Macky Sall, le Logiciel Colonial ou l’Artificier des Parodies électorales en continu ! (Par Ahmadou Diop).
En vérité, le logiciel colonial, désigné l’artificier de la lâcheté s’accommode bassement par ses parades et ses parodies électorales.
Depuis 5 ans, en lieu et place d’un état de droit civilisé, Macky sall, le monstre larbinise hystériquement la république.
Autrement dit, les libertés fondamentales de conscience de tout peuple libre, indépendant ne peuvent constituer un quelconque délit supposé
Gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, dit-on : un vaste tissuthèque de mensonges grotesques cousus de fil blanc.
L’artificier-il faire oublier ses farces électorales qui restent graver dans les mémoires, qu’il méprise par son insuffisance et son arrogance toutes manifestes, sont pathologiquement atteintes.
Parlons encore de la face cachée du limogeage de Thierno Alassane SalL ! le pétrole et gaz obligent.
Nous avons au sommet e l’état sénégalais un fasciste, qui gouverne unilatéralement par devers et par décrets sur toutes questions vitales, sans qu’il ait besoin de passer par l’Assemblée Nationale de service. Pour nous autres, le panafricanisme est un droit inaliénable, ne peut être en aucun cas un casus belli.
je le redis : « la vraie liberté émanant du peuple dans toute sa composante diverse , est supérieure à celle des soi-disant élites serviles, juges et parties- estampillées TAN SA BOULA NEX- Maatey- confectionnent habilement des institutions, assujetties et édictées par la sacro-sainte loi des impérialistes, taillée sur mesure pour leur compte.
Peut-on parler réellement de souveraineté nationale, d’indépendance politique, de la défense nationale, monétaire, lorsque le nazisme du F CFA et les compagnies coloniales extérieures pillent toutes nos ressources naturelles, sans vergogne, obtiennent 60 % du pétrole et gaz, tandis que l’état sénégalais se contente de miettes, n’en a que de 10%. ?
Sous la complicité du despote encombrant, qui se donne une respectabilité de façade et se niche derrière les grilles d’un palais colonial, complote avec son frère, Aliou Sall, qui s’autoproclame automatiquement comme le plus compétent de tous les sénégalais réunis, s’octroie librement la licence agréée du pétrole et gaz du Sénégal, s’arrache 30% des gisements découverts aux larges du Sénégal.
Depuis cinq ans et sans répit, les procès interminables judiciaires portent exclusivement des soubassements politiques, en arrière-plan, obéissent en vérité à des règlements alambiqués, non assumés, se multiplient par l’entregent d’une justice interposée, instrumentalisée, clientéliste, tendant à confisquer durablement la démocratie, pour couvrir et en même temps, les incommensurables forfaitures du premier voleur, nègre de service, pris la main dans le sac, apparaît normalement le plus coupable que ceux qui sont présumés si riches Illicitement par le miracle des raccourcis politiques en abondance.
Pour rappel, l’étrange donneur de leçons martelait de façon incongrue par le magazine américain Foreign Affairs interposé, tambourinait scandaleusement s’être enrichi, pour avoir bénéficié des privilèges relatifs à sa position d’ancien premier ministre. Un tel homme est-il vraiment un patriote digne ? Le plastique est-il donc bien placé pour donner des bons ou mauvais points aux uns et aux autres ? Certainement pas.
Pis encore au fur et à mesure que les cirques électoraux législatifs s’énoncent, approchent, la crei, ou la probité en bandoulière instrumentalisée politique, soumise, catapultée de la défaillance, se complaît affreusement dans son rôle de farandole, reste plus jamais que le bras armé de l’exécutif autoritaire, n’agit en définitive que sur le ndiguël venu d’en haut, s’exécute indignement et continue ses escapades loufoques par les audits de la discorde et à géométrie variable, selon les postures des uns et des autres au bon ou mauvais endroit et au mauvais moment.
Pendant ce temps, les radars de carpette qui apparaissent nettement aveugles sourds et muets, laissent sévir Aliou Sall, le prête-nom de son frangin, l’infatigable pâteux circule librement, ne s’inquiète outre mesure, occupe tous les plateaux, dicte mordicus sa loi propre à la presse de servitude, qui obéit promptement, et s’agenouille vulgairement.
Pour faire beau et amuser la galerie, après Karim wade, Khalifa sall, Bamba Fall, Béthio Thioune et Cie, pour ne citer que ceux là, la justice, hélas, dévoyée, toute alignée, encordée au totalitarisme, continue de s’offrir piteusement et publiquement en spectacle ubuesque, convoque à son tour Abdoulaye Baldé ? Pour faire taire définitivement l’édile de Ziguinchor, à défaut de le mouler dans la sauce de l’apr par la transhumance forcée, sa femme Aminata Gassama aussi est conviée au tribunal de la monarchie présidentielle, en attendant que son époux lui-même, demain, à la Dic, la police politique de la Stasi.
Pourtant, selon les écrits de la plupart des médias, bien renseignés, l’homme a été lâché par la Crei.
Quelques semaines avant, selon, les mêmes sources indiquent qu’Abdoulaye Baldé est libre. Mis sous contrôle judiciaire dans le cadre de la traque des biens mal acquis, le maire de Ziguinchor est désormais libre de tout mouvement. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a levé sa mise sous contrôle judiciaire.
Le maire de Ziguinchor était tenu de se présenter tous les lundis au procureur de la Crei et de déclarer sa position partout où il se trouve dans le territoire national, nous dit-on.
Curieusement, l’édile de Ziguinchor n’a jamais cessé de voyager à tout vent donc à travers la planète entière de son plein gré. Et venir nous dire qu’il doit se présenter tous les lundis au procureur participe à des mensonges grossiers. c’est de la poudre aux yeux.
À quoi joue donc Macky Sall, qui est considéré comme le seul procureur réel de la république familiale ? Tantôt, on nous dit qu’Abdoulaye Baldé est libre, tantôt il ne l’est pas. L’homme a-t-il donc franchi le Rubicon, ou violé le secret du deal relatif aux législatives de juillet de juillet 2017 ? Est –ce donc la raison pour laquelle le pouvoir totalitaire a- t-il dé terré la hache de guerre ? Baldé tient-il par la corde la ville de Ziguinchor ? Rien n’est exclu. sans ambigüité, tout porte à le croire.
Qu’est-ce- qui s’est passé entre temps pour qu’il y ait cet étrange retournement de situation ? S’agit-il donc d’un chantage contre Abdoulaye Baldé, l’indocile maire de Ziguinchor que l’on oblige à transiger ou qu’il transhume à la loge maçonnique ? Curieusement le maire, qui en sait un peu plus, a été apparemment blanchi dans la traque des biens mal acquis.
Pour rafraichir les mémoires, le procureur spécial de Macky Sall, Alioune Ndao déclarait : « tous les biens de Mme Baldé née Aminata Gassama appartiennent à son époux Abdoulaye Baldé ».
L’homme qui nous promettait le changement par la rupture, change son fusil d’épaule constamment, dispose de tous les leviers du pouvoir est juge et partie. Point de contre-pouvoir, ni contradiction, car aucune ligne Maginot n’est dressée contre lui, décide tout seul in fine. Le régime présidentiel n’est qu’un véritable monarque de la République. Ce n’est pas pour rien qu’il demande orbi, urbi, une majorité présidentielle à l’assemblée nationale. C’est une anomalie de la démocratie.
Pour cause, le supplétif président de l’assemblée nationale, Moustapha Niasse, est en tête de liste de« Bennoo Bokk Yaakaar » dans le département de Nioro, pour les parodies législatives de 2017.
La loi fatwa totalitaire sévit et interdit toute contradiction sur internet et sur le terrain même du crime.
En politique, tout se tient en toute logique. Car la propagande médiatico-politique confiscatoire, à l’échelle interplanétaire, au nom des informations orientées, sur internet constitue bizarrement la pensée mécanique, mentionnée, sert rationnellement de supports mécaniques à la démocratie mondialiste de l’arbitraire, imprime sa marque et à quelle fin ?
Et les mêmes instruments de la domination se travestissent tous mécaniquement et allégrement en mode de pensée, demeurent plus que jamais les relais immédiats de l’impérialisme, restent les outils de la propagande, mettent les pieds dans le cambouis, en même temps, font des offres de service aux lobbies mafieux impérialistes, capitalistes, mais ces derniers réfutent systématiquement toute contradiction sur internet à l’autre camp qui est totalement libre et indépendant.
En France, à propos de la liberté, voltaire, un certain écrivain proposait : « la communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement , sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi »