MACKY SALL : FOCUS SUR UN PIRE TRAITRE- PREDATEUR QU’AIT CONNU LE SENEGAL. PAR AHMADOU DIOP CPC.
Je sais de quoi je parle, car je connais le sens et le poids des mots que j’utilise. Le mal absolu du Sénégal veut laver à grande eau ses mensonges et ses moult trahisons. C’est le propre de tout traitre qui le prouve sur le terrain du crime. L’euphorie du pouvoir le rend fou. Et pour cause.
L’envoyé Spécial Colonial attitré en Afrique et Accrédité à Dakar, c’est Macky Sall, l’arriviste, guignol. Ni plus ni moins.
Alors, faisons donc focus sur la nature insolite d’un aventurier, bluffeur, mythomane, qui s’est transmué peu à peu en prédateur- bandit financier de grand chemin, opportuniste de classe exceptionnelle, qui fut peint faussement sous les défroques victimaires des leurres en 2012, et ce sous la baguette magique de la référence propagandiste, mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie- autoproclamée faiseur de roi et d’opinion. Laquelle était hier en jointure jusqu’à aujourd’hui avec le vacarme hystérique de la servilité endogène en place, assure la tete baissée, le service après-vente de la mal gouvernance » nédo ko bandoum » d’un écosystème en vase clos d’apartheid.
Derrière le menteur professionnel de son espèce, se cache en réalité, un vulgaire prédateur incurable, digne de son rang, mortifère dans l’âme jusqu’à l’abime, qu’il n’y paraît, s’est cyniquement gloutonné et ce sous l’autel des rapines et des raccourcis politiques TANSABULAEX, a trompé avec prouesse son bienfaiteur, son ex- mentor, qui ne se doutait de rien. Alors comme un taciturne de son rang, il a donc gravi miraculeusement un par un tous les échelons et amassé un patrimoine immobilier et une fortune si colossale en quelques années, contrastent parfaitement avec l’indice de son salaire.
Car celui qui prétend faussement incarner la rupture, fait le contraire de ce qu’il affiche publiquement, n’est jamais à l’endroit, mais l’envers du décor, quoique l’on puisse dire, fait partie des pires traitres dictateurs africains, incorrigibles à l’échelle continentale francophone, larbinisée.
Le justicier qui traque, élague un par un, tous ses adversaires politiques, les cisaille, en les traînant dans la boue, et les réduit au silence sans merci par sa justice politique aux ordres, dispose de plusieurs entreprises d’écran, est le véritable propriétaire, en particulier, la société Agitrans, dont Aliou Sall n’est qu’un prête-nom, parmi tant d’autres à la pelle.
Pour rappel, selon le journal britannique, bien informé, en 2012, l’homme d’affaires Franck Timis a obtenu deux concessions de gaz et de pétrole. Deux contrats validés par le président sénégalais Macky Sall. La BBCpublie un email de Franck Timis daté de 2014. L’homme d’affaires indique que 250 000 dollars doivent être versés à l’État sénégalais pour payer des taxes sauf que l’argent affirme le média britannique atterri sur le compte d’une société, Agitrans, qui est dirigée par Aliou Sall.
Les démentis du mongolien, le crocodile, si plastique, qui circule librement en toute circonstance et en toute impunité, et qui digère sa proie dans les eaux troubles de l’apr, ne valent rien. Il y a tellement de scandales suintants qui passent comme des lettres à la poste, au point que l’on ne saurait les égrener tous .
En vérité, l’écervelé, se réduit dans son rôle de préfet, qui s’apparente à une respectabilité de pacotille et qui se niche derrière les grilles d’un palais devenu fétichiste, et se complait avec ses trahisons burlesques, plombe et durablement l’avenir de notre pays, en retardant dangereusement les mécanismes fonctionnels du développement. Je pèse bien mes mots Car il s’agit bien du politiquement pathologique aux âmes moribondes, est mentalement préparé pour faire les sales boulots et plaire à ses maîtres blancs, sans remords, en échange de s’asseoir au pouvoir en toute impunité.
Pour cela, le flegmatique verbeux versatile et arrogant par ses saccades et ses ratonnades subversives, est prêt à tout, hypothèque toutes les ressources vitales du Sénégal, notamment le pétrole et gaz, contrôle la presse de carpette, servile, qui reste impassible et droit dans ses bottes, est fidèle à lui-même, et dont intelligence avec l’extérieur, constitue un euphémisme.
C’est bien ça la caractéristique essentielle du comploteur- soumis traitre et satanique par définition, s’accommode et se complait sous le triste sobriquet « sous-marin américano-français» qu’ait connu le Sénégal, dirige le pays d’une main de fer, comme si la terre de la téranga est un legs divin pour lui.
18 avril 2012 à L’Élysée, face à Nicolas Sarkozy, le discours de caniveau du pire valet traitre nègre de service en chair et en os par ses inepties démentes, nous donne la chair de poule, ne se discutent plus.
Tout en étant au cœur du gouvernement d’Abdoulaye WADE à qui il affichait une fidélité apparente, tire-l’œil, cela nous donne une fois de plus la mesure d’une taupe-pantin taciturne cagoulée, démasquée, a travaillé et agi de longues années et secrètement de façon souterraine . Nous en avons eu donc la pièce à conviction.
L’ignare traitre vindicatif, mythomane, franc-maçon, le négationniste autocrate et ses échappées torrides, qui est très apprécié et adulé, s’érige ridiculement victimaire des leurres, n’en a cure de ses péchés, plastronne à Paris, ment plus qu’il ne respire, demeure comme jamais le spécialiste des FAKS NEWS, vend la démocratie imaginaire et la gouvernance ethnique, allant jusqu’à avoir une familiarité avec l’ex maître du palais de Élysée, son sauveur, qu’il appelle affectueusement par son prénom, Nicolas.
Macky SALL et le pacte colonial : 2012. En cas de victoire d’Abdoulaye Wade, il créerait un gouvernement parallèle. Alors que celui-ci avait toute la latitude pour le réduire au silence et en charpie, pour atteintes à la sûreté de l’état, menaces, déstabilisation aux institutions et troubles à l’ordre public.
Et le flibustier, revanchard mal placé de son rang fulmine sèchement devant Nicolas Sarkozy : « Le retrait des troupes et bases militaires relevait quelque peu d’un nationalisme mal placé ».
Un tel énergumène est-il vraiment à la hauteur, qui promettait à grand renfort de publicité mensongère à travers la planète entière, pour réduire son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, nous a habitués à des faux bonds, gagne à tous les coups, réécrit d’avance le scenario du film, planifie hystériquement son score digne de lui par la voie altérée, ne s’encombre d’aucune moralité peu ou prou, change le code électoral pour lequel il a été élu dans d es circonstances exceptionnelles, inédites, par dépit et à défaut ?
Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, depuis. Le calendrier républicain des locales et des législatives est reporté sine die. Pis, le tourniquet entretient le doute et le faux suspens en 2024.
Pour les despotes africains, la durée du mandat présidentiel, ça se discute à la place publique. C’est donc le cas du fourbe, qui n’a aucune parole.
Qui peut compter les crimes physiques, politiques, économiques et financiers, ne sont jamais élucidés, et dont Macky Sall, himself, est le seul comptable devant l’histoire ? Et la misère chronique, endémique continue plus belle que jamais.
Et pendant que l’homme de la surcharge pondérale s’engraisse de plus en plus avec son clan , y compris sa propre famille immédiate, les jeunes valides, désorientés, désespérés, et à la recherche d’un hypothétique eldorado, ou d’un mirage imaginaire, prennent le large au péril de leurs vies, bravent les intempéries, les terres et les mers, se noient par milliers dans les océans, ne suscitent aucune émotion, si ce n’est les larmes de crocodile, des élites fantoches, dont le minable , est au premier rang des incultes désertique .
Ce qu’il faut retenir du régime présidentiel, prédateur, c’est son caractère monarchique et ses pouvoirs exorbitants, blasphématoires, autoritaires, voire totalitaires. C’est la clé de voûte de la tyrannie. Puisque le maître absolutiste des horloges y trouve nécessairement une aubaine, met en avant ses propres intérêts, impose ses lois liberticides, les entérine via son assemblage de godillot de services et de sinécures, sont manifestement sources de conflits d’intérêts et d’escroqueries, pour gouverner en toute impunité.
Mais en même temps, il protège aussi ceux des colonialistes. Lesquels assurent les accords de défense, sont dans une certaine mesure, sources d’ingérence directe dans nos affaires.
En échange, leurs entreprises obtiennent des faveurs et sans appels d’offres, tendant à corriger leurs récessions permanentes du capitalisme international . C’est donc une habileté savamment élaborée.
Senghor, le poète de la négritude politique, paix à son âme, qui a instauré le régime présidentiel prédateur, est à la base de tous ennuis, qu’on le veuille ou non.
Voila donc un boucanier, sans éthique, ni équité, a eu du culot par son verbatim creux et aux discours à l’emporte pièce, a été démasqué, 4 ans plus tôt, et pris constamment en flagrant délit, à maintes reprises , a été décoré étrangement de la légion d’honneur française en mars 2008, dans les jardins de l’ambassade de la France, sans le consentement de l’état sénégalais, et pour quels services rendus, s’attache et s’accommode mordicus au colonialisme soft, tente de justifier l’injustifiable, rend l’ascenseur à son envoyeur, par son nombrilisme suffocant.
En vérité, les prétendus accords bidons de défense et la soi-disant lutte contre le terrorisme invisible dans le ciel sénégalais dégagé de toute terreur, servent de prétexte à l’expansionnisme versus françafrique.