la question sur la durée du mandat des asservis bien dévoués dans leur rôle de jouet. Ce qui est bien le cas d’école patent d’une magistrature pourrie. Dans une république régalienne, la durée du mandat présidentielle est proportionnelle à celle des parlementaires. C’est la règle, mais l’incontrôlable changeant, l’insaisissable a une autre lecture étriquée sur les arcanes politiques. Le renégat versatile, s’est lamentablement renié sur toute la ligne, revient à sa parole donnée, a bien gardé son mandat présidentiel de sept ans, qu’il avait promis de le réduire à 5 ans. Sachant qu’il y aura une comédie présidentielle, le 24 février 2019, il organise, le 30 juillet 2017 ses parodies législatives cataclysmiques, qu’il arrache lui-même pour ses propres intérêts mesquins. Voilà le comble d’une incohérence cynique !
À la suite du Référendum-Deum- en mars 2016, la nouvelle constitution en vigueur autorise au président de la république d’exercer son mandat pour une durée de 5 ans ?
Après son indigeste hold-up électoral qui n’en est pas un, et qui défraie hystériquement la chronique, la bête immonde a avec ses méthodes machiavéliques, allume un autre feu, prend encore les devants, et anticipe sur les législatives périlleuses de 2022, pour rassurer son camp menacé.
Est-ce donc un simple ballon de sonde au lendemain d’une euphorie de piètre qualité, tendant à mesurer la température ambiante et le climat délétère ?
Comme d’habitude, d’ici 2022, tout est possible, puisque l’imprévisible renard pillard entretient le doute et continue de cacher toujours son éternel plan funeste, aura le loisir de réfléchir, et tranchera, le moment venu, en dernier ressort par l’effet de surprise encore plus pimentée.
Une telle dissolution à haut risque créera-t-elle donc la discorde au point de constituer immanquablement les conditions obligatoires d’un goulot d’étranglement et sur fond de querelles d’arrière boutique, avec en prime, un couteau à double tranchant, au risque de brûler la case de Birama. Amine !
L’infatigable imposteur, agite le débat, et à la seule fin d’engranger les dividendes politiques, pour se tirer d’affaire sur le scandale ubuesque « adukalpé waat », utilisera les mêmes paramètres des rapines. Malheureusement, l’avenir du Sénégal qui est plus que déjà sombre, le restera davantage.
il n’y pas d’institutions normales au Sénégal : tous les organes de contrôle supposés institutionnels qui restent factices, dont l’Ige, Ofnac, Armp, l’Assemblée Nationale, La CNRA etc., sont des mots creux, ne valent rien- demeurent plus que jamais des instruments politiques, n’ont jamais d’existence réelle, mais des ustensiles de cuisines, et des simples caisses de résonance et d’enregistrement dépendent directement du pouvoir de l exécutif totalitaire, ne disposent d’aucun caractère de contre-pouvoir, visible, et tangible, tant soit peu, n’échappent pas à l’hégémonie présidentielle monarchique, tyrannique, laquelle détient par devers à elle seule tous les leviers du pouvoir.
Belle pagaille en perspective ! Et Macky Sall, dans tout cela ? En politique, l’erreur fatale se paie cash. Car les amis d’aujourd’hui peuvent être des ennemis de demain.
Pour la plupart des politicards, la politique n’est pas une vocation, mais n’obéit qu’à des intérêts bassement matériels.
Le vainqueur par sa brutalité et du haut de son rang, aura-t-il suffisamment toute la latitude, la rigueur et la vigueur et la marge de manœuvre nécessaire en ce moment là ?
Fera-t-il encore le poids, ou aura-t-il la force de frappe, quand les uns et les autres auront des ambitions présidentielles ? C’est discutable, du moins, je le crois personnellement en toute conviction.
Quoiqu’il en soit, Ousmane Sonko-le Tsunami dévastateur, l’étoile montante constitue, aujourd’hui et demain, un élément incontournable, catalyseur de l’échiquier politique sénégalais de la nouvelle génération.
Ce qui se passe en Côte d’ivoire entre Guillaume Soro, Alassane Ouattara, et Henri Konan Bédié, en 2020, risque de se produire au Sénégal. Wait and see ! À bon entendeur, salut !