Macky Sall : Le Nègre de Service en Chair et en Os Entre le Marteau Et l’Enclume ? (Par Ahmadou Diop).
Comme d’habitude, le règne du régime le plus scandaleux de toute l’histoire du Sénégal de Macky Sall, le vrai faussaire né, dénommé à juste titre le logiciel négationniste, plus connu sous le câble ferré de la françafrique, confirme la règle des fascistes africains.
Le Conseil Anticonstitutionnel, le bras armé, ou l’instrument politique au service du tyran – n’en démord jamais, s’érige en adu kalpé-forxarci- keuf- maatey– ne peut que confirmer naturellement le braquage électoral permanent de Bby, le cartel de la symbolique des vacataires alimentaires tous des alignés indécrottables demeurent plus que jamais les prestataires de service, s’accommodent grossièrement par leur bassesse suintante, pour n’être que des abrutis farandoles, goinfrés et sur commande du valet encombrant, clinquant, expose à la place publique son butin des scrutins de mascarade électorale Ci Dig Pencimi.
Mais où a-t-on vu en Afrique les despotes pantins, suppôts, nègres de service, larbinisés, organiser leurs cirques électoraux et pour les perdre ?
C’est un non événement pour eux. Le contraire serait étonnant, puisqu’ils se taillent tous avant l’heure leurs propres scores fantasmagoriques dignes d’eux, seront validés mécaniquement par le binôme versatile UA-Cédéao – l’esquille de la solidarité de classe des tyrans coalisés, autoproclamés que l’on appelle les douteux observateurs-mercenaires imagés de l’union africaine, timbrée le capharnaüm : ce logiciel programmé est aux ordres des impérialistes et des lobbies militaro- industriels capitalistes.
En Afrique des tyrans, les scrutins de pacotille ne sont rien d’autre qu’une simple formalité administrative, abusive.
Le régime pègre négationniste, ségrégationniste d’apartheid, ethnique, pourri, moribond, des courbettes et de la platitude empestée, demeure plus que jamais la chasse gardée de nos oppresseurs, qu’on le veuille ou non !
Entre les intérêts vitaux, supérieurs de la nation sénégalais et ceux de nos oppresseurs, le pion, pilleur- pollueur-mercenaire, coupable, humidifié jusqu’au cou, est fondamentalement réfractaire aux contradictions politiques et à la place publique, disjoncte à tous les coups et sur tous les plans, comme tout renégat déclaré de son rang, torpille, foule du pied la démocratie, les libertés fondamentales de conscience, interdit tout et sous n’importe quel prétexte bidon, farfelu, n’y va plus par quatre chemins, choisit sans coup férir, le suicide et opte pour l’arbitraire et la tyrannie, espérant y trouver une bouée de sauvetage, pour croire pouvoir bénéficier de la clémence et de la logistique impérialiste.
Pour cela, l’étrange mascotte de la tyrannie, qui en sait un peu plus que son ex mentor, naïf, notamment sur le pétrole et gaz du Sénégal qui couleront demain à gogo, s’est toujours métamorphosé en nègre de service, travesti comme envers du décor, agit nécessairement sur commande et crache par devers et contre tous, sur ses promesses électorales pour lesquelles il a été élu dans des conditions totalement exceptionnelles, inédites.
Que voulez-vous ? L’archétype personnage qui se trouve entre le marteau et l’enclume; pour arriver à ses fins, et protéger ses intérêts propres crypto personnels, en particulier, ceux qui le tiennent par la corde.
Or dans notre pays, où le déficit chronique politique est si patent sur les affaires de la cité, il va sans dire que la démocratie se joue à guichet fermé, car l’abondance d’une bande de notables majoritairement corrompus constitue la clé de voûte de ce qui nous arrive constamment.
Et dans ces conditions, pour faire avaler la pilule, l’écervelé de classe exceptionnelle met en jointure et à contribution son affluence propagandiste, laquelle se charge du sale boulot par sa rhétorique nauséabonde, ne passe pas inaperçue, ne laisse pas nullement le lecteur indifférent.
Et l’aide à la servitude n’est en réalité que de la corruption légalisée.
Alors que tout le monde sait que la dépendance politique et financière de la presse constitue une réelle menace pour la démocratie.
Voilà donc l’exercice favori auquel s’adonnent bassement tous les chiens de garde, dociles de la trempe du valet, à dessein de préserver les intérêts expansionnistes, sont synonymes de trahisons, pour asseoir leur autoritarisme suffocant par la terreur !
C’est ce que l’on appelle la politique de la main basse sur le Sénégal et partout en Afrique des nègres de service des 14 pays tous sous tutelle coloniale.
Evidemment, toutes les entreprises étrangères sont entre les mains des oppresseurs arrachent systématiquement et par devers toutes les parts de marchés, sans appels d’offres et sans discussions possibles.
La clé de voûte de l’émergence coloniale continue et place à la régression émergente des entreprises nationales mettent tout simplement la clé sous le paillasson, depuis 5 ans.
Ne rien faire, pour se taire, et laisser agir le caniche de l’occident, c’est se consentir et se complaire, est synonyme d’abdication totale par consentement réactionnaire, face à un abruti, dégonflé, faussaire né, de la démesure, référent de la Françafrique, s’accroche telle une teigne dans son rôle de garde chiourme, tue la démocratie, nous nargue, nous ravale comme si nous sommes des moins que rien.
Au Sénégal, la constitution scande à qui veut l’entendre : « gouvernement du peuple pour le peuple et parle peuple, c’est-à-dire que la souveraineté appartient au peuple l’exerce par ses représentants, mais la réalité est toute autre. Autrement dit, une fois que celui-ci vote et désigne son président de la république, le même peuple perd son pouvoir régalien et devient l’esclavage et sujet du pouvoir du monarque – président, qui inverse les rôles et s’autoproclame intouchable.
Dans nos pays vassalisés, toute critique envers les présidents reste un tabou, est synonyme d’offenses supposées au chef d’état.
Pourrions-nous rester dans l’expectative et au nom de l’inertie, contre productive, que l’on appelle tristement le masla, est la source du fatalisme et de l’obscurantisme politique, pour préserver soi-disant l’entente cordiale, l’unité nationale et la cohésion sociale, ou le consensus de la division ? Le Sénégal, notre patrie, est un et indivisible ?
A défaut, dans notre pays, l’histoire risque de n’appartenir qu’aux médiocres, qui sont plus organisés que la majorité des citoyens par leur capacité de nuisance.
Alors, nous n’avons d’autre choix que d’extirper bruyamment le mal de la mauvaise graine de la haine, et quel qu’en soit le prix fort à payer, si nous voulons rester encore dans l’histoire et dans l’hagiographie mondiale.
Dans les grands qui ont des histoires tangibles, leurs dirigeants ne pensent jamais des vacances à l’extérieur, mais ici chez nous, le mercenaire endurci, pigeon voyageur dans les airs, vit sous les lambris dorés du palais, s’accommode piteusement de ce qu’il sait d faire de plus répugnant, jouit du pouvoir à tout vent sur les quatre coins de la planète entière, pille, dilapide et dépense sans compter à sa propre convenance personnelle, l’argent du contribuable siphonné, dévalisé et brutalisé parsa soldatesque waffen SS.
Au-delà même des voyages et des vacances superflues, saugrenues, dispendieuses de l’oiseau de mauvais augure- Tali Ñareet, ses visites prétendument officielles, prennent à la fois et les allures et le caractère d’un mercenariat international, sur fond d’affaires personnelles.
Pour le Sénégalo –franco- américain tout est prétexte pour qu’il sorte hors du pays et aller en France, ses terres bénies, notamment aux Etats- Unis , où il a acheté à Houston en 2004 une villa Grand standing dans des conditions totalement scandaleuses . Et avec quel argent ? À quelle fin et pourquoi ?
Au lendemain de chaque braquage électoral en continu, le fraudeur, est beaucoup plus présent à l’extérieur qu’à l’intérieur du pays, et quand bien il y reste, l’ardoise de la corruption tout azimut se corse de plus en plus, sans compter les arrestations arbitraires compatibles à la tyrannie incessantes, qui demeurent à ses yeux la seule loi émergente qui vaille.
Depuis le regrettable soir historique, la symbolique de la décadence catastrophique, le pion invétéré en service commandé, téléguidé depuis l’extérieur, obéit promptement au doigt et à l’œil de ses parrains tapis dans l’ombre, notamment du côté de la Seine, s’exécute machinalement dans le secret des dieux.
Tout est mensonge du début jusqu’ici, car rien ne tient, malgré la rhétorique des cavalcades mensongères gigantesques, cousues de fil blanc, emphatiques des torrentielles compilations infinies, très choquantes, nous horripilent et nous mettent dans nos gonds.
Sans répit, la sortie salutaire de l’artiste, Amy Collé Dieng, qui a été libérée par la pression de l’opinion publique debout, continue de défrayer la chronique et fait les choux gras de la presse de la servilité nauséabonde.
Le baromètre de tout pays libre, indépendant, libre, réellement, politiquement, se mesure à l’aune de sa souveraineté économique, monétaire, financière et sa défense nationale. Et la nationalisation des entreprises pétrolières, gazières étrangères, s’impose sans discussion possible.
Macky Sall – Le Big Brother, dictateur, le Fou- Führer interdit tout traitement objectif des informations et la confrontation des idées, indispensables dans une démocratie réelle et dans un état de droit à l’épreuve des faits
Le fou Führer l’arrogant, l’attardé mental bew-fouille ivre de son pouvoir cataclysmique Führer perd de plus ses pédales, agrès avoir organisé son braquage électoral permanent en met toujours des couches supplémentaires, pour monter les surenchères d’un cran, comme si cela ne suffisait pas encore.
Le label de la Gestapo, ou la graine de la haine. A qui donc profite le crime ?
Nous l’envions vu venir avec ses grands sabots. Maintenant c’est chose faite !
Je l’ai dit déjà et écrit. Et ceci n’est qu’une goutte d’eau de ce que nous savons.
Personnellement, dieu sait que je n’aime pas rappeler mes écrits, les rabâcher, mais je suis bien obligé d’y revenir là-dessus, pour des raisons de pédagogie et rafraichir les mémoires.
Mes propos sont-ils vrais ou faux ? Jugez-en ! Car on ne peut pas et la fois dire la vérité, rien que la vérité, et la biaise ; en la dénaturant dans sa substance– manam diko rafétal- lolu moy fen.
C’est cela que l’on appelle l’hypocrisie et la mauvaise foi. Je ne le ferai jamais, quoique cela puisse me coûter. Il faut dire les choses telles qu’elles sont et non point qu’on veuille qu’elles soient, pour plaire, on ne sait pour qui ?
Quand j’écrivais un tel article à l’époque, pour certains, cela relevait de l’inconscience, ou de la science fiction, et on me prenait même pour un illuminé. Mais aujourd’hui, c’est plus que de la réalité matérielle, qui se déroule sous nos yeux.
Nous sommes donc choqués, scandalisés, indignés et horripilés par la brutalité des interdictions prises par le régime fasciste qui se dresse contre nous les sénégalais dans les réseaux sociaux ? Nous les condamnons rigoureusement avec vigueur jusqu’à la dernière énergie.
A vrai dire, c’est une mission vouée à l’échec. Nous le disons tout haut et de voix audible, pour que le truand, tonitruant, l’entende dans ses oreilles, se le tienne pour dit.
La liberté qui est le premier droit inaliénable de tout peuple libre, souverain et indépendant, ne peut être un délit. Celui qui le remet en cause, nous révulse, nous offense, inverse les rôles du haut de son piédestal.